Citations en vrac 4/2011

Citation :

Non...j'ai une amie, directrice d'un
centre , qui dit qu'il faut commencer à la base, puis gravir tous les
échelons avant d'être un responsable éclairé.

En principe OUI ! Mais combien l'oublient quand ils sont au sommet ?

Il n'y a rien de plus terrible qu'un nouveau parvenu... j'en ai connu des tas !

stip a écrit:

Dans l'entreprise idéale, les employés seraient non seulement capables de se parler mais également de se comprendre. La conversation est le seul moyen de stimuler le cerveau.
[Theodore Zeldin]

J'aime beaucoup la conviction de Théodore.

Et tu y crois ?

stip a écrit:

Brumes a écrit:

De toute façon, sans faire de la science fiction, nous vivons dans des mondes parallèles, un grand couturier peut-il comprendre les problèmes d'un ouvrier maçon ?

Non...j'ai une amie, directrice d'un centre , qui dit qu'il faut commencer à la base, puis gravir tous les échelons avant d'être un responsable éclairé.

Il s'agit effectivement d'une bonne formule, mais il n'est pas toujours possible de l'appliquer. Certains stages devraient permettre à des élites d'apprendre à voir fonctionner la base. Encore faut-il s'y intégrer à fond et ne pas le prendre comme une corvée dont il faut se débarrasser au plus vite !

stip a écrit:

Certaines fonctions appellent effectivement à décider, juger, évaluer, diriger l'action des autres.

On peut poser la question différemment : un ouvrier-maçon peut-il comprendre les problèmes d'un grand couturier ? En réalité, les uns ne vont pas sans les autres. Nous sommes tous différents et devons faire des efforts d'adaptation.

stip a écrit:

Impossible d'effectuer tout ceci honnêtement, sans y être passé soi-même. Tel est son message, et je suis tout à fait d'accord.

Pas impossible, disons difficile. Quand je travaillais en comptabilité, je gérais les impayés. Il m'arrivait de téléphoner à des clients qui m'expliquaient des malfaçons ou délais non respectés, voire des remarques qui n'avaient pas été suivies d'effet, ce qui fait que je me retournais vers nos techniciens qui avaient leur propre théorie. Notre discussion pouvait aboutir sur : "Vous ne pouvez pas comprendre, vous ne savez pas comment ça se passe sur place." Pourtant, fréquemment, quand on m'expliquait calmement la situation, nous arrivions à nous expliquer en trouvant une solution satisfaisant autant le client que l'entreprise. Je veux dire par là que la volonté conjointe y est pour beaucoup et ceci est valable dans bon nombre de circonstances.

anémone a écrit:

Dans ces cas graves et bien involontairement on se trouve devant un mur...Car déjà l'approche est difficile et on se demande comment on peut faire réagir et se faire comprendre. J'ai une grande admiration pour le personnel et les bénévoles qui essaient ( et y arrivent ) d'intéresser ces malades.

En fait, l'animateur qui nous a contactés nous a dit qu'il avait eu un peu de mal pendant environ un mois, quand il est arrivé dans cette structure. Ensuite, ça coulait de source.

En ce qui concerne le personnel d'encadrement, j'avoue avoir été agréablement surprise de voir à quel point ils sont impliqués et à l'écoute : il y a 6 personnes pour 1 polyhandicapé. N'oublions quand même pas que ces personnes ont choisi de travailler ainsi. Si elles ne pouvaient pas le faire, elles ne le feraient pas. Elles ont fait des études adéquates. On ne peut pas rentrer chaque jour chez soi en étant malade !

« Si Dieu avait voulu que l'on prit la Vie sérieusement, il ne nous aurait pas donne le sens de l'humour. »
Auteur inconnu ou:Realiste

marie-josé a écrit:

« Si Dieu avait voulu que l'on prit la Vie sérieusement, il ne nous aurait pas donne le sens de l'humour. »
Auteur inconnu ou:Realiste

Ha ha ha, elle te convient bien, celle-ci, pas vrai ?

Je vais te répondre par une citation dont je ne souviens plus de l'auteur :
" Un saint triste est un triste saint !"

Ça se rejoint, non ?

Que pensez-vous de celle-ci ? Surprenant, non ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Faire la moitié du travail. Le reste se fera tout seul." [Jean Cocteau]

Que pensez-vous de celle-ci ? Surprenant, non ?

mais pour une grande partie exact!
quand on a fait la moitié d'un travail,on est tellement content que le finir n'est plus très compliqué!
de même ,dans une association, entamer un travail collectif, et les autres suivrons etc....

Pas mal, ton explication. J'étais beaucoup plus basique en me disant que si je ne faisais mon ménage qu'à moitié, le reste ne se ferait pas tout seul. Et plus j'en ai à faire, moins j'en ai envie...

Mais tu as raison : en montrant l'exemple, d'autres suivent et finissent.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Faire la moitié du travail. Le reste se fera tout seul." [Jean Cocteau]

Que pensez-vous de celle-ci ? Surprenant, non ?

mais pour une grande partie exact!
quand on a fait la moitié d'un travail,on est tellement content que le finir n'est plus très compliqué!
de même ,dans une association, entamer un travail collectif, et les autres suivrons etc....

Pas mal, ton explication. J'étais beaucoup plus basique en me disant que si je ne faisais mon ménage qu'à moitié, le reste ne se ferait pas tout seul. Et plus j'en ai à faire, moins j'en ai envie...

Mais tu as raison : en montrant l'exemple, d'autres suivent et finissent.

évidemment! Si tu penses aux tâches ménagères....rien de plus ingrat, toujours à recommencer, une fois que c'est propre et rangé, c'est juste normal.....
Ou alors, il faut vivre comme certains étudiants que je connais dans un bazar tel que ranger change tout....pour quelques jours du moins!

stip a écrit:

évidemment! Si tu penses aux tâches ménagères....rien de plus ingrat, toujours à recommencer, une fois que c'est propre et rangé, c'est juste normal.....

C'est vrai, mais on ne peut pas y couper, alors j'y pense !

stip a écrit:

Ou alors, il faut vivre comme certains étudiants que je connais dans un bazar tel que ranger change tout....pour quelques jours du moins!

Ca ne va peut-être pas te consoler, mais ça dure souvent encore après les études...

Qu'en pensez-vous ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Le plaisir qu'on éprouve à parler de soi-même est rarement partagé." [Jules Petit-Senn]

Qu'en pensez-vous ?

Faut il encore prendre plaisir à parler de soi même !!!

Anémoooooone ! Tu sais bien que des tas de gens ne font que ça ! Et quand on discute, il faut bien parler de quelque chose : élimine la religion, la politique et les finances, il ne reste plus grand-chose. Tout dépend ensuite de la manière de le faire et de questionner les autres pour qu'il y ait dialogue et non monologue. D'ailleurs, personnellement, quand je suis en façon de quelqu'un que j'apprécie, ça ne me dérange pas de l'écouter. Certes, s'il est imbu de sa personne, il en va différemment !

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Le plaisir qu'on éprouve à parler de soi-même est rarement partagé." [Jules Petit-Senn]

Qu'en pensez-vous ?

Faut il encore prendre plaisir à parler de soi même !!!

Anémoooooone ! Tu sais bien que des tas de gens ne font que ça ! Et quand on discute, il faut bien parler de quelque chose : élimine la religion, la politique et les finances, il ne reste plus grand-chose. Tout dépend ensuite de la manière de le faire et de questionner les autres pour qu'il y ait dialogue et non monologue. D'ailleurs, personnellement, quand je suis en façon de quelqu'un que j'apprécie, ça ne me dérange pas de l'écouter. Certes, s'il est imbu de sa personne, il en va différemment !

C'est certain que pour mieux se faire connaitre on est un peu obligé de parler de soi. Par contre ce que je déteste dans une conversation c'est que la personne ramène tout à elle. On dirait qu'à chaque sujet abordé elle a vécu dix vies !! connu toutes les catastrophes ou rencontré tous les grands de ce monde. Notre vie est faite de joies, de peines, de rencontres variées, pas pour en faire étalage..Paix à son âme, mais ça me rappelle mon ancienne belle mère qui savourait ses discours sur la maladie de ses voisins avec à la clef des détails croustillants démoralisants !!alors que je ne connaissais pas du tout ces gens et qu'au fond cela m' indifférait totalement !

Anémone ! Nos esprits se sont croisés!

stip a écrit:

Nelly a écrit:

"Le plaisir qu'on éprouve à parler de soi-même est rarement partagé." [Jules Petit-Senn]

Qu'en pensez-vous ?

C'est fort probable, déjà il faut faire partie de ceux qui aiment parler d'eux-même.

Tu ne peux nier qu'il y en a beaucoup. Et c'est effectivement loin d'être toujours intéressant. Je ne parle pas seulement de parler de soi, mais d'écouter l'autre. Il est des fois où l'autre est intéressant et "dosé" et d'autres où l'on écoute poliment en évitant surtout de poser une question afin d'éviter qu'il reparte dans des discours infinissables...

stip a écrit:

Je dirais qu'il y a plusieurs niveaux en la matière.
Souvent il y a une vitrine conforme à notre légende personnelle, celle qui nous sert à faire connaissance, se trouver des points communs avec les autres à condition d,être curieux de l'autre évidemment, on adore ça.
Les amateurs de ....tel pays, tel sport, telle musique, tel loisir, les convaincus, les passionnés,
Ceux qui ont vécu d'une façon particulière, qui traversent une expérience particulière aiment se regrouper, une façon de parler de soi sans trop peser mais en se confortant ...il n'y a qu'à voir à quoi ressemble le web .....Ne parle-t-on pas de communautés à l'envi?

Il peut être intéressant d'entendre quelqu'un parler des ses expériences dans des situations qui nous sont inconnues, ou alors que nous envisageons éventuellement d'expérimenter. Par contre, imposer ses souvenirs de vacances à tout va est d'un ennui... ! Je me souviens de personnes qui, après avoir fait un voyage, vous proposaient de vous montrer leurs diapositives. Et, après avoir passé celle de l'année (qui étaient bien assez longues), proposaient encore celles d'années précédentes... Insupportable !

stip a écrit:

Puis il y a les blogs pour ceux qui ont avant tout besoin de s'exprimer
Ceux là sont souvent complémentaires avec les curieux ....

Ceux-là ne font de mal à personne.

stip a écrit:

Bon, je te mets pêle-mêle ce qui me vient à l'esprit, mais quand on parle de soi avec des inconnus, c'est souvent notre vitrine qu'on montre, le reste n'a pas besoin d'être divulgué sauf ponctuellement avec nos proches.....

Effectivement, à des inconnus, on ne se livre pas, bien que certains le fassent. Je pensais davantage à des connaissances plus proches, quand même.

stip a écrit:

et encore , il faut faire le tri quand on a un fardeau qui laisse les autres impuissants, on ne va pas plomber ceux qu'on aime avec ça, puisqu'on cherche plutôt à leur faire du bien, ce qui est d'ailleurs plus valorisant!

Il peut arriver qu'on ait besoin de se confier à quelqu'un, même si l'autre ne peut apporter qu'une oreille attentive. Généralement, on sait si on peut ou pas. Il faut être très proche.

Elle me plaît bien, cette citation. Elle est valable également pour les autres tendances. Les idées sont souvent bonnes, mais leur application, c'est une autre histoire !

marie-josé a écrit:

parler de soi,est parfois une manière de se remettre en question!

Les poseurs et autres narciscistes écartés, une conversation commence souvent par:
comment allez vous?
il se peut que cette simple question vous amène a parler de vous, de vos problèmes du moment ou de vos joies.

Cette question peut-être une banalité. Combien de fois le dit-on certains jours ? Ce peut être une simple formule de politesse et, même si elle ne l'est pas, l'autre n'a pas forcément envie de se confier.

marie-josé a écrit:

L'autre, s'il est sincère, vous écoutera,voir même vous conseillera.

Quand on ne va pas bien, on n'a pas forcément envie d'entendre les conseils des autres. Tout dépend de qui et de quoi il s'agit. Pour moi, du moins. Quand on parle à quelqu'un de maladie, certains ont une multitudes d'exemples à fournir immédiatement, alors que l'on n'a peut-être pas envie de l'entendre. Tellement de gens ne savent pas écouter. Tout est là !

marie-josé a écrit:

La conversation peut- être en boomerang, et vous permet a ce moment là, de vous aussi parler de vous!

Bien sûr. C'est une question de personne et de dosage.

marie-josé a écrit:

Je pense, que chacun de nous éprouve parfois le besoin de se confier a un tiers, sans pour autant dévoilé tous ses secrets, mais c'est aussi utile(même plus) que d'aller voir un psy!

Mais bien sûr que oui. A partir du moment où on est bien avec quelqu'un, on sent que l'autre écoute et entend. Mais là, on sort de la généralité.

Que pensez-vous de celle-ci ?

Je trouve que c'est joliment décrit !

On s'étonne trop de ce qu'on voit rarement et pas assez de ce qu'on voit tous les jours. »
Madame de Genlis

n'est ce pas la triste vérité£?

tout ce qui nous entoure nous parraît normal, pourtant ce sont des tas de miracles !
savez vous que si nos grds parents devaient revenir, ils penseraient que nous sommes des sorciers avec tous ce que l'on a trouvé ces 100 dernières années!
et que nous trouvons normal

marie-josé a écrit:

On s'étonne trop de ce qu'on voit rarement et pas assez de ce qu'on voit tous les jours. » Madame de Genlis
n'est ce pas la triste vérité£?

tout ce qui nous entoure nous parraît normal, pourtant ce sont des tas de miracles !
savez vous que si nos grds parents devaient revenir, ils penseraient que nous sommes des sorciers avec tous ce que l'on a trouvé ces 100 dernières années!
et que nous trouvons normal

Oui, nous trouvons normal tout ce que nous avons et pouvons faire : prendre la voiture, regarder la télévision, nous écrire de différents pays et il faut surtout que tout fonctionnne, sinon, nous enrageons. Nous ne savons pas suffisamment apprécier ce dont nous disposons. Mais sommes-nous plus heureux que nos ancêtres ? Pas sûr !

marie-josé a écrit:

malgré toutes ces belles technologies, ces appareils de communication comme les portables, les ordis ,etc........ les gens sont de plus en plus isolés?
alors qu'avant, chacun connaissait son voisin.

Effectivement, toutes ces nouvelles technologies n'ont pas réellement arrangé les relations humaines. Plus nous avons de confort, moins nous avons de temps. Nous sommes toujours pressés.

Citation :

Je n'aime pas du
tout que mes actes soient mal interprétés alors que j'étais de bonne
foi. Tous nos actes ne sont pas toujours accueillis avec joie et
sérénité !

Très souvent il y a des malentendus !
Celui qui dit et celui qui reçoit, ne sont pas sur la même longueur d'ondes !

On peut se vexer de quelque chose d'anodin qui n'aurait pas dû être interprété de cette façon, car ce n'était pas dans l'esprit et la vision de l'autre !!!

Ça nous arrive sur le forum, alors que nous savons, que jamais, nous ne voulons blesser et pourtant... nous l'avons constaté plusieurs fois.

Faire attention à ce que l'on dit, mais aussi à ce que l'on comprend ou supposé tel.

Au besoin, demander des explications en aparté, car le fait d'étaler son grief peut être encore plus mal compris !

Cette citation m'interpelle: pourquoi faudrait-il absolument résister à quelque chose s'il n'y a pas de conséquences négatives ? Qu'il faille des limites pour éviter de faire du mal à autrui me paraît évident, mais mettre des limites tout simplement pour y résister... ? Comprends pas...

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Bonne est l'action qui n'amène aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité." [Bouddha]

cette citation n'est valable que si celui qui le dit ne parle que de BONNE ACTION!

Normal. Je ne pense pas qu'on puisse être serein quand on sait à l'avance qu'on fait volontairement du tort à quelqu'un, ou alors, il faut être un peu tordu.

marie-josé a écrit:

Mais certain, pourrait bien se tromper sur la nature de leurs actions et alors ,ceci n'a plus de sens!

Mais bien sûr qu'on peut se tromper ! Faut-il pour autant ne plus rien faire sous prétexte de maladresse ? Un peu facile comme excuse, non ? Certains se cachent derrière cette image, mais je la trouve fausse : si plus personne ne fait rien sous prétexte de ne pas vouloir se tromper, je ne sais pas ce que pourrait devenir la vie.

Pour commencer, je me tais sur le forum !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Bonne est l'action qui n'amène aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité." [Bouddha]

cette citation n'est valable que si celui qui le dit ne parle que de BONNE ACTION!

Normal. Je ne pense pas qu'on puisse être serein quand on sait à l'avance qu'on fait volontairement du tort à quelqu'un, ou alors, il faut être un peu tordu.

marie-josé a écrit:

Mais certain, pourrait bien se tromper sur la nature de leurs actions et alors ,ceci n'a plus de sens!

Mais bien sûr qu'on peut se tromper ! Faut-il pour autant ne plus rien faire sous prétexte de maladresse ? Un peu facile comme excuse, non ? Certains se cachent derrière cette image, mais je la trouve fausse : si plus personne ne fait rien sous prétexte de ne pas vouloir se tromper, je ne sais pas ce que pourrait devenir la vie.

Pour commencer, je me tais sur le forum !

ah bon?... première nouvelle

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Pour commencer, je me tais sur le forum !

ah bon?... première nouvelle

Mais c'est qu'elle me cherche, ce matin ! Méfie-toi, tu risques de me trouver !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Pour commencer, je me tais sur le forum !

ah bon?... première nouvelle

Mais c'est qu'elle me cherche, ce matin ! Méfie-toi, tu risques de me trouver !

je t'adore voyons ma Nelly

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Pour commencer, je me tais sur le forum !

ah bon?... première nouvelle

Mais c'est qu'elle me cherche, ce matin ! Méfie-toi, tu risques de me trouver !

je t'adore voyons ma Nelly

Qui aime bien châtie bien !

Nelly a écrit:

"Nous avons besoin de limites pour essayer de résister aux tentations." [Yasmina Khadra]

Cette citation m'interpelle: pourquoi faudrait-il absolument résister à quelque chose s'il n'y a pas de conséquences négatives ? Qu'il faille des limites pour éviter de faire du mal à autrui me paraît évident, mais mettre des limites tout simplement pour y résister... ? Comprends pas...

Oui, , de quelles tentations ou plutôt ....quelles frustrations évoque-t-il, dans la mesure où il dit "nous" (donc il se sait concerné et suppute que tout le monde en général ).
Si il aspire à des limites imposées (édictée par qui, par quoi? ),ça ne va pas dans le sens de l'éloge de la liberté pas plus que celle de l'éducation à la raison!
Pris de but en blanc, ça me choque aussi .
Comme le contexte nous manque, peut-être évoque-t-il la loi, supposant que sans risque de peine, tous autant que nous sommes, nous serions "tentés" de nous comporter comme des barbares .....
Terrain glissant car de par le monde, et à toutes époques, on peut trouver des exemples de lois barbares elles-même.

Choisis bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure. »
Pensée Navajos

marie-josé a écrit:

Choisis bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure. »
Pensée Navajos

Explique un peu ta pensée. En quoi les mots créent-ils le monde qui nous entoure ? Si tu as choisi cette citation, c'est qu'elle te disait quelque chose !

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Choisis bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure. »
Pensée Navajos

Explique un peu ta pensée. En quoi les mots créent-ils le monde qui nous entoure ? Si tu as choisi cette citation, c'est qu'elle te disait quelque chose !

c'est au sujet de la communication verbal!

pour approfondir notre pensée, nous employons des mots, des phrases.
Mais ,ils ne sont pas toujours bien compris,parfois très mal interprètes et cela peut aboutir sur une incompréhension totale ,voir même ,une cassure.

alors, il est important, avant de parler, de bien peser ce que l'on va dire

mais souvent, dans une conversation, les mots nous viennent spontanément ,sans vraiment y réfléchir, ce qui parfois peut-être mal reçu

Tu as reçu la citation ainsi. Si je réagis au fait que ce sont les mots qui créent le monde qui nous entoure, je peux faire un lien avec mon courrier au député-maire, dont j'ai parlé par ailleurs.

En effet, en lui écrivant de manière agressive, je ne risquais pas d'avoir de résultat positif, tandis qu'en étant polie et en lui exposant le travail fait collectivement, nous avons une chance. Autrement dit, les mots qui seront reçus par lui pourraient avoir une incidence directe sur ce qui nous entoure, c'est-à-dire le local dont nous aurions besoin.

C'est dire également l'importance du choix des mots.

Je ne saurais dire combien de fois j'ai rappelé qu'il n'était pas bon et d'ailleurs déplacé de s'adresser de façon agressive à un interlocuteur qui n'est pas à l'origine d'un problème, comme une standardiste concernant un problème de sa société. Dispenser sa colère vers quelqu'un qui n'est pas responsable des faits ne résout rien et met l'agresseur dans son tort, même s'il a toutes les raisons possibles de ne pas être content.

c'est juste un conseil... ça aide

A doser suivant chacun,

faut pas arriver jusque là

Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. »
Victor HUGO

c'est vrai, il faut se placer dans la société, être conscient que chacun de nous est utile dans ce monde.
certains plus que d'autres, mais tous,on a le droit de vivre!