Citations en vrac

A toi, Morgan.

Le plus grand ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, c’est l’illusion de la connaissance. S. Hawkins

« Il y a un culte de l'ignorance aux États-Unis, et il y en a toujours eu. La pression de l'anti-intellectualisme a été un fil conducteur constant dans notre vie politique et culturelle, nourrie par la fausse idée que la démocratie signifie que "mon ignorance est aussi bonne que votre savoir". Isaac Asimov

Je pense que l'époque actuelle illustre trop bien ces deux phrases.

Quand on voit des gens se méfier, à raison des politiques, des medias, et des trust pharmaceutiques, croire à ce que des manipulateurs plus ou moins ignares leur disent, juste parce que cela contredit les discours officiels …

Morgan Kane a écrit:

Le plus grand ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, c’est l’illusion de la connaissance. S. Hawkins

« Il y a un culte de l'ignorance aux États-Unis, et il y en a toujours eu. La pression de l'anti-intellectualisme a été un fil conducteur constant dans notre vie politique et culturelle, nourrie par la fausse idée que la démocratie signifie que "mon ignorance est aussi bonne que votre savoir". Isaac Asimov

Je pense que l'époque actuelle illustre trop bien ces deux phrases.

Tout est difficile actuellement et les progrès techniques sont tellement souvent mal utilisés !

Morgan Kane a écrit:

Quand on voit des gens se méfier, à raison des politiques, des medias, et des trust pharmaceutiques, croire à ce que des manipulateurs plus ou moins ignares leur disent, juste parce que cela contredit les discours officiels …

Il y a les discours que l'on entend, qu'on a l'impression de bien ressentir ou l'inverse, à partir desquels on essaie de se forger une opinion, et puis de fausses nouvelles font tout basculer. Comment s'en sortir quand on nous raconte tout et son contraire ?  L'abstentionnisme aux élections n'est pas une solution non plus. Pourtant, il faut bien trancher !

Et la Russie qui est archi-présente... et voilà Trump qui s'en mêle... Quand on entend toutes les manipulations, tous les mensonges assénés, et qu'on s'aperçoit que son électorat lui reste fidèle malgré tout, on n'y comprend plus rien. Un an après son élection, lui et ses acolytes prétendent toujours que les élections avaient été truquées. Pourtant, tout avait été compté et recompté ! Les gros mensonges avaient toujours portés préjudice, en Amérique, et là...

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Le plus grand ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, c’est l’illusion de la connaissance. S. Hawkins

« Il y a un culte de l'ignorance aux États-Unis, et il y en a toujours eu. La pression de l'anti-intellectualisme a été un fil conducteur constant dans notre vie politique et culturelle, nourrie par la fausse idée que la démocratie signifie que "mon ignorance est aussi bonne que votre savoir". Isaac Asimov

Je pense que l'époque actuelle illustre trop bien ces deux phrases.

Tout est difficile actuellement et les progrès techniques sont tellement souvent mal utilisés !

Morgan Kane a écrit:

Quand on voit des gens se méfier, à raison des politiques, des medias, et des trust pharmaceutiques, croire à ce que des manipulateurs plus ou moins ignares leur disent, juste parce que cela contredit les discours officiels …

Il y a les discours que l'on entend, qu'on a l'impression de bien ressentir ou l'inverse, à partir desquels on essaie de se forger une opinion, et puis de fausses nouvelles font tout basculer. Comment s'en sortir quand on nous raconte tout et son contraire ?  L'abstentionnisme aux élections n'est pas une solution non plus. Pourtant, il faut bien trancher !

Et la Russie qui est archi-présente... et voilà Trump qui s'en mêle... Quand on entend toutes les manipulations, tous les mensonges assénés, et qu'on s'aperçoit que son électorat lui reste fidèle malgré tout, on n'y comprend plus rien. Un an après son élection, lui et ses acolytes prétendent toujours que les élections avaient été truquées. Pourtant, tout avait été compté et recompté ! Les gros mensonges avaient toujours portés préjudice, en Amérique, et là...

Certains hommes politiques français n'hésitent pas à mentir non plus, au point que recenser leurs mensonges nécessite des livres entiers, notamment en histoire.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Et la Russie qui est archi-présente... et voilà Trump qui s'en mêle... Quand on entend toutes les manipulations, tous les mensonges assénés, et qu'on s'aperçoit que son électorat lui reste fidèle malgré tout, on n'y comprend plus rien. Un an après son élection, lui et ses acolytes prétendent toujours que les élections avaient été truquées. Pourtant, tout avait été compté et recompté ! Les gros mensonges avaient toujours portés préjudice, en Amérique, et là...

Certains hommes politiques français n'hésitent pas à mentir non plus, au point que recenser leurs mensonges nécessite des livres entiers, notamment en histoire.

Je sais bien, mais nous sommes souvent crédules parce que nous ignorons certains faits. Or, 4 ans de Trump ont quand dû ouvrir quelques esprits ! Je sais bien que pour bon nombre de ses partisans, le business est prioritaire, mais il y en a d'autres, et ça devient absurde.

Morgan Kane a écrit:

Le plus grand ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, c’est l’illusion de la connaissance. S. Hawkins

« Il y a un culte de l'ignorance aux États-Unis, et il y en a toujours eu. La pression de l'anti-intellectualisme a été un fil conducteur constant dans notre vie politique et culturelle, nourrie par la fausse idée que la démocratie signifie que "mon ignorance est aussi bonne que votre savoir". Isaac Asimov

Je pense que l'époque actuelle illustre trop bien ces deux phrases.

Quand on voit des gens se méfier, à raison des politiques, des medias, et des trust pharmaceutiques, croire à ce que des manipulateurs plus ou moins ignares leur disent, juste parce que cela contredit les discours officiels …

Effectivement, ces citations sont très d'actualité. Il n'y a rien de pire que celui qui ne sait rien mais croit savoir.

Ca me fait penser à l'effet Dunning-Kruger :

L’effet Dunning-Kruger, aussi appelé effet de surconfiance1, est un biais cognitif par lequel les moins qualifiés dans un domaine pourraient surestimer leur compétence.

Mais à contrario, il y a actuellement tellement d'infos contradictoires, de fake news, et de manipulations que c'est difficile de s'y retrouver...

Kitara a écrit:

Mais à contrario, il y a actuellement tellement d'infos contradictoires, de fake news, et de manipulations que c'est difficile de s'y retrouver...

Il y a une forte responsabilité des médias et des réseaux sociaux, qui sont à la recherche d'audiences et qui privilégient les auteurs de messages qui clashent, donc les auteurs de fausse rumeurs et de fake news.

A toi, Anémone.

Le temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l’ami qui s’en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.

Citation de Shakespeare
n
Quelque fois je me pose la question de savoir combien j'ai pu croiser de gens avec qui j'ai eu de l'attention...incalculable dans une vie. Certains sont restés amis, d'autres restent comme souvenirs et plusieurs comme des taches de souvenirs.

anémone a écrit:

Le temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l’ami qui s’en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.

Citation de Shakespeare

Avons-nous le choix ? Notre vie est faite d'étapes. Dans notre petite enfance, nous ne connaissons pratiquement que notre proche famille, puis les écoles et ce qui suit. Nous avons des copains, parfois des amis. Pour certains, il y a les études, les camarades, les amours de jeunesse, la vie professionnelle et puis la famille, les enfants...

Au cours de chacune de ces périodes, nous avons d'autres attaches, nous nous lions avant de passer à autre chose.

Vient ensuite la retraite que tout le monde attend avec impatience et qui passe si vite !

Oui, le temps qui passe nous oblige constamment à changer, à laisser des gens de côté pour nous retrouver avec d'autres.

anémone a écrit:

Quelque fois je me pose la question de savoir combien j'ai pu croiser de gens avec qui j'ai eu de l'attention...incalculable dans une vie. Certains sont restés amis, d'autres restent comme souvenirs et plusieurs comme des taches de souvenirs.

S'il fallait déjà faire le décompte de ceux que nous avons appréciés, auxquels nous nous sentions attachés, puis que nous avons perdus de vue, ce ne serait pas simple. Il y a également nombre de connaissances... que nous ne connaissons plus parce que le temps a passé.

anémone a écrit:

Le temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l’ami qui s’en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.

Citation de Shakespeare
²

Je me souviens avoir lu une phrase qui disait à peu prés : " Si quelqu'un a quitté ta vie, ne le regrette pas, il y a une bonne raison pour cela ! "


Si on lit bien la citation, le temps n'est pas celui que vous recevez, il est celui qui reçoit des gens de passage. Le temps nous reçoit tour à tour, et nous passons suivis par d'autres. Nous sommes mortels.

Morgan Kane a écrit:

anémone a écrit:

Le temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l’ami qui s’en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.

Citation de Shakespeare
²

Je me souviens avoir lu une phrase qui disait à peu prés : " Si quelqu'un a quitté ta vie, ne le regrette pas, il y a une bonne raison pour cela ! "

La vie est parfois plus forte que l'amitié. On est attaché à des amis et puis, la vie fait qu'on s'éloigne. Dans un premier temps, il arrive qu'on garde le contact et puis, le temps passe, on s'éloigne de plus en plus. Parfois, tout simplement, les conjoints peuvent en être "responsables", par manque d'affinités. Et pourtant, combien de bons moments ont pu être vécus ensemble. Il m'arrive de regretter cette complicité que j'avais vécue enfant puis adolescente avec une amie. Nous nous sommes revues, mais le temps nous a changées.

Morgan Kane a écrit:

Si on lit bien la citation, le temps n'est pas celui que vous recevez, il est celui qui reçoit des gens de passage. Le temps nous reçoit tour à tour, et nous passons suivis par d'autres. Nous sommes mortels.  

Si tu penses à celles et ceux qui nous ont quittés définitivement, il faut souvent un bon moment pour accepter leur absence. Nous savons tous que nous partirons un jour, pourtant, qui d'entre nous est prêt, le moment venu ? Et la douleur de ceux qui restent...

anémone a écrit:

Le temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l’ami qui s’en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.

Citation de Shakespeare
n
Quelque fois je me pose la question de savoir combien j'ai pu croiser de gens avec qui j'ai eu de l'attention...incalculable dans une vie. Certains sont restés amis, d'autres restent comme souvenirs et plusieurs comme des taches de souvenirs.

Le temps est une notion importante pour moi. Plutôt une notion positive, car c'est grâce au temps que tout problème trouve une solution. Mais c'est aussi le temps qui apporte la vieillesse et la mort.

Pourtant on se situe dans un flux, il y a eu pleins d'humains avant nous, il y en aura après, et c'est l'ordre des choses. Nous ne sommes qu'un grain de sable au milieu de cette infinité, mais c'est positif car nous appartenons à un tout.

C'est en lisant Marie de Hennezel que je me suis vraiment réconciliée avec cette vision :

Citation :

La chaleur du coeur empêche nos corps de rouiller de Marie de Hennezel
Comme je lui demande ce qu'elle [Sœur Emmanuelle] aimerait dire à tous ceux qui entrent dans le troisième âge et qui ont peur de vieillir, elle conclut d'une voix qui me frappe par sa fermeté et sa douceur :

- N'ayez pas peur ! La vieillesse, c'est comme un couronnement. J'arrive à la cime de ma vie et je regarde le monde et les autres avec une infinie tendresse. Je les ressens dans mon cœur. Cette contemplation tendre me procure une immense joie. Pour moi, c'est comme du champagne ! La joie fuse dans mon cœur !
Vous pouvez, vous aussi, donner autour de vous cette joie. On devient vieux le jour où l'on ne croit plus en l'homme et en la valeur de chacun, quel qu'il soit. Faites vôtre cette parole d'un poète musulman que j'aime tant : "Fends le cœur de l'homme et tu y trouveras un soleil !"

Mais pour cela, il faut un peu s'oublier soi-même, s'intéresser aux autres !

Il faudrait que les personnes âgées prennent conscience que c'est leur mission d'aimer. Quel que soit l'état dans lequel on vieillit, on peut regarder, sourire, tendre la main, bénir. Et cela transfigure la vie

Kitara a écrit:

C'est en lisant Marie de Hennezel que je me suis vraiment réconciliée avec cette vision :

Citation :

La chaleur du coeur empêche nos corps de rouiller de Marie de Hennezel
Comme je lui demande ce qu'elle [Sœur Emmanuelle] aimerait dire à tous ceux qui entrent dans le troisième âge et qui ont peur de vieillir, elle conclut d'une voix qui me frappe par sa fermeté et sa douceur :

- N'ayez pas peur ! La vieillesse, c'est comme un couronnement. J'arrive à la cime de ma vie et je regarde le monde et les autres avec une infinie tendresse. Je les ressens dans mon cœur. Cette contemplation tendre me procure une immense joie. Pour moi, c'est comme du champagne ! La joie fuse dans mon cœur !
Vous pouvez, vous aussi, donner autour de vous cette joie. On devient vieux le jour où l'on ne croit plus en l'homme et en la valeur de chacun, quel qu'il soit. Faites vôtre cette parole d'un poète musulman que j'aime tant : "Fends le cœur de l'homme et tu y trouveras un soleil !"

Je ne réussis pas à m'imaginer le vieillissement comme un couronnement Il faut déjà une grande humilité pour  l'accepter, accepter d'être moins autonome, d'avoir de l'aide, etc. Et la solitude ?

Kitara a écrit:

Citation :

Mais pour cela, il faut un peu s'oublier soi-même, s'intéresser aux autres !

Soeur Emmanuelle n'a pas attendu d'être vieille pour s'oublier elle-même et s'intéresser aux autres. Elle a simplement continuer à le faire jusqu'au bout, comme elle le pouvait, ce qui est loin d'être à la portée de tout un chacun.

Il faudrait que les personnes âgées prennent conscience que c'est leur mission d'aimer. Quel que soit l'état dans lequel on vieillit, on peut regarder, sourire, tendre la main, bénir. Et cela transfigure la vie

Est-ce possible ? Tout dépend de l'état dans lequel on est. De plus, ceux qui n'ont jamais tendu la main de leur vie ne le feront pas quand ils seront vieux : c'est le genre à se plaindre que les autres n'en fassent pas davantage pour eux !

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

C'est en lisant Marie de Hennezel que je me suis vraiment réconciliée avec cette vision :

Citation :

La chaleur du coeur empêche nos corps de rouiller de Marie de Hennezel
Comme je lui demande ce qu'elle [Sœur Emmanuelle] aimerait dire à tous ceux qui entrent dans le troisième âge et qui ont peur de vieillir, elle conclut d'une voix qui me frappe par sa fermeté et sa douceur :

- N'ayez pas peur ! La vieillesse, c'est comme un couronnement. J'arrive à la cime de ma vie et je regarde le monde et les autres avec une infinie tendresse. Je les ressens dans mon cœur. Cette contemplation tendre me procure une immense joie. Pour moi, c'est comme du champagne ! La joie fuse dans mon cœur !
Vous pouvez, vous aussi, donner autour de vous cette joie. On devient vieux le jour où l'on ne croit plus en l'homme et en la valeur de chacun, quel qu'il soit. Faites vôtre cette parole d'un poète musulman que j'aime tant : "Fends le cœur de l'homme et tu y trouveras un soleil !"

Je ne réussis pas à m'imaginer le vieillissement comme un couronnement Il faut déjà une grande humilité pour  l'accepter, accepter d'être moins autonome, d'avoir de l'aide, etc. Et la solitude ?

Kitara a écrit:

Citation :

Mais pour cela, il faut un peu s'oublier soi-même, s'intéresser aux autres !

Soeur Emmanuelle n'a pas attendu d'être vieille pour s'oublier elle-même et s'intéresser aux autres. Elle a simplement continuer à le faire jusqu'au bout, comme elle le pouvait, ce qui est loin d'être à la portée de tout un chacun.

Il faudrait que les personnes âgées prennent conscience que c'est leur mission d'aimer. Quel que soit l'état dans lequel on vieillit, on peut regarder, sourire, tendre la main, bénir. Et cela transfigure la vie

Est-ce possible ? Tout dépend de l'état dans lequel on est. De plus, ceux qui n'ont jamais tendu la main de leur vie ne le feront pas quand ils seront vieux : c'est le genre à se plaindre que les autres n'en fassent pas davantage pour eux !

Vieillir ne me rend pas triste, simplement mélancolique. Il faut être réaliste , ne pas se cacher la face, se rendre compte arrivé à un certain age que le corps se transforme, que les forces diminuent et surtout qu'il reste tant de choses à faire, à aimer, et puis on va abandonner ceux qu'on aime et je pense que c'est le plus grand de nos regrets .

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

 

Kitara a écrit:

Citation :

Mais pour cela, il faut un peu s'oublier soi-même, s'intéresser aux autres !

Soeur Emmanuelle n'a pas attendu d'être vieille pour s'oublier elle-même et s'intéresser aux autres. Elle a simplement continuer à le faire jusqu'au bout, comme elle le pouvait, ce qui est loin d'être à la portée de tout un chacun.

Il faudrait que les personnes âgées prennent conscience que c'est leur mission d'aimer. Quel que soit l'état dans lequel on vieillit, on peut regarder, sourire, tendre la main, bénir. Et cela transfigure la vie

Est-ce possible ? Tout dépend de l'état dans lequel on est. De plus, ceux qui n'ont jamais tendu la main de leur vie ne le feront pas quand ils seront vieux : c'est le genre à se plaindre que les autres n'en fassent pas davantage pour eux !

Vieillir ne me rend pas triste, simplement mélancolique. Il faut être réaliste , ne pas se cacher la face, se rendre compte arrivé à un certain age que le corps se transforme, que les forces diminuent et surtout qu'il reste tant de choses à faire, à aimer, et puis on va abandonner ceux qu'on aime et je pense que c'est le plus grand de nos regrets .

Dans ma famille, je suis la plus jeune de ma génération. Tous mes cousin et cousines sont plus âgés, ma soeur également. Je m'aperçois à quel point c'est difficile pour ceux que je vois encore d'accepter cette diminution, de se voir se dégrader progressivement.
Avec mon époux, nous nous sentons également plus épuisés quand nos enfants sont chez nous.
Disons qu'il est difficile d'accepter certains problèmes de santé qui peuvent survenir du jour au lendemain.

Il est vrai qu'il est difficile de penser qu'il faudra abandonner ceux qu'on aime, mais quand on a fait ce qu'on pensait utile pour eux, s'ils s'assument, nous pouvons être plus rassurés.

A toi, Kitara.

Citation :

Les lions n'existent pas seulement dans les fables de La Fontaine : on les croise dans la vraie vie. Ce sont des personnages pervers - ou, du moins, compliqués. Mon lion peut être mon supérieur hierarchique, mon voisin de bureau, mon enfant difficile, parfois ma compagne ou mon compagnon. Indépendamment de nos positions respectives, nous sommes inégaux : le lion me fait croire en sa puissance, en son pouvoir de domination, il m'impressionne et, sans m'en rendre toujours compte, je me laisse prendre à son jeu. Je me laisse enfermer dans le rapport de force qu'il instaure et, au moment où je me sens victime, je perds mes derniers moyens. Le piège se referme : j'octroie au lion le pouvoir de me dévorer - de me pourrir l'existence.
Traité de morale pour triompher des emmerdes de Fabrice Midal

Vous connaissez des lions ?

Kitara a écrit:

Citation :

Les lions n'existent pas seulement dans les fables de La Fontaine : on les croise dans la vraie vie. Ce sont des personnages pervers - ou, du moins, compliqués. Mon lion peut être mon supérieur hierarchique, mon voisin de bureau, mon enfant difficile, parfois ma compagne ou mon compagnon. Indépendamment de nos positions respectives, nous sommes inégaux : le lion me fait croire en sa puissance, en son pouvoir de domination, il m'impressionne et, sans m'en rendre toujours compte, je me laisse prendre à son jeu. Je me laisse enfermer dans le rapport de force qu'il instaure et, au moment où je me sens victime, je perds mes derniers moyens. Le piège se referme : j'octroie au lion le pouvoir de me dévorer - de me pourrir l'existence.
Traité de morale pour triompher des emmerdes de Fabrice Midal

Vous connaissez des lions ?

J'en suis un... dans mon signe astrologique !

J'imagine qu'on a tous un lion autour de nous. Parfois, j'imagine que nous ne nous en rendons même pas trop compte... avant d'en être délivré.

Nous dépendons souvent de quelqu'un, quelqu'un qui peut nous rendre chèvre si nous nous laissons faire. Je ne sais pas ce qui est le pire : avoir le lion indompté dans sa famille ou dans notre univers professionnel que l'on peut difficilement quitter pour des raisons financières.

Il y a également les lions que nous laissons grandir autour de nous en leur permettant de prendre le dessus avant de s'apercevoir qu'il est trop tard pour revenir en arrière.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

Les lions n'existent pas seulement dans les fables de La Fontaine : on les croise dans la vraie vie. Ce sont des personnages pervers - ou, du moins, compliqués. Mon lion peut être mon supérieur hierarchique, mon voisin de bureau, mon enfant difficile, parfois ma compagne ou mon compagnon. Indépendamment de nos positions respectives, nous sommes inégaux : le lion me fait croire en sa puissance, en son pouvoir de domination, il m'impressionne et, sans m'en rendre toujours compte, je me laisse prendre à son jeu. Je me laisse enfermer dans le rapport de force qu'il instaure et, au moment où je me sens victime, je perds mes derniers moyens. Le piège se referme : j'octroie au lion le pouvoir de me dévorer - de me pourrir l'existence.
Traité de morale pour triompher des emmerdes de Fabrice Midal

Vous connaissez des lions ?

J'en suis un... dans mon signe astrologique !

J'imagine qu'on a tous un lion autour de nous. Parfois, j'imagine que nous ne nous en rendons même pas trop compte... avant d'en être délivré.

Nous dépendons souvent de quelqu'un, quelqu'un qui peut nous rendre chèvre si nous nous laissons faire. Je ne sais pas ce qui est le pire : avoir le lion indompté dans sa famille ou dans notre univers professionnel que l'on peut difficilement quitter pour des raisons financières.

Il y a également les lions que nous laissons grandir autour de nous en leur permettant de prendre le dessus avant de s'apercevoir qu'il est trop tard pour revenir en arrière.

Il faut autant que possible ne pas se faire dominer...Pas toujours facile, certains employeurs ont ce don. Je n'ai jamais eu ce problème car à la moindre tentative je montrai les dents !! peut être me prenait on pour un lion !!

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

Les lions n'existent pas seulement dans les fables de La Fontaine : on les croise dans la vraie vie. Ce sont des personnages pervers - ou, du moins, compliqués. Mon lion peut être mon supérieur hierarchique, mon voisin de bureau, mon enfant difficile, parfois ma compagne ou mon compagnon. Indépendamment de nos positions respectives, nous sommes inégaux : le lion me fait croire en sa puissance, en son pouvoir de domination, il m'impressionne et, sans m'en rendre toujours compte, je me laisse prendre à son jeu. Je me laisse enfermer dans le rapport de force qu'il instaure et, au moment où je me sens victime, je perds mes derniers moyens. Le piège se referme : j'octroie au lion le pouvoir de me dévorer - de me pourrir l'existence.
Traité de morale pour triompher des emmerdes de Fabrice Midal

Vous connaissez des lions ?

J'en suis un... dans mon signe astrologique !

J'imagine qu'on a tous un lion autour de nous. Parfois, j'imagine que nous ne nous en rendons même pas trop compte... avant d'en être délivré.

Nous dépendons souvent de quelqu'un, quelqu'un qui peut nous rendre chèvre si nous nous laissons faire. Je ne sais pas ce qui est le pire : avoir le lion indompté dans sa famille ou dans notre univers professionnel que l'on peut difficilement quitter pour des raisons financières.

Il y a également les lions que nous laissons grandir autour de nous en leur permettant de prendre le dessus avant de s'apercevoir qu'il est trop tard pour revenir en arrière.

Il faut autant que possible ne pas se faire dominer...Pas toujours facile, certains employeurs ont ce don. Je n'ai jamais eu ce problème car à la moindre tentative je montrai les dents !! peut être me prenait  on pour un lion !!

Pour moi, ce que je comprends par lion, dans ce contexte, est le dominateur, celui qui se croit supérieur aux autres et agit pour que les récalcitrants entrent dans son jeu.

Ceux que vous appelez des lions, je les appelle des hyènes !

Morgan Kane a écrit:

Ceux que vous appelez des lions, je les appelle des hyènes !

C'est l'auteur qui a choisit le terme "lion", mais je suis plutôt d'accord avec toi sur le terme "hyène" !

Marie-Jo repasserait-elle par ici pour prendre un tour de citation ?

Marie-Jo est repartie pour quelques jours...

Anémone, c'est à toi.

La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.

Pas trop d'accord , on peut se corriger et ne pas être jaloux, la faim est un fléau qui décime le monde ..

anémone a écrit:

La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.

Pas trop d'accord , on peut se corriger et ne pas être jaloux, la faim est un fléau qui décime le monde ..

Evidemment, si tu pars du fait qu'on ne peut pas remplir son réfrigérateur, la priorité va à la nourriture.

Par contre, je ne suis pas certaine qu'on puisse se corriger de la jalousie. Elle peut faire beaucoup de dégâts autour de soi, faire s'éloigner la famille, les amis, les connaissances... Certains se retrouvent seuls dans la vie, à un moment ou un autre, sans comprendre pourquoi, sans se poser les bonnes questions.

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.

Pas trop d'accord , on peut se corriger et ne pas être jaloux, la faim est un fléau qui décime le monde ..

Evidemment, si tu pars du fait qu'on ne peut pas remplir son réfrigérateur, la priorité va à la nourriture.

Par contre, je ne suis pas certaine qu'on puisse se corriger de la jalousie. Elle peut faire beaucoup de dégâts autour de soi, faire s'éloigner la famille, les amis, les connaissances... Certains se retrouvent seuls dans la vie, à un moment ou un autre, sans comprendre pourquoi, sans se poser les bonnes questions.

Oui, la jalousie est terrible, elle détruit la famille et bien souvent on en ignore les causes, le seul remède , même s'il fait du mal...fermer son coeur, sa porte.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.

Pas trop d'accord , on peut se corriger et ne pas être jaloux, la faim est un fléau qui décime le monde ..

Evidemment, si tu pars du fait qu'on ne peut pas remplir son réfrigérateur, la priorité va à la nourriture.

Par contre, je ne suis pas certaine qu'on puisse se corriger de la jalousie. Elle peut faire beaucoup de dégâts autour de soi, faire s'éloigner la famille, les amis, les connaissances... Certains se retrouvent seuls dans la vie, à un moment ou un autre, sans comprendre pourquoi, sans se poser les bonnes questions.

Oui, la jalousie est terrible, elle détruit la famille et bien souvent on en ignore les causes, le seul remède , même s'il fait du mal...fermer son coeur, sa porte.

La jalousie ....connais pas, mais mon premier époux l'était de façon extrème,ce qui est une calamité.
Il se cachait derrière les arbres pour voir si je me retournais quand il siflait????,me suivait dans la rue,n'acceptait pas de amis masculins mème les siens etc etc ....
Alors que lui se permetait tout.

Rien n'est plus frustrant que ce genre de comportement et s'en guerrir ,je pense que cela demande spycanalise.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.

Pas trop d'accord , on peut se corriger et ne pas être jaloux, la faim est un fléau qui décime le monde ..

Evidemment, si tu pars du fait qu'on ne peut pas remplir son réfrigérateur, la priorité va à la nourriture.

Par contre, je ne suis pas certaine qu'on puisse se corriger de la jalousie. Elle peut faire beaucoup de dégâts autour de soi, faire s'éloigner la famille, les amis, les connaissances... Certains se retrouvent seuls dans la vie, à un moment ou un autre, sans comprendre pourquoi, sans se poser les bonnes questions.

Oui, la jalousie est terrible, elle détruit la famille et bien souvent on en ignore les causes, le seul remède , même s'il fait du mal...fermer son coeur, sa porte.

Ou pardonner... Je sais que cela peut paraître difficile, mais parfois pardonner (je ne parle pas d'oublier) peut faire du bien à soi-même.

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.

Pas trop d'accord , on peut se corriger et ne pas être jaloux, la faim est un fléau qui décime le monde ..

Evidemment, si tu pars du fait qu'on ne peut pas remplir son réfrigérateur, la priorité va à la nourriture.

Par contre, je ne suis pas certaine qu'on puisse se corriger de la jalousie. Elle peut faire beaucoup de dégâts autour de soi, faire s'éloigner la famille, les amis, les connaissances... Certains se retrouvent seuls dans la vie, à un moment ou un autre, sans comprendre pourquoi, sans se poser les bonnes questions.

Oui, la jalousie est terrible, elle détruit la famille et bien souvent on en ignore les causes, le seul remède , même s'il fait du mal...fermer son coeur, sa porte.

La jalousie ....connais pas, mais mon premier époux l'était de façon extrème,ce qui est une calamité.
Il se cachait derrière les arbres pour voir si je me retournais quand il siflait????,me suivait dans la rue,n'acceptait pas de amis masculins mème les siens etc etc ....
Alors que lui se permetait tout.

Rien n'est plus frustrant que ce genre de comportement et s'en guerrir ,je pense que cela demande spycanalise.

Ceux qui sont aussi jaloux sont des malades. Souvent, ils manquent de confiance en eux-mêmes. A ce stade, effectivement, il faudrait les soigner, mais encore faudrait-il qu'ils l'acceptent !

Nelly a écrit:

Marie-Jo repasserait-elle par ici pour prendre un tour de citation ?

Toujours pas ?

A toi, Kitara.

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

Marie-Jo repasserait-elle par ici pour prendre un tour de citation ?

Toujours pas ?

me voilà

La vie mettra des pierres sur ta route, à toi de décider si tu en fera un mur ou un pont.

Coluche
a t-on toujours le choix?

marie-josé a écrit:

La vie mettra des pierres sur ta route, à toi de décider si tu en fera un mur ou un pont.

Coluche
a t-on toujours le choix?

Souvent !
Eriger un mur signifie rester dans son coin et s'éloigner de tous ceux qui nous entourent. Construire un pont nous permet d'être reliés à la vie, de nous intéresser à ce qui se passe autour de nous, de vivre, parfois autrement, mais de vivre. Parfois, nous pouvons être aidés à l'édification de ce pont, justement par ceux qui nous entourent, si on leur en laisse la possibilité et si eux ne dressent pas un mur.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

La vie mettra des pierres sur ta route, à toi de décider si tu en fera un mur ou un pont.

Coluche
a t-on toujours le choix?

Souvent !
Eriger un mur signifie rester dans son coin et s'éloigner de tous ceux qui nous entourent. Construire un pont nous permet d'être reliés à la vie, de nous intéresser à ce qui se passe autour de nous, de vivre, parfois autrement, mais de vivre. Parfois, nous pouvons être aidés à l'édification de ce pont, justement par ceux qui nous entourent, si on leur en laisse la possibilité et si eux ne dressent pas un mur.

même sans en faire un mur ,il est parfois bien difficile d'enjamber ce tas de pierre,tout le monde ne possède pas cette,souplesse ou qualité à rebondir.
Sans pour autant se couper du monde ,ça peut isoler certains.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

La vie mettra des pierres sur ta route, à toi de décider si tu en fera un mur ou un pont.

Coluche
a t-on toujours le choix?

Souvent !
Eriger un mur signifie rester dans son coin et s'éloigner de tous ceux qui nous entourent. Construire un pont nous permet d'être reliés à la vie, de nous intéresser à ce qui se passe autour de nous, de vivre, parfois autrement, mais de vivre. Parfois, nous pouvons être aidés à l'édification de ce pont, justement par ceux qui nous entourent, si on leur en laisse la possibilité et si eux ne dressent pas un mur.

même sans en faire un mur ,il est parfois bien difficile d'enjamber ce tas de pierre,tout le monde ne possède pas cette,souplesse ou qualité à rebondir.
Sans pour autant se couper du monde ,ça peut isoler certains.

Dans ta citation, il est question de faire un mur.
Tant qu'il s'agit d'un tas de pierres, on peut parfois encore venir en aide à quelqu'un qui en a besoin, mais un mur ne le permet pas.

A toi, Kitara.

Citation :

Faire des suppositions à propos de nos relations est le moyen le plus sûr de s'attirer des problèmes.
- Don Miguel Ruiz

Une citation issue des célèbres 4 accords toltèques.

Mais je trouve que c'est vraiment très dur de ne pas faire de supposition, car on le fait instinctivement dès qu'on interagit avec quelqu'un...

Kitara a écrit:

Citation :

Faire des suppositions à propos de nos relations est le moyen le plus sûr de s'attirer des problèmes.
- Don Miguel Ruiz

Une citation issue des célèbres 4 accords toltèques.

Mais je trouve que c'est vraiment très dur de ne pas faire de supposition, car on le fait instinctivement dès qu'on interagit avec quelqu'un...

Oui, et on peut se tromper !!!!

En revanche, quand on sait …

Le plus important, tant qu'on ne sait pas, est de ne pas agir selon nos suppositions, de en rien montrer, de toujours garder à l'esprit qu'on a pu se tromper.

Mais quand on sait, il ne faut pas hésiter.

Pour savoir, chaque signal compte.

Kitara a écrit:

Citation :

Faire des suppositions à propos de nos relations est le moyen le plus sûr de s'attirer des problèmes.
- Don Miguel Ruiz

Une citation issue des célèbres 4 accords toltèques.

Mais je trouve que c'est vraiment très dur de ne pas faire de supposition, car on le fait instinctivement dès qu'on interagit avec quelqu'un...

On peut rarement être sûr de ce qu'il y a dans la tête ou les actes de quelqu'un. Par conséquent, nous faisons forcément des suppositions. Je crois surtout qu'il faut éviter de juger, tant que faire se peut, sans tout connaître.

On peut avoir de l'empathie pour les gens, il faudrait même en avoir quand on ne les connaît pas, mais il est parfois des liens qui ne se créent pas parce qu'on ne les "sent pas".

Après, il faut laisser sa chance à tout un chacun, mais je ne pourrai jamais m'empêcher de porter un jugement négatif sur quelqu'un qui fait volontairement du mal autour de lui.

Morgan Kane a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

Faire des suppositions à propos de nos relations est le moyen le plus sûr de s'attirer des problèmes.
- Don Miguel Ruiz

Une citation issue des célèbres 4 accords toltèques.

Mais je trouve que c'est vraiment très dur de ne pas faire de supposition, car on le fait instinctivement dès qu'on interagit avec quelqu'un...

Oui, et on peut se tromper !!!!

En revanche, quand on sait …  

Parfois, on sait et pourtant, connaît-on jamais quelqu'un à fond ? Certaines personnes ont un passé douloureux derrière elles, qui les ont aigries, qui ouvre la porte à la jalousie laquelle porte souvent à la méchanceté.

Morgan Kane a écrit:

Le plus important, tant qu'on ne sait pas, est de ne pas agir selon nos suppositions, de en rien montrer, de toujours garder à l'esprit qu'on a pu se tromper.

Mais quand on sait, il ne faut pas hésiter.

Pour savoir, chaque signal compte.   

Encore faut-il savoir écouter et comprendre. Bien des choses restent cachées...

Mais il est vrai qu'il faut éviter de réagir en fonction de suppositions, ce qui n'est pas forcément facile. Il faudrait pouvoir avoir la possibilité et le courage d'aller poser la question qui nous tarabuste à la personne en question. Les réponses sont parfois surprenantes. Ce n'est pas toujours possible, c'est vrai ; cela pourrait relever de l'indiscrétion.

A toi, Morgan.

"We should measure the prosperity of a nation not by the number of millionaires but by the absence of poverty, the prevalence of health, the efficiency of public schools, and the number of people who can and do read worthwhile books." Du Bois, W. E. B. (William Edward Burghardt), 1868-1963

"Nous devrions mesurer la prospérité d'une nation non pas par le nombre de millionnaires mais par l'absence de pauvreté, la prévalence de la santé, l'efficacité des écoles publiques et le nombre de personnes qui peuvent lire et lisent des livres valables." Du Bois, W.E.B. (William Edward Burghardt), 1868-1963

Un sociologue, historien, militant pour les droits civiques, militant panafricain, éditorialiste et écrivain américain. Après avoir été diplômé de l'Université Harvard, où il fut le premier afro-américain à y obtenir un doctorat, il devint professeur d'histoire, de sociologie et d'économie à la Clark Atlanta University (en). Du Bois fut l'un des fondateurs de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) en 1909.

Quel beau rêve !!!

https://fr.wikipedia.org/wiki/W._E._B._Du_Bois

Morgan Kane a écrit:

"We should measure the prosperity of a nation not by the number of millionaires but by the absence of poverty, the prevalence of health, the efficiency of public schools, and the number of people who can and do read worthwhile books." Du Bois, W. E. B. (William Edward Burghardt), 1868-1963

"Nous devrions mesurer la prospérité d'une nation non pas par le nombre de millionnaires mais par l'absence de pauvreté, la prévalence de la santé, l'efficacité des écoles publiques et le nombre de personnes qui peuvent lire et lisent des livres valables." Du Bois, W.E.B. (William Edward Burghardt), 1868-1963

Bien évidemment que ce serait un monde idéal s'il pouvait en être ainsi. Mais c'est tout simplement utopique. Cela ne peut pas exister. En même temps, cela va dans les deux sens. Pour commencer, éliminons les millionnaires, voire milliardaires, lesquels peuvent se dormir sur leurs matelas de billets sans être plus heureux !

N'oublions pas qu'il y a des travailleurs et des fainéants partout. Il est des persévérants et des jaloux de tous bords. Il y a celles et ceux qui s'investissent à fond et celles et ceux qui se contentent de l'essentiel.

Dans un monde parfait, serait-il acceptable que tout un chacun soit au même régime ? Je veux dire que ceux qui se donnent à fond, qui donnent de leur personne, soient exactement au même niveau que les inconsistants, les paresseux ? De plus, ceux qui reçoivent sans rien faire sont souvent arrogants, voire méchants.

Que chacun soit payé pour le travail accompli en fonction de ses compétences me paraît juste. Qu'il y ait des différences en fonction des capacités me paraît normal également. Tout dépend du montant de la différence !

Morgan Kane a écrit:

Un sociologue, historien, militant pour les droits civiques, militant panafricain, éditorialiste et écrivain américain. Après avoir été diplômé de l'Université Harvard, où il fut le premier afro-américain à y obtenir un doctorat, il devint professeur d'histoire, de sociologie et d'économie à la Clark Atlanta University (en). Du Bois fut l'un des fondateurs de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) en 1909.

Quel beau rêve !!!

https://fr.wikipedia.org/wiki/W._E._B._Du_Bois

Nelly a écrit:

Que chacun soit payé pour le travail accompli en fonction de ses compétences me paraît juste. Qu'il y ait des différences en fonction des capacités me paraît normal également. Tout dépend du montant de la différence !

Et si l'utilité sociale du travail accompli était pris en compte ?

L'épisode COVID et le confinement ont montré que, socialement, une vendeuse de super marché ou un chauffeur poids lourd étaient plus utiles à la société qu'un publicitaire.

Je ne parle même pas d'une infirmière.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Que chacun soit payé pour le travail accompli en fonction de ses compétences me paraît juste. Qu'il y ait des différences en fonction des capacités me paraît normal également. Tout dépend du montant de la différence !

Et si l'utilité sociale du travail accompli était pris en compte ?

L'épisode COVID et le confinement ont montré que, socialement, une vendeuse de super marché ou un chauffeur poids lourd étaient plus utiles à la société qu'un publicitaire.

J'avoue que je n'avais jamais fait cette comparaison. En même temps, les uns et les autres travaillent et ont besoin d'un salaire décent. Je ne pense pas qu'il soit toujours facile d'être un publicitaire.

Il est évident que les métiers que tu nommes ont joué un rôle essentiel lors de la crise COVID. Ces métiers auraient sans doute mérité une rémunération supplémentaire au cours de cette période. Faut-il pour autant en tenir compte dans la vie courante habituelle ? Je ne pense pas. Je crois que tout un chacun est important dans une vie normale.

Morgan Kane a écrit:

Je ne parle même pas d'une infirmière.  

J'ai gardé ce métier à part. Le personnel soignant a effectivement dû faire preuve de beaucoup de courage, mais je ne veux pas revenir là-dessus car on en a beaucoup parlé.

Il est simplement anormal que ce personnel soit logé à une telle enseigne dans la vie courante. Il serait indispensable de rendre leur travail attractif, par la rémunération, certes, mais également en augmentant le nombre de soignants, tant dans les hôpitaux que dans les EHPAD.

Vois-tu, quand on fait du social, on le choisit, généralement. Idem pour les soignants. Tout le monde ne peut pas, ne sait pas, ne veut pas le faire. Certains sont plus doués pour autre chose. Nous pourrions également parler des agriculteurs qui commencent à devenir importants avec la crise actuelle. Quand on voit leurs heures de travail et leur rémunération, on peut également se poser des questions.

C'est à Anémone.

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.
Léonard de Vinci

Que la vie doit être triste et morose de n'avoir pas confiance...

anémone a écrit:

L'expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu.
Léonard de Vinci

Que la vie doit être triste et morose de n'avoir pas confiance...

Ca ne fait pas rêver en effet ! et c'est la porte ouverte à la paranoia.

Par contre, on peut limiter ses attentes et être moins dans la demande, ce qui aide à être moins déçu.