Lieux et monuments

anémone a écrit:

Nous hésitons pour sa place...ou sur la cheminée...ou nous achèterons un chevalet pour qu'il soit en valeur dans le salon...pour le moment il est emballé dans une pièce...

ben dis donc?.........ça va faire un an qu'il est enfermé dans son papier????????le pauvre , il doit croire qu'il ne vous plaît pas
moi ça fait un an que je vois quand il va pleuvoir!(comprenne qui peut

Marie-jo 17 a écrit:

ben dis donc?.........ça vafaire un an qu'il est enfermé dans son papier????????le pauvre , il doit croire qu'il ne vous plait pas

Non, Rose il est en bretagne depuis 10 jours, nous en avons profité ici : exposé sur le buffet.
Mais nous voulions le transporter nous même, pour qu'il ne soit pas maltraité dans le déménagement...

Ah bon ! C'est bien une "Van..." moins connue certes que l'homme à l'oreille coupée mais notre contemporaine.

De ce même peintre j'ai des nus... Ne dites pas ooohhh !!! dans l'art c'est courant et n'a rien de choquant.

Depuis le temps que la Vénus de Milo s'offre à tous les regards, qui a crié au scandale ?

Brumes a écrit:

Ah bon ! C'est bien une "Van..." moins connue certes que l'homme à l'oreille coupée mais notre contemporaine.

De ce même peintre j'ai des nus... Ne dites pas ooohhh !!! dans l'art c'est courant et n'a rien de choquant.

Depuis le temps que la Vénus de Milo s'offre à tous les regards, qui a crié au scandale ?

et oui, et en plus, je lui ai fait : le vélo de minus! heu.....la vénus de milo

BRUXELLES

et voici tout l'immeuble
ce sont de vrai chefs d'oeuvres

Tu veux nous donner envie de venir visiter Bruxelles ? Ca a l'air drôlement intéressant !

Ciné 104 à Pantin

Voilà vingt ans déjà que le 7e art a trouvé refuge au Ciné 104 de Pantin. Dans ce cinéma, classé 'art et essai', la programmation est pointue, réfléchie. Le choix des films se fait en faveur des jeunes réalisateurs. Aucun genre cinématographique, aucune nationalité ne fait peur à ce petit cinéma qui tente de satisfaire tous ses spectateurs, des plus jeunes aux plus exigeants. Le programme élaboré se veut fidèle à l'actualité mais à côté des films à gros budgets, ce sont des formats moins académiques, des films moins consensuels qui sont défendus, affichant ainsi la volonté claire de pallier à l'uniformisation ambiante du marché cinématographique. Pour ne pas rompre avec cet esprit et permettre au public d'affiner son sens critique, l'équipe du Ciné 104 met un point d'honneur à faire de ce lieu un espace de vie et d'échange. Des rencontres sont donc régulièrement organisées, avant-premières et débats en présence des cinéastes, ciné-goûters pour les plus petits... En 2003, des travaux de transformation ont été engagés afin d'améliorer le confort et les équipements technologiques. Les espaces s'ouvrent à présent sur la ville et le parc Stalingrad. Passée la façade contemporaine, un vaste hall lumineux guide les spectateurs vers les trois salles entièrement rénovées qui peuvent accueillir 66, 154 et 224 personnes.

place des martyres a Bruxelles
avec au centre en dessous de la statue un ossuaire!

colonne du congrès et de la constitution a Bruxelles

rue de Nancy a bruxelles
.........tiens je connais quelqu'un du coin!

Marie-jo 17 a écrit:

Rue de Nancy a bruxelles
.........tiens je connais quelqu'un du coin!

Ah oui ? Et qui donc ?

Dis-moi, tu te balades dans les rues de Bruxelles avec ton appareil à photos ou quoi ? Où as-tu trouvé le nom de la rue ? Pas sur l'ordinateur, quand même.

Probablement construite de 1382 à 1390 en vis-à-vis de la tour Saint-Nicolas, la tour de la Chaîne constitue une majestueuse porte d'entrée du Vieux-Port de La Rochelle. C'est de cette tour qu'était tendue la chaîne, afin d'interdire l'accès du port. A l'origine, le site comporte deux tours de la Chaîne : une petite avec un treuil destiné à tendre la chaîne, et une grande abritant le capitaine de la tour, sa famille et la garnison. La petite tour aurait quant à elle été bâtie à une époque antérieure. En 1651, une explosion démolit la toiture, les mâchicoulis et le chemin de ronde. C'est seulement en 1827 et au début du XXe siècle que la tour est restaurée et que la petite tour de la Chaîne est démolie afin d'agrandir l'entrée du port, qui est à présent haute de plus de 25 mètres. Le treuil est alors aménagé dans une sorte de puits carré et la tour est classée monument historique le 17 février 1879.

Nelly a écrit:

Marie-jo 17 a écrit:

Rue de Nancy a bruxelles
.........tiens je connais quelqu'un du coin!

Ah oui ? Et qui donc ?

Dis-moi, tu te balades dans les rues de Bruxelles avec ton appareil à photos ou quoi ? Où as-tu trouvé le nom de la rue ? Pas sur l'ordinateur, quand même.

mais bien entendu ma p'tite dame! sur l'ordi, comme une grande!
le tout et de poser les bonnes questions a cet ordi!
et d'avoir de la patience!
en plus, faut pas oublier que je suis Bruxelloise d'origine flamande! et que j'y ai habité de longues années!

L' avis de Wajdi Mouawad : Il m'arrive très souvent d'aller écrire dans l'espace consacré à Ingres au musée du Louvre. C'est une petite salle, carrée, avec un siège au centre. On est entouré par les tableaux d'Ingres, c'est magnifique, très paisible, reposant. Les grands espaces créent le même genre de sensation. Devant 'Le Radeau de la Méduse' par exemple. Là aussi vous pouvez vous asseoir, y passer l'après-midi, ne pas prêter attention au tableau mais regarder les gens passer, personne ne vous embête. Ce sont des oeuvres tellement insensées... Je ne retrouve pas cette sensation dans les espaces contemporains, qui suscitent une sorte de conflit entre ce que je fais et ce qu'ils sont. Dans les musées classiques, il y a une distance. Le tableau est là, en dehors de vous, et vous inspire.

Le musée du Louvre est l'un des plus anciens musées européens. Fondé en 1793, il a une vocation universelle et constitue une véritable encyclopédie. Les collections englobent en effet l'art des civilisations antiques du Bassin méditerranéen à la civilisation occidentale du haut Moyen Age, et s'étendent jusqu'à la première moitié du XIXe siècle. Il s'est longtemps réparti en sept départements : les salles des antiquités orientales, celles des antiquités égyptiennes, des antiquités grecques, étrusques, et romaines, des sculptures, des objets d'art, des peintures et des arts graphiques. A ces départements sont venus s'ajouter le département des arts de l'Islam et celui des arts et civilisations d'Afrique et d'Océanie. Les modes de présentation et les répartitions des salles varient en fonction des oeuvres, les salles égyptiennes reprenant, par exemple, la présentation thématique qui avait été initiée par leur fondateur, Champollion. La visite du musée donne ainsi accès aussi bien à des oeuvres mondialement renommées, allant de la 'Victoire de Samothrace' à la 'Joconde', qu'à des catégories plus méconnues, comme les arts graphiques, 'esquisses' et croquis d'artistes, et désormais une collection d'arts islamiques qui n'a rien à envier aux musées anglo-saxons.

beffrois de St Nicolas dans la province d'Anvers

vu sous un autre angle!

notre Dame ANVERS

MALINES

Le musée, installé dans l'hôtel Altenloh, annexe du musée des Beaux-Arts de Bruxelles, est avant tout le berceau artistique de René Magritte. Et pour cause, le peintre surréaliste belge y a vécu vingt-quatre années. Tantôt lieu de rendez-vous incontournable des surréalistes de l'époque, tantôt cocon familial, il offre depuis le 9 juin 2009, un endroit riche dans lequel Magritte a créé près de la moitié de son oeuvre. Ses 2.500 m2, qui présentent près de 170 oeuvres de l'artiste, en font la plus vaste collection du monde. Le décor immobilier - notamment au rez-de-chaussée où figure l'appartement que l'artiste a loué de 1930 à 1954 avec sa femme Georgette - évoque d'ores et déjà ses créations. L'intérieur, reconstitué fidèlement, dévoile avec subtilité l'oeuvre du peintre. Quelques-uns de ses objets fétiches se retrouvent ici et là, à l'instar d'un saxophone qui n'est pas sans rappeler 'La Découverte du feu', ou d'une fenêtre à guillotine évoquant considérablement 'La Condition humaine'. En nous invitant à pénétrer dans l'univers de création du peintre, le musée Magritte se présente comme une véritable mise en abyme des pièces du surréaliste. Les appartements se révèlent sous un aspect petit-bourgeois, et seuls quelques détails, comme le bleu électrique des murs du salon, les meubles rouge sang de la chambre et un tapis-alphabet posé au pied du lit, nous rappellent le précepte du peintre, à savoir que l'image est trompeuse. Au stade de la visite domiciliaire, une exposition permanente - répartie sur deux étages - offre plus de 400 documents originaux à travers un prisme biographique. Les étapes déterminantes de la vie de René Magritte sont ainsi retracées à l'aide d'objets divers : revues surréalistes, affiches publicitaires, correspondance, etc. En sus, une collection d'une trentaine de dessins, gouaches et peintures, avec entre autres 'Lola de Valence', l'une des oeuvres les plus aboutie de sa 'période vache', vient agrémenter le parcours. Son atelier, au fond du jardin, vient aussi illustrer son univers. Le musée consacre une ultime salle à d'autres surréalistes, à l'exemple de Mesens, Mariën, Paul Delvaux, ou Rachel Baes.

hotel de ville de Roubais,très belle façade
+détail du top

moulin de Lancieux(côtes d'armor)

Langage des ailes de moulins

Les moulins étaient aussi des postes de surveillance avec leurs messages codés. Ils servaient également à annoncer un évènement familial ou un conflit militaire :
les ailes arrêtées en croix de saint André (en quartier) signalaient un heureux évènement chez le meunier ou le retour au calme dans un conflit militaire ;
les ailes en croix grecque (en bout de pied) appelaient au rassemblement ;
inclinées à gauche, elles alertaient d'un danger militaire ;
inclinées à droite, elles annonçaient un deuil chez le meunier ou un danger militaire écarté.

Ancien cinéma de quartier, réaménagé depuis 1997 en salle de concerts, le Splendid éclabousse la métropole lilloise d'une programmation ouverte à de multiples tendances musicales : chansons à textes, rock subversif, reggae skaïsant s'entremêlent dans ce lieu chaleureux. Cette salle citoyenne laisse aussi une place importante aux interventions politiquement et sociologiquement engagées, aux représentations théâtrales et autres projections cinématographiques. C'est ainsi qu'elle a su séduire un public en provenance des quatre coins de l'eurorégion, ouvert aux différents registres musicaux proposés et tout à fait disposé à ingurgiter les 70 à 100 concerts annuels. Pluraliste et à l'écoute de son public, cette salle de cinéma des années 1950, bientôt classée, a dès lors su devenir un haut lieu de la musique vivante et une des salles importantes de la région Nord.

Ouvert en septembre 2001, le Cube s'est imposé comme un lieu d'un genre unique en France. Premier centre de création entièrement dédié au numérique, il est géré et animé par l'association ART3000, qui depuis 1988 mène des actions en faveur du développement de cette discipline. Créé à l'initiative de la ville d'Issy-les-Moulineaux, il constitue l'un des acteurs culturels clés de la Communauté d'agglomération Arc de Seine. Le lieu permet à un public de tout âge, amateurs et professionnels, d'accéder aux pratiques culturelles et artistiques offertes par les nouvelles technologies au travers de multiples propositions : ateliers et initiations multimédias tous niveaux, activités pour le jeune public dès 3 ans, centre de documentation, soutien à la production, expositions, concerts, performances, rencontres, conférences. Le Cube soutient également la production et la diffusion de nouvelles formes de création en accueillant des artistes en résidence et en organisant régulièrement des expositions, des rencontres, des projections, des conférences et des événements exceptionnels. Après deux éditions, le festival d'art numérique intitulé Premier Contact devient le Cube Festival. Cette manifestation propose une exposition à ciel ouvert d'oeuvres interactives implantées dans l'espace public et présentées à l'aide d'un mobilier urbain conçu spécialement, transformant ainsi la ville d'Issy-les-Moulineaux en une véritable vitrine de la création numérique. Poursuivant encore son développement, le Cube lance le 22 juin 2009 son nouveau site Internet, sur lequel il est possible de voir, durant une semaine, une vidéo d'artiste quotidienne.

La White Cube Gallery, située non loin du quartier bouillonnant de Picadilly Circus et à l'orée de Hoxton Square - le refuge naturel artistique du tout London -, est reconnue pour être la galerie d'art contemporain la plus en vogue du monde. Elle s'impose comme un véritable carrefour artistique représentant des artistes phares de la création contemporaine anglaise, à l'exemple de Damien Hirst et Tracey Emin, mais aussi des artistes internationaux. White Cube, c'est d'abord un concept emmené par Jay Jopling en 1993, et designé par l'architecte Claudio Silvestrin. L'idée est simple et à l'image de son nom : un espace cubique et épuré. Puis en 2002, la galerie, localisée à l'origine sur Duke Street, ferme ses portes pour venir s'implanter dans l'East End de Londres. Un bâtiment industriel de type années 1920, dessiné par des architectes de MRJ Rundell and Associates, vient alors héberger la galerie, qui propose plus de 600m2 d'exposition permanente. En septembre 2006, White Cube se démultiplie et ouvre ses portes à Mason' s Yard, dans le quartier de Saint-James. Retour aux sources pour la galerie, qui revient sur ses pas à Duke Street. Les mêmes designers refaçonnent l'ancienne station électrique, qui propose désormais près de 1.520m2 d'exposition, sur deux étages. White Cube continue à s'inscrire à travers une dimension internationale et une démarche postmoderne. Et pour cause c'est l'artiste Gabriel Orozco qui a inauguré l'espace.

cette photos est aussi valable dans les monuments que dans les fontaines!
fontána (la Fontaine chantante)

La fontaine est le clou de la promenade et l’une des grandes attractions de Mariánské Lázně. Elle a captivé les spectateurs pour la première fois en 1986. Grâce à un système de sept jets d’eau, on peut créer une multitude de combinaisons de jaillissements. Toutes les heures impaires, la musique sort des haut-parleurs qui sont cachés sous les grilles en bronze. La fontaine n’est en service que durant la grande saison thermale - de la fin avril jusqu´au mois d’octobre.

maison construite par Gaudi : Barcelone
description:
C'est le premier projet important d' Antoni Gaudí i Cornet.
Bâtie entre 1883 et 1888, la maison Manuel Vicens i Montaner est un projet très imaginatif préparé pour une famille riche propriétaire d' usine de céramique. Ceci se manifeste à la façade qui a une ornementation basée dans les carreaux de faïence.
Le bâtiment montre des différents volumes séparés par des angles vifs, avec une conception oposée à celle de La Pedrera.
L'atmosphère de l'immeuble a des influences de l'architecture arabe, influence qui se manifeste d'une manière très accusée dans la chambre dite "fumoir".
L'ornementation des plafonds montre des plantes et des fleurs avec de fantastiques.

palais Al Badi, MArrakech

Le Volume est né d'une association appelée La Source, qui a pour mission de promouvoir et d'aider au développement artistique. L'espace met l'accent sur la création locale, et favorise les artistes musiciens. Rythmé par les musiques émergentes actuelles, les concerts commencent à 21h du jeudi au samedi inclus. Lieu à vocation alternative, l'espace préconise les échanges entre les artistes, le public, et les auteurs actuels. Le Volume est un lieu propice à l'exportation artistique des différents groupes.

Connaître, au-delà du personnage de Tintin, l'oeuvre d'Hergé pour comprendre l'homme, telle est la devise des concepteurs du musée et de son directeur, Laurent de Froberville. Inauguré le 25 mai et ouvert au public le 2 juin 2009, ce vaisseau futuriste conçu par l'architecte urbaniste Christian de Portzamparc est en effet le moyen de rendre hommage au créateur de Tintin - de son vrai nom, Georges Remi. Mais c'est aussi l'occasion de rendre compte de l'ensemble de son oeuvre.
Il est d'abord un musée situé à la l'orée d'un bois, relié par une passerelle de 75 mètres à la Grande Place de la ville universitaire, et surplombant une voirie. Tout en rondeurs et en clarté, le bâtiment aux lignes légères s'inscrit d'ores et déjà dans un univers aux confins de la fiction. Il est d'emblée question de pénétrer dans l'enceinte d'un lieu teinté d'une mythologie. Sur la droite, au seuil des portes d'entrée, la signature d'Hergé, tandis que sur la gauche, la reproduction d'une scène du 'Crabe aux pinces d'or' accueille les visiteurs. Une fois à l'intérieur, un espace gigantesque offrant près de 2.000m2. L'atrium central représente le point de jonction de huit salles d'exposition étalées sur trois niveaux. Tintin, figure emblématique et représentative de l'oeuvre d'une vie, y est bien entendu omniprésente. Mais les différentes salles dévoilent d'autres facettes du créateur : une multitude d'autres personnages, des dessins sur fond de publicité, de nombreux documents personnels sont également illustrés. En somme, au fil de l'exploration, le musée fait évoluer les visiteurs dans l'espace et les nombreuses vies parallèles de Georges Remi, tour à tour graphiste, publiciste, caricaturiste, dessinateur, ses rapports à la science, au cinéma, ses rêves de voyages et d'exotisme, tout en exposant des créations originales. Les visiteurs peuvent ainsi découvrir une maquette du sous-marin de taille réelle créé par le professeur Tournesol, et d'autres objets tirés de l'oeuvre d'Hergé. Aussi, le musée expose de manière permanente 80 planches originales renouvelées et conservées, et 800 croquis et dessins. Une dernière salle d'exposition temporaire de 300m2 dévoile la conception du musée, et achève la découverte de cet empire de la BD.

[URL=http://www.monsterup.com]LLe Pavillon Baltard, installé à Nogent-sur-Marne depuis 1976 et classé Monument historique… je
Ce grand pavillon est l'unique vestige des Grandes Halles de Paris de 1850.
Sur ordre de Napoléon III, l'architecte Victor Baltard conçoit un projet de halles au centre de Paris pour faciliter le commerce. Douze pavillons, modernes et audacieux, sont bâtis avec les matériaux à la mode à cette l’époque : le fer, la fonte et le verre. La construction s’échelonne de 1850 à 1870. Le succès est immédiat, tant artistique (selon Eiffel, Baltard fait entrer Paris dans le XXe siècle… et Verlaine parle des dentelles de Vulcain…) que commercial : s’y installent maraîchers, poissonniers, bouchers… Devenue rapidement célèbre, son architecture sera maintes fois copiée.
Mais en 1972, les lieux sont devenus trop étroits et l’état choisit de transférer l'activité du site au Marché International de Rungis, et la destruction des bâtiments. De vives contestations s’élèvent et on décide d’en garder un. Le Pavillon n° 8, qui abritait le marché aux œufs et à la volaille, est conservé comme témoignage du passé architectural de la ville.
Il est alors racheté par la ville de Nogent qui le remonte en 1976 et le fait classer monument historique.
Dans son nouvel environnement, entouré des grilles d’origine des Halles de Paris, le Pavillon Baltard reçoit aujourd'hui de nombreux événements : soirées de gala, émissions de télévision, séminaires, salons, manifestations culturelles…

Tournai, Notre Dame style Roman


Avec une longueur de 134 metres, cette cathédrale est la plus grande église du pays. D'un point de vue architectural, c'est sans doute un des bâtiments les plus importants de Belgique, compte tenu de ses bases qui à l'époque romane étaient avant-gardistes et maints éléments qui seraient largement repris lors du style Gothique. Pour autant que nous sachions, à aucun autre endroit, personne n'est parvenu à égaler l'harmonie visuelle des cinq tours, et il n'est dès lors pas étonnant que l'église ait été reprise dans la liste des bâtiments du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Créée en 1970 sous l'égide du ministère de la Culture, la villa Arson est dès l'origine conçue comme un établissement artistique d'un type nouveau, ouvert aux échanges internationaux, réunissant une école d'art, un centre d'expositions et des résidences d'artistes...
La villa Arson a aujourd'hui une vocation de formation, de recherche et d'aide à la création tout en ayant la volonté de faire découvrir les pratiques artistiques les plus actuelles à un public large et diversifié. Largement ouverte sur l'étranger, la villa Arson participe activement aux échanges internationaux. S'étant dotée d'un service de médiation artistique, elle veille aussi à élargir son audience régionale et nationale. Implantée sur la colline de Saint-Barthélemy, la villa Arson occupe un vaste domaine de plus de deux hectares qui domine la ville de Nice et la baie des Anges. L'ensemble architectural, érigé au milieu d'un jardin méditerranéen, regroupe l'ancienne demeure du XVIIIe siècle de la famille Arson, aujourd'hui enchâssée dans les constructions modernes, de style brutaliste en béton et galets du Var, conçues par l'architecte Michel Marot. L'édifice bénéficie du label 'Patrimoine du XXe siècle'.

L'Institut d'art contemporain fait partie du réseau national des Centres d'art contemporain et des Fonds régionaux d'art contemporain (Frac) qui relèvent de la Délégation aux arts plastiques (DAP) du ministère de la Culture. Il bénéficie du soutien de la direction régionale des affaires culturelles Rhône-Alpes, de la région Rhône-Alpes et de la ville de Villeurbanne. L'Institut d'art contemporain est né, en 1997, de la fusion d'un centre d'art, le 'Nouveau Musée', et du Frac Rhône-Alpes. Institution pionnière en France à être dotée de la double mission d'organiser des expositions temporaires dans ses murs à Villeurbanne et de constituer la collection IAC – Frac Rhône-Alpes pour la diffuser sur l'ensemble du territoire rhône-alpin, l'Institut développe une activité dynamique de présentation et de réflexion sur l'art actuel et une politique d'acquisition doublée d'un accompagnement didactique autour d'une collection de haut niveau par des actions de sensibilisation et de formation des publics. A Villeurbanne, de par sa mission de centre d'art, l'Institut produit et présente des expositions comprenant un certain nombre d'oeuvres spécialement produites pour l'occasion et des oeuvres appartenant à des collections publiques ou privées extérieures. La programmation s'appuie sur les développements de l'art actuel dans une perspective esthétique critique et ouverte sur les questions internationales. Les expositions donnent à voir des images et des réflexions sur la création en art plastique sous toutes ses formes d'expression et dans les médias les plus divers.

le palais royal a bruxelles

le palais
Royal de Bruxelles est un des plus beaux bâtiments officiels de la capitale. Situé en face du Palais de la Nation, à l'autre extrémité du Parc royal, le Palais Royal symbolise en quelque sorte notre régime, à savoir la monarchie constitutionnelle. Le Palais est donc l'endroit où le Roi exerce ses prérogatives de Chef d'Etat. C'est au Palais que le Roi accorde ses audiences et que les affaires de l'Etat sont traitées. Outre le bureau du Roi et celui de la Reine, le Palais Royal abrite les services du Grand Maréchal de la Cour, du Chef de Cabinet du Roi, du Chef de la Maison Militaire du Roi et de l'Intendant de la Liste Civile du Roi. Le Palais comporte aussi les Salons d'apparat où sont organisées les grandes réceptions, ainsi que les appartements mis à la disposition des chefs d'Etat en visite officielle.

BRUGES
la grde place avec vue sur le Befroid

A l'emplacement de l'ancienne gare de Berlin, érigée au milieu du XIXe, se trouve désormais dans le quartier de Moabit, un musée d'art contemporain connu localement sous l'appellation, 'Museum für Gegenwart'. Les décades suivantes marquent le début des transformations. Bientôt la gare se reconvertit, et c'est un musée de transport et de construction qui finit par voir le jour au début du XXe siècle. L'architecture, la façade de style néoclassique, les deux tours, l'immense hall industriel, les allées de la cour d'honneur dotées d'un jardin, sont autant d'éléments suscitant l'intérêt des visiteurs berlinois. Enième reconversion pour le musée, qui connaît une lente métamorphose sous l'égide de l'architecte Josef Paul Kleihues. En 1996, le musée peut se dévoiler sous un angle plus contemporain, avec l'ajout d'une installation dichromatique imaginée par l'artiste américain Dan Flavin. Les allées de la cour d'honneur révèlent des néons bleus et verts, particulièrement visibles la nuit, faisant en partie l'identité du musée. L'espace met l'accent sur l'art à partir des années 1960, avec l'acquisition des collections de Erich Marx en exposition permanente. L'inauguration du musée a ainsi présenté les pionniers de l'art contemporain, à l'exemple de Joseph Beuys, Andy Warhol, Robert Rauschenberg et Cy Twombly. Richard Long, Roy Lichtenstein et Anselm Kiefer font également partie des quelque 13.000 m2 d'exposition. Avec près de 2.000 productions contemporaines européennes et nord-américaines et une collection importante de Friedrick Christian Flick, le musée est largement représentatif de l'art contemporain.

Galeristes et collectionneurs, Hildy et Ernst Beyeler ont rassemblé au cours d'une cinquantaine d'années des oeuvres particulièrement représentatives de l'art moderne. La collection comprend aujourd'hui environ 200 tableaux et sculptures, témoignant d'un regard à la fois personnel et connaisseur sur les grands classiques de l'art moderne. Outre des oeuvres de Cézanne, Picasso, Rousseau, Mondrian, Klee, Ernst, Matisse, Newman, Bacon, Dubuffet, Baselitz et autres, la collection comprend vingt-cinq pièces représentant les arts d'Afrique, d'Alaska et d'Océanie et entretenant un dialogue étroit avec les peintures et sculptures de l'art moderne. Inaugurée en octobre 1997, la collection Beyeler dispose désormais d'un très beau musée public, conçu par l'architecte italien Renzo Piano. Presque 4.000 m2 sont réservés à des expositions temporaires de portée internationale.

Véritable repère dans le paysage, le donjon s'impose en gardien du château de La Roche-Guyon et des siècles d'histoire qu'il a vu défiler. Erigé vers 1190, le donjon est rapidement complété de deux enceintes, le tout étant achevé dans les premières années du XIIIe siècle. Il faut l'imaginer bien plus imposant qu'il ne l'est aujourd' hui. Haut d'une vingtaine de mètres à présent, il en faisait plus de trente à l'origine. Il dominait la vallée de la Seine et permettait dans le même temps de garder un oeil vigilant du côté du plateau en direction de la vallée de l'Epte et de la Normandie toute proche. Resté inchangé pendant des siècles, le donjon a beaucoup souffert pendant la Révolution. En effet, le 2 octobre 1793, le conseil général de Seine et Oise ordonne que le donjon soit détruit : le site pouvait devenir dangereux si les contre-révolutionnaires s'en emparaient. Mais c'est également à un symbole de la noblesse et de la monarchie que l'on s'attaque alors. Le donjon ne sera pas totalement démonté mais aura à subir les bombardements de la Seconde Guerre mondiale qui ont contribué à son érosion. Le seul moyen d'accéder au donjon est d'emprunter l'escalier souterrain creusé dans la falaise et qui relie le château du bas à celui du haut. Son tracé laisse penser qu'il a été percé par deux équipes allant à la rencontre l'une de l'autre. Il faut compter près de 250 marches pour arriver dans la cour intérieure, au pied du donjon. Le donjon est en forme d'amande. Arrondi vers la vallée, il est effilé en éperon vers le plateau. En effet, la tour est renforcée du côté par lequel elle était susceptible d'être attaquée. La falaise offrait quant à elle une protection naturelle. Le donjon mesure près de douze mètres de diamètre à l'extérieur. Les murs ont donc une épaisseur moyenne de trois mètres. L'éperon, quant à lui, est large de quatre mètres. Massif, le donjon est voué à résister aux attaques.

gand, ses canauxle beffroi1338 chateau des comtes de flandre
chateau des comtes de flandre

Très joli, tout ça. As-tu remarqué que nous faisons déjà un joli tour dans différents pays ? Un avant-goût de la croisière...

Dans les années 1920, trois mécènes nommés Lillie P. Bliss, Cornelius J. Sullivan, et John D. Rockefeller décident de créer une institution vouée exclusivement à l'art contemporain. Dirigé par Alfred H. Barr, le Museum of Modern Art s'ouvre en 1929 avec l'ambition de devenir le plus grand musée d'art moderne du monde. Ce projet repose sur un idéal : aider les New-Yorkais à comprendre et aimer l'art visuel de leur temps. Le public répond tout de suite présent. Le succès est tel que le musée doit changer trois fois de lieu pour atterrir à midtown Manhattan en 1939. En peu de temps, le MoMA s'est considérablement développé. Plusieurs départements ont ainsi vu le jour : 'Architecture et design', 'Dessins', 'Films et médias', 'Photographies' et 'Gravures et illustrations'. Ce musée est en perpétuelle évolution, et le dernier projet en date en est la parfaite illustration : le musée a subi les plus grands et les plus ambitieux travaux de son histoire entre 2002 et 2004 en multipliant les espaces d'expositions par deux. L'objectif fixé par ses fondateurs est presque rempli : le MoMA est aujourd'hui l'un, sinon le plus grand musée d'art moderne du monde.

Nelly a écrit:

Très joli, tout ça. As-tu remarqué que nous faisons déjà un joli tour dans différents pays ? Un avant-goût de la croisière...

c'est vai!.......mais dommage que tes photos soient si petites???
est ce par esprit d'économie?

MILANle Duomo

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Très joli, tout ça. As-tu remarqué que nous faisons déjà un joli tour dans différents pays ? Un avant-goût de la croisière...

c'est vai!.......mais dommage que tes photos soient si petites???
est ce par esprit d'économie?

Non, c'est tout simplement qu'à l'endroit où je les prends, elles sont présentées ainsi. Pas moyen d'agrandir. Désolée.
Par contre, j'aime bien parce qu'il y a les explications.

Erigées au premier siècle de notre ère, les Arènes de Lutèce sont aujourd'hui un oasis d'histoire gallo-romaine au milieu des immeubles haussmanniens qui l'entourent. Typique de l'architecture antique, l'amphithéâtre accueillait près de 15.000 spectateurs, accourus pour assister aux combats de gladiateurs et de fauves. Le chaland peut d'ailleurs apercevoir des cages qui retenaient les bêtes sur le côté de l'amphithéâtre. Comme tous les autres bâtiments de la ville, les arènes furent détruites lors des invasions barbares. Enfouies pendant des siècles dans le sous-sol parisien, elles furent redécouvertes lors du percement de la rue Monge au cours des grands travaux des années 1860.