Mers et Océans

- TSUNAMIS -

- En général d’origine tectonique (la tectonique des plaques fera l’objet d’une rubrique plus tard) , de tremblements de terre sous-marins.

- Vitesse entre 500 et 700 k/h mais peut excéder 800 km/h
- Ils peuvent se propager sur une distance de plusieurs milliers de kms.
- Avant le déferlement, la mer se retire très loin.

- Un glissement de terrain, une explosion volcanique, produisent en général des longueurs d’ondes plus courtes se dispersant rapidement.

- Ce n’est pas forcément la hauteur du tsunami qui fait sa force destructrice, mais la durée de l’élévation du niveau de l’eau et la quantité d’eau déplacée à son passage.

- Le raz-de-marée, qui n’a rien à voir avec la marée, est moins important que le tsunami.

Quelques dates :
- 1500 – Ile de Santorin
Secousse sismique annonçant le réveil du volcan

1765 – le 01/11 – Tremblement de terre à Lisbonne –
3 secousses d’une extraordinaire violence
Plusieurs tsunamis – nombreux incendies – 60 000 morts…

1970 – le 12/11 – Bengladesh –
cyclone suivi d’un raz de marée – 400 000 victimes…

2004 – le 26/12 – Océan Indien, - Au large de Sumatra
Tremblement de terre – amplitude 9 sur l’échelle de Richter
Quelques heures plus tard déferlantes sur l’Indonésie – Thaïlande –
Sri Lanka – Inde – Malaisie – 280 000 victimes…

VAGUES SCELERATES –

- La vaque normale (VN) monte en pente relativement douce permettant aux navires de passer dessus.

- Les vagues scélérates (V.S) sont décrites comme un mur d’eau d’environ 30 m de haut.

- Une VN de 3 m de haut exerce une pression de 6 T/m2

- Une vague de tempête de 10 m de haut exerce une pression de 12 T/m2

- Une VS de 30 m de haut peut aller à 100 T/m2

- Aucun navire n’est conçu pour résister à une telle pression.

- Les VS sont généralement présentes dans une mer assez forte. Elles « aspirent » d’autres vagues.. On a pu détecter 3 VS de 30 m de haut, l’une après l’autre, dans le Pacifique sud.

- Jusqu’en 1990 on les croyait physiquement impossibles. Racontars de marins !!!

La mer morte surprend toujours les vacanciers,qui ont du mal à nager sous l'eau,puisque son taux de salinité est de 25 à 30 % alors que celui des océans varie entre 4 à 6 %.
Plonger dans le grand lac salé de l'Utah(etas-Unis) relève également de l'exploit,car ses eaux contiennent tout autant de sel.

Ces deux lacs salés ont une histoire très différente.
il y a vingt six millions d'années,la méditerranée recouvrait la terre sainte lorsqu'un soulèvement des fonds marins creusa la spectaculaire tranchée de la mer morte et du Jourdain.
á400 m au-dessous du niveau de la méditerranée,c'est la nappe d'eau la plus basse de notre planète.

Le grd lac salé est d'origine plus récente,puisqu'il est le vestige du lac glaciaire de Bonne-ville dont l'apparition remonte a une vingtaine de milliers d'années.
Á cause de l'évaporation des eaux,le lac a rétréci ai vingtième de la surface d'origine.
comme la mer morte,le grd lac salé n'à pas de débouché,mais des rivières l'alimentent,charriant minéraux provenant des roches environnantes qui, après évaporation de l'eau, représentent 60 millions de tonnes de magnésium,de lithium,de bore et de potasse.
Les lacs salés nous semblent dénués de vie parce que les poissons les ont désertés,pourtant la mer morte n'est pas totalement morte: certains variétés d'algues et de bactéries se sont adaptées à cet environnement saturé de sel.
Le grd lac salé compte aussi des organismes unicellulaires: des algues colore de rose le nord du lac,qui abrite également des formes de vie plus élaborées-artémias et mouches dont les larves se développent dans l'eau.
Les mouettes se nourrissent d'artémias,et les oeufs de ces crustacés sont vendus comme aliment pour poisson.
Il s'agit là d'un commerce minuscule comparé à celui des richesse minérales du grd lac salé,notamment la potasse,utilisé comme engrais.
Sur les rives de la mer morte,tout aussi riche en potasse,les touristes peuvent s'enduire de boue noirâtre dans les stations ouverte par les Israëliens.

SAviez-vous que le sel contenu dans les océans suffirait à recouvrir les continents d'une couche de 150M d'épaisseur!

Avez vous entendu parler de la crise saline dite Messinienne de la Mediterranée ?

http://www.mnhn.fr/mnhn/geo/messinien.html

La Méditerranée a été plusieurs fois asséchée.

Il y a des coquillages incrustés dans les roches des Pyrénées, preuve que la mer a été présente.

En Algérie on a découvert un site important de dinosaures, la région était verdoyante !

Dito au Groenland, il y a eu de la verdure ! Des grands lacs, des mers, ont existé en Amérique du Nord et ailleurs. Des traces dans les sols, les roches, attestent d'un environnement bien différent.

Et "demain" ce sera à nouveau un autre climat, même sans l'homme !

Les Tepuys dont j'ai parlé, sont des vestiges du Gondwana où la flore et la faune sont en majorité primitives.

Bolivie : sous le désert de sel, le lithium des voitures électriques

les batteries des nouvelles générations de voitures électriques sont conçues à partir de lithium. Un métal mou que l’on trouve principalement en Bolivie, et plus précisément dans le désert de sel du Sud du pays.

Le Salar d'Uyuni est un désert de sel de 12 000 km2 situé à 3 700 m sur l'altiplano des Andes. Si jusqu’à maintenant cette étendue blanche était un site touristique incontournable de la Bolivie, elle devient un objet de convoitises minières internationales.

Le lithium, l’or gris de la Bolivie, représente aujourd’hui l’avenir. Les sous-sols de ce pays Sud-Américain en regorgent. On estime que plus d’un tiers des réserves mondiales de lithium, soit plus de 5 millions de tonnes s’y trouvent. Des réservent qui attisent l’intérêt de grands groupes comme Bolloré, Mitsubishi et Sumitomo. Ces entreprises ont déjà fait des propositions pour exploiter les gisements boliviens.

L’année prochaine, la Bolivie disposera d’une « usine pilote opérationnelle pour la production du carbonate de lithium, la matière première si l'on veut », a expliqué le directeur du ministère des Mines Freddy Beltran. Le gouvernement d’Evo Morales envisage également un partenariat avec une société étrangère pour la phase post-industrielle.

Les populations locales et les tours-opérateurs sont quant à eux encore sceptiques vis-à-vis du lithium. « Ce sera productif, mais on va aussi voir des exploitations agricoles polluées. Et le désert va être truffé de mines de lithium », s’inquiète un guide bolivien.


quelques photos

Le rayon vert me fait penser à un autre phénomène ::

J'étais au Maroc, sur la route de la corniche allant à Safi. Tout à coup

le marocain qui était avec nous, nous montre du doigt, à 200m env du

rivage, une tache brune, très longue qui ondule à la surface de l'eau.

Un véritable serpent de mer qui longe la côte ! C'était fascinant...

En réalité, c'était un banc de sardines, assez compact, qui navigait

tranquillement. D'après le marocain il y avait peut-être plus de 5 m

d'épaisseur, autant de largeur et 50 à 100 m de long.

Si ce banc a rencontré un chalutier...

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J'ajoute qu'il était fréquent de voir, au large, des cachalots. Un contre

courant du Gulf stream, descendant du nord et donc très froid,

permettant aux cétacés de longer les côtes marocaines.

S'il fait chaud dehors, l'eau est toujours fraîche.

Juste pour le fun: quelle est la mer qui n'est entourree d'aucune terre ?

Lou Landés a écrit:

Juste pour le fun: quelle est la mer qui n'est entourree d'aucune terre ?

les mers lunaires

Et non, c'est la mer des Sargasses, en plein milieu de l'Atlantique...

Lou Landés a écrit:

Et non, c'est la mer des Sargasses, en plein milieu de l'Atlantique...

Et c'est quoi l'explication pour donner un nom particulier à une étendue d'eau incluse dans une autre étendue d'eau

Lou Landés a écrit:

Et non, c'est la mer des Sargasses, en plein milieu de l'Atlantique...

Tiens je ne connaissais que de nom ,sans savoir

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mer_des_Sargasses

Lou Landés a écrit:

Et non, c'est la mer des Sargasses, en plein milieu de l'Atlantique...

il est fortiche celui qui à pu repérer cela ,de l'eau dans de l'eau???une histoire d'Ô quoi