Citations en vrac

Si j'admets que la sympathie comprenne davantage, je ne suis pas certaine que l'antipathie soit objective dans son analyse !

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'antipathie analyse mieux, mais la sympathie seule comprend."  [André Siegfried]

Si j'admets que la sympathie comprenne davantage, je ne suis pas certaine que l'antipathie soit objective dans son analyse !

moi je pense que la sympathie peut fausser notre jugement ,et l'antipatie va même l'influencer négativement.
il faut rester neutre dans ses conclusions et peser en toute hônneteté le pour et le contre

L'antipathie voit facilement les failles, mais la sympathie a tendance à ne pas les voir. Je ne pense même pas que la sympathie rende forcément malhonnête (tout dépend des personnes), mais quand on connaît quelqu'un, on ne peut pas imaginer que celle-ci ne soit pas sincère, correcte !

Comment peut-on avoir de la sympathie ou de l'antipathie avant analyse?

Bien-sûr, il y a des gens plus ou moins sympathiques ou charmeurs, ça donne une chance supplémentaire de la frėquenter donc d'être déçu ou confirmé dans la bonne impression.

Ceux qui sont antipathiques ferment la porte.

Bref, pour vraiment analyser il faut avoir des éléments sinon ce n'est que du jugement superficiel.

Tant pis à ceux qui s'en contentent.

stip a écrit:

Comment peut-on avoir de la sympathie ou de l'antipathie avant analyse?  

Parce que tu les connais avant l'accomplissement d'un fait ! Quand on a de l'empathie pour quelqu'un, qu'on pense le connaître, on se dit qu'il n'a pas pu faire certaines choses. Il y a donc un a priori favorable qui risque de fausser le jugement ! Il y a également la maladresse pour engendrer des situations stupides : quand on peut éviter à quelqu'un de se retrouver dans des ennuis, n'est-il pas bon de le lui faire remarquer avant qu'il s'enlise ?

stip a écrit:

Bien-sûr, il y a des gens plus ou moins sympathiques ou charmeurs, ça donne une chance supplémentaire de la frėquenter donc d'être déçu ou confirmé dans la bonne impression.

Ceux qui sont antipathiques ferment la porte.  

Sauf qu'ils ont pu paraître sympathiques dans un premier temps ! Certains ne supportent pas d'être contrariés ou d'être mis devant leurs responsabilités quand ils ont tort.

stip a écrit:

Bref, pour vraiment analyser il faut avoir des éléments sinon ce n'est que du jugement superficiel.

Tant pis à ceux qui s'en contentent.

Tout à fait d'accord, sauf que nous parlions de personnes, soit que nous connaissions auparavant, soit pour lesquelles nous avions un a priori favorable ou défavorable !

Vous arrive-t-il d'entendre des non-dits ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"La chose la plus importante en communication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit."  [Peter Drucker]

Vous arrive-t-il d'entendre des non-dits ?

Certains silences révèlent des choses suivant l'attitude de la personne

Tu as raison, le silence est souvent révélateur et éloquent.

Mais il est également des personnes qui disent une chose et pensent l'inverse. D'ailleurs, souvent, quand on dit : "Je m'en f...", on est atteint, parfois vexé !

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"La chose la plus importante en communication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit."  [Peter Drucker]

Vous arrive-t-il d'entendre des non-dits ?

Certains silences révèlent des choses suivant l'attitude de la personne

Tu as raison, le silence est souvent révélateur et éloquent.

Mais il est également des personnes qui disent une chose et pensent l'inverse. D'ailleurs, souvent, quand on dit : "Je m'en f...", on est atteint, parfois vexé !

C'est pour ça que lorsqu'on est trop franc....on passe pour un perturbateur, une personne de mauvais caractère !!!

Parfois, il faut peser ses mots pour éviter de blesser. De plus, dans la répartie directe, on ne se rend pas toujours compte de l'ampleur du mal qu'on peut faire à celui qui la reçoit. Mais on peut dire beaucoup de choses en y mettant les formes, sans pour autant raconter des histoires.

Je vais te dire : il m'arrive souvent de me retenir (je pense au SC) parce que je me sais très rigoureuse alors que d'autres ne le sont pas, sans mauvaise foi, ce que je déteste. J'essaie de dire des choses de manière plus apaisée et ça passe mieux. Cela ne signifie pas que je ne le dis pas. Je le dis mieux. Il m'arrive également de devoir être ferme par rapport à celles qui ne veulent pas comprendre (c'est déjà arrivé) !

La solitude est une plaie de notre société actuelle. Il est souvent difficile d'en échapper, même et peut-être surtout quand il y a du monde. Or, pour fuir la solitude, il faut déjà se libérer de ses propres chaînes !

J'ai envie de dire oui... et vous, comment le voyez-vous ?

Nelly a écrit:

"Il faut toujours rendre justice avant que d'exercer la charité."  [Nicolas De Malebranche]

J'ai envie de dire oui... et vous, comment le voyez-vous ?

Effectivement !

La justice est un droit ! La charité une possibilité aléatoire et subjective.

De la même manière, je préfère l'égalité à l'équité qui relève d'une possibilité aléatoire et subjective.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Il faut toujours rendre justice avant que d'exercer la charité."  [Nicolas De Malebranche]

J'ai envie de dire oui... et vous, comment le voyez-vous ?

Effectivement !

La justice est un droit ! La charité une possibilité aléatoire et subjective.

Nous sommes absolument d'accord sur le droit. Pourtant, en voyant ce qui se passe, ce qui se vit autour de nous, ne peut-on pas pratiquement imaginer que la charité s'assimile  à un droit ? Disons que, dans l'absolu, ce genre de langage m'horripile mais, en association, quand tu donnes à l'un, n'es-tu pas également obligé de donner à l'autre ? Certes, elles demeurent libres de leur choix, mais quelque part...  

Imagine un instant que toutes les associations caritatives, quelles qu'elles soient, fassent grève, brusquement. Que se passerait-il, à ton avis ?

Morgan Kane a écrit:

De la même manière, je préfère l'égalité à l'équité qui relève d'une possibilité aléatoire et subjective.  

Quand c'est possible, c'est évident. Mais au risque de se tromper, en ayant analysé les cas de figure possibles, comment faire autrement ?

Pas faux.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"N'aimer que ce qui nous ressemble, c'est s'aimer soi-même, ce n'est pas aimer."  [Tierno Bokar]

Pas faux.

exact!

Une question : peut-on se forcer à aimer ce (ou ceux) qu'on n'apprécie pas ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"N'aimer que ce qui nous ressemble, c'est s'aimer soi-même, ce n'est pas aimer."  [Tierno Bokar]

Pas faux.

exact!

Une question : peut-on se forcer à aimer ce (ou ceux) qu'on n'apprécie pas ?

je pense qu'aimer d'autre personnes  que celles  qui nous ressemblent c'est possible,même souhaitable ! Mais aimer ceux que nous n'apprécions pas ,là est la difficulté, car nous n'avons pas le sentiment de pouvoir eliminer nos apprioris!

Les atomes crochus sont important,ils dirigent nos préférences

Je crois qu'on peut avoir des atomes crochus avec des gens qui ne nous ressemblent pas et fort heureusement. Par contre, on ne peut pas apprécier tout un chacun et donc pas l'aimer. Pour moi, certains défauts sont éliminatoires...

Et nous sommes parfois doués pour mal prendre quelque chose qui a été dit de manière totalement anodine !

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce qui est important, ce n'est pas ce qui nous arrive, c'est la manière dont on le prend."  [Confucius]

Et nous sommes parfois doués pour mal prendre quelque chose qui a été dit de manière totalement anodine !

OUAIS!...il y a tout de même des trucs que j'aurais aimer éviter dans ma vie!on peut toujours essayer d'accepter les tuiles qui nous tombent dessus , cela n'empèche pas les bosses

C'est vrai que nous aurions préféré éviter certains ennuis. En même temps, ce sont ces expériences qui nous ont forgés, même si ça n'a pas toujours été facile !

En même temps, il s'agit là de l'importance que nous donnons à certains faits, alors que nous pourrions les accepter sans trop de problèmes, avec un certain recul, en les relativisant !

Est-ce vrai et, si oui, comment se fait-il qu'il en soit ainsi ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'idée de la souffrance est beaucoup plus facile à communiquer que celle du bonheur."  [Graham Greene]

Est-ce vrai et, si oui, comment se fait-il qu'il en soit ainsi ?

hé oui!...... le melodrame ,fait facilement pleurer,tandis que l'humour doit être intelligent et bien amener,sinon il tombe à plat!....demandez aux humoristes, c'est beaucoup plus difficile de faire rire

Tu parles de faire rire ? Ben non, il est plus difficile de faire rire que de faire pleurer, paraît-il.

Mais la citation parlait de bonheur. Quand tu t'épanches auprès de quelqu'un en lui racontant tes malheurs et tes problèmes, tu trouves une meilleure écoute que quand tu étale ton bonheur. Je ne parle pas des amis, mais de connaissances : le bonheur fait moins parler, mais chacun se retrouve peut-être, du moins partiellement ou à un moment ou un autre, dans une forme de malheur.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'idée de la souffrance est beaucoup plus facile à communiquer que celle du bonheur."  [Graham Greene]

Est-ce vrai et, si oui, comment se fait-il qu'il en soit ainsi ?

hé oui!...... le melodrame ,fait facilement pleurer,tandis que l'humour doit être intelligent et bien amener,sinon il tombe à plat!....demandez aux humoristes, c'est beaucoup plus difficile de faire rire

Tu parles de faire rire ? Ben non, il est plus difficile de faire rire que de faire pleurer, paraît-il..

mais c'est exactement ce que je dis, ...c'est qui la belge là?:roll:

Nelly a écrit:

Mais la citation parlait de bonheur. Quand tu t'épanches auprès de quelqu'un en lui racontant tes malheurs et tes problèmes, tu trouves une meilleure écoute que quand tu étale ton bonheur. Je ne parle pas des amis, mais de connaissances : le bonheur fait moins parler, mais chacun se retrouve peut-être, du moins partiellement ou à un moment ou un autre, dans une forme de malheur.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'idée de la souffrance est beaucoup plus facile à communiquer que celle du bonheur."  [Graham Greene]

Est-ce vrai et, si oui, comment se fait-il qu'il en soit ainsi ?

hé oui!...... le melodrame ,fait facilement pleurer,tandis que l'humour doit être intelligent et bien amener,sinon il tombe à plat!....demandez aux humoristes, c'est beaucoup plus difficile de faire rire

Tu parles de faire rire ? Ben non, il est plus difficile de faire rire que de faire pleurer, paraît-il..

mais c'est exactement ce que je dis, ...c'est qui la belge là?

C'est moi.   Youpi, j'ai la double nationalité !  

Je ne le dirais pas ainsi : peut-on comparer tristesse et haine ? Peut-être... Pour la pitié, cela me semble plus juste, quoique je préfèrerais empathie plutôt qu'amour.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

 

"L'envie est une tristesse mêlée de haine, la pitié une tristesse mêlée d'amour."  [René Descartes]

Je ne le dirais pas ainsi : peut-on comparer tristesse et haine ? Peut-être... Pour la pitié, cela me semble plus juste, quoique je préfèrerais empathie plutôt qu'amour.

Il ne s'agit pas de comparer tristesse et haine mais de les associer.

Sans doute as-tu raison. Je pense que la haine débute par de la tristesse, mais la haine, quand on la ressent,  lui emboîte rapidement le pas !

En même temps, dans le cadre de l'envie, je me pose quand même la question à propos de la haine. A quel moment l'envie engendrera-t-elle la haine ?  

Morgan Kane a écrit:

La pitié est souvent mêlée de mépris. Quand une personne en dit à une autre " Tu me fais pitié ! ", ce n'est pas un compliment.

Tout dépend du contexte !

Quand c'est dit de la manière dont tu le cites, effectivement, il s'agit de mépris tout simplement parce que l'autre a probablement accompli un acte dont il n'y a pas lieu d'être fier et qui inspire le mépris. En même temps, je ne crois pas qu'on puisse dire que le mépris inspire forcément la pitié.

Par contre, quand quelqu'un est dans le désarroi le plus complet pour avoir subi des événements indépendants de sa volonté et qu'on n'a pas la possibilité de l'aider à remonter la pente, il peut nous inspirer de la pitié qui n'est absolument pas négative.

N'avez-vous jamais regretté un service rendu parce que l'autre n'a peut-être pas su l'apprécier ?

C'est dur, non ?

Je préfère celle-ci :


Et vous ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"La douleur est la grande éducatrice des hommes."  [Anatole France]

C'est dur, non ?

Je préfère celle-ci :

"Que chaque événement de votre vie vous apprenne quelque chose."  [Osho Rajneesh]

Et vous ?

Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années.Mais l'expérience nous conforte

Assimiles-tu l'expérience à la douleur (1ère citation) ?

Certes, tout n'est pas toujours facile, dans la vie, mais de là à parler de douleur. Oh oui, elle existe, mais ce n'est quand même pas la règle générale. Parfois, des inconvénients, des soucis, font également partie de nos expériences sans engendrer la vraie douleur !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"La douleur est la grande éducatrice des hommes."  [Anatole France]

C'est dur, non ?

Je préfère celle-ci :

"Que chaque événement de votre vie vous apprenne quelque chose."  [Osho Rajneesh]

Et vous ?

Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années.Mais l'expérience nous conforte

Assimiles-tu l'expérience à la douleur (1ère citation) ? !

non mais bien a la deuxième

Nelly a écrit:

Certes, tout n'est pas toujours facile, dans la vie, mais de là à parler de douleur. Oh oui, elle existe, mais ce n'est quand même pas la règle générale. Parfois, des inconvénients, des soucis, font également partie de nos expériences sans engendrer la vraie douleur !

Vous êtes-vous déjà étonnés d'avoir réussi quelque chose à laquelle vous n'auriez jamais pensé arriver ?

Nelly a écrit:

"Il n'est pas d'homme que la nécessité n'élève au-dessus de lui-même." [Ménandre]

Vous êtes-vous déjà étonnés d'avoir réussi quelque chose à laquelle vous n'auriez jamais pensé arriver ?

Oui, au quotidien.

La force de relever la tête et de rebondir comme je l'ai fait, jamais je n'aurais cru pouvoir en être capable. Là, avec Martine on a rencontré un des coachs d'une salle de crossfit pour faire un essai et évaluer la possibilité pour nous de pratiquer.

Il n'est pas si loin le temps où rien que l'idée de faire des pompes déclenchait en moi une irrésistible envie de fuite !!!!!


Et pourtant .....

Là on est dans le domaine du physique, mais je peux vous garantir que du coté intellectuel une énorme évolution, une révolution devrais-je dire, a eu lieu suite à mes divers avatars de ces dernières années (et j'ai comme le sentiment que ce n'est pas fini )

grand pierre a écrit:

Nelly a écrit:

"Il n'est pas d'homme que la nécessité n'élève au-dessus de lui-même." [Ménandre]

Vous êtes-vous déjà étonnés d'avoir réussi quelque chose à laquelle vous n'auriez jamais pensé arriver ?

Oui, au quotidien.

Pour ce qui vous concerne, la question ne se pose même pas. Je me doute bien qu'il a souvent fallu vous surpasser et vous avez soulevé des montagnes (ou gravi  ).

grand pierre a écrit:

La force de relever la tête et de rebondir comme je l'ai fait, jamais je n'aurais cru pouvoir en être capable. Là, avec Martine on a rencontré un des coachs d'une salle de crossfit pour faire un essai et évaluer la possibilité pour nous de pratiquer.

Il n'est pas si loin le temps où rien que l'idée de faire des pompes déclenchait en moi une irrésistible envie de fuite !!!!!

Et pourtant .....

Nous ne découvrons souvent nos réelles possibilités que quand les circonstances l'imposent...

grand pierre a écrit:

Là on est dans le domaine du physique, mais je peux vous garantir que du coté intellectuel une énorme évolution, une révolution devrais-je dire, a eu lieu suite à mes divers avatars de ces dernières années (et j'ai comme le sentiment que ce n'est pas fini )

Ca, je veux bien le croire. Dans certaines situations, on reconnaît les vraies valeurs !

Il y a sans doute une part de raison, là-dedans, mais il faut quand même relativiser : on ne peut pas acquiescer à tout sous prétexte de se retrouver seul. Beaucoup de choses peuvent se dire en y mettant les formes !

Que peut-on dire à ce sujet ?

Que dites-vous de ça ?

"On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter." [Emmanuel Kant]

Etes-vous intelligents ?

grand pierre a écrit:

Nelly a écrit:

"On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter."  [Emmanuel Kant]

Etes-vous intelligents ?  

En est-on on certains ???

Je suis tout à fait d'accord avec Emmanuel Kant,(pas Mary Quant ) les avis définitifs sont des "réducteurs de tête" mais qui rassurent leur seul propriétaire, persuadé ainsi,  d'être du bon côté, le seul qui vaille. C'est tellement plus reposant!

grand pierre a écrit:

Nelly a écrit:

"On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter."  [Emmanuel Kant]

Etes-vous intelligents ?  

En est-on on certains ???

C'est l'avis de l'auteur. Donne-nous ton avis si tu penses différemment. Cela nous feras une nouvelle ouverture...

grand pierre a écrit:

Ma petite phrase était en réponse à ta question

Je n'avais effectivement pas saisi que tu répondais à ma question sur l'intelligence. Tu vois que moi, j'en suis moins dotée que toi.   En même temps, je ne regrette pas de ne pas avoir compris, puisque tu réponds par ailleurs !  

grand pierre a écrit:

Il est évident que celui qui est pétri de certitudes est loin d'avoir une intelligence un tantinet développée !

Et pourtant, ça existe bien souvent même si des erreurs d'appréciation semblent parfois lumineuses aux autres. Mais je crois que ce sont généralement des personnes imbues de leur personne qui ne se remettent pas en question. Il y a aussi le problème de la fierté personnelle : avouer ses erreurs risquerait de rabaisser aux yeux de certains.

grand pierre a écrit:

Seul le doute permet de mettre en lumière les théories qui quelquefois paraissent complètement farfelues.

C'est aussi mon avis, encore faut-il que nous nous posions les bonnes questions au bon moment.

N'est-ce pas souvent exact ? Ne sublime-t-on pas souvent les disparus ?