Citations en vrac - septembre 2024

Morgan Kane a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

“Tout pouvoir est une violence exercée sur les gens.”
De Mikhaïl Boulgakov

Il me semble que ce n'est pas faux. Même si un pouvoir bienveillant peut être exercer, ce n'est pas souvent le cas...

Totalement vrai, par définition !!!

Toutefois, il y a plusieurs formes et plusieurs degrés de violence.

N'exagérons rien ; le pouvoir ne devrait pas être synonyme de violence. Heureusement qu'il y a des personnes qui ont un pouvoir. Tout le problème réside dans la manière de l'utiliser.

Je regrette que certains parents n'exercent pas leur pouvoir pour instruire et canaliser leurs enfants,
Je regrette que ceux qui en ont le pouvoir n'arrêtent pas les guerres,
Je regrette qu'il n'y ait pas un gouvernement ayant le pouvoir de trouver une solution cohérente aux problèmes du peuple,
Etc.

Quand j'étais responsable d'équipe au SC, j'avais un certain pouvoir, si on veut le nommer ainsi. Il a parfois fallu trancher entre deux équipes s'occupant à des jours différents du vestiaires, histoire de les mettre d'accord sur les conditions des "dons de vêtements".
Lorsque nous organisions la journée nationale, une fois par an, je m'occupais de trouver une salle, d'organiser des réunions avec des enseignants pour faire participer des enfants, notamment par des messages lors du lancer de ballons. Pour la journée elle-même, les bénévoles prenaient leurs responsabilités et s'occupaient chacune de leur domaine de prédilection : tombola, café-gâteaux, vente d'objets artisanaux, pêche, etc. Tout se passait très bien, mais il fallait être présent.

On pouvait me demander mon avis pour l'implantation des tables, etc., mais tout se faisait en bonne entente et celles qui le souhaitaient donnaient leur avis, qui était retenu ou pas.

Que ferions-nous s'il n'y avait aucune autorité ? Nous sombrerions dans le chaos !

Nelly a écrit:

Que ferions-nous s'il n'y avait aucune autorité ? Nous sombrerions dans le chaos !

Est-ce que l'autorité et le pouvoir c'est la même chose ? L'autorité c'est une forme de pouvoir peut-être, mais le pouvoir, ça peut être bien plus que l'autorité !

[quote="Kitara"]

Nelly a écrit:

Que ferions-nous s'il n'y avait aucune autorité ? Nous sombrerions dans le chaos !

Le pouvoir est aussi parfois la domination des peuples, la liberté d'expression y est souvent baffouée, les dirigeants ne tiennent aucun compte de l avis des gens ,la ,ça devient une dictature.

marie-josé a écrit:

 

Nelly a écrit:

Que ferions-nous s'il n'y avait aucune autorité ? Nous sombrerions dans le chaos !

Le pouvoir est aussi parfois la domination des peuples, la liberté d'expression y est souvent baffouée, les dirigeants ne tiennent aucun compte de l avis des gens ,la ,ça devient une dictature.

Evidemment, en cas de dictature, la violence est de mise et excessive. Mon texte voulait simplement mettre le pouvoir de chacun dans un cadre plus général, plus quotidien.

Le pouvoir n'entraîne pas forcément la violence, tel que dit dans la citation.

Nelly a écrit:

Le pouvoir n'entraîne pas forcément la violence, tel que dit dans la citation.

A mon avis, tout exercice du pouvoir suppose une violence.

Il ne faut pas avoir une conception limitative de celle-ci. Elle peut prendre de multiples formes.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Le pouvoir n'entraîne pas forcément la violence, tel que dit dans la citation.

A mon avis, tout exercice du pouvoir suppose une violence.

Il ne faut pas avoir une conception limitative de celle-ci. Elle peut prendre de multiples formes.

Par rapport à ce que j'ai raconté de mon "pouvoir" au SC, où se trouve la violence ?

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Le pouvoir n'entraîne pas forcément la violence, tel que dit dans la citation.

A mon avis, tout exercice du pouvoir suppose une violence.

Il ne faut pas avoir une conception limitative de celle-ci. Elle peut prendre de multiples formes.

Par rapport à ce que j'ai raconté de mon "pouvoir" au SC, où se trouve la violence ?

Pour moi, en soi, le pouvoir constitue une forme de violence, au moins symbolique, sinon potentielle.

Quand tu décidais et que ta décision s'imposait à des personnes en désaccord entre elles ou avec toi, tu exerçais une contrainte. Cette contrainte constitue pour moi une forme de violence.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Le pouvoir n'entraîne pas forcément la violence, tel que dit dans la citation.

A mon avis, tout exercice du pouvoir suppose une violence.

Il ne faut pas avoir une conception limitative de celle-ci. Elle peut prendre de multiples formes.

Par rapport à ce que j'ai raconté de mon "pouvoir" au SC, où se trouve la violence ?

Pour moi, en soi, le pouvoir constitue une forme de violence, au moins symbolique, sinon potentielle.

Quand tu décidais et que ta décision s'imposait à des personnes en désaccord entre elles ou avec toi, tu exerçais une contrainte. Cette contrainte constitue pour moi une forme de violence.

Il n'y avait pas de désaccord entre elles et moi, mais entre deux équipes, ce qui est loin d'être pareil. Je leur ai demandé de se mettre d'accord entre elles et J'AI DÉCIDÉ d'afficher les tarifs au vestiaire afin qu'il n'y ait plus de malentendu entre elles. Mais nous étions toutes d'accord.

Quand j'ai souhaité augmenté le tarif des billets de tombola, tous gagnants, il n'y avait pas d'accord commun. Cela se passait lors d'une réunion. Nous avons alors procédé à un vote et la solution retenue a été celle du plus grand nombre, dont je ne faisais pas partie.

Par contre, là où il m'est arrivé de rouspéter, c'est quand des sacs étaient posés dans les escaliers, au risque de faire tomber quelqu'un qui descendait à la cave. J'étais responsable de la sécurité de tous les bénévoles et, sans mon intervention, il y aurait pu avoir un accident. J'ai appris par la suite que les responsables de ce dépôt gênant rangeaient toutes les semaines la veille de mon arrivée en permanence d'accueil.

Quand on accepte une mission, on ne peut pas n'en faire qu'à sa tête. Il faut appliquer les règles. Comment pourrait-on demander aux aidés de les respecter si on ne le fait pas soi-même ?