Il était une fois ... écrivez une histoire merveilleuse (débat)

Vous en avez tous rêvé, faites-le. Faites partie d'un rêve et écrivons ensemble une histoire merveilleuse dont nous serons les héros.

Cette idée m'est venue dans une discussion avec Lisa. Nous allons retomber en enfance et découvrir le monde extraordinaire de Lisa et de ses nombreuses clés. L'une d'elles est magique et lorsque l'on trouve "la porte" et que l'on actionne la clé dans la serrure, la porte s'ouvre sur le monde des secrets.

Petite Lisa était assise sur le tapis du salon. Alan entendait des cliquetis métalliques. Il s'approcha et découvrit Lisa en train de fourrager dans un tas de clés.

Il y en avait de très petites et des très grandes. Certaines étaient ternes, et d'autres brillaient comme de l'or. Lisa les soupesait avec beaucoup de rigueur. On pouvait voir sur son visage les marques de la concentration qui habillent ceux qui savent.

Alan voulu prendre une des clés, mais Lisa lui donna une tape sur la main avec la clé qu'elle examinait. Alan retira vite sa main et sa lèvre inférieure prit un air boudeur tandis que de petites larmes pointaient aux coins de ses yeux. "Tu ne sais pas. Moi je sais" lui lança Lisa en fronçant les sourcils. Alan se le tint pour dit. Il s'assit dans un coin et regarda avec méfiance Lisa se livrer à sa mystérieuse besogne.

Lulu releva la tête et observa la scène un instant comme pour juger si son intervention était nécessaire. Un regard lui suffit pour se rassurer et il laissa retomber la tête en poussant un groumpf de soulagement. Il retourna à ses rêves de chien, le dos chauffé par le grand poêle qui ronronnait sa chaleur.

Stip était face au miroir et s'appliquait à apprendre les règles du maquillage en redessinant ses sourcils avec du rouge à lèvres. Elle avait l'air satisfaite des grands artistes admirant l'œuvre ultime.

... à quelqu'un d'autre d'écrire la suite. Faites durer l'histoire, bien entendu

L'histoire doit se lire d'un seul trait et ne peut supporter d'être coupée par des commentaires.

Vous pouvez faire vos commentaires ici.

Chacun peut participer à l'histoire, bien entendu. Il suffit de vous laisser envahir par vos rêves d'enfants. Aucun de vous n'a plus de 6 ans et nous faisons tous partie de la "bande du rêve", Lulu aussi. Il nous protégera dans nos aventures et nous nourrira en fouillant les meilleures poubelles

Accrochez-vous, c'est parti !

Pour commencer, nous devons découvrir la clé et la porte.

Et quoi ? Écrire une belle histoire ne vous stimule pas ? Avez-vous perdu votre âme d'enfant ?

Peut-être ne vous servez-vous pas du portail pour visualiser les derniers posts écrit.

L'histoire, c'est par là. Ici, c'est pour en discuter.

Mouarf Charlestone, c'est un conte pour enfant. Tu es en train de le transformer en conte érotique. Je ne sais pas ce que Renal va penser de ça ?

Tu t'étais rendu compte que les personnages étaient des enfants ?

Le chien c'est Lulu, pas moi (mort de rire).

Alan Shore a écrit:

Mouarf Charlestone, c'est un conte pour enfant. Tu es en train de le transformer en conte érotique. Je ne sais pas ce que Renal va penser de ça ?

Tu t'étais rendu compte que les personnages étaient des enfants ?

Le chien c'est Lulu, pas moi (mort de rire).

Hé bein! Je pensais que c'était des personnages du forum! Stip c'est qui? Alan? et lulu je l'ai pris pour toi exactement !!!!
Et l'histoire vous l'avez effacée?

Alan Shore a écrit:

Chacun peut participer à l'histoire, bien entendu. Il suffit de vous laisser envahir par vos rêves d'enfants. Aucun de vous n'a plus de 6 ans et nous faisons tous partie de la "bande du rêve", Lulu aussi. Il nous protégera dans nos aventures et nous nourrira en fouillant les meilleures poubelles
Accrochez-vous, c'est parti !
Pour commencer, nous devons découvrir la clé et la porte.

Hooo j'ai pas lu cet avertissement, et c'est pour ca que j'ai pris les personnages tels qu'ils sont ! Alors vous pouvez effacer mon récit. Il ne colle pas avec ce que je viens de lire......

Charleston a écrit:

Hooo j'ai pas lu cet avertissement, et c'est pour ca que j'ai pris les personnages tels qu'ils sont ! Alors vous pouvez effacer mon récit. Il ne colle pas avec ce que je viens de lire......

Trop tard ! Maintenant que tu as si bien commencé, tu continues en intégrant ce que tu sais maintenant...en deux ou trois pages, tu vas sûrement y arriver....ou quelqu'un d'autre.

J'attends de voir ça.

Alan Shore a écrit:

Le chien c'est Lulu, pas moi (mort de rire).

En relisant le texte avec l'indication que Lulu était un chien alors j'ai vraiment éclaté de rire....Surtout que j'ai était trés loin dans mon ignorance en disant ceci:

" Alan ne pouvant se détacher de ses rêves de chien, n'avait rien remarqué de cette silhouette à faire rêver le bonheur...."

De toute façon, cela arrive des choses comme ca, mais un quiproquo de ce genre !?
Toutes mes excuses Alan!

Tu as effacé ton post, tu aurais dû le recollé ici. Dans 10.000 ans, de futurs lecteurs seraient venu se poiler ici

Si tu l'as encore, colle-le ici après. Tu peux aussi le remanier pour créer le début d'une autre histoire dans un autre sujet. Mais colle bien l'original ici qu'on puisse encore se marrer.

Je vais demander à l'admin, si il ne peut pas le récupérer.

...

Merde, c'est fichu. Pas de récupération possible.

Petite Lisa était assise sur le tapis du salon. Alan entendait des cliquetis métalliques. Il s'approcha et découvrit Lisa en train de fourrager dans un tas de clés.
Il y en avait de très petites et des très grandes. Certaines étaient ternes, et d'autres brillaient comme de l'or. Lisa les soupesait avec beaucoup de rigueur. On pouvait voir sur son visage les marques de la concentration qui habillent ceux qui savent.
Alan voulu prendre une des clés, mais Lisa lui donna une tape sur la main avec la clé qu'elle examinait. Alan retira vite sa main et sa lèvre inférieure prit un air boudeur tandis que de petites larmes pointaient aux coins de ses yeux. "Tu ne sais pas. Moi je sais" lui lança Lisa en fronçant les sourcils. Alan se le tint pour dit. Il s'assit dans un coin et regarda avec méfiance Lisa se livrer à sa mystérieuse besogne.
Lulu releva la tête et observa la scène un instant comme pour juger si son intervention était nécessaire. Un regard lui suffit pour se rassurer et il laissa retomber la tête en poussant un groumpf de soulagement. Il retourna à ses rêves de chien, le dos chauffé par le grand poêle qui ronronnait sa chaleur.
Stip était face au miroir et s'appliquait à apprendre les règles du maquillage en redessinant ses sourcils avec du rouge à lèvres. Elle avait l'air satisfaite des grands artistes admirant l'œuvre ultime.

Stip, comme un automate expert, se pomponnait mais pensive. Rénal et elle étaient invitées...
Au même moment, Rénal sortit du bain. S'épongea minutieusement avec un large drap de bain puis s'enduit le corps de cette crème qui rend sa peau si douce. En caressant son corps en entier, elle pensait à Lui. Lui qui sait tant l'émouvoir, la faire frissonner. Lui qu'elle a toujours si hâte de revoir. Elle pense à Lui. Elle sent l'odeur de son excitation se mêler subtilement à celle de la crème qu'elle étend avec de plus en plus d'entrain sur ses fesses, ses cuisses, ses seins. Ses pensées vagabondent mais bientôt le temps la ramène à l'ordre. Il ne lui reste que 15 minutes pour finir de se préparer et se rendre au rendez-vous. Surtout il ne faut pas être en retard !
Alan ne pouvant se détacher de ses rêves de chien, n'avait rien remarqué de cette silhouette à faire rêver le bonheur....
Elle se rend à sa chambre. Prends sur le lit la courte jupe noire qu'elle y a posé plus tôt lorsqu'elle a choisi ses vêtements selon les ordres reçus. Elle enfile la jupe. Puis les sandales. Elle aime se regarder ainsi dans le miroir. Cela lui donne un air provoquant. Les talons des sandales donnent un galbe intéressant à ses mollets et font ressortir ses fesses. Elle sourit à son reflet puis enfile la blouse dont elle laisse volontairement le bouton du haut défait. Elle attrape ses clés et son sac à main, appelle Stip qui avait finit de se maquiller puis sortent de l'appartement pour un rendez vous. Elles étaient très excitées. Stip frissonnait légèrement d'appréhension et d'excitation face à cette soirée dont elle ne sait rien. Rénal était l'instigatrice de ce rendez vous…….

- Faudrait savoir c'est le club des 5 ou histoire d'ô ? Bon et moi qui me ballade avec du rouge à lèvre sur les sourcils, ce pourrait s'appeler aussi : " 2040 la maison de retraite en vadrouille!"

Charlestone a écrit :

Citation :

Rénal était l'instigatrice de ce rendez vous…….

Tu sais Charly, disons que je ne pense pas que je puisse organiser un rendez-vous comme ça !!! enfin Bonne continuation quand même !!!!!!!!!!!!!

renal

Vous vous plaignez ? Et moi alors ? Condamné à perdre mes poils partout, à quémander des caresses, et surtout à fermer ma gueule ou du moins à ne pouvoir sortir que des aboiements.

Je vais lui mordre les mollets à Charleston. Pour le coup, il pourra le danser son pseudo.

Citation :

Pour commencer, nous devons découvrir la clé et la porte.

Lorsque j'étais un petit enfant, mes parents m'avaient placé chez ma vieille marraine qui avait besoin de compagnie. J'ai grandi jusqu'à 6 ans dans un univers de vieux.

Je la regardais s'endormir le soir dans son fauteuil à bascule, et j'attendais que sa bouche s'ouvre afin de voir cet incompréhensible dentier se détacher de son palais et sortir à moitié de sa bouche. Moi, j'avais beau essayer, je n'y arrivais pas. Ils sont fortiches, les vieux

Cette maison que je voyais énorme, regorgeait d'endroits merveilleux dont les fenêtres étaient closes par des volets. Ce qui les faisaient sombrer dans un noir absolu qui les faisait ressembler à la fois à des mausolées, et à la fois à des cavernes d'Ali Baba.

Il y avait ce salon qui était pleins de bibelots, souvenirs de voyage. J'étais fasciné par cette gondole qui tournait sur son support en faisant de la musique pour, en apothéose, s'ouvrir en offrant un bouquet de cigarettes. C'était plein d'objets comme ça. Je ne pouvais pas y entrer, et si j'y entrais, je ne pouvais toucher à rien.

Il y avait ce grenier, au dessus de ma chambre. La nuit, déjà terrorisé par l'image d'un visage de Christ mort illuminé par une lampe dansante, j'écoutais ces bruits bizarres qui en provenaient. Cela augmentait encore ma peur d'un cran. Dans un coin de ce grenier, dans lequel il m'était bien aussi interdit d'aller, il y avait un grand coffre pleins de jouets qui devaient avoir appartenu à un enfant mort que je n'ai pas connu.

Et puis, il y avait le jardin, avec énormément de fleurs, quasiment une forêt de végétaux de toutes les couleurs. Dans le jardin, il y avait ce énorme puits traversé par un petit pont, et dont l'eau saumâtre recouverte de petites algues semblait promettre à l'imprudent qui y tomberait de sombrer dans des profondeurs infâmes. Dans le jardin, il y avait un pigeonnier sans pigeon qui ressemblait à un château-fort avec quatre tours. Il était construit de brique peintes alternativement en rouge et en blanc. Les portes étaient fermées, bien entendu.

Et puis, il y avait la "baquèsse". C'était au bout d'une allée du jardin recouverte par les végétaux, comme un tunnel. C'était une maison d'apparence ordinaire, si ce n'est un petit plan d'eau, lui, tout à fait particulier qui était le royaume des grenouilles. Devant, il y avait une cour où j'aimais bien me laisser chauffer les os au soleil.

La "baquèsse" était fermée (ça vous étonne ?). À l'intérieur, il y avait toutes les sortes d'animaux empaillés que personne ne venait jamais voir. Ils vous regardaient de leurs yeux figés. Je m'attendais toujours à ce que cet endroit figé dans le temps, se remette à vivre, et j'imaginais des plans de retraite pour le cas où cela se produirait.

Je pourrais vous parler pendant des heures, voire des éternités, de cet endroit à la fois fascinant par ses merveilles et ces dangers. J'étais Indiana Jones à la recherche des clés et des portes.

Voilà, l'aventure à laquelle je vous invite. J'ai donné le beau rôle à Lisa, notre grande sœur, et je suis peiné qu'elle n'en veuille pas. Ceci dit, dans cette aventure, tous les rôles sont complémentaires.

Laissez vous sombrer dans vos rêves d'enfant, et qui dit rêves dit également cauchemar. Saurons-nous déjouer les pièges qui nous attendent ? Heureusement, il y a Lulu. Il adore pisser dans les endroits les plus incongrus pour augmenter son territoire. Ne vous mettez pas entre lui et sa cible

Les enfants adorent les histoires qui font peur, à condition que la fin soit heureuse.