Citations en vrac 8/2014

Frank a écrit:

Malheureusement pas la phrase exacte mais en substance - et je l'espère, fidèlement à la pensée de l'auteur Georges Picard - une réflexion brillante (La Grande Librairie d'hier soir, en replay ou dimanche soir si vous voulez voir l'émission):

"L'écriture permet de coucher sur une page les idées que nous avons déjà et de déclencher celles que nous n'avons pas encore"

Il a exprimé ce que je pense depuis longtemps et malheureusement, sans savoir expliquer "pourquoi et comment" lorsque l'on écrit, on se retrouve rapidement (en tout cas moi) à aborder des choses que l'on n'avait même pas conscientisées auparavant. La forme propice au fond L'écrit déclenchant l'idée

Je n'en ai vu que quelques passages parce que j'avais d'autres choses à faire mais je vais tenter de revoir cette émission. Je ne me suis posée que plus tard devant une émission sur "Pierre Rabbhi" que je veux voir jusqu'au bout parce qu'il était trop tard, mais c'était passionnant.

Pour l'écriture comme moyen d'approfondir ou de créer de la "pensée" je ne sais pas... Il faut que j'y réfléchisse, mais pour ma part, ce n'est pas si évident.

Frank a écrit:

"L'écriture permet de coucher sur une page les idées que nous avons déjà et de déclencher celles que nous n'avons pas encore"

Il a exprimé ce que je pense depuis longtemps et malheureusement, sans savoir expliquer "pourquoi et comment" lorsque l'on écrit, on se retrouve rapidement (en tout cas moi) à aborder des choses que l'on n'avait même pas conscientisées auparavant. La forme propice au fond L'écrit déclenchant l'idée

J'ai envie de comparer l'écriture, en plus approfondi, certes, à une discussion. Quand nous parlons d'un fait, il nous arrive fréquemment d'être assaillis par d'autres idées, tout aussi intéressantes. Il faut parfois se remettre le sujet d'origine en tête pour repartir sur le bon fil.

Il doit en être de même dans l'écriture. On parle souvent de la page blanche... Quand finalement l'idée surgit, elle débloque beaucoup de choses et une idée en appelle une autre... du moins je l'imagine ainsi.

La bonté peut-elle être excessive ? Qu'y a-t-il au-dessus du bon ?

Est-ce également votre avis ? Pour ma part, je serais plutôt d'accord.

Dans quelles circonstances ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"On peut consentir contre sa volonté."  [Homère]

Dans quelles circonstances ?

dans une situation où nous pouvons être obligés à consentir sans pour autant être en accord avec ce qui est présenté!par exemple: de deux maux il faut choisir le moindre

Eh oui, quand on n'a pas le choix ou qu'il faut choisir entre deux maux.
Je me suis retrouvée à accepter quelque chose que je ne voulais pas juste pour ne pas me fâcher avec quelqu'un. Ce peut être aussi par devoir.

stip a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"On peut consentir contre sa volonté."  [Homère]

Dans quelles circonstances ?

dans une situation où nous pouvons être obligés à consentir sans pour autant être en accord avec ce qui est présenté!par exemple: de deux maux il faut choisir le moindre

Eh oui, quand on n'a pas le choix ou qu'il faut choisir entre deux maux.

C'est exact. En réalité, on n'a pas réellement le choix, dans ce cas, si ce n'est d'éviter encore plus désagréable. Mais peut-on réellement considérer qu'il s'agit de notre volonté ou simplement du fait qu'on est obligé de suivre une voie déjà tracée ?

stip a écrit:

Je me suis retrouvée à accepter quelque chose que je ne voulais pas juste pour ne pas me fâcher avec quelqu'un.

C'est le genre de situation assez fréquente, même pour de petites choses, histoire de ne pas vexer l'autre qui n'est pas à même de comprendre un refus.

stip a écrit:

Ce peut être aussi par devoir.

Oui, quand le devoir appelle, la volonté peut parfois être mise à mal...

J'aime bien réfléchir ainsi avec vous. Il en sort toujours quelque chose !

Il arrive également que nous nous engagions dans une voie que nous pensions bonne avant de nous apercevoir que nous sommes dépassés par des événements auxquels nous ne nous attendions pas. Alors, il faut assurer et ce n'est pas toujours facile !

CEUX QUI SONT CONTENTS DE N'ETRE RIEN DE PARTICULIER SONT DES GENS NOBLES.NE LUTTEZ PAS. SOYEZ ORDINAIRE.
Lin-Chi (philosophe chinois du IX siècle)

Sylvie a écrit:

CEUX QUI SONT CONTENTS DE N'ETRE RIEN DE PARTICULIER SONT DES GENS NOBLES.NE LUTTEZ PAS. SOYEZ ORDINAIRE.
Lin-Chi (philosophe chinois du IX siècle)

Oui, je comprends ce qu'il voulait dire.

En regardant Dimanche passer les marathoniens, je me disais d'ailleurs que je pensais savoir ce qui était le propre de l'humain.... De presque tous les Humains.
La vie, leur "ego" se présentent à eux comme un vide à combler, ils tombent ainsi dans des pièges plus ou moins vulgaires qui se donnent des allures d'importance et qui les éloignent du vrai.
Le plus facile et médiocre choisira le paraître et la possession.
Du même besoin d'ameublement viennent les croyances et les appartenances,d'où la pérennisation et le succès des doctrines et des dogmes. Enfin du même vide toujours le besoin de projet et la recherche du pouvoir, le pouvoir sur soi-même étant probablement le plus valeureux de ces objectifs d'aménagement (lorsqu'il n'est pas synonyme de recherche de gloire, bien entendu ) et surtout s'il s'agit de constituer un élément positif pour ce qui nous entoure.
Suis-je associale Docteur?

stip a écrit:

Sylvie a écrit:

CEUX QUI SONT CONTENTS DE N'ETRE RIEN DE PARTICULIER SONT DES GENS NOBLES.NE LUTTEZ PAS. SOYEZ ORDINAIRE.
Lin-Chi (philosophe chinois du IX siècle)

Oui, je comprends ce qu'il voulait dire.

En regardant Dimanche passer les marathoniens, je me disais d'ailleurs que je pensais savoir ce qui était le propre de l'humain.... De presque tous les Humains.
La vie, leur "ego" se présentent à eux comme un vide à combler, ils tombent ainsi dans des pièges plus ou moins vulgaires qui se donnent des allures d'importance et qui les éloignent du vrai.  

Le rapport avec les marathoniens ?  

En fait, je crois que l'Humain, quel qu'il soit, vit forcément grâce au regard de l'autre. Certains ont évidemment un ego surdimensionné qui gâche tout, mais depuis l'enfance, nous évoluons ainsi. Le bébé cherche l'affection de ses parents, leur approbation ; il est fier quand on le félicite, ce qui lui permet de continuer à évoluer dans le bon sens.

Il est connu qu'un bébé totalement délaissé n'évoluera pas, ressemblera à un petit animal.

Je pense que nous continuons à évoluer ainsi, même si c'est moins flagrant.

stip a écrit:

Le plus facile et médiocre choisira le paraître et la possession.
Du même besoin d'ameublement viennent les croyances et les appartenances, d'où la pérennisation et le succès des doctrines et des dogmes.  

Tu es très sévère avec le médiocre, me semble-t-il. Tout dépend des circonstances, je crois.

Je pense par exemple à notre maire, ancien conseiller général. Il vient de se faire battre aux dernières élections. Rien d'anormal, certes, mais je le crois surtout mal dans sa peau pour ne pas avoir été majoritaire sans son village. Il aurait sans doute plus facilement accepté de perdre s'il avait eu la reconnaissance des habitants de sa commune, qui le connaissent. Mais notre petit village a fait la part belle au FN...

stip a écrit:

Enfin du même vide toujours le besoin de projet et la recherche du pouvoir, le pouvoir sur soi-même étant probablement le plus valeureux de ces objectifs d'aménagement (lorsqu'il n'est pas synonyme de recherche de gloire, bien entendu ) et surtout s'il s'agit de constituer un élément positif pour ce qui nous entoure.
Suis-je associale Docteur?

Tu es perfectionniste, dans ton genre.

Certains (beaucoup) ont besoin d'être reconnus. Je ne pense pas que ce soit anormal, simplement humain.

Je marche sur des œufs quand je remercie certains bénévoles pour un travail bien fait : n'oublier personne, surtout pas celui ou celle qui travaille dans l'ombre. Ils ont besoin de ce carburant pour continuer ; ils ont besoin de savoir que leur travail est apprécié. Cela les tonifie et les valorise et... c'est normal, sauf quand c'est excessif.

Je sais : il est préférable de ne souffrir ni de l'un, ni de l'autre. En même temps, à choisir, je crois que je suis d'accord avec lui. En souffrant d'une absence, non aimons, mais une présence non appréciée peut nous empoisonner la vie !

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Il vaut mieux souffrir d'une absence que d'une présence." [Frédéric Dard]

Je sais : il est préférable de ne souffrir ni de l'un, ni de l'autre. En même temps, à choisir, je crois que je suis d'accord avec lui. En souffrant d'une absence, non aimons, mais une présence non appréciée peut nous empoisonner la vie !

L'absence fait mal, surtout quand c'est définitif, mais avec le temps, le chagrin s'atténue .

Je ne pensais pas forcément à l'absence définitive qui est difficile à supporter.

anémone a écrit:

Plus difficile de supporter quelqu'un que l'on n'apprécie pas, qui nous irrite. Quand on a le choix et que l'on peut éviter toute rencontre c'est mieux, malheureusement il y a des circonstances où l'on est obligé de côtoyer un membre de famille ou " pire " vivre avec une personne. J'aurais beaucoup de mal à assumer une telle situation, quand on en vient à haïr, il vaut mieux quitter...( pas toujours évident à réaliser )

Quand je pense à quelqu'un d'irritant, je revois une dame, tout récemment, qui me parlait de sa belle-mère de 92 ans, qui vivait à leur domicile et régentait tout, allant jusqu'à remonter ses enfants contre elle.

Je ne suis pas certaine que j'aurais pu accepter cela. Voir quelqu'un de temps à autre est une chose, devoir la supporter au quotidien peut s'avérer insupportable, surtout quand les caractères s'affrontent.

Après, s'il s'agit d'un conjoint plus ou moins violent, c'est encore une autre histoire...

Ca n'engage que lui, évidemment, mais est-ce concevable ainsi, d'une manière générale ?

- Est-ce de la faiblesse d'en vouloir à quelqu'un qui a été plus qu'incorrect envers soi ? Je ne pense pas.
- Je ne suis pas d'avis non plus qu'il s'agisse de preuve de faiblesse que de ne pas envenimer davantage les choses !
- Ce n'est pas non plus en criant notre vérité, notre chagrin, en rendant œil pour œil... que nous arrangerons quoi que ce soit !

Nelly a écrit:

"La rancune n'est que la preuve de la faiblesse."  [Jiang Zilong]

Je dirais, oui, quoi que .....

Si une personne fait du mal à une autre personne, de manière injuste, et si la victime l'accepte sans en garder de rancune, alors qu'elle est encore sujette à cette domination, à cette injustice, en fait elle intériorise son infériorité et accepte ce qui est inacceptable.

Cela participe à ce que les noirs américains appellent le syndrome de l'oncle Tom.

Maintenant, reprend le dessus, efface l'injustice ou la compense, et de plus, si elle a obtenu sinon une vengeance, du moins une réparation, elle peut ne pas éprouver de rancune envers son persécuteur, sans que ce soit une faiblesse.

une petite pour le week-end ?

LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"La rancune n'est que la preuve de la faiblesse."  [Jiang Zilong]

Je dirais, oui, quoi que .....

Si une personne fait du mal à une autre personne, de manière injuste, et si la victime l'accepte sans en garder de rancune, alors qu'elle est encore sujette à cette domination, à cette injustice, en fait elle intériorise son infériorité et accepte ce qui est inacceptable.

Cela participe à ce que les noirs américains appellent le syndrome de l'oncle Tom.

Exact. En subissant sans réagir ou pouvoir réagir, il est certain que la rancune s'installe. Et quand je dis sans pouvoir réagir, je pense à ceux qui sont victimes de harcèlement à leur travail, aux victimes de violences conjugales, aux victimes d'agressions dans la rue, etc.

Après, tout est dans le degré de l'agression : on peut en oublier parce qu'elles viennent de trop bas. Par contre, quand elles dénigrent totalement la personne qui ne peut pas se défendre, ce n'est plus pareil.

Morgan Kane a écrit:

Maintenant, reprend le dessus, efface l'injustice ou la compense, et de plus, si elle a obtenu sinon une vengeance, du moins une réparation, elle peut ne pas éprouver de rancune envers son persécuteur, sans que ce soit une faiblesse.

Même des excuses peuvent s'avérer suffisantes, quand elles sont sincères. Tout dépend naturellement de la gravité de l'offense ou de l'injustice.

Sylvie a écrit:

une petite pour le week-end ?

LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Tu veux bien commenter ce que t'inspire cette citation ?

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

une petite pour le week-end ?

LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Tu veux bien commenter ce que t'inspire cette citation ?

Oui, je dirais que quand on a manqué dans sa vie de nourriture, ou de jouets ou d'Amour, on a tendance à accumuler les choses.
Un exemple : les personnes qui ont eu faim pendant la guerre, stockent beaucoup de provisions dans leurs placard même au risque de laisser pourrir.
Je connais des gens qui n'ont pas eu de poupée et dans l'age adulte font la collection de poupées au point d'en mettre partout.
D'autre, n'ont pas reçu d'Amour dans leur enfance et ne font que parler l'Amour, et le conjuguent à tous les temps. J'ai des exemples.
D'autres, ce sont les voitures, les objets etc...
donc," le trop de quelque chose est un manque de quelque chose "

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

une petite pour le week-end ?

LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Tu veux bien commenter ce que t'inspire cette citation ?

Oui, je dirais que quand on a manqué dans sa vie de nourriture, ou de jouets ou d'Amour, on a tendance à accumuler les choses.
Un exemple : les personnes qui ont eu faim pendant la guerre, stockent beaucoup de provisions dans leurs placard même au risque de laisser pourrir.

Intéressant, même si je ne la comprenais pas exactement ainsi. Je te dirai mon point de vue après.

Il est exact que ceux qui ont souffert de la faim et c'était le cas de mes parents, pendant la guerre, manger, c'était vivre. C'était de cas de mon père. Née après guerre, je n'étais pas une grosse mangeuse et c'était un point de discussion continuel : il fallait manger à table et ça devenait une corvée. Pendant longtemps, je n'ai pas eu de plaisir à table : je me serais volontiers passée de repas...

Sylvie a écrit:

Je connais des gens qui n'ont pas eu de poupée et dans l'age adulte font la collection de poupées au point d'en mettre partout.
D'autre, n'ont pas reçu d'Amour dans leur enfance et ne font que parler l'Amour, et le conjuguent à tous les temps. J'ai des exemples.
D'autres, ce sont les voitures, les objets etc...
donc," le trop de quelque chose est un manque de quelque chose "

Ce genre de répercussion existe également. D'ailleurs, je ne suis pas certaine que le manque d'amour de l'enfance puisse réellement être comblé un jour... Tout dépend du tempérament des gens, sans doute.

Sylvie a écrit:

LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Pour ma part, je voyais la citation dans le sens inverse :

Certains sont très gâtés par la vie : ils ne manquent de rien et ne s'en contentent pas. Ils ont toujours un grand vide parce qu'ils n'ont pas eu d'effort à fournir pour acquérir quelque chose de personnel. Tout leur a été donné.

Cela aussi provoque un manque. Il est nécessaire de laisser les enfants, pour ne parler que d'eux, s'ennuyer un peu, les laisser avoir envie de quelque chose plutôt que de devancer leurs désirs. Ils ne savent plus de quoi ils ont envie.

Ce trop de quelque chose provoque un manque de quelque chose...

Qu'en penses-tu ?

Sylvie a écrit:

une petite pour le week-end ?

LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Je prendrais cette phrase au premier degré : nous ne pouvons tout avoir, donc si nous avons trop de quelque chose, c'est parce que nous manquons d'une autre chose. tout excès est condamnable.

Par exemple, si j'ai trop de livres, je manque de place ( mon épouse me l'a reproché).

Morgan Kane a écrit:

Sylvie a écrit:

une petite pour le week-end ?
LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Je prendrais cette phrase au premier degré : nous ne pouvons tout avoir, donc si nous avons trop de quelque chose, c'est parce que nous manquons d'une autre chose. tout excès est condamnable.

Par exemple, si j'ai trop de livres, je manque de place ( mon épouse me l'a reproché).

Pas mal. En ouvrant la fenêtre, ton épouse trouvera certainement encore de la place à l'extérieur...

Certes, mais qu'en sera-t-il par la suite ?

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Sylvie a écrit:

une petite pour le week-end ?
LE TROP DE QUELQUE CHOSE EST UN MANQUE DE QUELQUE CHOSE. (proverbe arabe)

Je prendrais cette phrase au premier degré : nous ne pouvons tout avoir, donc si nous avons trop de quelque chose, c'est parce que nous manquons d'une autre chose. tout excès est condamnable.

Par exemple, si j'ai trop de livres, je manque de place ( mon épouse me l'a reproché).

Pas mal. En ouvrant la fenêtre, ton épouse trouvera certainement encore de la place à l'extérieur...

BIEN VU !!!!

A-t-on toujours le choix, quand on pleure ? Il me semble que si on pouvait éviter les raisons qui font pleurer, on ne s'en priverait pas.

Pour ma part, je ne sais pas pleurer, je n'y arrive pas... et vous ?

Nelly a écrit:

"Pleurer atteste de ce qu'un homme fait preuve du plus grand des courages, celui de souffrir."  [Viktor Frankl]

A-t-on toujours le choix, quand on pleure ? Il me semble que si on pouvait éviter les raisons qui font pleurer, on ne s'en priverait pas.

Pour ma part, je ne sais pas pleurer, je n'y arrive pas... et vous ?

Moui, tout dépend du degré de sensibilité de chacun !! moi, c'est le contraire, j'ai la larme facile, et le rire aussi !! j'ai bien du mal à contenir toutes ces émotions ! des retrouvailles, une peur, un film triste, un chat ou un chien qui souffre, une vexation, bref, tout est bon pour me faire couler les larmes, mais, en contre partie, un rien me fait hurler de rire.. comme quoi !!!

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

"Pleurer atteste de ce qu'un homme fait preuve du plus grand des courages, celui de souffrir."  [Viktor Frankl]

A-t-on toujours le choix, quand on pleure ? Il me semble que si on pouvait éviter les raisons qui font pleurer, on ne s'en priverait pas.

Pour ma part, je ne sais pas pleurer, je n'y arrive pas... et vous ?

Moui, tout dépend du degré de sensibilité de chacun !! moi, c'est le contraire, j'ai la larme facile, et le rire aussi !! j'ai bien du mal à contenir toutes ces émotions ! des retrouvailles, une peur, un film triste, un chat ou un chien qui souffre, une vexation, bref, tout est bon pour me faire couler les larmes, mais, en contre partie, un rien me fait hurler de rire.. comme quoi !!!

Pas d'accord avec cette citation, à mes yeux le courage relēve de la volonté ou de la décision. Nul ne décide de souffrir, ni de pleurer.
J'ai du mal aussi à contenir mes émotions.

stip a écrit:

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

"Pleurer atteste de ce qu'un homme fait preuve du plus grand des courages, celui de souffrir."  [Viktor Frankl]

A-t-on toujours le choix, quand on pleure ? Il me semble que si on pouvait éviter les raisons qui font pleurer, on ne s'en priverait pas.

Pour ma part, je ne sais pas pleurer, je n'y arrive pas... et vous ?

Moui, tout dépend du degré de sensibilité de chacun !! moi, c'est le contraire, j'ai la larme facile, et le rire aussi !! j'ai bien du mal à contenir toutes ces émotions ! des retrouvailles, une peur, un film triste, un chat ou un chien qui souffre, une vexation, bref, tout est bon pour me faire couler les larmes, mais, en contre partie, un rien me fait hurler de rire.. comme quoi !!!

Pas d'accord avec cette citation, à mes yeux le courage relēve de la volonté ou de la décision. Nul ne décide de souffrir, ni de pleurer.  

C'est aussi mon avis. Ce n'est pas non plus ma définition du courage.

Stip a écrit:

J'ai du mal aussi à contenir mes émotions.

Personnellement, je fais un blocage et c'est loin d'être facile.

La raison dirigeraient-elles nos affections ? N'est-ce pas curieux ?

J'aime bien et je trouve que c'est juste. Si nos politiques pouvaient s'en inspirer !

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Qui parvient à concilier son devoir avec son vouloir mérite le pouvoir."  [Paul Carvel]

J'aime bien et je trouve que c'est juste. Si nos politiques pouvaient s'en inspirer !

Mais le profit est bien souvent le motif principal !!

Dans ce cas, je pense qu'on sort du devoir ! Quand nos élus cumulent les mandats, je ne suis pas certaine qu'ils puissent honorer toutes leurs obligations. Leur devoir n'est donc pas accompli, à mon sens.

En même temps, celui qui allie ceci et seulement cela mérite peut-être un salaire en conséquence ? Je déteste les revenus inconsidérés que les patrons du CAC 40 perçoivent. C'est indécent ! Mais quand tout est bien géré et qu'on avance dans le bon sens, il ne me dérange pas que la rémunération soit versée en fonction des résultats obtenus, dans une mesure tout à fait honorable, évidemment.

Tout dépend du nouveau souci, non ? De plus, quand il y a une période où on a l'impression de les cumuler (les soucis), je ne pense pas qu'on ait l'impression de prendre des vacances !

Nelly a écrit:

"Changer de souci fait autant de bien que prendre des vacances."  [David Lloyd George]

Tout dépend du nouveau souci, non ? De plus, quand il y a une période où on a l'impression de les cumuler (les soucis), je ne pense pas qu'on ait l'impression de prendre des vacances !

alors là!.......je suis d'accord avec toi ma Nelly

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Changer de souci fait autant de bien que prendre des vacances."  [David Lloyd George]

Tout dépend du nouveau souci, non ? De plus, quand il y a une période où on a l'impression de les cumuler (les soucis), je ne pense pas qu'on ait l'impression de prendre des vacances !

alors là!.......je suis d'accord avec toi ma Nelly

surtout qu'en général...on a une avalanche d'ennuis qui se suivent !! tu parles d'un plaisir !!

Hé les filles, vous devriez sortir embrasser un clown ...

grand pierre a écrit:

Hé les filles, vous devriez sortir embrasser un clown ...

Où te caches-tu pour que je vienne te faire la bise ?

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Changer de souci fait autant de bien que prendre des vacances."  [David Lloyd George]

Tout dépend du nouveau souci, non ? De plus, quand il y a une période où on a l'impression de les cumuler (les soucis), je ne pense pas qu'on ait l'impression de prendre des vacances !

alors là!.......je suis d'accord avec toi ma Nelly

surtout qu'en général...on a une avalanche d'ennuis qui se suivent !! tu parles d'un plaisir !!

On peut également supposer qu'on se fait parfois de la bile pour des bricoles. Au moment où un gros souci s'annonce, toutes ces bricoles s'effacent pour laisser la place à ce dernier. Pourtant, de là à se sentir en vacances...

Ce n'est pas mon avis. N'est-il pas bon et agréable d'avoir de l'esprit ?