Citations en vrac

A toi, Kitara.

Citation :

Il n'y a pas de bonheur intelligent.
Jean Rostand

Si cette citation veut dire qu'il ne faut pas être intelligent pour gouter au bonheur, je ne suis pas tout à fait d'accord.
Mais ça peut aussi vouloir dire qu'il n'y a pas d'intelligence dans le bonheur car ce n'est pas un état mental...

Kitara a écrit:

Citation :

Il n'y a pas de bonheur intelligent.
Jean Rostand

Si cette citation veut dire qu'il ne faut pas être intelligent pour gouter au bonheur, je ne suis pas tout à fait d'accord.

Je pense que tout un chacun peut goûter au bonheur, même sans intelligence. Il suffit d'apprécier ce qui nous est donné.

Kitara a écrit:

Mais ça peut aussi vouloir dire qu'il n'y a pas d'intelligence dans le bonheur car ce n'est pas un état mental...

Je pense que c'est plutôt de cet ordre. D'ailleurs, crois-tu que les plus intelligents soient les plus heureux ? Souvent, ils ont d'autres priorités qu'ils croient essentielles.

Intelligents ou pas, l'essentiel n'est-il pas d'apprécier ce dont nous disposons ? Je crois que certains sont très heureux avec très peu de choses alors que d'autres ne sont contents avec rien. Toujours à récriminer et, en général, c'est de la faute des autres, à leur avis. Peut-être est-ce également une forme d'intelligence : apprécier ce que nous avons.

A toi, Anémone.

Lorsque l'on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n'est pas forcément le pot qui est vide.
Confucius
Philosophe


Bien des gens qui se croient supérieurs devraient s'analyser et essayer de comprendre les autres...

anémone a écrit:

Lorsque l'on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n'est pas forcément le pot qui est vide.
Confucius
Philosophe

Bien des gens qui se croient supérieurs devraient s'analyser et essayer de comprendre les autres...

Aïe, c'est dur ! En même temps, pour certains, il est bon qu'il en soit ainsi pour qu'ils se rendent compte de leur stupidité et de leur arrogance, souvent.

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Lorsque l'on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n'est pas forcément le pot qui est vide.
Confucius
Philosophe

Bien des gens qui se croient supérieurs devraient s'analyser et essayer de comprendre les autres...

Aïe, c'est dur ! En même temps, pour certains, il est bon qu'il en soit ainsi pour qu'ils se rendent compte de leur stupidité et de leur arrogance, souvent.

c'est plutôt leur entourage qui en est conscient,eux ils continuent de perrorer!

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Lorsque l'on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n'est pas forcément le pot qui est vide.
Confucius
Philosophe

Bien des gens qui se croient supérieurs devraient s'analyser et essayer de comprendre les autres...

Aïe, c'est dur ! En même temps, pour certains, il est bon qu'il en soit ainsi pour qu'ils se rendent compte de leur stupidité et de leur arrogance, souvent.

c'est plutôt leur entourage qui en est conscient,eux ils continuent de perrorer!

C'est vrai, sauf s'ils se cognent correctement la tête...

A toi, Marie-Jo.

Nelly a écrit:

A toi, Marie-Jo.

Celui non occupé à naître est occupé à mourir.
Bob Dylan

chaque jour que nous vivons est une nouvelle naissance,on apprend encore et toujours ,ce qui enrichi notre vie.
Celui qui croit plus rien apprendre a un pied déjà dans la tombe.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

A toi, Marie-Jo.

Celui non occupé à naître est occupé à mourir.
Bob Dylan

chaque jour que nous vivons est une nouvelle naissance,on apprend encore et toujours ,ce qui enrichi notre vie.
Celui qui croit plus rien apprendre a un pied déjà dans la tombe.

Oui, il faut essayer de s'instruire, de connaitre, même si on ne retient pas tout, il restera toujours en mémoire des morceaux.

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

Celui non occupé à naître est occupé à mourir.
Bob Dylan

chaque jour que nous vivons est une nouvelle naissance,on apprend encore et toujours ,ce qui enrichi notre vie.
Celui qui croit plus rien apprendre a un pied déjà dans la tombe.

Oui, il faut essayer de s'instruire, de connaitre, même si on ne retient pas tout, il restera toujours en mémoire des morceaux.

Effectivement, il est bon d'être curieux de tout.

J'avoue qu'en ce moment, j'aimerais que les nouveautés restent au placard, car elles sont rarement bonnes. Cet après-midi, je me rendrai à l'hôpital où est hospitalisée ma cousine dont le fils habite à Paris. Ce dernier m'a téléphoné pour me demander de passer la voir, si je le voulais bien, car après une chute, elle s'est fracturé l'humérus. Or, après l'anesthésie, elle est totalement dérangée, a voulu se sauver de l'hosto, demande à son fils d'appeler la police, etc. Je suis censée aller lui parler pour essayer de la rassurer et la calmer. Son fils arrive demain soir...

A toi, Kitara.

Citation :

La folie n'est qu'une déviation de notre propre définition de la normalité.
Julien Leullier

Moi aussi, je suis en ce moment confronté à des gens qui perdent la tête dans mon entourage.
Bien qu'il y ait des choses qui se rajoutent particulièrement en ce moment, ce n'est pas très nouveau pour moi car je suis depuis longtemps entourée de personnes avec des troubles psy plus ou moins grave, mais qui vont jusqu'à la psychose paranoïaque avec hallucinations.
Faut gérer ça, et j'avoue que j'en ai vraiment assez, ce sont beaucoup de sacrifices, et quand c'est fréquent, c'est sa propre santé mentale qui peut en faire les frais.
Mais comment laisser tomber ses proches sans culpabiliser, ce qui n'est pas bon non plus ?

Trouver la mesure entre le service qu'on rend, qu'on considère comme normal ou dû, et la tranquillité à laquelle on aspire, je trouve que ce n'est pas facile.

Et pour en revenir à la citation, je peux constater que certaines personnes arrivent très bien à s'accommoder avec leur folie, et vivent presque normalement, même si c'est avec leur point de vue. Ca pose donc question sur la norme.

Par contre, quand on se met en danger ou qu'on met en danger les autres, là il n'y a pas photo...

Kitara a écrit:

Citation :

La folie n'est qu'une déviation de notre propre définition de la normalité.
Julien Leullier

Moi aussi, je suis en ce moment confronté à des gens qui perdent la tête dans mon entourage.
Bien qu'il y ait des choses qui se rajoutent particulièrement en ce moment, ce n'est pas très nouveau pour moi car je suis depuis longtemps entourée de personnes avec des troubles psy plus ou moins grave, mais qui vont jusqu'à la psychose paranoïaque avec hallucinations.
Faut gérer ça, et j'avoue que j'en ai vraiment assez, ce sont beaucoup de sacrifices, et quand c'est fréquent, c'est sa propre santé mentale qui peut en faire les frais.
Mais comment laisser tomber ses proches sans culpabiliser, ce qui n'est pas bon non plus ?

Tout dépend de ce que tu entends par "proches".
Dans le cas dont je parlais, j'ai rendu un service au fils qui ne connaissait sans doute personne dans son entourage à qui demander ce service. Il m'avait entendue discuter avec sa mère paisiblement et s'est dit que je saurais la calmer. Quand je suis arrivée chez ma cousine, ça s'est finalement bien passé. Par contre, son fils va avoir du mal avec sa mère : elle ne peut plus vivre seule, ne veut pas aller chez son fils en région parisienne, ne veut aucun étranger chez elle et n'acceptera probablement pas d'aller en EHPAD. En temps normal, elle discute sans problème, mais fait des vertiges. Elle tombe et s'est retrouvée hospitalisée trois fois pour ces raisons.
Comment faire ?

De plus, ses neveux et nièces ne sont pas vaccinés... totalement opposés. Ils ne pourront donc pas lui rendre visite à l'hôpital.  

Kitara a écrit:

Trouver la mesure entre le service qu'on rend, qu'on considère comme normal ou dû, et la tranquillité  à laquelle on aspire, je trouve que ce n'est pas facile.

Tu as totalement raison. Pas facile de faire la part des choses et de s'accommoder avec son éventuelle culpabilité.

Kitara a écrit:

Et pour en revenir à la citation, je peux constater que certaines personnes arrivent très bien à s'accommoder avec leur folie, et vivent presque normalement, même si c'est avec leur point de vue. Ca pose donc question sur la norme.

Par contre, quand on se met en danger ou qu'on met en danger les autres, là il n'y a pas photo...

Eh oui, c'est tout le problème : se mettre en danger. Ma cousine oublie par exemple d'éteindre son gaz. Elle le sent, alors elle aère, mais ne pense pas à ferme le gaz.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

La folie n'est qu'une déviation de notre propre définition de la normalité.
Julien Leullier

Moi aussi, je suis en ce moment confronté à des gens qui perdent la tête dans mon entourage.
Bien qu'il y ait des choses qui se rajoutent particulièrement en ce moment, ce n'est pas très nouveau pour moi car je suis depuis longtemps entourée de personnes avec des troubles psy plus ou moins grave, mais qui vont jusqu'à la psychose paranoïaque avec hallucinations.
Faut gérer ça, et j'avoue que j'en ai vraiment assez, ce sont beaucoup de sacrifices, et quand c'est fréquent, c'est sa propre santé mentale qui peut en faire les frais.
Mais comment laisser tomber ses proches sans culpabiliser, ce qui n'est pas bon non plus ?

Tout dépend de ce que tu entends par "proches".
Dans le cas dont je parlais, j'ai rendu un service au fils qui ne connaissait sans doute personne dans son entourage à qui demander ce service. Il m'avait entendue discuter avec sa mère paisiblement et s'est dit que je saurais la calmer. Quand je suis arrivée chez ma cousine, ça s'est finalement bien passé. Par contre, son fils va avoir du mal avec sa mère : elle ne peut plus vivre seule, ne veut pas aller chez son fils en région parisienne, ne veut aucun étranger chez elle et n'acceptera probablement pas d'aller en EHPAD. En temps normal, elle discute sans problème, mais fait des vertiges. Elle tombe et s'est retrouvée hospitalisée trois fois pour ces raisons.
Comment faire ?

De plus, ses neveux et nièces ne sont pas vaccinés... totalement opposés. Ils ne pourront donc pas lui rendre visite à l'hôpital.  

Kitara a écrit:

Trouver la mesure entre le service qu'on rend, qu'on considère comme normal ou dû, et la tranquillité  à laquelle on aspire, je trouve que ce n'est pas facile.

Tu as totalement raison. Pas facile de faire la part des choses et de s'accommoder avec son éventuelle culpabilité.

Kitara a écrit:

Et pour en revenir à la citation, je peux constater que certaines personnes arrivent très bien à s'accommoder avec leur folie, et vivent presque normalement, même si c'est avec leur point de vue. Ca pose donc question sur la norme.

Par contre, quand on se met en danger ou qu'on met en danger les autres, là il n'y a pas photo...

Eh oui, c'est tout le problème : se mettre en danger. Ma cousine oublie par exemple d'éteindre son gaz. Elle le sent, alors elle aère, mais ne pense pas à ferme le gaz.

Pour moi c'est des proches très proches.

Effectivement, la notion de danger est essentielle. pour le reste, on peut faire avec, parfois !

A toi, Morgan.

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Morgan Kane a écrit:

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Sans doute, mais peut-on encore imaginer vivre sans cela actuellement ? Il est souvent nécessaire d'être "outillé" pour ne pas se faire attaquer !

D'un autre côté, faut-il laisser les fous (je pense au Talibans) s'en prendre aux femmes ou à ceux qui ont travaillé pour d'autres pays ?

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Sans doute, mais peut-on encore imaginer vivre sans cela actuellement ? Il est souvent nécessaire d'être "outillé" pour ne pas se faire attaquer !

D'un autre côté, faut-il laisser les fous (je pense au Talibans) s'en prendre aux femmes ou à ceux qui ont travaillé pour d'autres pays ?

Un mal nécessaire?

Le problème survient quand l'outil détermine la politique au lieu d'être à son service.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Sans doute, mais peut-on encore imaginer vivre sans cela actuellement ? Il est souvent nécessaire d'être "outillé" pour ne pas se faire attaquer !

D'un autre côté, faut-il laisser les fous (je pense au Talibans) s'en prendre aux femmes ou à ceux qui ont travaillé pour d'autres pays ?

Un mal nécessaire?

Le problème survient quand l'outil détermine la politique au lieu d'être à son service.

Tout à fait d'accord. Mais que faire quand on a affaire à des insensés ?

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Sans doute, mais peut-on encore imaginer vivre sans cela actuellement ? Il est souvent nécessaire d'être "outillé" pour ne pas se faire attaquer !

D'un autre côté, faut-il laisser les fous (je pense au Talibans) s'en prendre aux femmes ou à ceux qui ont travaillé pour d'autres pays ?

Un mal nécessaire?

Le problème survient quand l'outil détermine la politique au lieu d'être à son service.

Tout à fait d'accord. Mais que faire quand on a affaire à des insensés ?

La guerre?

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Sans doute, mais peut-on encore imaginer vivre sans cela actuellement ? Il est souvent nécessaire d'être "outillé" pour ne pas se faire attaquer !

D'un autre côté, faut-il laisser les fous (je pense au Talibans) s'en prendre aux femmes ou à ceux qui ont travaillé pour d'autres pays ?

Un mal nécessaire?

Le problème survient quand l'outil détermine la politique au lieu d'être à son service.

Tout à fait d'accord. Mais que faire quand on a affaire à des insensés ?

La guerre?

Tu ne parles pas sérieusement ? Et la guerre sans armes ?

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Dwight D. Eisenhower le 16 avril 1953 a écrit:

Chaque canon fabriqué, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée constitue, en fait, un vol commis au détriment de ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, de ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas de l'argent seul.

Intéressant dans la bouche d'un président des USA, ex général en chef en Europe, qui est le premier à avoir dénoncé le complexe militaro industriel que nous avons vu à l'oeuvre en Irak, notamment.

Sans doute, mais peut-on encore imaginer vivre sans cela actuellement ? Il est souvent nécessaire d'être "outillé" pour ne pas se faire attaquer !

D'un autre côté, faut-il laisser les fous (je pense au Talibans) s'en prendre aux femmes ou à ceux qui ont travaillé pour d'autres pays ?

Un mal nécessaire?

Le problème survient quand l'outil détermine la politique au lieu d'être à son service.

Tout à fait d'accord. Mais que faire quand on a affaire à des insensés ?

La guerre?

Tu ne parles pas sérieusement ? Et la guerre sans armes ?

Il y a un moment où la guerre est inévitable, cf. l'Allemagne de 1939. Et bien entendu, il faut des armes.

Mais la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens. Le militaire et le fabricant d'armes doivent être au service de la politique de l'Etat, pas dicter celle-ci.

A toi, Anémone.

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.


Léonard de Vinci

C'est certain pas déçu mais quelle tristesse de s'isoler, de s'entourer de vide..

anémone a écrit:

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.


Léonard de Vinci

C'est certain pas déçu mais quelle tristesse de s'isoler, de s'entourer de vide..

En effet, et puis être dans le soupçon pour tout le monde, ça entraine des attitudes en face qui ne sont pas positives non plus.

Kitara a écrit:

anémone a écrit:

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.


Léonard de Vinci

C'est certain pas déçu mais quelle tristesse de s'isoler, de s'entourer de vide..

En effet, et puis être dans le soupçon pour tout le monde, ça entraine des attitudes en face qui ne sont pas positives non plus.

triste constat ,pour ma part je préfère avoir fais confiance jusqu'a preuve du contraire,cela isole moins!

marie-josé a écrit:

Kitara a écrit:

anémone a écrit:

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.

Léonard de Vinci

C'est certain pas déçu mais quelle tristesse de s'isoler, de s'entourer de vide..

En effet, et puis être dans le soupçon pour tout le monde, ça entraine des attitudes en face qui ne sont pas positives non plus.

triste constat ,pour ma part je préfère avoir fais confiance jusqu'a preuve du contraire,cela isole moins!

Je trouve que c'est un gros défaut de ne faire confiance à personne ! Certes, il faut se méfier, mais nous avons notre sensibilité et nos repères. Il ne s'agit pas de faire confiance au premier inconnu, loin s'en faut, mais on doit pouvoir reconnaître ceux à qui on peut faire confiance. Oui, il peut y avoir des déceptions, mais elles font partie de la vie.

Je crois que la personne qui applique ce genre de règle doit être très isolé et autoritaire. Quand on ne fait pas confiance, il y a des moments où il faut imposer, non ? On ne peut pas tout faire soi-même !

Certes, Léonard parlait peut-être de sa peinture, donc d'un seul aspect de sa vie. Quand on fait un certain travail, on ne peut pas laisser d'autres intervenir et ce, dans de nombreux domaines, mais il ne faut pas que cela implique la généralité.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Kitara a écrit:

anémone a écrit:

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.

Léonard de Vinci

C'est certain pas déçu mais quelle tristesse de s'isoler, de s'entourer de vide..

En effet, et puis être dans le soupçon pour tout le monde, ça entraine des attitudes en face qui ne sont pas positives non plus.

triste constat ,pour ma part je préfère avoir fais confiance jusqu'a preuve du contraire,cela isole moins!

Je trouve que c'est un gros défaut de ne faire confiance à personne ! Certes, il faut se méfier, mais nous avons notre sensibilité et nos repères. Il ne s'agit pas de faire confiance au premier inconnu, loin s'en faut, mais on doit pouvoir reconnaître ceux à qui on peut faire confiance. Oui, il peut y avoir des déceptions, mais elles font partie de la vie.

Je crois que la personne qui applique ce genre de règle doit être très isolé et autoritaire. Quand on ne fait pas confiance, il y a des moments où il faut imposer, non ? On ne peut pas tout faire soi-même !

Certes, Léonard parlait peut-être de sa peinture, donc d'un seul aspect de sa vie. Quand on fait un certain travail, on ne peut pas laisser d'autres intervenir et ce, dans de nombreux domaines, mais il ne faut pas que cela implique la généralité.

Leonard avait beaucoup d'élèves et déléguait beaucoup,alors je ne pense pas que cela se référait à sa peinture,mais peut être à ses idées avangardistes des appareils qu'ils inventait pour l'époque,et là il ne ne pouvait que travailler seul car il était était considéré comme plutôt farfelu et trop avancé pour son époque.

C'est à Marie-Jo.

Nelly a écrit:

C'est à Marie-Jo.

Si tu essayes de faire de ta vie un bilan comptable, ne retiens que les moments de bonheur sinon, tu risques de te plonger dans des remords profonds.


Mostefa Khellaf



c'est bien vrai,et souvent cela se fait tout naturellement,car quand on a un caractère positif,on ne retient que les joies et oublie les peines.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

C'est à Marie-Jo.

Si tu essayes de faire de ta vie un bilan comptable, ne retiens que les moments de bonheur sinon, tu risques de te plonger dans des remords profonds.


Mostefa Khellaf



c'est bien vrai,et souvent cela se fait tout naturellement,car quand on a un caractère positif,on ne retient que les joies et oublie les peines.

Malgré les aléas de la vie, tous les petits bonheurs de chaque jour nous permettent d'aller de l'avant.
Il n'est pas toujours évident de faire face à certains malheurs et ceux qui ont grande force de caractère doivent soutenir les autres qui n'ont pas cette chance.

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

Si tu essayes de faire de ta vie un bilan comptable, ne retiens que les moments de bonheur sinon, tu risques de te plonger dans des remords profonds.

Mostefa Khellaf

c'est bien vrai,et souvent cela se fait tout naturellement,car quand on a un caractère positif,on ne retient que les joies et oublie les peines.

Malgré les aléas de la vie, tous les petits bonheurs de  chaque jour nous permettent d'aller de l'avant.
Il n'est pas toujours évident de faire face à certains malheurs et ceux qui ont grande force de caractère doivent soutenir les autres qui n'ont pas cette chance.

Superbe, cet esprit de bienveillance dont tu parles, Anémone, d'autant plus que c'est à la portée de tout un chacun, de différentes manières. La vie serait un paradis si tout le monde appliquait ce principe : être à l'écoute des problèmes des autres et agir en conséquence !

Quant au bilan comptable dont parle Marie Jo, il est difficile à faire. Certains événement sont imprimés en nous et prennent parfois le dessus quand nous essayons de réfléchir à notre vie passée. Certains souvenirs nous marquent plus que d'autres, parfois à tort.

C'est à Kitara.

Citation :

La vie est un livre, parce qu'elle n'est pas muette et celui qui sait la lire devient libre, parce que sa vie se remplit de sens.

Bertrand-Vergely

Je suis assez d'accord sur l'importance du sens que l'on trouve à sa vie, et aussi sur le fait que trouver ce sens rend libre.

Beaucoup de choses découlent du fait de trouver le sens ou pas.

Kitara a écrit:

Citation :

La vie est un livre, parce qu'elle n'est pas muette et celui qui sait la lire devient libre, parce que sa vie se remplit de sens.

Bertrand-Vergely

Je suis assez d'accord sur l'importance du sens que l'on trouve à sa vie, et aussi sur le fait que trouver ce sens rend libre.

Beaucoup de choses découlent du fait de trouver le sens ou pas.

Je suis dubitative par rapport au fait que celui qui sait lire la vie devient libre.

Certes, il est extrêmement important que celle-ci ait un sens, sinon nous n'aurions pas envie d'avancer, mais quand les attaches nous retiennent, où est la liberté ? Et les liens peuvent être nombreux : physiques, psychologiques ou sentimentaux. De plus, il est difficile de départager les griffes les plus importantes pour nous. Parce qu'il faut peut-être rajouter que nous acceptons ou rejetons certains liens en fonction de notre propre point de vue.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

La vie est un livre, parce qu'elle n'est pas muette et celui qui sait la lire devient libre, parce que sa vie se remplit de sens.

Bertrand-Vergely

Je suis assez d'accord sur l'importance du sens que l'on trouve à sa vie, et aussi sur le fait que trouver ce sens rend libre.

Beaucoup de choses découlent du fait de trouver le sens ou pas.

Je suis dubitative par rapport au fait que celui qui sait lire la vie devient libre.

Certes, il est extrêmement important que celle-ci ait un sens, sinon nous n'aurions pas envie d'avancer, mais quand les attaches nous retiennent, où est la liberté ? Et les liens peuvent être nombreux : physiques, psychologiques ou sentimentaux. De plus, il est difficile de départager les griffes les plus importantes pour nous. Parce qu'il faut peut-être rajouter que nous acceptons ou rejetons certains liens en fonction de notre propre point de vue.

Avoir des liens n'empêche pas d'être libre, à mon sens.
Pour ma part, je considère qu'on est libre quand on se sent libre.

Kitara a écrit:

Pour ma part, je considère qu'on est libre quand on se sent libre.

Disons que c'est une condition nécessaire, mais pas toujours suffisante!

Morgan Kane a écrit:

Kitara a écrit:

Pour ma part, je considère qu'on est libre quand on se sent libre.

Disons que c'est une condition nécessaire, mais pas toujours suffisante!

Peut-on se sentir libre sans ce sentiment de l'être ? Certains le sont réellement tout en se sentant enclavés dans leur monde à eux. En fait, ils ne se sentent pas libres du tout, tout en sachant qu'ils le sont. Je ne sais pas si je me fais bien comprendre.
Il en est qui ne font pas ce qui leur plairait par peur du qu'en dira-t-on, par exemple ! Est-on réellement libre, dans ce cas ? En fait, on peut se mettre soi-même des barrières !

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Kitara a écrit:

Pour ma part, je considère qu'on est libre quand on se sent libre.

Disons que c'est une condition nécessaire, mais pas toujours suffisante!

Peut-on se sentir libre sans ce sentiment de l'être ? Certains le sont réellement tout en se sentant enclavés dans leur monde à eux. En fait, ils ne se sentent pas libres du tout, tout en sachant qu'ils le sont. Je ne sais pas si je me fais bien comprendre.
Il en est qui ne font pas ce qui leur plairait par peur du qu'en dira-t-on, par exemple ! Est-on réellement libre, dans ce cas ? En fait, on peut se mettre soi-même des barrières !

Nous sommes d'accord, je parlais d'une condition nécessaire.

Mais, réciproquement, certains se croient libres, se sentent libres, alors qu'ils sont victimes de leurs préjugés, de leurs peurs …

A toi, Morgan.

[url=Paulo Coelho]Aimer, c'est risquer le rejet. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c'est risquer l'échec. Risquer est une nécessité. Seul celui qui ose risquer est vraiment libre. [/url]

Pour prolonger ce qui précède.

Cette citation me paraît profondément juste.

Mais je dirais là encore que savoir risquer est nécessaire mais insuffisant pour être libre !

Morgan Kane a écrit:

[url=Paulo Coelho]Aimer, c'est risquer le rejet. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c'est risquer l'échec. Risquer est une nécessité. Seul celui qui ose risquer est vraiment libre. [/url]

Pour prolonger ce qui précède.

Cette citation me paraît profondément juste.

Mais je dirais là encore que savoir risquer est nécessaire mais insuffisant pour être libre !

Parfois un risque qui tourne mal peut accesoirement nous priver de la liberté,ou nous rendre redevable a vie!

marie-josé a écrit:

Morgan Kane a écrit:

[url=Paulo Coelho]Aimer, c'est risquer le rejet. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c'est risquer l'échec. Risquer est une nécessité. Seul celui qui ose risquer est vraiment libre. [/url]

Pour prolonger ce qui précède.

Cette citation me paraît profondément juste.

Mais je dirais là encore que savoir risquer est nécessaire mais insuffisant pour être libre !

Parfois un risque qui tourne mal peut accesoirement nous priver de la liberté,ou nous rendre redevable a vie!

Là, tu parles de prises de risques en dépit des règles et des lois. En dehors de ceux-ci, il y a ceux que nous prenons dans la vie courante : le mariage en est un exemple. D'ailleurs, Paulo Coelho donnait d'autres exemples.

Pourtant, nous ne pouvons pas vivre sans prendre de risques, ou alors partons sur une île déserte, mais même là, on risque de mourir de faim ou de soif.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Morgan Kane a écrit:

[url=Paulo Coelho]Aimer, c'est risquer le rejet. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c'est risquer l'échec. Risquer est une nécessité. Seul celui qui ose risquer est vraiment libre. [/url]

Pour prolonger ce qui précède.

Cette citation me paraît profondément juste.

Mais je dirais là encore que savoir risquer est nécessaire mais insuffisant pour être libre !

Parfois un risque qui tourne mal peut accesoirement nous priver de la liberté,ou nous rendre redevable a vie!

Là, tu parles de prises de risques en dépit des règles et des lois. En dehors de ceux-ci, il y a ceux que nous prenons dans la vie courante : le mariage en est un exemple. D'ailleurs, Paulo Coelho donnait d'autres exemples.

Pourtant, nous ne pouvons pas vivre sans prendre de risques, ou alors partons sur une île déserte, mais même là, on risque de mourir de faim ou de soif.

Rien que le fait de vivre est un risque en effet, celui de mourir, et en plus un risque qu'on atteindra à 100 % ! et tout au long de notre vie, nous prenons aussi des risques, et chacun les calcule à sa façon. C'est ce qui fait l'aventure de la vie, et c'est dans cette souveraineté de décision que nous trouvons notre liberté.

C'est à Anémone.

Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler, des racines pour revenir, et des raisons de rester.

Dalaï Lama

C'est une façon de voir le bonheur....

anémone a écrit:

Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler, des racines pour revenir, et des raisons de rester.

Dalaï Lama

C'est une façon de voir le bonheur....

c'est surtout une façon de s"approprier quelcun mais de maniére gentille.

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler, des racines pour revenir, et des raisons de rester.

Dalaï Lama

C'est une façon de voir le bonheur....

c'est surtout une façon de s"approprier quelcun mais de maniére gentille.

Pourquoi se l'approprier ? Il me semble que c'est la liberté, au contraire ! Certains coupent les ailes à ceux qu'ils veulent garder près d'eux !