Citations en vrac...

Victor Hugo semble du même avis dans cette citation :
«J'aime mieux tout de quelque chose que quelque chose de tout.»

C'est idiot mais il me semble que pour la bonne marche des choses, il faut les deux (des "spécialistes" qui poussent dans une voie au maximum et des...."généralistes?"
Esprits plutôt synthétiques ou plutôt analytiques sont complémentaires et ça tombe bien!

stip a écrit:

C'est idiot mais il me semble que pour la bonne marche des choses, il faut les deux (des "spécialistes" qui poussent dans une voie au maximum et des...."généralistes?"

Vu du côté médical, sans doute mais je reproche un peu aux spécialistes de se cantonner dans "leur" spécialité et de ne pas penser à envoyer consulter un autre spécialiste.

stip a écrit:

Esprits plutôt synthétiques ou plutôt analytiques sont complémentaires et ça tombe bien!

Certes, mais qu'en est-il de notre cas personnel ? Est-il bon de toucher à tout ou préférable de se spécialiser, quittes à laisser tomber certains domaines : faut-il privilégier le mari aux enfants ou inversement, le travail à la vie privée ou le contraire ou est-il préférable d'essayer d'harmoniser le tout sans "spécialisation" ? Il paraît logique de tout faire mais est-ce possible ? Nos pôles d'intérêts sont également à considérer.

Nelly a écrit:

Certes, mais qu'en est-il de notre cas personnel ? Est-il bon de toucher à tout ou préférable de se spécialiser, quittes à laisser tomber certains domaines : faut-il privilégier le mari aux enfants ou inversement, le travail à la vie privée ou le contraire ou est-il préférable d'essayer d'harmoniser le tout sans "spécialisation" ? Il paraît logique de tout faire mais est-ce possible ? Nos pôles d'intérêts sont également à considérer.

Oui, Nelly! Souvent je pense: "Bienheureux déjà, celui qui sait ce dont, égoïstement, il a besoin pour s'épanouir, les priorités sur lesquelles il ne peut "transiger" tant il y a confusion pour la plupart d'entre nous, entre rêve et réalité, entre sens du devoir( l'image que nous voulons renvoyer héritée des pressions sociales multiples) et nos aspirations profondes."
Tout est question de dosage dans le soin que nous portons, le temps que nous consacrons aux différents points nécessaires à notre bonne humeur à défaut du bonheur béat, nirvana que peu de gens connaissent au quotidien de façon durable.
Cela me fait songer à la fameuse histoire du "bocal" à remplir racontée par Renal.
Et pourquoi être heureux, me direz-vous, c'est parce que celà rend nos présences désirables pour ceux qu'on aime.
En tant qu'êtres sociaux nous sommes contagieux pour nos proches.

Donc chapeau à ceux qui savent "cultiver leur jardin" car pour la plupart d'entre nous, il faut déjà le défricher et plus notre liberté possible est grande (le jardin) plus il y aura de travail, de choix de cultures .
Ceux qui se spécialisent dans une voix auront un meilleur rendement mais le risque dans ces travées régulières y est l'ennui, au moins pour les autres.
Le jardin des "touche à tout" plus foisonnant, court le risque de rester un jardin d'amateur aux récoltes et à la tenue incertaines toujours en proie à la friche.

Et que pensez-vous de celle-ci ?

Nelly a écrit:

Et que pensez-vous de celle-ci ?

Toute supériorité est un exil. [Madame de Girardin]

Que je la trouve exacte!
Quels que soient les fondements de la supériorité éprouvée.
Pourquoi cette citation t'interpelle-t-elle ?

stip a écrit:

Nelly a écrit:

Certes, mais qu'en est-il de notre cas personnel ? Est-il bon de toucher à tout ou préférable de se spécialiser, quittes à laisser tomber certains domaines : faut-il privilégier le mari aux enfants ou inversement, le travail à la vie privée ou le contraire ou est-il préférable d'essayer d'harmoniser le tout sans "spécialisation" ? Il paraît logique de tout faire mais est-ce possible ? Nos pôles d'intérêts sont également à considérer.

Oui, Nelly! Souvent je pense: "Bienheureux déjà, celui qui sait ce dont, égoïstement, il a besoin pour s'épanouir, les priorités sur lesquelles il ne peut "transiger" tant il y a confusion pour la plupart d'entre nous, entre rêve et réalité, entre sens du devoir( l'image que nous voulons renvoyer héritée des pressions sociales multiples) et nos aspirations profondes."
Tout est question de dosage dans le soin que nous portons, le temps que nous consacrons aux différents points nécessaires à notre bonne humeur à défaut du bonheur béat, nirvana que peu de gens connaissent au quotidien de façon durable.

Oui, il y a nos aspirations profondes que je comparerais à la spécialisation dont nous parlions. Pourquoi ne pas se "spécialiser" dans ce que nous adorons faire tout en faisant la part des choses ? Comme tu le dis si bien, tout est une question de dosage. L'important est de ne pas se "spécialiser" au détriment de la "généralisation".

stip a écrit:

Et pourquoi être heureux, me direz-vous, c'est parce que celà rend nos présences désirables pour ceux qu'on aime.

Evident, ce qui ne gâche rien pour soi-même !

stip a écrit:

En tant qu'êtres sociaux nous sommes contagieux pour nos proches.

Effectivement, notre épanouissement personnel passe par l'accomplissement de choses que nous aimons. Nous sommes ainsi très disponibles pour certaines "corvées". Ce peut être comparé au cas des parents qui travaillent. Certains culpabilisent de devoir abandonner leurs enfants à une nounou. Certes, c'est frustrant pour une maman, surtout si elle travaille par obligation mais parfois, le travail extérieur peut être gratifiant et la qualité des relations des enfants peut compenser la quantité. L'équilibre peut être trouvé si l'enfant est chez une nounou de qualité et si ses parents lui consacrent du temps libre. Une maman acariatre parce qu'elle doit rester cloîtrée chez elle sera moins épanouissante pour l'enfant qu'une maman totalement épanouie et aux petits soins quand elle est disponible.

Nelly a écrit:

Certes, c'est frustrant pour une maman, surtout si elle travaille par obligation mais parfois, le travail extérieur peut être gratifiant et la qualité des relations des enfants peut compenser la quantité. L'équilibre peut être trouvé si l'enfant est chez une nounou de qualité et si ses parents lui consacrent du temps libre. Une maman acariatre parce qu'elle doit rester cloîtrée chez elle sera moins épanouissante pour l'enfant qu'une maman totalement épanouie et aux petits soins quand elle est disponible.

"à tout choix, il y a un renoncement" c'est difficile mais c'est l'exercice de la liberté. C'est déjà bien d'avoir le choix même si ça ne supprime aucune des pillules amères à avaler dans tous les cas.

stip a écrit:

Nelly a écrit:

Et que pensez-vous de celle-ci ?

Toute supériorité est un exil. [Madame de Girardin]

Que je la trouve exacte!
Quels que soient les fondements de la supériorité éprouvée.

Certaines personnes s'imaginent supérieures à d'autres et le font sentir. Elles sont les premières étonnées de ne pas être appréciées ensuite alors qu'il est tellement plus simple de respecter chacun pour ce qu'il est car tout le monde a un côté "supérieur" dans un répertoire quelconque. Le tout est de donner à chacun le loisir de s'exprimer et on découvre des trésors cachés. C'est une qualité que beaucoup ne cultivent pas en raison de leur soi-disante supériorité !

stip a écrit:

Pourquoi cette citation t'interpelle-t-elle ?

Tout simplement parce qu'il existe bon nombre de personnes qui tendent à la supériorité, s'imaginant que celle-ci apportera la concrétisation de leurs rêves et qu'elles se sentiront mieux dans le peau, parfois à "commander" quelques autres...

J'ai en tête l'exemple de quelqu'un qui, depuis des années, voulait "être calife à la place du calife". Il s'imaginait obtenir le respect, la reconnaissance qu'il estimait ne pas avoir. Or, aujourd'hui, c'est chose faite et il se retrouve avec tous les ennuis qui gérait le précédent "calife", ce qui engendre des nuits blanches pour le nouveau c. et la reconnaissance ne suit pas parce qu'imbu de sa personne, il n'a jamais compris que son attitude personnelle engendrait ou non le respect d'autrui et non le titre attribué.

Nelly a écrit:

il est tellement plus simple de respecter chacun pour ce qu'il est car tout le monde a un côté "supérieur" dans un répertoire quelconque. Le tout est de donner à chacun le loisir de s'exprimer et on découvre des trésors cachés. .

Entièrement d'accord avec toi, quand on se penche un peu sur les gens, il est remarquable de voir combien les aptitudes sont bien réparties, ne serait-ce qu'être doué pour la vie (ce qui fait terriblement défaut aux surdoués par exemple, ils doivent donner une énergie folle pour apprendre tout ce qui est relationnel.)

"Ne t'occupe ni des fautes,
Ni des errements des autres,
Ni de ce qu'ils ont commis ou omis de faire.
Regarde ton propre coeur
Observe ce que tu as toi-même commis ou omis."

Bouddha

Bouddha dit des choses juste et bien !!!

Dans tous les cas, l'espérance mène plus loin que la crainte!
ERNST JÜRGER

Nelly a écrit:

Toute supériorité est un exil. [Madame de Girardin]

Je crois surtout que celui qui se sent supérieur à d'autres s'écarte de ceux-ci et se retrouve seul sur son piédestal. Peut-on être ami avec quelqu'un dont on se sent supérieur ? Peut-on l'être avec quelqu'un qui vous considère comme inférieur à lui-même ? Il s'agit effectivement d'un exil.

De plus, combien seul se retrouve celui ou celle qui a la responsabilité de prendre une décision importante. Si les conséquences sont bénéfiques, on l'encensera, mais si c'est le contraire...

Je me souviens qu'il m'a été rapporté un jour que, lorsque la peine capitale était encore en vigueur, celui qui était exécuté par tir au fusil ne recevait qu'une seule balle. En fait un certain nombre de militaires avaient un fusil, mais tous étaient chargés à blanc, sauf un seul. Il s'agissait de tireurs d'élite, mais aucun ne savait qui avait tué... Que peut-il se passer dans une tête, quand on sait qu'on a tué ? Dans ce cas, il y avait exécution collective et la possibilité d'imaginer : "ce n'était pas moi". Certes, il y a eu des bourreaux, mais eux aussi étaient souvent isolés quand leur "job" était connu.

J'ai relevé cette citation que je trouve amusante d'authenticité. Une telle sincérité ne peut provenir que de quelqu'un qui se trouve bien dans sa peau.

Ce ne sont pas les années qui font la vieillesse,
mais bien l'idée qu'on devient vieux ;
il y a des hommes qui sont jeunes à 80 ans
et d'autres qui sont vieux à 40 ans
(Emile Coué)

Va dire ça à mes rides, à mes cheveux blancs, à mon arthrose et à mes artères, jeune-fille !

et ton coeur il est comment ?

En ai-je seulement un ????

dombon a écrit :

Citation :

En ai-je seulement un ????

J'en suis sûr et jeune !!!!

renal a écrit:

dombon a écrit :

Citation :

En ai-je seulement un ????

J'en suis sûr et jeune !!!!

Mais Nicole...Quand l'homme a été crée, il y a eu...le coeur et tout s'est rattaché autour, qu'importe l'aspect physique, pourvu que l'âme soit bien conçue...

je suis tout à fait d'accord avec toi !!!

Nelly a écrit:

« Les honneurs, je les méprise, mais je ne déteste pas forcément ce que je méprise » Jean d'Ormesson

J'ai relevé cette citation que je trouve amusante d'authenticité. Une telle sincérité ne peut provenir que de quelqu'un qui se trouve bien dans sa peau.

J'aime Jean d'Ormesson avec son style ampoulé, à la fois crispant et si intéressant. Il a énormément d'humour et se sent bien partout !
Son oeil brille toujours quand il voit une jolie fille et ses compliments surannés sont savoureux.

Dans une soirée, avec lui, on ne s'ennuie pas. Et puis... c'est reposant, c'est lui qui parle...

Oui, Dom a ce petit "je ne sais quoi" de provocateur qu'on attribue un peu trop vite à la jeunesse quand on sait qu'il n'y a pas plus violemment conformiste mais bon!
je trouve qu'on flatte trop la jeunesse en vertu de sa fringante allure, son acuité visuelle et auditive, sa peau tendue, ce corps et ce cerveau qui démarrent au quart de tour.
En fait, ce qu'on perd tous plus ou moins peu à peu et que l'on vient à regretter mais pour le reste, est-ce que l'on change vraiment?
Le temps nous permet de murir, on s'accomode, on se responsabilise, on apprend sur soi et les autres, on s'arme lorsqu'on a souffert puis si tout va bien on apprend à faire la paix avec les mêmes (soi et les autres) mais il subsiste toujours au fond de nous l'enfant que nous étions.

Brumes a écrit:

Dans une soirée, avec lui, on ne s'ennuie pas. Et puis... c'est reposant, c'est lui qui parle...

On voit tout de suite que c'est un homme qui aime les femmes avec élégance!

stip a écrit:

mais il subsiste toujours au fond de nous l'enfant que nous étions.

ça c'est très vrai, stip, mais comme disait Carrie Fisher dans Bons baisers d'Hollywood :"Ce qui m'ennuie , ça n'est pas de vieillir, c'est d'avoir l'air vieille ."

dombom a écrit:

stip a écrit:

mais il subsiste toujours au fond de nous l'enfant que nous étions.

ça c'est très vrai, stip, mais comme disait Carrie Fisher dans Bons baisers d'Hollywood :"Ce qui m'ennuie , ça n'est pas de vieillir, c'est d'avoir l'air vieille ."

et puis quoi encore?
ne la croyez surtout pas, moi qui l'ai vue, ...elle s'habille en Jeans et saute comme un cabris!
alors ma Dom ...;tu nous fait un coup de spleen?

Marie-jo 17 a écrit:

dombom a écrit:

ça c'est très vrai, stip, mais comme disait Carrie Fisher dans Bons baisers d'Hollywood :"Ce qui m'ennuie , ça n'est pas de vieillir, c'est d'avoir l'air vieille ."

et puis quoi encore?
ne la croyez surtout pas, moi qui l'ai vue, ...elle s'habille en Jeans et saute comme un cabris!
alors ma Dom ...;tu nous fait un coup de spleen?

Mais non, Rose, elle fait sa coquette et cherche des compliments !

dombom a écrit:

stip a écrit:

mais il subsiste toujours au fond de nous l'enfant que nous étions.

ça c'est très vrai, stip, mais comme disait Carrie Fisher dans Bons baisers d'Hollywood :"Ce qui m'ennuie , ça n'est pas de vieillir, c'est d'avoir l'air vieille ."

-- Moi je dirais plus tôt : Ce n'est pas de vieillir c'est de coucher avec un vieux !!!

OH.... Bruuuuumeeees.

Ben alors !!!! c'est vrai ????

Brumes a écrit:

dombom a écrit:

stip a écrit:

mais il subsiste toujours au fond de nous l'enfant que nous étions.

ça c'est très vrai, stip, mais comme disait Carrie Fisher dans Bons baisers d'Hollywood :"Ce qui m'ennuie , ça n'est pas de vieillir, c'est d'avoir l'air vieille ."

-- Moi je dirais plus tôt : Ce n'est pas de vieillir c'est de coucher avec un vieux !!!

OH.... Bruuuuumeeees.

Ben alors !!!! c'est vrai ????

Totalement d'accord avec toi... et je te reconnais bien là !

Nelly a écrit:

Brumes a écrit:

-- Moi je dirais plus tôt : Ce n'est pas de vieillir c'est de coucher avec un vieux !!!

OH.... Bruuuuumeeees.

Ben alors !!!! c'est vrai ????

mais elle est in-sortable vous savez! cette gamine?.........;Totalement d'accord avec toi... et je te reconnais bien là !

est prit qui croyait prendre

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Brumes a écrit:

-- Moi je dirais plus tôt : Ce n'est pas de vieillir c'est de coucher avec un vieux !!!

OH.... Bruuuuumeeees.

Ben alors !!!! c'est vrai ????

Totalement d'accord avec toi... et je te reconnais bien là !

mais elle est insortable vous savez! cette gamine ?.........;

Maintenant que j'ai remis tes quotes en place et rendu à César ce qui lui appartenait, dis-moi un peu qui est la gamine : Brumes ou moi ? Je te signale que je n'ai fait qu'aquiescer à ce qu'elle a dit !

Nelly a écrit:

Maintenant que j'ai remis tes quotes en place et rendu à César ce qui lui appartenait, dis-moi un peu qui est la gamine : Brumes ou moi ? Je te signale que je n'ai fait qu'aquiescer à ce qu'elle a dit !

mais notre jeunette bien sur!.......BBBRRRUUMMMEEES

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Maintenant que j'ai remis tes quotes en place et rendu à César ce qui lui appartenait, dis-moi un peu qui est la gamine : Brumes ou moi ? Je te signale que je n'ai fait qu'aquiescer à ce qu'elle a dit !

mais notre jeunette bien sur!.......BBBRRRUUMMMEEES

OK, il va falloir qu'on l'éduque, la mignonne. Manquerait plus qu'elle couche avec un vieux !

Coucher... pour dormir c'est pas mal non plus !

Moi, je couche avec un jeune hihihi et lui couche avec une vieille

Enfin, nous avons 18 ... mois de différence

Fany a écrit:

Coucher... pour dormir c'est pas mal non plus !

Tu crois ça ? Il faut les surveiller, ces jeunes, notre Brumes dort très peu, alors imagine...

Fany a écrit:

Moi, je couche avec un jeune hihihi et lui couche avec une vieille

Enfin, nous avons 18 ... mois de différence

Effectivement, c'est trèèèèèèèèèèèèèès vieux !

"Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs." [François Guizot]

Celà vous inspire-t-il ?

Nelly a écrit:

"Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs." [François Guizot]

Celà vous inspire-t-il ?

Dans notre période de crise actuelle, il vaut mieux avoir le caractère optimiste !! mais je pense que cela fait partie de la force de caractère. Il est certain qu'un pessimiste aura vite fait de se faire manger s'il ne réagit pas, il aura du mal à faire entendre son opinion...positive...en a t-il d'ailleurs ? puisque c'est un être aux pensées sombres donc négatives...
Dans tous mes moments cata..j'ai tj eu le sursaut positif, car baisser les bras ne résoud pas les problèmes, il y a toujours un mieux aux mauvais jours...

Nelly a écrit:

"Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs." [François Guizot]

Celà vous inspire-t-il ?

Opter pour l'un ou l'autre risquerait d'aboutir, à mon sens, au même résultat : Un défaut de vigilence,à savoir que rien n'est jamais acquis dans le bien comme dans le mal.
Je suis comme ça profondément et si je n'ose rêver au paradis sur terre, en revanche à ne jamais oublier que le pire est possible, ça me permet toujours au final d'avoir d'agréables soulagements, c'est une stratégie comme une autre.

anémone a écrit:

Dans notre période de crise actuelle, il vaut mieux avoir le caractère optimiste !! mais je pense que cela fait partie de la force de caractère. Il est certain qu'un pessimiste aura vite fait de se faire manger s'il ne réagit pas, il aura du mal à faire entendre son opinion...positive...en a t-il d'ailleurs ? puisque c'est un être aux pensées sombres donc négatives...

Je crois que tout le monde n'est pas logé à la même enseigne, dans ce cas de figure. Certes, il faut parfois faire front et se battre quand ça ne va pas comme nous le souhaiterions, mais chacun n'a pas les mêmes armes...

anémone a écrit:

Dans tous mes moments cata..j'ai tj eu le sursaut positif, car baisser les bras ne résoud pas les problèmes, il y a toujours un mieux aux mauvais jours...

Tu as beaucoup de chance de pouvoir réagir ainsi. Personnellement, je n'ai pas vraiment le caractère de baisser les bras devant l'adversité, mais il est des cas où on ne peut rien faire, mais accepter. Et là, j'ai beaucoup de mal, du mal à subir la vie, la difficulté. Et pourtant, après la nuit, se lève toujours un nouveau jour, après l'orage, revient le soleil...

stip a écrit:

Nelly a écrit:

"Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs." [François Guizot]

Opter pour l'un ou l'autre risquerait d'aboutir, à mon sens, au même résultat : Un défaut de vigilence,à savoir que rien n'est jamais acquis dans le bien comme dans le mal.

Si j'avais la possibilité d'opter, ce serait pour l'optimisme sachant que, quel que soit le malheur qui puisse arriver, il arrivera de toute manière, que nous nous soyons fait de la bile ou pas. Anticiper ne sert qu'à nous rendre moroses. Je crois simplement qu'on ne choisit pas, si ce n'est de ne pas essayer de se battre, de se forcer à avoir une vision différente des choses, de s'intéresser à la réalité plutôt qu'à l'utopie... A mon avis, il faut vouloir, mais également pouvoir.

stip a écrit:

Je suis comme ça profondément et si je n'ose rêver au paradis sur terre, en revanche à ne jamais oublier que le pire est possible, ça me permet toujours au final d'avoir d'agréables soulagements, c'est une stratégie comme une autre.

Je crois qu'il est bon d'apprendre à apprécier l'instant présent, de le sentir, d'en jouir à fond, d'y penser en se disant chaque matin, par exemple : je suis en mesure de me lever, je suis au chaud, je prends un agréable petit-déjeuner, etc., bref prendre conscience de notre univers. Socrate a dit : "Si nous vivons de manière inconsciente, nous ne vivons pas".

Nelly a écrit:

"Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs." [François Guizot]

Pour moi, cette citation signifie que, quand nous sommes pessimistes, nous subissons les événements sans rien pouvoir y changer ; nous sommes fatalistes alors que, si nous réussissons à être optimistes, nous sommes les acteurs de notre vie. Nous ne nous contentons pas de la regarder passer, nous y participons et pouvons parfois en rectifier le parcours.

Je ne dis pas que je suis en mesure de le faire ainsi, mais essayer et en avoir conscience est déjà un début. Euuuuhhhh, je serais donc optimiste, là, tout de suite ?

L’important n’est pas dans la vérité ou la beauté de la réponse,
Mais dans le chemin que la réponse fait en l’autre.
(Jacques Salomé)

Nelly a écrit:

«Elle était revenue de bien des choses, ce qui ne l'empêchait pas d'y retourner.» [Natalie Clifford Barney]

Qu'en pensez-vous ?

La vision des choses est différente quand on l'approche de nouveau. Et le fait de sembler blasé par certains faits, n"empèche pas de vouloir les tester de nouveau.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

«Elle était revenue de bien des choses, ce qui ne l'empêchait pas d'y retourner.» [Natalie Clifford Barney]

Qu'en pensez-vous ?

La vision des choses est différente quand on l'approche de nouveau. Et le fait de sembler blasé par certains faits, n"empèche pas de vouloir les tester de nouveau.

C'est un point de vue intéressant.

- Ne penses-tu pas que la curiosité est parfois la plus forte ?
- Ne nous estimons pas nous-mêmes plus forts pour pouvoir maîtriser une situation qui nous a échappé une première fois ?
- Serions-nous d'incessants optimistes ?
- Ne faisons-nous pas preuve parfois d'une bonne dose d'inconscience ?
- Que serait la vie sans prise de risques ?

Nelly a écrit:

- Ne penses-tu pas que la curiosité est parfois la plus forte ?
- Ne nous estimons pas nous-mêmes plus forts pour pouvoir maîtriser une situation qui nous a échappé une première fois ?
- Serions-nous d'incessants optimistes ?
- Ne faisons-nous pas preuve parfois d'une bonne dose d'inconscience ?
- Que serait la vie sans prise de risques ?

Je pense surtout que dans la vie, on fait des essais pour beaucoup de choses, avec un taux de réussite plus ou moins à la hauteur de ses espoirs...Il est important en cas d'échec de vouloir retenter une expérience , mais trop insister serait inconscient.
Ayant un caractère assez têtu, j'avoue, sans vouloir me prouver quoique ce soit, que j'aime le risque. Mon caractère optimiste ne me fait pas abandonner facilement et il me faut une certaine dose de déconvenues pour que je me sente blasée.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

- Ne penses-tu pas que la curiosité est parfois la plus forte ?
- Ne nous estimons pas nous-mêmes plus forts pour pouvoir maîtriser une situation qui nous a échappé une première fois ?
- Serions-nous d'incessants optimistes ?
- Ne faisons-nous pas preuve parfois d'une bonne dose d'inconscience ?
- Que serait la vie sans prise de risques ?

Je pense surtout que dans la vie, on fait des essais pour beaucoup de choses, avec un taux de réussite plus ou moins à la hauteur de ses espoirs...Il est important en cas d'échec de vouloir retenter une expérience , mais trop insister serait inconscient.

Tu as raison. Rouler une fois avec des pneus lisses, par exemple, risque de bien se passer ; la fois suivante, on peut renverser quelqu'un pour ne pas réussir à stopper assez rapidement.

Par contre, persister à faire des études, à rechercher du travail après un ou des échec est tout à fait positif. Il ne faut surtout pas renoncer. Il en est de même pour beaucoup d'autres situations, dans un sens comme dans l'autre. Le tout est d'essayer de bien soupeser les risques et de connaître ses limites.