Citations en vrac

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Voltaire a écrit:

Les hommes se trompent, les grands hommes avouent qu'ils se sont trompés.

oui, mais peu l'avoue..ou par fierté ou par ignorance  !

Il s'agit souvent de fierté mal placée et ça m'arrive également. Cette fierté prolonge notre ignorance...

pas toujours facile d'être franc, mais quand on avoue  on est soi disant pardonné !!! tiens j'ai un doute sur l'orthographe de soi...AU SECOURS !!

Soi est bien écrit.
Et on dit "Faute avouée est à moitié pardonnée." Il faut donc qu'il y ait faute. Or, quand on se trompe, on ne commet pas une faute. Ce n'est qu'une erreur. Or l'erreur est involontaire, ce qui est une grosse différence.

grand pierre a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Voltaire a écrit:

Les hommes se trompent, les grands hommes avouent qu'ils se sont trompés.

oui, mais peu l'avoue..ou par fierté ou par ignorance  !

Il s'agit souvent de fierté mal placée et ça m'arrive également. Cette fierté prolonge notre ignorance...

pas toujours facile d'être franc, mais quand on avoue  on est soi disant pardonné !!! tiens j'ai un doute sur l'orthographe de soi...AU SECOURS !!

Que penser du repentir de certains qui ont reconnu leurs erreurs que lorsqu'ils y ont été acculés ???? (allusion à peine déguisée à un homme d'église lyonnais ....)

Mais il ne s'agit pas d'erreurs, dans ce cas ! Quand quelqu'un commet un acte méprisable, il s'agit d'une faute et j'imagine que là, il s'agit d'une faute grave. Reconnaître une telle faute lorsqu'on est acculé ne relève plus du repentir, à mon avis, tout au plus du regret d'avoir été découvert !

Maintenant, certains ont des pulsions qu'ils n'ont pas fait soigner et c'est bien dommage !

A toi, Marie-Jo.

Nelly a écrit:

A toi, Marie-Jo.

Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés.

Conficius

je pense que c'est exact,être autonome est important ,quand aux autres si ils nous apportent quelque chose c'est toujours bon à prendre

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

A toi, Marie-Jo.

Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés.
Conficius

je pense que c'est exact,être autonome est important ,quand aux autres si ils nous apportent quelque chose c'est toujours bon à prendre

Avant tout, quand on exige quelque chose des autres, il faut déjà exiger beaucoup de soi-même. On ne peut pas demander beaucoup à d'autres si on est soi-même laxiste. Cela n'a pas de sens, mais il en est qui le font.

C'est vrai qu'il faut être exigeant avec soi-même, dans la mesure de ce que l'on désire. Mais quand je pense à un groupe (oui, j'ai toujours les bénévoles en exemple), on attend quand même des choses d'eux, du moins dans la mesure de leur propre engagement. Parfois, on est agréablement surpris, mais parfois on peut être déçu.

J'essaie de toujours entretenir l'esprit d'équipe, notamment en fonction des actions menées, mais parfois, je me rends compte que certains ne se sentent pas forcément concernés.

A toi de te lancer, Anémone.

anémone a écrit:

C'est une lourde faute que de na pas apercevoir son propre bonheur. ( IWASZKIEWICZ )

Je pense que nous vivons une époque tellement tourmentée, difficile,  que beaucoup ne voient pas les petites joies, les petits bonheurs de chaque jour.

Je sais bien que nous ne percevons pas le bonheur que nous avons, ces petits bonheurs qui devraient enjoliver notre vie. Pour autant, est-ce une faute ?

Oui, nous devrions positiver chaque jour, mais la morosité ambiante a un effet sur notre moral.

Morgan, tu sers la suite ?

Morgan Kane a écrit:

Nos haines révèlent peut-être le moi profond mieux que nos amours.

Réflexions et maximes  -  Lucien Arréat

Comme c'est vrai !

Il est facile de feindre un amour, une haine vous révèle vraiment

Je ne suis pas douée pour haïr. En essayant de savoir ce qui peut provoquer chez moi ce sentiment, bien entendu, je penserai à des comportements ordinaires hélas. Ce que je ne supporte pas, c'est la recherche d'humiliation et d'inféodation par abus de pouvoir (pouvoir du groupe, ou de l'argent, ou de hiérarchie ).
Celui d'un groupe ou d'un supérieur.
Écraser l'autre qui n'a de tort que d'être sans défense.

Dans les rapports humains vulgaires, c'est vraiment ce qui me donne envie de hurler.

Morgan Kane a écrit:

Nos haines révèlent peut-être le moi profond mieux que nos amours.

Réflexions et maximes  -  Lucien Arréat

Comme c'est vrai !

Il est facile de feindre un amour, une haine vous révèle vraiment

Je comprends ce que tu veux dire, même si feindre l'amour ne me paraît pas facile. Disons que le mal qui lui est fait engendrera un sentiment décuplé en fonction de la force de cet amour.

Par contre, j'ai envie de parler de notre orgueil, notre ego. Ne sont-ils pas également des vecteurs de réactions incendiaires, parfois ?

Comme Stip, pour moi, le mot haine m'est inconnu. Il est remplacé par d'autres sentiments moins forts : mépris, dégoût, rejet, etc.

stip a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nos haines révèlent peut-être le moi profond mieux que nos amours.
Réflexions et maximes  -  Lucien Arréat

Comme c'est vrai !

Il est facile de feindre un amour, une haine vous révèle vraiment

Je ne suis pas douée pour haïr.

N'est-ce pas une bonne chose ? Néanmoins, je pense que tout un chacun peut l'éprouver un jour si les circonstances devaient se présenter ! Comment savoir tant qu'on n'a pas été confronté à un tel cas ?

stip a écrit:

En essayant de savoir ce qui peut provoquer chez moi ce sentiment, bien entendu, je penserai à des comportements ordinaires hélas. Ce que je ne supporte pas, c'est la recherche d'humiliation et d'inféodation par abus de pouvoir (pouvoir du groupe, ou de l'argent, ou de hiérarchie ).
Celui d'un groupe ou d'un supérieur.
Écraser l'autre qui n'a de tort que d'être sans défense.

Ne dispose-t-on pas généralement de moyens légaux pour y remédier ? La haine ne se ressent-elle pas principalement quand on est personnellement victime d'un drame volontaire ou l'un de nos très proches ? C'est une question à laquelle je n'ai pas la réponse.

stip a écrit:

Dans les rapports humains vulgaires, c'est vraiment ce qui me donne envie de hurler.

Envie de hurler ? Certes. Mais pas de haine, on est bien d'accord ?

Grand Pierre, à toi.

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

Loïck Peyron a pu en avoir un aperçu indéniable. Mais pour ce qui nous concerne, pouvons-nous avoir autant de recul que lui ? Non seulement il était à l'écart de tout et de tous, mais il a également dû lutter pour survivre dans un environnement souvent hostile. Il est vrai que cela doit remettre certains pendules à l'heure.

C'est loin d'être à la portée de tous !

Quand il m'arrive de lire un roman où il est question d'une vie du début du XXème siècle, je me remémore la manière dont on vécu les parents, même si c'était beaucoup plus tard : pas d'eau chaude au robinet, pas de chauffage central, pas de télévision. Maman avait un lave-linge, mais le rinçage se faisait à la main... et à l'eau froide (glagla).

Serions-nous prêts à revivre ainsi, même pour prendre suffisamment de recul pour nous rapprocher de l'essentiel ? Sommes-nous prêts à renoncer au superflu... qui est souvent devenu essentiel pour nous ?

Nelly a écrit:

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

Loïck Peyron a pu en avoir un aperçu indéniable. Mais pour ce qui nous concerne, pouvons-nous avoir autant de recul que lui ? Non seulement il était à l'écart de tout et de tous, mais il a également dû lutter pour survivre dans un environnement souvent hostile. Il est vrai que cela doit remettre certains pendules à l'heure.

C'est loin d'être à la portée de tous !

Quand il m'arrive de lire un roman où il est question d'une vie du début du XXème siècle, je me remémore la manière dont on vécu les parents, même si c'était beaucoup plus tard : pas d'eau chaude au robinet, pas de chauffage central, pas de télévision. Maman avait un lave-linge, mais le rinçage se faisait à la main... et à l'eau froide (glagla).

Serions-nous prêts à revivre ainsi, même pour prendre suffisamment de recul pour nous rapprocher de l'essentiel ? Sommes-nous prêts à renoncer au superflu... qui est souvent devenu essentiel pour nous ?

Il n'y a pas que le matériel et le concret dans la vie ... On peut très bien s'éloigner aussi de toutes ces "préoccupations majeures" qui ne font que nous polluer l'esprit sans rien apporter de bon. Je doute fort que Loïck Peyron ait eu une pensée aussi terre à terre (surtout pour un marin )

grand pierre a écrit:

Nelly a écrit:

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

Loïck Peyron a pu en avoir un aperçu indéniable. Mais pour ce qui nous concerne, pouvons-nous avoir autant de recul que lui ? Non seulement il était à l'écart de tout et de tous, mais il a également dû lutter pour survivre dans un environnement souvent hostile. Il est vrai que cela doit remettre certains pendules à l'heure.

C'est loin d'être à la portée de tous !

Quand il m'arrive de lire un roman où il est question d'une vie du début du XXème siècle, je me remémore la manière dont on vécu les parents, même si c'était beaucoup plus tard : pas d'eau chaude au robinet, pas de chauffage central, pas de télévision. Maman avait un lave-linge, mais le rinçage se faisait à la main... et à l'eau froide (glagla).

Serions-nous prêts à revivre ainsi, même pour prendre suffisamment de recul pour nous rapprocher de l'essentiel ? Sommes-nous prêts à renoncer au superflu... qui est souvent devenu essentiel pour nous ?

Il n'y a pas que le matériel et le concret dans la vie ... On peut très bien s'éloigner aussi de toutes ces "préoccupations majeures" qui ne font que nous polluer l'esprit sans rien apporter de bon. Je doute fort que Loïck Peyron ait eu une pensée aussi terre à terre (surtout pour un marin )

Je pense au contraire qu'un marin aussi expérimenté, aussi concret, aussi précis, est très terre à terre, même quand il est sur le bateau.   S'il en allait autrement, il ne pourrait pas tenir seul aussi longtemps. Son bateau doit faire face à bien des impondérables et lui aussi.    S'éloigner volontairement de tout ce superflu qui fait la vie de chacun permet d'apprécier, à la fois ce qu'on vit pendant son voyage, mais également lors de son retour.

Nelly a écrit:

grand pierre a écrit:

Nelly a écrit:

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

Loïck Peyron a pu en avoir un aperçu indéniable. Mais pour ce qui nous concerne, pouvons-nous avoir autant de recul que lui ? Non seulement il était à l'écart de tout et de tous, mais il a également dû lutter pour survivre dans un environnement souvent hostile. Il est vrai que cela doit remettre certains pendules à l'heure.

C'est loin d'être à la portée de tous !

Quand il m'arrive de lire un roman où il est question d'une vie du début du XXème siècle, je me remémore la manière dont on vécu les parents, même si c'était beaucoup plus tard : pas d'eau chaude au robinet, pas de chauffage central, pas de télévision. Maman avait un lave-linge, mais le rinçage se faisait à la main... et à l'eau froide (glagla).

Serions-nous prêts à revivre ainsi, même pour prendre suffisamment de recul pour nous rapprocher de l'essentiel ? Sommes-nous prêts à renoncer au superflu... qui est souvent devenu essentiel pour nous ?

Il n'y a pas que le matériel et le concret dans la vie ... On peut très bien s'éloigner aussi de toutes ces "préoccupations majeures" qui ne font que nous polluer l'esprit sans rien apporter de bon. Je doute fort que Loïck Peyron ait eu une pensée aussi terre à terre (surtout pour un marin )

Je pense au contraire qu'un marin aussi expérimenté, aussi concret, aussi précis, est très terre à terre, même quand il est sur le bateau.   S'il en allait autrement, il ne pourrait pas tenir seul aussi longtemps. Son bateau doit faire face à bien des impondérables et lui aussi.    S'éloigner volontairement de tout ce superflu qui fait la vie de chacun permet d'apprécier, à la fois ce qu'on vit pendant son voyage, mais également lors de son retour.

Je comprends comme Nelly, et, au sens figuré, s'éloigner au sens "prendre des distances" pour avoir une meilleure vision de ce qui nous est vraiment important, me paraît salutaire. Mais s'éloigner pour se détacher sans retour, et dériver sans voilure, feuille de route ni port d'attache et ses liens solides, me paraît si triste et tout simplement dangereux.
D'ailleurs comme chantait Enrico quand j'étais gamine...
https://youtu.be/fFMGPy0OalM

stip a écrit:

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

...

Je comprends comme Nelly, et, au sens figuré, s'éloigner au sens "prendre des distances" pour avoir une meilleure vision de ce qui nous est vraiment important, me paraît salutaire. Mais s'éloigner pour se détacher sans retour, et dériver sans voilure, feuille de route ni port d'attache et ses liens solides, me paraît si triste et tout simplement dangereux.

Je pense que Pierre y a été confronté, après son accident... je veux dire à apprécier l'essentiel.

En même temps, tu t'es trouvé dans une situation où tu n'avais pas le choix. J'imagine quand même qu'à présent que cette étape est derrière toi, tu n'aurais plus envie de la revivre. C'est trop dur, même si elle t'a apporté beaucoup, vu par la suite.

stip a écrit:

D'ailleurs comme chantait Enrico quand j'étais gamine...
https://youtu.be/fFMGPy0OalM

Ca fait du bien de réentendre cela.

Au tour de Marie-Jo de donner de la voix.

Nelly a écrit:

stip a écrit:

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

...

Je comprends comme Nelly, et, au sens figuré, s'éloigner au sens "prendre des distances" pour avoir une meilleure vision de ce qui nous est vraiment important, me paraît salutaire. Mais s'éloigner pour se détacher sans retour, et dériver sans voilure, feuille de route ni port d'attache et ses liens solides, me paraît si triste et tout simplement dangereux.

Je pense que Pierre y a été confronté, après son accident... je veux dire à apprécier l'essentiel.

En même temps, tu t'es trouvé dans une situation où tu n'avais pas le choix. J'imagine quand même qu'à présent que cette étape est derrière toi, tu n'aurais plus envie de la revivre. C'est trop dur, même si elle t'a apporté beaucoup, vu par la suite.

Aussi étrange que ça puisse paraitre si c'était à refaire je referais à l'identique. Bien sur les douleurs physiques sont atroces mais la capacité d'endurance qui est ainsi acquise n'a pas de prix. Pas plus que le regard que je porte sur le monde maintenant (par monde j'entends aussi bien le monde géographique et ses splendeurs que l'Humanité aussi laide puisse-t-elle parfois se montrer). Pas de faux semblant, juste aller à l'essentiel ...

Prendre ses distances ne veut pas ,non plus dire s'éloigner de tout (le meilleur moyen pour devenir asocial) mais relativiser en permanence et savoir lâcher les mauvaises personnes lorsque il le faut (mauvaises ne voulant pas dire méchantes mais simplement ne correspondant plus à l'état d'esprit du moment)

grand pierre a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

grand pierre a écrit:

"S'éloigner de tout rapproche un peu de l'essentiel." Loïck Peyron

C'est en se débarrassant de tout le superflus si "indispensable" à notre vie et pourtant si futile ...

...

Je comprends comme Nelly, et, au sens figuré, s'éloigner au sens "prendre des distances" pour avoir une meilleure vision de ce qui nous est vraiment important, me paraît salutaire. Mais s'éloigner pour se détacher sans retour, et dériver sans voilure, feuille de route ni port d'attache et ses liens solides, me paraît si triste et tout simplement dangereux.

Je pense que Pierre y a été confronté, après son accident... je veux dire à apprécier l'essentiel.

En même temps, tu t'es trouvé dans une situation où tu n'avais pas le choix. J'imagine quand même qu'à présent que cette étape est derrière toi, tu n'aurais plus envie de la revivre. C'est trop dur, même si elle t'a apporté beaucoup, vu par la suite.

Aussi étrange que ça puisse paraitre si c'était à refaire je referais à l'identique. Bien sur les douleurs physiques sont atroces mais la capacité d'endurance qui est ainsi acquise n'a pas de prix. Pas plus que le regard que je porte sur le monde maintenant (par monde j'entends aussi bien le monde géographique et ses splendeurs que l'Humanité aussi laide puisse-t-elle parfois se montrer). Pas de faux semblant, juste aller à l'essentiel ...

Tu comprendras que c'est difficile à admettre. Oui, tu as appris plein de choses, tant physiquement que moralement, mais à quel prix !  

grand pierre a écrit:

Prendre ses distances ne veut pas ,non plus dire s'éloigner de tout (le meilleur moyen pour devenir asocial) mais relativiser en permanence et savoir lâcher les mauvaises personnes lorsque il le faut (mauvaises ne voulant pas dire méchantes mais simplement ne correspondant plus à l'état d'esprit du moment)

Relativiser en permanence... c'est le rêve, mais ce n'est pas donné à tout le monde, même s'il le souhaitait.

Nelly a écrit:

Au tour de Marie-Jo de donner de la voix.

Coucou !!!

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

Au tour de Marie-Jo de donner de la voix.

Coucou !!!

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”


Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

tout ce qui nous arrive nous rend plus fort par la suite,un peu une réponse a la citation sur la vengeance

marie-josé a écrit:

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”

Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

Commentaire, s'il-te-plaît.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”

Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

Commentaire, s'il-te-plaît.

mais je l'ai fais

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”

Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

Commentaire, s'il-te-plaît.

mais je l'ai fais

Marie-Jo !!! En éditant après coup !!!

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”

Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

Commentaire, s'il-te-plaît.

mais je l'ai fais

Marie-Jo !!! En éditant après coup !!!

oui, je sais votre honneur! mon doigt sur le clavier va plus vite que mon esprit....c'est ça vieillir?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”

Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

Commentaire, s'il-te-plaît.

mais je l'ai fais

Marie-Jo !!! En éditant après coup !!!

oui, je sais votre honneur! mon doigt sur le clavier va plus vite que mon esprit....c'est ça vieillir?

Non, non, tu serais vieille depuis longtemps et ce n'est pas le cas ! Toujours aussi pimpante. Tu as toujours été plus rapide que ton ombre !

marie-josé a écrit:

Les larmes du passé fécondent l’avenir.”

Alfred de Musset

De Alfred de Musset / Sur la naissance du comte de Paris

tout ce qui nous arrive nous rend plus fort par la suite,un peu une réponse a la citation sur la vengeance

C'est juste difficile à vivre, le moment venu.

Quand je vois notre petit bonhomme tout heureux, je me dis que j'aimerais le réserver des aléas de la vie, ce qui n'est pas possible, je le sais. Il s'agit juste d'un exemple. En même temps, il lui faut apprendre à connaître ses limites et se confronter aux autres. Tant que les autres réagissent normalement, il n'y a pas de souci, mais quand j'entends parler du harcèlement à l'école, du gamin qui se fait tabasser parce qu'il demande à un autre de respecter la fille d'attente pour se servir au buffet du collège, je me demande quel monde nous léguons à nos petits !

Anémone, les fleurs sont à l'honneur. Nous en avons besoin par ce temps glacial.

La pitié peut s'éprouver, mais non s'accepter. ( Ernst Wiechert )


Avoir pitié de quelqu'un qui souffre , est malheureux,  est un sentiment humain. Mais qu'éprouve t-on quand une personne a de la pitié envers vous...Est-ce un sentiment d'échec ? je le ressens ainsi sans toutefois en vouloir à celui qui l'a à mon encontre.

anémone a écrit:

La pitié peut s'éprouver, mais non s'accepter. ( Ernst Wiechert )

Avoir pitié de quelqu'un qui souffre , est malheureux,  est un sentiment humain. Mais qu'éprouve t-on quand une personne a de la pitié envers vous...Est-ce un sentiment d'échec ?

Tout dépend de la situation : si on a pitié de moi parce que j'ai une migraine et que je ne peux pas participer comme je le souhaiterais, je l'accepte et je suis même contente de voir que ma migraine est reconnue, car j'en ai déjà bavé de ces personnes qui ne comprennent pas.

Par contre, surtout quand j'étais jeune, j'avais honte de ne pas pouvoir être vêtue comme tout le monde. Mon manteau était rallongé, puis raccourci pour faire un 3/4 ; je détestais mes chaussures à clous, bien pratiques pour l'hiver, mais vilaines comme tout, etc.

Je ne sais pas ce qu'en pensaient les autres, personne n'ayant jamais rien dit, mais je le vivais mal.

anémone a écrit:

je le ressens ainsi sans toutefois en vouloir à celui  qui l'a à mon encontre.

Pourquoi inspirerais-tu de la pitié ? Tu es une forte personnalité et tu te bats dans l'adversité. Si quelqu'un a dû ou pu te venir en aide, un jour, il n'éprouvait pas forcément de la pitié, mais le besoin de t'aider pour que tu aies les bons atouts en mains.

Tu sais, quand nous apprenons le français à des étrangers installés récemment en France, personne n'éprouve de la pitié. Je déteste d'ailleurs les personnes qui essaient de faire passer un message en voulant faire inspirer de la pitié : cela sonne faux et, personnellement, je me braque.

Au tour de Morgan.

Citation :

Ce qu’on appelle le bon sens est en fait l’ensemble des idées reçues qu’on nous a inculquées jusqu’à 18 ans. – Albert Einstein

J'adore ..... et je le trouve plutôt gentil !

Morgan Kane a écrit:

Citation :

Ce qu’on appelle le bon sens est en fait l’ensemble des idées reçues qu’on nous a inculquées jusqu’à 18 ans. – Albert Einstein

J'adore ..... et je le trouve plutôt gentil !

Il est vrai que ce qui nous a été inculqué dans notre jeunesse n'est jamais totalement perdu et a souvent une influence sur notre avenir. Peut-être que ce sont des graines de bon sens qui se cultivent par la suite ? Car nous évoluons et le bon sens devrait suivre. Pas vrai ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Citation :

Ce qu’on appelle le bon sens est en fait l’ensemble des idées reçues qu’on nous a inculquées jusqu’à 18 ans. – Albert Einstein

J'adore ..... et je le trouve plutôt gentil !

Il est vrai que ce qui nous a été inculqué dans notre jeunesse n'est jamais totalement perdu et a souvent une influence sur notre avenir. Peut-être que ce sont des graines de bon sens qui se cultivent par la suite ? Car nous évoluons et le bon sens devrait suivre. Pas vrai ?

la jugeote et le dicernement "bon sens" dépendent de notre caractère!....quoi-qu'il nous a été enseigner,c'est tout de même notre caractère qui fera que nous ayons du "bon sens.

Avoir du bon sens est inné. Avoir suffisamment de bon sens fait le génie."

George Bernard Shaw

J'ai quand même un doute et je ne suis pas certaine que notre caractère nous incite toujours au bon sens. On peut être une personne "bouillonnante" et avoir du bon sens (ou pas), mais on peut également avoir du bon sens en toute discrétion.

Pour ma part, je ne sais pas si le génie dépend du bon sens...

Au tour de Grand Pierre.

"La vie est un mystère qu'il faut vivre et non un problème à résoudre" (Gandhi)

Ne pas se prendre la tête en réflexions inutiles et jouir de l'instant présent, pas tout à fait le "Carpe Diem" d'Horace car il faut malgré tout garder la conscience du lendemain (au moins pour ceux qui nous suivent)

grand pierre a écrit:

"La vie est un mystère qu'il faut vivre et non un problème à résoudre" (Gandhi)

Ne pas se prendre la tête en réflexions inutiles et jouir de l'instant présent, pas tout à fait le "Carpe Diem" d'Horace car il faut malgré tout garder la conscience du lendemain (au moins pour ceux qui nous suivent)

Parle pour toi ! Peux-tu affirmer que tu n'as jamais de problèmes à résoudre et que tu peux te contenter de vivre le mystère de la vie ?

Je connais quelqu'un qui sait dire : "Je n'ai jamais de problèmes, je n'ai que des solutions !". J'avoue que lui m'agace car il n'a plus aucune nouvelle de ses petits-enfants et s'en désintéresse totalement, surtout depuis que l'un d'eux est venu chez lui drogué et alcoolisé. J'imagine que ce jeune homme était totalement perdu, d'autant plus que sa mère, la fille de ce monsieur, est décédée trop tôt.

Je veux bien entendre qu'il existe toujours une solution à tout, mais il est des cas où il nous faut subir sans rien pouvoir changer, notamment dans la maladie. Et tous ces chômeurs qui ne trouvent plus d'emploi ?

Non, la vie n'est pas aussi simple. Ce n'est que mon avis, mais je le partage !

Marie-Jo, à toi !

Nelly a écrit:

Marie-Jo, à toi !

Le bonheur est souvent la seule chose qu'on puisse donner sans l'avoir et c'est en le donnant qu'on l'acquiert.

Voltaire

quelle belle vérité,essayez et vous verrez!

marie-josé a écrit:

Le bonheur est souvent la seule chose qu'on puisse donner sans l'avoir et c'est en le donnant qu'on l'acquiert.

Voltaire

quelle belle vérité, essayez et vous verrez!

Mais nous essayons tout le temps ! Pourquoi crois-tu que nous venons ici, si ce n'est pour donner et... recevoir, naturellement ?   Tu vois l'étage de toute notre richesse ?  

anémone a écrit:

tout a fait d'accord, donner un peu de joie, de bonheur nous enrichit

Absolument. C'est en en donnant qu'on en reçoit et qu'on se fait du bien.

En y réfléchissant, les égoïstes sont souvent aigris : ils ne savent pas ce qu'ils loupent et à quel point ils passent à côté de choses vitales de la vie. Comment l'imaginer quand on ne sait pas, ou qu'on a oublié, ou qu'on ne veut pas savoir ?.

C'est à Anémone.

Nelly a écrit:

C'est à Anémone.

Réveillez-vous, ma chère !