Lieux et monuments

Nelly a écrit:

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Très joli, tout ça. As-tu remarqué que nous faisons déjà un joli tour dans différents pays ? Un avant-goût de la croisière...

c'est vai!.......mais dommage que tes photos soient si petites???
est ce par esprit d'économie?

Non, c'est tout simplement qu'à l'endroit où je les prends, elles sont présentées ainsi. Pas moyen d'agrandir. Désolée.
Par contre, j'aime bien parce qu'il y a les explications.

mais les miennes aussi sont si petites, mais en cliquant sur la photos, elle s'agrandi, et alors tu peux la copier!

Marie-jo 17 a écrit:

Non, c'est tout simplement qu'à l'endroit où je les prends, elles sont présentées ainsi. Pas moyen d'agrandir. Désolée.
Par contre, j'aime bien parce qu'il y a les explications.

mais les miennes aussi sont si petites, mais en cliquant sur la photos, elle s'agrandi, et alors tu peux la copier![/quote]
Hé non, ça ne marche pas. J'ai essayé. Il faudra faire avec !

BIG BEN et les légendaire bus Londoniens

Glasgow - sa cathédrale
photos de stéphen finn
Les racines de Glasgow sont romaines. En l’an 80, le général Marcus Agricola fit construire en cet emplacement une série de forteresses pour se protéger des tribus agressives du nord. Selon la légende, Saint Mungo, qui par le passé avait été expulsé du village de Fife avec sa mère, a fondé la ville. On dit que Saint Mungo construisit la première église chrétienne près de Molendinar Burn. Glasgow devint une ville au XIIème siècle et obtint la permission de tenir un marché hebdomadaire. La ville se développa rapidement et une nouvelle cathédrale fut érigée dans l’East End. Glasgow s’est étendue à l’ouest au XVIIIème siècle. Les négociants en tabac de la ville détenaient ce qui était en fait le monopole du commerce européen et tout simplement quittèrent la ville sale pour établir un nouveau secteur, appelé The Merchant City (la ville marchande). Dans les années 1800, les chantiers navals de Glasgow fonctionnaient à pleine capacité et la ville vivait son âge d’or. Les secteurs désormais connus sous le nom de The City et le branché West End furent établis à cette époque. Des logements furent créés au sud du fleuve pour la classe ouvrière. Après quelques difficiles décennies au cours desquelles, la ville perdit plusieurs de ses chantiers navals, Glasgow est aujourd’hui sur le retour et elle est désormais considérée comme une des villes les plus cool de Grande-Bretagne.

Situé en plein Paris, en bordure du bois de Vincennes, ce jardin botanique de renom étend ses collections sur près de trente-cinq hectares. Sa création remonte à la fin des années 1960 lors des troisièmes Floralies internationales. Le parc est réputé pour ses collections riches de 3.000 variétés de plantes ainsi que pour ses jardins à thèmes, dont le jardin des plantes méditerranéennes, celui des bonsaïs ou encore le jardin des plantes médicinales. Après avoir déambulé parmi nombre de plantes exotiques et rares, le visiteur peut se rendre au service Paris-nature pour tout savoir sur l'agenda 'naturel' de la capitale ou bien au pavillon d'exposition et au jardin des papillons où sont présentées quelque quarante espèces. Plusieurs aménagements ont également été prévus pour la détente, le sport et les jeux : aires de pique-nique, aires de jeux, mur d'escalade, tables de ping-pong, minigolf, petit train, promenades en tacots... Tout a été pensé pour répondre aux attentes les plus diverses du grand public. En été, cette oasis parisienne sert le week-end de cadre privilégié au Paris Jazz Festival, où l'on peut assister, pour une somme modique, à des concerts de grands noms de la musique jazz. Les plus jeunes peuvent se rendre, quant à eux, au théâtre Astral ou au théâtre de Guignol pour savourer des spectacles hauts en couleurs qui leur sont spécialement dédiés.

je prévisualise.....yessss!

intérieur d'une mosquée d'Istambul.



sur le bosphore (je ne connais pas le type sur la photo )

Le Tibre et, au loin, le Vatican.








La cité antique

Le château de Sédières se situe à trois kilomètres de Clergoux, dans un superbe domaine de 130 hectares de forêt jalonné d'étangs. Erigé au XVe siècle par les seigneurs de Sédières et de Champagnac, le château féodal a été transformé à la Renaissance en une véritable demeure de plaisance. Seuls le châtelet d'entrée et quelques mâchicoulis témoignent encore aujourd'hui de l'aspect défensif de la forteresse médiévale. La cour intérieure abrite une jolie galerie ainsi que la salle des gardes. Pour accéder aux étages du château, il faut emprunter l'escalier monumental du donjon carré avant de découvrir de grandes pièces ornées de cheminées sculptées. Racheté en 1965 par le Conseil général de la Corrèze et l'Office national des forêts, le domaine de Sédières fut complètement réhabilité en plusieurs campagnes de travaux. Il est aujourd'hui le cadre privilégié du festival pluridisciplinaire de Sédières.

Le musée MAXXI s'annonce d'ores et déjà comme le précurseur de l'art, le plus contemporain qu'il soit. Et pour cause, il est doté d'une production artistique datant de la fin du siècle, mais aussi du siècle actuel. De fait, le musée national des arts du XXIe et sa directrice, Anna Mattirolo, s'inscrivent dans une perspective progressiste, en illustrant des artistes contemporains, des architectes et des ingénieurs. Un alliage de technique mêlée de design et de conception graphique côtoie alors les créations d'artistes nationaux et internationaux, à travers un dénominateur commun, l'Italie. La culture italienne y est manifeste, mais pas univoque compte tenu du brassage culturel. Le caractère cosmopolite permet de mieux saisir la réalité de l'Italie. Le musée tente de faire comprendre, au travers de la dualité, historisation de l'architecture au XXe et contexte contemporain, la société italienne d'aujourd' hui. Le bâtiment, véritable monument épuré aux formes spectaculaires et aux lignes claires, est l'oeuvre d'une architecte anglo-irakienne confirmée, Zaha Hadid. Son travail confirme la volonté qu'a le MAXXI de représenter un potentiel architectural, et témoigne d'une complète ouverture culturelle. Depuis son ouverture en 2009, le musée propose de découvrir au moyen d'un patrimoine virtuel, l'architecture, avec à l'appui une variété de matériaux et de documents pour représenter au mieux l'essence de cette discipline, son concept et sa complexité. Carlo Scarpa, Aldo Rossi et autres Enrico del Debbio sont autant d'architectes faisant partie du paysage graphique du musée. La collection art de l'espace accorde une attention particulière aux expériences et réalités liées au contexte de l'Italie, en mêlant un regard neuf via les oeuvres les plus récentes, et les témoignages des expériences passées.

'Prodige du gigantesque et du délicat' selon Victor Hugo, la cathédrale de Strasbourg dresse sa façade de grès rose sur une large place en plein coeur de la ville alsacienne. L'édifice repose sur les fondations d'une ancienne basilique romane construite en 1015 par l'évêque Wernher de Habsbourg. Il en subsiste encore les parties orientales de l'actuelle crypte. La basilique est détruite par un incendie en 1176 et les autorités strasbourgeoises décident d'entamer de lourds travaux de rénovation. Ils s'achèveront en 1439 avec la réalisation de la flèche. Du haut de ses 142 mètres, Notre-Dame de Strasbourg est l'édifice chrétien le plus élevé en Europe jusqu'au XlXe siècle. L'édifice mêle art roman et architecture gothique, ayant subi des transformations à différentes époques. Située à l'entrée du monument, l'horloge astronomique est l'attraction majeure de la cathédrale. Tous les jours, à midi trente, les touristes observent ses figurines s'ébranler au grand complet. Les apôtres défilent devant le Christ, tandis qu'un coq chante et bat des ailes. En dessous, un enfant, un adulte et un vieillard, symbolisant les différents âges de la vie, passent devant la Mort. Construite au XVIe siècle, elle faisait, à l'époque, partie des sept merveilles de l'Allemagne.

EGLISE SAINT PAUL à STRASBOURG

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Cathédrale de Strasbourg

Merci pour la superbe photo, mais il ne s'agit pas de celle de la cathédrale de Strasbourg. En effet, celle de Strasbourg n'a qu'une seule tour et il n'y a pas de cours d'eau devant sa façade. Tu as dû faire erreur.

Et zut ! Pas moyen de recopier la photo agrandie de la cathédrale !

Nelly a écrit:

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Cathédrale de Strasbourg

Merci pour la superbe photo, mais il ne s'agit pas de celle de la cathédrale de Strasbourg. En effet, celle de Strasbourg n'a qu'une seule tour et il n'y a pas de cours d'eau devant sa façade. Tu as dû faire erreur.

Et zut ! Pas moyen de recopier la photo agrandie de la cathédrale !

effectivement , je me suis prise les pieds dans les photos, la voici
chef d'oeuvre de l'art Gothique!

Cathédrale de l'Almudena de Madrid
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Aller à : Navigation, rechercherCathédrale de la Almudena de Madrid

Vue générale de l'édifice

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Nom local Catedral de Santa María La Real de La Almudena de Madrid

Rattaché à Archidiocèse de Madrid (siège)
Début de la construction 1883
Fin des travaux 1984
Style(s) dominant(s) Néogothique
Néoclassique
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Intérieur, la coupole à la croisée du transept
La cathédrale de la Almudena - Vue depuis le nord
Cathédrale de l'Almudena, Le chœurLa cathédrale Santa María La Real de La Almudena est la toute récente cathédrale de Madrid, capitale du royaume d'Espagne, construite face au Palais royal au cours du XXe siècle. Elle est le siège épiscopal du diocèse de la capitale. C'est une église de 102 mètres de longueur et de 73 de hauteur construite sur base d'un mélange de différents styles: néoclassique à l'extérieur, néogothique à l'intérieur et néoroman dans la crypte. Elle fut consacrée par Jean-Paul II lors de son quatrième voyage en Espagne, le 15 juin 1993. C'est la première cathédrale espagnole consacrée par un Pape.

Elle est située dans le centre de la ville. La façade principale donne sur la Plaza de la Armería, face au Palais royal de Madrid. On accède à la crypte depuis la calle Mayor (rue majeure). À la différence d'autres cathédrales, qui ont une orientation est-ouest, celle de l'Almudena a une orientation nord-sud, fruit de sa conception comme partie intégrante du complexe du Palais royal de Madrid. Elle est construite en pierre de Novelda (près d'Alicante) et de granit de Colmenar Viejo (près de Madrid).

cathédrale Notre-Dame de Chartres, en France, est le monument emblématique de Chartres, préfecture du département d'Eure-et-Loir, située à 80 kilomètres au sud-ouest de Paris. Chartres est unanimement considérée comme la cathédrale gothique la plus représentative,



L'actuelle cathédrale, de style gothique dit 'lancéolé', a été construite au début du XIIIe siècle, pour la majeure partie en 30 ans, sur les ruines d'une précédente cathédrale romane, détruite lors d'un incendie en 1194.

Grand lieu de pèlerinage, cette cathédrale et ses tours dominent la ville de Chartres et la plaine de la Beauce

CATHEDRALE DE CANTERBURRY
Cathédrale de Cantorbéry
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Vue générale de l'édifice

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Nom local Canterbury Cathedral
Latitude
Longitude Non renseigné
(Chercher ce lieu)
Pays Royaume-Uni
Région Angleterre du Sud-Est
Département Comté du Kent
Ville Cantorbéry
Culte Anglican
Type Cathédrale
Rattaché à Archidiocèse anglican de Cantorbéry (siège)
Début de la construction XIe siècle
Fin des travaux XVe siècle
Style(s) dominant(s) Gothique
Classé(e) Monument classé, grade I
Patrimoine mondial (1988)
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La cathédrale de Cantorbéry (Canterbury en anglais) est l'une des plus anciennes et des plus célèbres églises chrétiennes d'Angleterre. Elle a été construite en pierre de Caen. C'est la cathédrale de l’archevêché de Cantorbéry dont l'archevêque est le primat de toute l'Angleterre et chef religieux de l’Église anglicane. Siège de diocèse

Elle est belle hein? .
La ville est très agréable également, un charme fou, des petites rues médiévales, des dimensions qui font qu'on s'y sent serein, des touristes toute l'année,pas mal de lycéens mais encore trop peu d'étudiants (hélas!) sauf en période de vacances.
Oui beaucoup de parisiens émigrent aux alentours pour offrir une qualité de vie à leurs enfants désormais inaccessible ou impossible près de la capitale.
Je n'aurais pas cru au début mais....j'aime beaucoup.

Heu...je ne parlais pas de Canterburry , mais de Chartres bien-sûr.

Comme ça, au hasard, "Le chateau de Maintenon".





Ce château remonte au moyen âge comme en témoigne sa tour carrée. Il est surtout connu pour avoir appartenu à Françoise d'Aubigné future Madame de Maintenon, favorite puis épouse secrète de Louis XIV. Les parterres à la française sont dûs à Le Nôtre.

Au fond du parc, aujourd'hui occupé par un golf, on peut apercevoir l'aqueduc de Maintenon, construit en 1683 par Vauban à la demande de Louis XIV. Prévu pour acheminer l'eau de l'Eure à Versailles et devant compter 3 étages, il demeura inachevé.

L'ATOMNIUM BRUXELLES

Tu vas rire mais, dans une vie antérieure, j'ai failli choisir la Belgique et je n'ai jamais vu l'atomium en vrai, en tout cas, il est très beau comme ça, de nuit.

Tout est en mosaïque....Extraordinaire!
Il y est malheureusement interdit de prendre des photos.

stip a écrit:

Elle est belle hein? .

Oui, elle est magnifique bien que j'en garde un mauvais souvenir. Il y a un an environ, la cathédrale (de Chartres) était en travaux et certains vitraux recouverts d'un film de protection qui assombrissait beaucoup l'intérieur. En visitant, le nez en l'air, je n'ai pas vu un petite marche, invisible d'ailleurs, et me suis étalée de tout mon long. Je suis ressortie avec une belle entorse, clopinant dans les ruelles de Chartres...

stip a écrit:

Je n'aurais pas cru au début mais....j'aime beaucoup.

Ah, ces a-prioris concernant le nord ! Comme Brumes ! Naturellement que la ville est belle !

Nelly a écrit:

Ah, ces a-prioris concernant le nord ! Comme Brumes ! Naturellement que la ville est belle !

faut venir voir Bruges et la grde place de Bruxelles alors! c'est somptueux!

Le Chicago History Museum - anciennement Chicago Historical Society - renaît de ses cendres en 1920 après avoir été victime des incendies successifs de 1871 et 1876. Une partie de la collection du bâtiment originel (fondé en 1856) est ainsi perdue au grand dam des acquéreurs. Toutefois, le musée se réinvente et vient s'installer dans les dernières décades à l'intérieur d'un bâtiment de style colonial géorgien entièrement réalisé pour l'occasion par les architectes Graham, Anderson, Probst et White. Situé dans le quartier de Lincoln Park, l'édifice abrite désormais une collection pharaonique. En ayant oeuvré pour conquérir manuscrits, peintures et autres documents nécessaires à la mise en lumière historique de Chicago (il est également doté de la collection manifeste de Charles F. Gunther), le musée peut aujourd'hui - et ce depuis sa réouverture en 1932 -, proposer une collection riche de 22 millions de pièces et documents sur l'histoire de la ville, et plus largement sur celle des Etats-Unis. Architecture, manuscrits, livres et diverses publications, costumes, arts décoratifs et industriels, commentaires historiques audios, projections, peintures, sculptures, et photographies, sont autant d'éléments venant parfaire le rayonnement culturel de Chicago. Hébergeant de nouvelles galeries depuis 1972 et de nouveaux espaces de stockages, le bâtiment est alors à même de présenter les multiples pièces qu'il a en sa possession, et d'établir un système d'archives pour mieux renouveler sa collection. Le musée, sous l'égide de son président Gary T. Johnson, propose en outre, des expositions permanentes et temporaires.

Marie-jo 17 a écrit:

il faut venir voir Bruges et la grde place de Bruxelles alors! c'est somptueux!

Je suis d'accord avec toi, Bruges surtout, incroyablement bien conservée, il y a vraiment de quoi y faire un beau week-end, magnifique !

Aaahhh ! Bruges... que de souvenirs...

En attendant d'appareiller le lendemain (A Zeebruges et ce n'était pas le Danaé), nous visitons la ville. J'ai envie de manger enfin des moules/frites, depuis le temps que j'en entends parler... et les frites Belges sont paraît-il les meilleures.

Toutefois je trouve que ce restaurant n'a pas les vitres propres, l'autre la nappe pas nette... je trouve toujours quelque chose. On tourne pendant une heure (mon mari avait beaucoup de patience). Nous arrivons sur la célèbre grande place et nous avions faim.

Tant pis pour la moule/frite nous choisissons (ou je..) le meilleur restaurant avec sa terrasse fleurie. Nous mangeons un homard sublime. Y a pas à dire, ces homards de la mer du nord sont savoureux !

Nous sommes en train de siroter notre café (italien, c'est-à-dire fort) lorsqu' une camionnette s'arrête devant le restaurant à notre hauteur.
"Crustacés et coquillages untel.."

Le livreur passe devant nous avec un long carton, il est écrit en grosses lettres sur le côté : " Homards du Canada ". Dire que j'allais vanter partout ce goût exceptionnel dû à cette mer Belge !

Quand je pense que M.Jo était à deux pas !
Et je n'ai toujours pas mangé des moules/frites de Belgique.

BRUMES DIT

Et je n'ai toujours pas mangé des moules/frites de Belgique

tu sais ce qui te restes a faire ma Brumes!
amènes toi et je te prépare notre plat national?........chich

Le musée de l'Ecole de Nancy, ouvert au public depuis 1964, présente un des mouvements de rénovation des arts décoratifs qui a marqué l'Europe et notamment la Lorraine à la fin du XIXe siècle. Le musée est installé dans l'ancienne propriété d'Eugène Corbin, héritier des Magasins réunis, mécène et riche donateur d'une très importante collection. La demeure, construite entre 1870 et 1925 dans un quartier autrefois champêtre, évoque par son jardin agrémenté d'un aquarium singulier le début du siècle et sa sensibilité naturaliste. Les artistes de l'Ecole de Nancy (Gallé, Majorelle, Vallin, Gruber, Prouvé, Daum, etc .) y sont représentés à travers leurs créations de verre, céramique, mobilier, cuir et autres domaines des arts décoratifs. L'art nouveau est également présent dans quelques réalisations parisiennes de Carabin, Guímard, Selmersheim, Chaplet, etc. Le musée ne propose pas une stricte reconstitution de l'époque 1900, mais par la mise en situation d'oeuvres, il tente de restituer l'atmosphère de cette période.

ce musée de Nancy, ...j'aimerais bien le visiter un jour!

Marie-jo 17 a écrit:

ce musée de Nancy, ...j'aimerais bien le visiter un jour!

Nous l'avons visité l'année de la fête du centenaire de l'Ecole de Nancy. Trois musées étaient monopolisés pour présenter des pièces prêtées par d'autres musées du monde entier, pour l'occasion, dont le musée Majorelle, notamment.

J'ignore ce qu'il contient exactement en temps normal puisque tout avait été modifié pour cette occasion.

Quant à le visiter, l'occasion se présentera bien un jour ou l'autre...

Les Jardins de Prasserat - Vallon-Pont-d'Arc



Les jardins de Prasserat permettent de découvrir les vergers à l'approche de la récolte d'amandes, les parcelles en maraîchages mais aussi un marché paysan avec dégustation de produits ainsi que l'exposition 'Terre nourricière, terre de vie et de santé : histoire et patrimoine des paysans jardiniers'. Les jardins sont situés entre la colline du Nord, les bois de Lagorce et la rivière Ardèche. Non loin du centre du village, les jardins demeurent un havre de tranquillité verdoyant, semant ici et là ses fleurs d'amandiers. La bâtisse du XVIIe s'érige en plein coeur de la plaine de Vallon et propose les divers produits des jardins.

Il en reste à peine une vingtaine aujourd'hui et pourtant ils étaient plus de cent au XIXe siècle. Véritables témoins de l'histoire de la ville, ils jalonnent la capitale, offrant à ses habitants et aux touristes, architectures singulières et atmosphères cosmopolites.



Entre deux rues, entre deux boulevards, entre une rue et un boulevard, le passage ne serait-il qu'une éventualité discrète de l'architecture parisienne ? A priori, plus "entre" que "antre", il apparaît comme un vide entre deux pleins. Pourquoi alors s'y attarder ? Pourquoi le recommander vivement aux touristes pressés ou aux Parisiens curieux de leur ville adorée ? Parce que le passage est coquin et exigeant à la fois. Il suffit de considérer les six injonctions d'Auguste Luchet pour prétendre au statut si convoité de passage (1835) : "être réservé aux piétons, relier deux rues animées en offrant un raccourci à qui l'emprunte, être bordé de boutiques, avoir une couverture protégeant des intempéries mais laissant passer la lumière, être éclairé par un moyen artificiel ; enfin le luxe doit faire partie de son architecture et figurer dans ses boutiques comme dans les articles qui y sont vendus". (1)
En apparence, il joue la carte de la bonne tenue, illuminé par de grandes verrières, policé par des marchands officiels. Il n'en reste pas moins obscur et mystérieux : une histoire chargée d'anecdotes, de personnages hétéroclites et d'occupations plus ou moins légales. En réalité, si les passages ont perdu de leur superbe, si leur nombre a considérablement diminué, si leur fonction sociale n'a plus lieu d'être, il est inimaginable de faire l'économie d'un guide ou d'une bonne littérature pour les visiter. De poésie également. Véritables témoins, ils assument l'immuabilité d'identités multiples, de vies cachées dans l'obscurité des voûtes, de commerces qui prospèrent à la lumière naturelle des verrières, de dandys qui crânent nonchalamment, d'écrits qui mûrissent, inspirés d'existences romantiques ou réalistes, héroïques ou picaresques.

J'adore ces passages couverts parisiens découverts avec un guide. Je vous invite à aller les visiter accompagnés d'un connaisseur. Ils en valent la peine.

Nous avons a Bruxelles des gallerie similaires


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Photo "Galerie de la Reine et du Roi" (Bruxelles) par Boubou5[/img]
cliquez sur le lieu et vous découvrez les galeries et bruxelles

Construite de 1220 à 1520 à l'emplacement d'un oratoire dédié à Saint-Etienne, la cathédrale est faite de pierres de Jaumont, l'un des principaux matériaux servant à la réalisation de monuments messins. La cathédrale, formée par la réunion de deux églises, a connu des travaux colossaux. De style gothique rayonnant, elle comprend de nombreux vitraux conçus par des artistes de renom à l'instar de Marc Chagall et Roger Bissière - du XIIIe au XXe -, s'étalant sur une surface vitrée de 6.500 m2, et fascinants par leur luminosité et leur virtuosité. La nef s'élève à 42 mètres de hauteur. La cathédrale Saint-Etienne est de fait la plus haute et la plus lumineuse des cathédrales gothiques de France. En sus, elle compte quelques pièces remarquables : des fonts baptismaux, un trône épiscopal, ainsi qu'un petit orgue d'époque Renaissance, de 1537.

Véritable centre des congrès du 3e millénaire, le Grimaldi Forum de Monaco est d'une extrême polyvalence. Des manifestations professionnelles et culturelles de plus de 3.000 personnes y sont organisées tout au long de l'année. Pour l'ensemble de ces manifestations, la présence des technologies les plus avancées rend chaque espace totalement modulable. Il se transforme et s'adapte à toutes sortes de spectacles ou salons professionnels. Se succèdent ainsi des congrès, des conventions, des ballets, des one-man show, des expositions, ou des concerts de musique classique, à n'en plus finir !

architecture du Caire(
egypte)

centre-ville, lequel se compose des quartiers de Tahrir, Bab el-Louq, Talaat Harb (ou Soliman Pacha), Emmad ed-Dine. Fait unique au Caire, l’ordonnancement architectural de ce petit fragment du cœur de la ville paraît, même au néophyte, assez facilement lisible, voire familier : c’est le vocabulaire architectural haussmannien que parlent ces édifices, à quelques nuances près : des bâtisses plus titanesques, des éléments décoratifs plus outrés, des combinaisons plus syncrétiques que néoclassiques - l’architecte des plus beaux ou des plus baroques de ces édifices, Behler, était suisse - et peu prisé en Europe... On n’est d’évidence pas à Paris, mais dans un décalage des mêmes thèmes urbains, dont la légère étrangeté n’est pas dépourvue de charme.

le Neuschwanstein
chateaux aux formes romantiques ,presque un conte de fées!
n'est-il pas le modèle du Wald Disney?
château de Neuschwanstein est installé en Bavière, aux pieds des Alpes. Walt Disney s'est inspiré de son architecture lorsqu'il a imaginé le chateau de la Belle au Bois Dormant

PETRA EN JORDANIE.

Pétra, le site le plus magique du Proche-Orient (élu parmi les nouvelles merveilles du monde par des millions d’internautes) est une double merveille, naturelle et architecturale.

Naturelle d’abord, avec ses défilés, comme le Siq, et ses falaises de grés aux dessins colorés. Pétra tire son nom du grec « pierre » ou « roche », mais son premier nom était « Reqmu » qui signifie multicolore. Ces deux noms correspondent bien à la particularité de Petra où les grés des roches déchiquetées, façonnés par le vent et le sable, donnent au site son extraordinaire palette de couleurs qui s’étend du jaune au violet en passant par l’orange, le rouge, le vert et le bleu

Marie-jo 17 a écrit:

le Neuschwanstein
chateaux aux formes romantiques ,presque un conte de fées!
n'est-il pas le modèle du Wald Disney?

Effectivement, il est magnifique. Je crois qu'il se trouve en Bavière, en Allemagne.

Brumes, tu tâcheras d'apprendre à prononcer ce nom pour notre prochaine rencontre...

et que penser de ceci?

Ce n'est pas à proprement parler un monument, mais je viens de voir un reportage sur National Geographic Channel, sur les îles artificielles au large de Dubaï.
Complètement dingue ????
Le plus drôle dans l'histoire, c'est que tout le sable nécessaire dans ce projet vient d'ailleurs que de Dubai Le sable du désert de Dubai ne permet pas un compactage suffisant, donc les milliards de tonnes (!) des projets ont été aspirés par d'énormes bateaux au large de Dubai puis recrachées pour former ces ensembles. Des hommes parcouraient constamment les "côtes" du projet avec une balise GPS pour s'assurer de l'exactitude du tracé.
Les problèmes rencontrés étaient les suivants :

logistique
courants marins qui ont disparu à l'intérieur du palmier et donc des problèmes d'eau stagnante C'est d'ailleurs ce qui explique les deux ouvertures dans le bouclier qui entoure le palmier. Elles n'étaient pas prévues mais sont nécessaires au renouvellement de l'eau.
courant marin qui longeait la côté naturelle qui a été artificiellement détourné et qui a donc creusé le front de mer par endroits menaçant même les habitations en bordure de plage

Marie-jo 17 a écrit:

et que penser de ceci?

Ils sont complètement fous. Tout ça pour faire du fric ! Encore une réalisation contre nature même si ça demeure un exploit d'architecture !

Nelly a écrit:

Marie-jo 17 a écrit:

et que penser de ceci?

Ils sont complètement fous. Tout ça pour faire du fric ! Encore une réalisation contre nature même si ça demeure un exploit d'architecture !

oui, mais il faut savoir, que comme ce lagon , n'a plus de marrée, l'eau y est très polluée, alors je ne vois pas bien l'intérêt ??????
car cette belle image ,aux eaux bleu, est en fait empoisonnée

la grande muraille de chine

La Grande Muraille de Chine serait le seul monument terrestre visible depuis la lune...

Long de plus de 6000 kilomètres, ce mur de 10 mètres de large et de plus de 15 mètres de haut a une très longue histoire. C'est sous la dynastie des Qin (221 - 206 av. JC. ) que l'Empereur «Shihuangdi» ordonna que l'on relie tous les vieux murs pour édifier une ligne continue de murs.

L'objectif de cet immense rempart était de lutter contre les incursions des nomades Mongols du Nord. En fait, c'était une ligne de démarcation entre le monde civilisé et le monde barbare. La Grande Muraille était très bien conçue. A intervalles réguliers, se dressaient des tours de guet. Pour prévenir la capitale de l'époque du danger

MONASTERE DES METEORES en Grèce
Meteores surplombent le village de Kastraki
Les monastères des Météores, suspendus dans les airs (du grec Μετέωρα Μοναστήρια monastères suspendus dans les airs) sont situés à proximité de la petite ville de Kalampaka (ex Stagi) dans la plaine de Thessalie en Grèce.

Kalampaka se trouve à 349 km d'Athènes et à 21 km de Trikala.


Les monastères des Météores représentent le plus grand groupe de monastères en Grèce après celui du Mont Athos.
cet utilisateur)

Au nord-est de la plaine thessalienne s'élèvent les Météores, pitons de grès sculptés par l'érosion fluviale au cours de l'ère tertiaire. Des moines s'y sont installés dès le XIe siècle, cherchant la solitude au sommet de ces éminences rocheuses. Ils ont peu à peu formé une importante communauté d'ermites et, entre le XIVe et le XVIe siècle, ont construit vingt-quatre monastères perchés entre 200 et 600 m d'altitude au-dessus de la vallée du Pinde. Longtemps ces édifices sont restés difficilement accessibles, treuils et cordages étant les seuls moyens d'y pénétrer. Ce n'est qu'à partir de 1920 que furent installés des escaliers et des passerelles permettant aux touristes de visiter ces sites, inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1988. La plupart de ces Meteorisa monastiria (monastères suspendus) sont aujourd'hui en ruine. Seuls cinq d'entre eux, dont trois habités, sont encore a visités.

L'ERMITAGE
extérieur et interieur
musée de l’Ermitage est l'ancien Palais d'Hiver, œuvre de l’architecte Rastrelli de style baroque située en plein centre de la ville sur la Place des Palais. Son nom vient d’une partie appelée l’Ermitage, où la reine Catherine la Grande recevait ses invités et exposait sa collection de tableaux de grands peintres.

Ouvert au public en 1852 (à la fin du règne de Nicolas I), le musée compte aujourd’hui environ 3 millions d’œuvres d'art dont seulement 5% sont exposées dans ses salles.

Les expositions sont variées : collections de l’histoire préhistorienne, antiquité, collection numismatique, d’art oriental, d'or scythe, d’histoire de la culture russe, sans parler des collections d’art occidental… Ce musée à lui seul justifie le voyage à Saint-Pétersbourg

Nelly a écrit:

Marie-jo 17 a écrit:

le Neuschwanstein
chateaux aux formes romantiques ,presque un conte de fées!
n'est-il pas le modèle du Wald Disney?

Effectivement, il est magnifique. Je crois qu'il se trouve en Bavière, en Allemagne.

Brumes, tu tâcheras d'apprendre à prononcer ce nom pour notre prochaine rencontre...

-- Qu'à cela ne tienne, j'ai fait 5 ans d'Allemand, il n'en reste pas grand chose, mais je dois encore bien prononcer.

Je trouve ce château de Louis II de Bavière splendide. Il avait des "papillons sous l'abat-jour"... -voir la rubrique adéquate-, mais il avait de l'imagination.(Louis bien sûr)

Tiens il faudra que je cherche, sa fin n'est peut-être pas ce qui a été déclaré officiellement.

Aux pieds de la montagne Sainte-Victoire et de ses voisines, perché sur le tertre que forme le village, le château de Vauvenargues dresse ses deux tours et son toit de tuiles rouges. Edifié en 1257 par les archevêques d'Aix-en-Provence, il change d'allure à mesure que ses différents propriétaires se succèdent : deux tours au XIVe siècle, puis une enceinte au XVIe siècle, il garde aujourd' hui, si ce n'était sa couleur brique, une austérité toute nordique. Des générations de grandes familles se transmettent le château durant des siècles, jusqu'à sa vente en 1943 à trois industriels marseillais. Dès lors, la belle bâtisse n'est plus vraiment habitée et fait même, un temps, office de colonie de vacances pour les enfants du personnel de la Marine marchande. C'est en 1958 que Picasso, épuisé de l'effervescence cannoise, rachète le château pour y peindre en paix. Bien qu'il n'y ait vécu que quelques années, jusqu'en 1961 et qu'il décède à Mougins en 1973, sa compagne Jacqueline le fera enterrer dans le parc, où elle le rejoindra quelques années plus tard. Entre-temps, le lieu est resté la propriété de la famille de cette dernière et ouvre enfin, en 2009, ses grilles au public. On peut donc y découvrir d'immenses pièces de chaux blanches, un mobilier imposant mais rare et la lumière presque fluorescente qui y règne, grâce à la montagne que l'on voit bien plus que le ciel. L'âme du maître y flotte encore, baignée de lumière et de verdure.

L'histoire du château

1 - La chronique historique

Les monuments anciens, ces " vieilles pierres " que nous voulons témoins des siècles passés, sont en même temps un obstacle à la connaissance d’un autrefois plus vaste, qui tend à disparaître derrière les vestiges qui nous arrêtent aujourd’hui. Ainsi le château qui se dresse sur le bord de l’Yaigne à Châteaugiron est muet sur les siècles de vie qui l’ont précédé et s’il nous impose aujourd’hui un peu du respect que l’on a pour le grand âge, il peut nous faire oublier qu’il n’est finalement qu’à mi-chemin entre notre époque et celle de la naissance d’une vocation militaire qu’il symbolise aujourd’hui.

La chronique historique nous dit qu’au XIe siècle le nom de Châteaugiron (ou Chatel Gironis) entre dans l’histoire du Duché de Bretagne, mais il est probable que l’occupation militaire du site est plus ancienne. Certains archéologues affirment en effet, que dès le VIe siècle, les Comtes de Rennes firent aménager un site fortifié dont quelques vestiges furent mis à jour, au hasard des travaux de voirie, dans la rue du Porche (il s’agissait des restes d’une enceinte). Nous retrouvons trace d’une autre construction vers la fin du Xe siècle, dans les soubassements d’une tour transformée par la suite en colombier et située dans l’angle nord-est des jardins (elle a aujourd’hui totalement disparue).

Mais, tous ces éléments sont aujourd’hui invérifiables et si l’on s’en tient uniquement aux preuves écrites, c’est seulement au XIe siècle que l’occupation du site est certifiée. Il est en effet question à cette époque du " Castro Ansquetilli ", le château d’Ansquetil et plus tard du Castro Gironis, filio Ansquetilli ", le château de Giron, fils d’Ansquetil – On sait d’autre part qu’Ansquetil meurt en 1039 et laisse ses titres à son fils Giron qui fonde par ailleurs le prieuré Sainte-Croix (en 1060).
A voir en Bretagne !