Les chemins de la sagesse (4)

En avez-vous ?

Nelly a écrit:

"La vraie faute est celle qu'on ne corrige pas."  [Confucius]

En avez-vous ?

oui, parfois trop bonne et donc trop conne!

mais on ne se refait pas

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"La vraie faute est celle qu'on ne corrige pas."  [Confucius]

En avez-vous ?

oui, parfois trop bonne et donc trop conne!

mais on ne se refait pas

Qu'est-ce qui t'arrive encore ? Tu sembles en vouloir à quelqu'un.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"La vraie faute est celle qu'on ne corrige pas."  [Confucius]

En avez-vous ?

oui, parfois trop bonne et donc trop conne!

mais on ne se refait pas

Qu'est-ce qui t'arrive encore ? Tu sembles en vouloir à quelqu'un.

ben, tu vois, une amie de plus de trente cinq ans ,de 6 ans plus jeune que moi, qui habite dans le même bâtiment que nous.
Profite un peu trop de ma gentillesse,je fais de mon mieux pour l'aider comme elle est seule,mais elle en demande toujours plus .
Elle est surtout fainéante car elle laisse sa vaiselle sale s'accumuler et après elle demande de la faire?l'aider a faire son lit, forer des trous dans son mur,pour pendre des cadres qu'elle achete dans des vides greniers,, peindre sa chambre ,lui faire de la soupe,etc etc etc ....

Mais qui est responsable de tout cela ? Là, franchement, tu exagères. Si cette personne peut sortir de chez elle, elle peut au moins faire le minimum chez elle. A quel titre lui ferais-tu sa vaisselle ? Elle n'est pas impotente.

En plus, tu lui fais la cuisine ? Je rêve...

Et tu n'as pas besoin de l'excuse d'Albert pour la laisser faire son travail. Et qui pense à ta santé à toi ?

Je sais que c'est le cas pour énormément de personnes, mais pas le mien. Qu'en est-il pour vous ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Rester, c'est exister : mais voyager, c'est vivre."  [Gustave Nadaud]

Je sais que c'est le cas pour énormément de personnes, mais pas le mien. Qu'en est-il pour vous ?

avant ,oui,mais maintenant je n'aime plus m'éloigner de la maison trop longtemps ,cela me donne des angoisses,c'est ça viellir ?

Certaines personnes se lancent dans l'aventure sans se poser de questions. D'autres sont plus sédentaires : quand elles sont motivées, peut-être passent-elles au-dessus de leur questionnement, l'insouciance de la jeunesse faisant le reste.

Une belle-soeur a fait un AVC il y a quelques années. Elle a récupéré de telle manière qu'elle peut se déplacer avec un trépied sans aide complémentaire dans sa maison, elle-même équipée d'un monde-personne. Elle a surtout un bras handicapé et a toujours besoin d'appui pour faire quelque chose, comme prendre une casserole ou autre chose.

Ce qu'elle regrette le plus, ce sont les vacances en camping. Avec mon frère, ils vont encore tous les deux à l'hôtel équipé pour personnes handicapées, mais ce n'est pas pareil, pour elle. Il est certain que leurs déplacements sont limités.

Elle vient de fêter ses 82 ans.

marie-josé a écrit:

C'est aussi du fait que cela fait longtemps maintenant que l'on n'est plus partis,alors c'est de plus en plus difficile

Peut-être. De toute manière, tu habites tout près de la mer, les touristes viennent à vous...

Parce qu'on n'attends rien de bon d'un ennemi, on n'est pas déçu. Il n'en est pas de même pour une ami.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Il est plus facile de pardonner à un ennemi qu'à un ami."  [William Blake]

Parce qu'on n'attends rien de bon d'un ennemi, on n'est pas déçu. Il n'en est pas de même pour une ami.

Déja je ne me confierais pas à un ennemi, donc pas de confiance, et pas de risque de déception...

Il n'est pas nécessaire de se confier pour être déçu. Certains te piègent, te mettent volontairement des bâtons dans les roues pour t'éviter d'avancer.

Vois un peu les problèmes de voisinage qu'on peut avoir pour des peccadilles. Parfois, il y a de la mauvaise volonté manifeste.

Certes, la plupart des choses sont partagées, mais contre monnaies sonnantes et trébuchantes. Il y a sans doute des travaux conjoints, dans la mesure ou les instituts travaillent dans le même sens et font des analyses et recherches complémentaires, mais quand il faut déposer les brevets...

Morgan Kane a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"La science n'a pas de patrie."  [Louis Pasteur]

Certes, la plupart des choses sont partagées, mais contre monnaies sonnantes et trébuchantes. Il y a sans doute des travaux conjoints, dans la mesure ou les instituts travaillent dans le même sens et font des analyses et recherches complémentaires, mais quand il faut déposer les brevets...

oui, et beaucoup de chercheurs partent à l'étranger car ils ne sont pas bien rémunérés

Manifestement, en prononçant cette phrase, en 1888, Pasteur ne se situait pas sur ce terrain. A cette époque, breveter une loi scientifique était impensable.

Il voulait probablement dire que la science appartient à tous.

La citation complète le confirme :


La science n'a pas de patrie, parce que le savoir est le patrimoine de l'humanité, le flambeau qui éclaire le monde.

Tu as raison dans ce que tu dis, Morgan, et il est primordial que le monde entier profite des avancées de la science, à quelque niveau que ce soit.

En même temps, les temps ont changé et les recherches font (malheureusement) partie du business ! On peut l'accepter, d'une certaine manière, car sans argent, la recherche ne peut pas progresser, mais tout va toujours dans les excès.

De nos jours, avec toutes les sommes qui circulent, peut-on accepter qu'il est des personnes, beaucoup de personnes, qui ne seront pas soignées en raison du coût de nouveaux médicaments, parce qu'ils sont trop chers ? C'est dur à accepter !

Effectivement, il n'est pas possible de jeter le passé à la poubelle. Même en essayant de l'oublier, il risque de nous revenir comme un boomerang. Même si nous souhaitons faire table rase et penser uniquement à l'avenir, de petits choses viennent parfois nous rappeler à l'ordre.

De plus, le passé n'est-il pas généralement la base sur laquelle on bâtit sa vie ?

Qualifier de fou celui qui a à dire quelque chose me paraît extrême.

Faites-vous la différence entre les deux ?

marie-josé a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

 

"Le sage parle parce qu’il a quelque chose à dire, le fou parce qu’il a à dire quelque chose."  [Platon]

Qualifier de fou celui qui a à dire quelque chose me paraît extrême.

Faites-vous la différence entre les deux ?  

Dans le premier cas, la pensée, la réflexion précèdent le discours, dans le second, le discours importe, pas le fond.

Pas tout à fait exact, mais intéressant.

le sage parle par expérience, le fou parle par besoin!
il peut arriver que les paroles dites par un fou soient pleines de sagesse!...pensez y

Le fou est comme un enfant : ce qu'il dit n'est pas réfléchi ni calculé. Alors, évidemment, il dit la vérité crue, sans fioritures. Mais c'est loin d'être toujours bon. Et je ne dirais pas qu'il s'agit de sagesse.

Pensons-y et soignons-la bien.

Il s'agit du peintre bien connu et un artiste est souvent un être sensible. Par conséquent, il a donné de son ressenti dans ses peintures.

En même temps, je crois que nous pouvons tous nous en inspirer. Dans nos agissements, ne tenons-nous pas compte à la fois de notre sensibilité et de ce qui se passe autour de nous ? C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, souvent, chacun réagit différemment.

Comment trouver une compatibilité dans cette citation ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

“La parole est une aile du silence.”  [Pablo Neruda]

Comment trouver une compatibilité dans cette citation ?

peut être que ce que l'on dit tout haut ,cache ce que l'on pense tout bas?

Et si en peu de mots évocateurs, le silence renfermait le complément de ce qui s'est dit ?

Autre possibilité : une phrase peut être lourde de sous-entendus, si bien qu'il n'y a plus rien à dire. On peut également être atterré par une information et en rester sans voix.

C'est vrai. Combien de couples n'ont plus rien en commun, ne partagent plus rien ? Même s'ils demeurent sous le même toit, peut-on dire qu'ils vivent ensemble ? Il en est parfois de même avec les enfants. Ils prennent la maison pour un hôtel restaurant, mais ne communiquent plus. Cherchez l'erreur !

Je crois que c'est plutôt vrai. Certes, c'est agréable pour les autres quand on prend beaucoup d'égards, mais il ne faut pas que ce soit au détriment de sa santé !

Je trouve que certaines personnes ont plus de facilité que d'autres pour solliciter quelque chose. D'autres sont plus gênées.

Où faut-il se situer, de préférence ?

Ne faisons-nous pas beaucoup d'efforts pour cela ? Quand on se donne beaucoup de mal pour faire quelque chose et que c'est loupé, selon l'importance, nous sommes déçus. Celui qui confectionne un gâteau qui s'effondre n'est pas content. Plus les choses nous paraissent importantes, plus nous nous donnons du mal, plus nous aimons qu'elles fonctionnent.

La vie regorge de telles situations et certains sont plus décontractés que d'autres devant l'échec mais, dans l'ensemble, personne n'aime l'échec qui peut être démoralisant.

Oh, ce serait formidable si c'était possible. Vous réussissez cet exploit ?

Vous êtes-vous déjà trouver en situation de devoir subir sans pouvoir intervenir ? Comment le ressentiez-vous ?

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Seule l'action peut donner la paix."    [Robert Charbonneau]

Vous êtes-vous déjà trouver en situation de devoir subir sans pouvoir intervenir ? Comment le ressentiez-vous ?

La paix n'est  pas un état naturel. Il faut la vouloir. Il faut agir pour la mettre en place, la maintenir, la restaurer.

Même si ce que tu dis n'est pas faux (la paix n'est pas un état naturel), c'est tout à fait horrible. Sommes-nous tous des sauvages pour ne pas savoir apprécier la paix ?

Morgan Kane a écrit:

Si on ne fait rien, la guerre s'installe et dure, avec toutes ses horreurs.

Malheureusement, le plus souvent, la paix suppose un vainqueur et un vaincu, l'écrasement d'une partie.

Une fois qu'une bataille est lancée, il en est malheureusement ainsi. Il faut ménager les susceptibilités... et permettre au perdant de quitter les lieux la tête assez haute, même si c'est de la poudre aux yeux !

Morgan Kane a écrit:

C''est après qu'il faut construire la paix, comme en 1945, on a construit l'Europe.

Et tout recommence ailleurs...

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Seule l'action peut donner la paix."    [Robert Charbonneau]

Vous êtes-vous déjà trouvés en situation de devoir subir sans pouvoir intervenir ? Comment le ressentiez-vous ?

Il faut freiner ses pulsions , par exemple dans une bagarre où personne ne bouge... je me souviens il y a des années dans une fête de village , un groupe est rentré en conflit, ça devenait assez important , les gens étaient autour à crier, à soutenir...On est impuissant devant le nombre pour séparer les gens...alors j'ai demandé aux pompiers présents pas loin d'actionner leur camion à eau !

Je pensais également à l'action en interne, avec des personnes que l'on connaît. Parfois, il est bon de les laisser agir, même si elles vont dans le mur, d'autres fois, il est possible d'intervenir sans les contrarier. Autrement dit, il faut parfois savoir faire preuve de diplomatie.

Je sais que pour ce qui me concerne, le fait de devoir subir une situation que je déplore sans pouvoir intervenir me met mal à l'aise. Or, il arrive qu'on n'a pas d'autre choix. Souvent, ça me travaille encore par la suite. Le fait de pouvoir réagir me convient mieux.

[Paul Valéry]

Ce serait cela, la philosophie ?

Avons-nous vraiment besoin de héros ? Peut-être bien ! Cela nous fait rêver, admirer. Cela nous change du mauvais côté dont on nous parle chaque jour.

Etes-vous de mon avis ?

Nelly a écrit:

 "cet éternel besoin de fabriquer des héros."    [Stefan Zweig]

Avons-nous vraiment besoin de héros ? Peut-être bien ! Cela nous fait rêver, admirer. Cela nous change du mauvais côté dont on nous parle chaque jour.

Etes-vous de mon avis ?

Le vrai héros est celui qui, par ses accomplissements, transcende l'ordre normal de l'humain, qui mène, qui instruit, qui combat le chaos, l'injustice.

Il devient héros au terme d'un parcours initiatique, d'épreuves, d'une révélation. Avec l'âge, il peut lui aussi se transformer en tyran.

Il est vrai que nous avons besoin de héros de personnes à admirer, nous n'avons besoin ni de héros de pacotille, fabriqués par les médias, ni de tyrans.

Citation :

Il n’est pas de sauveurs suprêmes,
Ni Dieu, ni César, ni tribun,
Producteurs sauvons-nous nous-mêmes !
Décrétons le salut commun !

Mais un peuple qui, à un moment donné de son histoire, a besoin de son histoire, a besoin de héros, est un peuple qui est en grand péril.



https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_H%C3%A9ros_aux_mille_et_un_visages

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

 "cet éternel besoin de fabriquer des héros."    [Stefan Zweig]

Avons-nous vraiment besoin de héros ? Peut-être bien ! Cela nous fait rêver, admirer. Cela nous change du mauvais côté dont on nous parle chaque jour.

Etes-vous de mon avis ?

Le vrai héros est celui qui, par ses accomplissements, transcende l'ordre normal de l'humain, qui mène, qui instruit, qui combat le chaos, l'injustice.

Il devient héros au terme d'un parcours initiatique, d'épreuves, d'une révélation. Avec l'âge, il peut lui aussi se transformer en tyran.

Je ne sais pas si nous parlons du même héros, du moins celui que je m'imagine. Oui, certes, nous fréquentons peut-être des héros qui s'ignorent, qui accomplissent leur travail que nous imaginons normal, dont nous ne voyons pas l'ampleur. Je pense à certaines mamans (parfois des papas) qui s'investissent à fond, seules devant l'épreuve, pour que leurs enfants connaissent le meilleur, se sacrifiant si nécessaire. Comment les considérer ?

D'autres donnent le meilleur d'eux-mêmes parce qu'ils sont faits ainsi. Ils se trouvent "normaux" et n'ont pas l'impression de faire quelque chose de spécial.

Deviennent-ils des tyrans ? Peut-être pour leurs proches, qui sait ? Je l'ignore.

Morgan Kane a écrit:

Il est vrai que nous avons besoin de héros de personnes à admirer, nous n'avons besoin ni de héros de pacotille, fabriqués par les médias, ni de tyrans.

Il peut arriver que nous admirions quelqu'un parce que son attitude nous paraît héroïque. Je ne parle pas de personnes qui sont fans de stars qui sont tout sauf des héros, mais il en est qui les encensent.

Certains ont des gestes simples de la vie courante. Je crois que cette image de l'humanité de l'entraide, de la générosité, nous fait parfois du bien.

Il m'arrive de me réjouir d'une bonne nouvelle médiatique, tout simplement qu'à force d'entendre de mauvaises nouvelles, on a l'impression que le monde entier est ainsi fait. Alors, une banalité peut faire plaisir, ne fut-ce qu'un instant. C'est bon pour le moral, même s'il ne s'agit pas d'actes héroïques.

Hum ! Il y a du vrai.

Je crois que nous ne sommes pas dans la sagesse, dans cette citation, plutôt dans la réalité.

Tant physiquement que moralement. C'est vrai que cela paraît contradictoire.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Chaque génération se moque des vieilles modes, mais suit religieusement les nouvelles."   [Thoreau]  

Tant physiquement que moralement. C'est vrai que cela paraît contradictoire.

au fil des années, on remarque que les nouvelles générations n'ont plus de style propre mais une copie de l'autre..dans l'habillement surtout. On suit la façon des artistes, tant pis si le jean déchiré fait crade, si on superpose les pulls plus ou moins défraichis...

Il faut bien que jeunesse se passe...   Quant au plus anciens qui s'habillent de la même manière, c'est pour paraître plus jeune, non ? Quittes à paraître ridicules, mais le ridicule ne tue pas !  

anémone a écrit:

Ce qui est plus grave c'est d'inciter les jeunes ados à ressembler à des mannequins rachitiques et de mettre leur santé en danger...Serais - je vieux jeu ?

Là, ça devient dramatique, mais personne n'incite les jeunes à devenir aussi maigres. Certes, il y a les médias et les mannequins, mais ces dernières sont souvent elles-mêmes victimes de leur métier et des couturiers (je mets les mannequins au féminin car je ne me souviens pas s'il en est de même pour les jeunes gens). De plus, elles ne sont même pas jolies, avec la peau sur les os !

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

“Il est impossible d'avoir quelque chose pour rien. Le bonheur, il faut le payer.”  [Aldous Huxley]  

pas d'accord, il y en a qui sont tombés dedans sans le moindre effort

Je suis d'accord avec ton "pas d'accord". En même temps, je ne crois pas qu'on tombe forcément dedans sans le moindre effort. En effet, ceux dont la vie est facilitée parce qu'ils sont nés "sous une bonne étoile" ne sont pas toujours les plus heureux. L'humain est ainsi fait : plus il en a, plus il en veut.

Je crois que le plus heureux est celui qui a dû lutter pour obtenir certaine choses. Ce qu'on a pour rien ne vaut pas grand chose, la plupart du temps.

Il est aussi des gens qui savent apprécier le peu qu'ils ont et sont heureux ainsi.

Ce qui me gêne, dans la citation, est qu'il faille être redevable du bonheur que l'on ressent, au risque de le perdre. Or, la vie n'est pas un long parcours tranquille. Il faut se battre pour le conserver, jour après jour, mais pas payer ensuite par le malheur.

Et pourtant... on remarque vite celui qui écoute réellement, à condition de lui parler en cercle très restreint. Pourquoi, d'ailleurs, s'adresse-t-on généralement toujours aux mêmes personnes quand on a quelque chose sur le cœur ? Ce n'est pas un hasard !

Nelly a écrit:

“On peut voir celui qui regarde, mais on ne peut pas entendre celui qui écoute.”  [Marcel Duchamp]  

Et pourtant... on remarque vite celui qui écoute réellement, à condition de lui parler en cercle très restreint. Pourquoi, d'ailleurs, s'adresse-t-on généralement toujours aux mêmes personnes quand on a quelque chose sur le cœur ? Ce n'est pas un hasard !

Un truc est enseigné aux personnes qui sont amenées à intervenir devant un auditoire pas trop nombreux : choisir un interlocuteur privilégié et surveiller ses réactions, pour voir la manière dont il perçoit le discours.

Il faut bien " entendre" ses réactions ....

Ce truc est à utiliser avec discrétion : j'ai été choisi une fois et je peux vous dire que c'est moyennement agréable.