Lieux et monuments

Le web nous fait croiser la route de personnes formidables dans le talent et la diversité.
Le blog de Thierry en est un exemple.
En voici un autre croisé par hasard, lors de recherches, j'en ai apprécié les photos, le regard particulier et l'esprit.
http://tchorski.morkitu.org/2/3202.htm. Pour en apprécier la riche documentation .
l'auteur est un citoyen belge, heureusement qu'on les a !

stip a écrit:

Le web nous fait croiser la route de personnes formidables dans le talent et la diversité.
Le blog de Thierry en est un exemple.
En voici un autre croisé par hasard, lors de recherches, j'en ai apprécié les photos, le regard particulier et l'esprit.
http://tchorski.morkitu.org/2/3202.htm. Pour en apprécier la riche documentation .
l'auteur est un citoyen belge, heureusement qu'on les a !

Je n'ai pas pu voir ce site. Le Web ne l'a pas trouvé...

J'essaie autrement
 

WWW.TCHORSKI.BE

OSTENDE

Sur les pas de Marvin Gaye avec Arno

« Ostende est une ville marquée par les grands hommes, Karl Marx y a écrit son 'Manifeste', Einstein et Magritte ont vécu ici et puis ce fut le tour de Marvin ! En 61, alors qu'il signait à la Motown, moi du haut de mes 12 ans, je rêvais de devenir footballeur professionnel.» Ostende, pleine de contradictions, a repoussé les Anglais du temps de Napoléon par crainte d'une invasion militaire et bien plus tard se réconcilie avec l'ennemi, devient l'incontournable plaque tournante de la musique anglo-saxonne dans les années 60. Un de ses lieux cultes est le Groove tenu par Freddy Cousaert, qui invite des groupes londoniens tels que les Animals (« we gotta to get out of this place »). « C'était mon dancing préféré, confie Arno, on y passait des nuits blanches sur les musiques des labels Stax et Tamla Motown. Tous les Anglais venaient sur la côte belge, il y avait 24 bateaux par jour qui faisaient la navette entre la côte nord et l'Angleterre, un véritable mélange culturel, c'était le bazar, surtout au fucking Twilight ! (un bar célèbre de la ville). À la même époque, Marvin a arrêté toute activité musicale pendant 3 ans : en 67, Tammi Terrell qui chantait en duo avec lui l'inoubliable « Ain't No Mountain High Enough » est morte sur scène dans ses bras, terrassée par une tumeur au cerveau. »

Arno en cuisine
Un beau jour, un paquebot dépose à quai une icône abîmée, fatiguée et empêtrée dans les problèmes fiscaux et conjugaux. Au début des années 80, sous le ciel brouillé de la mer du Nord, personne n'a encore croisé d'homme noir. Marvin est accueilli à bras ouverts, en héros anonyme qui ensoleille, grâce à sa musique, un quotidien balayé par le vent froid. Son registre du grave au falsetto, vibre encore dans le cœur des Ostendais. Le hasard, ou le destin, comme on voudra, fait se croiser les chemins de la légende soul et du jeune chien fou Arno :« J'avais un groupe, Tjens Couter , dans les années 70 et je suis parti en Amérique pour entendre de nouveaux sons. Je suis revenu avec l'envie de faire du R&B comme eux mais à l'Européenne. J'ai tout arrêté avec mon groupe et j'ai eu des difficultés financières. Freddy Cousaert qui était manager de groupes avait aussi une pension de famille. Il m'a proposé de travailler comme cuisinier. Il connaissait un gars à Londres qui avait une boîte de nuit dans le quartier du Swiss Cottage. Freddy qui faisait des allers-retours entre Londres et Ostende, a rencontré Marvin là-bas, alors que ce dernier était au plus bas, et lui a proposé de venir à Ostende. Freddy était plein d'énergie et aussi un grand sportif, il a ramené Marvin pour qu'il se refasse une santé. »

La transmission
A Ostende, l'ami américain s'adonne aux plaisirs simples de la course à pied le long du Kusstram (le tram du littoral) jusqu'aux dunes de Middelkerke, partageant son temps entre la pension de famille, le Mercury, et un appartement sur le front de mer transformé en studio d'enregistrement pour les premières maquettes de son dernier chef d'œuvre. Arno côtoie alors le génie dans son intimité, devient même une sorte de confident ou de disciple pour un artiste qui a beaucoup à transmettre : « Je lui préparais les repas à peu près quatre fois par semaine pendant un an, j'avais 30 ans. J'ai arrêté quand j'ai monté mon groupe Tcmati. Quand j'allais chez lui dans son appartement sur la promenade Albert 1 er, on parlait beaucoup des femmes, il me disait toujours « Ne dis jamais à une femme que tu es amoureux d'elle… Avant de conclure ! » Je n'ai jamais oublié ces paroles et ça m'a inspiré une chanson qui s'appelle « Lola, Etc »… »


Le dernier album
Déchiré entre le lyrisme religieux et une sensualité dévorante, pour Marvin tout est prétexte au chant, allant jusqu'à improviser des solos de gospel dans une église nichée au milieu des collines de sable. « Il ne savait pas lire la musique, comme moi ! Un type très bosseur. Il était toujours avec le musicien Odell Brown dont il était très proche et également le guitariste Danny Bossar qui a travaillé sur le titre « Rockin'After Midnight ». On se croisait dans les mêmes locaux de répétition situés dans une vieille école à côté d'Ostende à Bredene. Il a enregistré son album à Waterloo pas loin de Bruxelles. » Ce géant de la soul, locomotive de Motown records et poulain favori du producteur Berry Gordy, reste deux ans à Ostende avant de retourner à Los Angeles. Une résurrection de courte durée. En avril 1984, la veille de ses 45 ans, son père, très religieux, lui tire dessus et le tue.

(Source : Evene)

Jouez les archéologues sur Internet

Grâce au ministère de la Culture et de la Communication, visitez, sur Internet, les grands sites archéologiques à travers le monde.

Sur www.grands-sites-archeologiques.culture.fr , vous pouvez voyager de la grotte de Lascaux, en France, aux monuments de Ramsès II à Thèbes, en Egypte, puis plonger vers les mondes engloutis des épaves. Au total, 18 lieux, de la préhistoire à l'époque moderne, sont virtuellement accessibles. Sous une forme interactive, vous disposer d'outils de lecture, de cartes, de frises chronologiques et même d'animations en 3D pour enrichir vos connaissances.

(Source : Le Fil des ans)

Ici,un lien qui vous parlera du dernier pays que j'ai visité.
Les gens y sont acceuillants, dignes malgré des conditions de vie très difficiles, une vraie pauvreté, un dénuement matériel qui semble concerner la quasi-totalité de la population. Je n'ai jamais eu ce sentiment ailleurs.
http://www.bourlingueurs.com/armenie/

'Prodige du gigantesque et du délicat' selon Victor Hugo, la cathédrale de Strasbourg dresse sa façade de grès rose sur une large place en plein coeur de la ville alsacienne. L'édifice repose sur les fondations d'une ancienne basilique romane construite en 1015 par l'évêque Wernher de Habsbourg. Il en subsiste encore les parties orientales de l'actuelle crypte. La basilique est détruite par un incendie en 1176 et les autorités strasbourgeoises décident d'entamer de lourds travaux de rénovation. Ils s'achèveront en 1439 avec la réalisation de la flèche. Du haut de ses 142 mètres, Notre-Dame de Strasbourg est l'édifice chrétien le plus élevé en Europe jusqu'au XlXe siècle. L'édifice mêle art roman et architecture gothique, ayant subi des transformations à différentes époques. Située à l'entrée du monument, l'horloge astronomique est l'attraction majeure de la cathédrale. Tous les jours, à midi trente, les touristes observent ses figurines s'ébranler au grand complet. Les apôtres défilent devant le Christ, tandis qu'un coq chante et bat des ailes. En dessous, un enfant, un adulte et un vieillard, symbolisant les différents âges de la vie, passent devant la Mort. Construite au XVIe siècle, elle faisait, à l'époque, partie des sept merveilles de l'Allemagne.

Et, en ce moment, le réputé marché de Noël au pied de la cathédrale.

Depuis 1570, le plus célèbre des marchés de Noël de l'Hexagone s'est installé à Strasbourg. Christkindlmärik en alsacien, c'est de la magie pour les petits comme pour les grands. Les visiteurs affluent quand la ville revêt ses habits de fête. Les yeux émerveillés face au sapin venu des Vosges qui trône du haut de ses trente mètres sur la place Kléber. Dans les rues, les guirlandes de lumières filent partout : des toitures aux balcons des maisons à colombages, décorées elles aussi de branches de sapin et de boules. Ces dernières années, le marché s'est répandu dans tout le centre-ville pour atteindre 260 chalets. Chaque fin novembre, des enfilades de petites maisons de bois se dressent sur les quatre principales places de la ville. Elles renferment des trésors qui ravissent les yeux et dégagent des brassées de vin chaud et de cannelle qui parfument la ville entière. Un bredle à la main et un bonnet sur la tête, on découvre une multitude d'idées cadeaux, pour la plupart artisanaux. Avec 500 animations et la présence des associations de la ville, Strasbourg a le sens du partage. Chaque année, environ 2 millions de personnes s'y bousculent mais plus encore depuis l'arrivée du TGV-Est qui a dopé le nombre de visiteurs. A Strasbourg la scintillante, la magie de Noël prend tout son sens.


(Source : Evene)

Si notre emploi du temps le permet, nous irons y jeter un coup d'oeil mardi prochain. Je pense qu'il n'y aura pas autant de monde que le week-end.

Nelly a écrit:

Marché de Noël de Strasbourg

Nous avons pu y faire un tour , hier. Il y avait du monde, mais rien à voir avec le week-end. L'ambiance de Noël est magique, pour les fêtes. Tout est décoré et de petites maisonnettes sont installées sur toutes les places disponibles. Ca faisait longtemps que je n'y avait pas été et j'ai beaucoup apprécié.

Quant aux odeurs... Glühwein (vin chaud) et Bredele (biscuits). Je ne vous dis que ça. Nous n'en avons pas bu, mais nous nous sommes imprégnés des odeurs !

J'ai eu la grande joie de voir ce marché de Noël qui reste un souvenir magnifique.

Je dois avouer que celui de Toulouse, place du Capitole, ne lui arrive pas à la cheville !

(Devant la cathédrale, il y a un très bon restaurant alsacien !!!! avec Gwurztraminer, bien entendu.)

Brumes a écrit:

J'ai eu la grande joie de voir ce marché de Noël qui reste un souvenir magnifique.

Je dois avouer que celui de Toulouse, place du Capitole, ne lui arrive pas à la cheville !

Que veux-tu, le sud a déjà le soleil, il faut bien laisser quelque chose pour le nord-est !

Brumes a écrit:

(Devant la cathédrale, il y a un très bon restaurant alsacien !!!! avec Gewurztraminer, bien entendu.)

Tu ferais bien la paire avec Bernard. Lui a également des souvenirs "du ventre" !
Oui,ce restaurant a une excellente renommée. Il s'agit du "Kammerzell". J'y ai déjeuné... d'une salade en terrasse, en été de l'année dernière. Par contre, je n'aime pas le goût de leur choucroute. Ils y rajoutent une épice qu'il faut aimer.

Il y a une question que les enfants posent régulièrement et à laquelle les parents ne savent jamais quoi répondre : 'Où vit donc le père Noël ?' La ville de Rovaniemi rend un fier service à l'humanité parentale en lui permettant de donner une réponse réaliste. Non, le père Noël ne vit pas dans les nuages, mais en plein milieu du cercle polaire, en Laponie, où les bambins peuvent d'ailleurs envoyer leur liste de cadeaux. De surcroît, si l'envie leur prenait d'aller vérifier sur place, c'est possible et des milliers de personnes s'y rendent chaque année depuis 1992. Le nombre de visiteurs augmentant d'année en année, le lieu a été agrandi à deux reprises. Vous pourrez y rencontrer l'homme lui-même, mais aussi ses rennes, ses elfes et découvrir toute la préparation qu'exige la grande expédition de Noël. Votre passage sera naturellement consigné dans le Grand Livre, avec votre portrait en compagnie du père Noël, preuve qui fera sensation dans la cour de l'école. Les elfes quant à eux se feront un plaisir de rédiger, sur demande, une carte à l'attention d'un proche dans l'une des dix langues qu'ils connaissent, pendant que vous dégusterez par exemple, un consistant porridge. Si le voyage se fait avant tout pour les enfants, on ne peut pas présager de l'effet de cette rencontre sur les parents...

Pour Frank afin qu'il sache répondre à Alicia !

Je crois qu'en France il a un bureau à Libourne !

C'est toujours bon à savoir... on a toujours besoin d'un père Noël, et même de plusieurs

Brumes a écrit:

Je crois qu'en France il a un bureau à Libourne !

C'est toujours bon à savoir... on a toujours besoin d'un père Noël, et même de plusieurs

A Libourne, sont réceptionnés tous les messages envoyés par les enfants et une réponse leur est donnée. Il s'agit d'un service de La Poste.

Dans ce qui était cité plus haut, on peut visiter la maison du Père Noël !