Ce qui me choque est le ton de l'article qui s'annonce dès le titre.
il aurait pu avoir un intérêt sociologique mais il est corrompu par ce curieux cheminement de pensée de l'enfant gâté qui cherche
"absolument" les victimes de la liberté et qui trouve matière à lamentations.
Ça prête presqu'à rire
ce coupage de cheveu en 4.
Mon dieu! On s'amuse moins dans les pensionnats?
Pauvres de nous, pauvres femmes, pauvres homos,pauvres hétéros, pauvres prostituées, pauvre être humain qui a le choix, tous victimes .....etc...etc... Tout perdus à chercher leurs bourreaux. Tout ça à cause de la pilule! Qui l'eût cru?
Comment dire? J'ai parfois l'impression que certains sont sur une autre planète!
Bon...il faut bien remplir libé quotidiennement quitte à enfoncer les portes ouvertes des salons parisiens qui n'intéressent qu'eux-mêmes, il me semble.