Ces femmes qui ne veulent pas d'enfant

marc a écrit:

dombom a écrit:

marc a écrit:

il y a aussi le besoin naturel ancestral de se reproduire, c'est inné

Exactement : et qui dit satisfaction d'un "besoin"(ancestral ou pas ) dit "plaisir", non ?

Ben non !
On n'éprouve pas obligatoirement du plaisir dans un besoin primaire.
Chaque fois que tu dors ou que tu fais pipi, tu prends ton pied ?

Non! je ne suis pas d'accord avec "le besoin naturel ancestral de se reproduire".
Je parlerai plutôt des besoins sexuels s'il faut en venir à nos origines.
La femelle mammifère découvre le besoin de nourrir et de protèger son petit une fois qu'il est là.....ou pas d'ailleurs ça arrive aussi chez les animaux.
Quoiqu'il en fût, la reproduction était subie!
Il fût rapporté qu'une tribu amazonienne tuait les bébés qui naissaient par temps de famine.
La mère ingurgitait le corps pour qu'il revienne la prochaine fois.

La plupart des accouplements humains n'ont pas eu pour intention la reproduction mais le plaisir et parfois sciemment d'un seul!
(je pense au film la guerre du feu....et à toutes les autres guerres ).
Même en temps de paix, combien d'enfants illégitimes, non désirés?
Le désir de lignée s'est installé dans les sociétés évoluées et la relève avait entre autres, pour vocation d'assurer les éventuels vieux jours des géniteurs.
Quant à l'amour .....c'est un miracle....de tous les temps, je le concède!

Le fait, pour une femme, de renoncer ainsi volontairement à la procréation et donc à un couple de demeurer seul, sans descendant, ne va-t-il pas en faire un couple totalement replié sur lui-même, sec et refermé ?

De nombreuses raisons font qu'un couple ne veuille ou ne puisse pas avoir d'enfant mais, si c'est indépendant de sa volonté, je me demande s'il ne s'ouvrira pas plus facilement à d'autres (enfants ou adultes). Mais ceux qui décident fermement de rester seuls, sans engagement, sauront-ils ouvrir leur coeur à autrui ? Ne demeureront-ils pas toujours tournés vers leur petit confort personnel ?

Nelly a écrit:

Le fait, pour une femme, de renoncer ainsi volontairement à la procréation et donc à un couple de demeurer seul, sans descendant, ne va-t-il pas en faire un couple totalement replié sur lui-même, sec et refermé ?

De nombreuses raisons font qu'un couple ne veuille ou ne puisse pas avoir d'enfant mais, si c'est indépendant de sa volonté, je me demande s'il ne s'ouvrira pas plus facilement à d'autres (enfants ou adultes). Mais ceux qui décident fermement de rester seuls, sans engagement, sauront-ils ouvrir leur coeur à autrui ? Ne demeureront-ils pas toujours tournés vers leur petit confort personnel ?

Je trouve ces hypothèses teintées de jugements de valeur et d'une vision égocentrée (terme que je préfère à égocentrisme, trop connoté ici).

Nelly a écrit:

Le fait, pour une femme, de renoncer ainsi volontairement à la procréation et donc à un couple de demeurer seul, sans descendant, ne va-t-il pas en faire un couple totalement replié sur lui-même, sec et refermé ?

De nombreuses raisons font qu'un couple ne veuille ou ne puisse pas avoir d'enfant mais, si c'est indépendant de sa volonté, je me demande s'il ne s'ouvrira pas plus facilement à d'autres (enfants ou adultes). Mais ceux qui décident fermement de rester seuls, sans engagement, sauront-ils ouvrir leur coeur à autrui ? Ne demeureront-ils pas toujours tournés vers leur petit confort personnel ?

c'est étrange comme raisonnement?
je connais un couple qui a sciemment décidé de ne pas avoir d'enfant,because: ils aiment voyager,sortir s'amuser,enfin tout ce que tu ne sais faire si tu as charge d'enfant!
Ils sont tout ,sauf secs,égoïstes ou refermés??????
Là, c'est un jugement personnel!
ne jugeons pas

Marie-jo 17 a écrit:

Nelly a écrit:

Le fait, pour une femme, de renoncer ainsi volontairement à la procréation et donc à un couple de demeurer seul, sans descendant, ne va-t-il pas en faire un couple totalement replié sur lui-même, sec et refermé ?

De nombreuses raisons font qu'un couple ne veuille ou ne puisse pas avoir d'enfant mais, si c'est indépendant de sa volonté, je me demande s'il ne s'ouvrira pas plus facilement à d'autres (enfants ou adultes). Mais ceux qui décident fermement de rester seuls, sans engagement, sauront-ils ouvrir leur coeur à autrui ? Ne demeureront-ils pas toujours tournés vers leur petit confort personnel ?

c'est étrange comme raisonnement?
je connais un couple qui a sciemment décidé de ne pas avoir d'enfant,because: ils aiment voyager,sortir s'amuser,enfin tout ce que tu ne sais faire si tu as charge d'enfant!
Ils sont tout ,sauf secs,égoïstes ou refermés??????
Là, c'est un jugement personnel!
ne jugeons pas

Je ne jugeais pas, je m'interrogeais, tout simplement. Je me disais que les enfants nous obligeaient à nous remettre en question, à faire des concessions, à voir autre chose que notre nombril.
J'ai connu un couple dont le mari avait décidé qu'ils n'auraient pas d'enfant. Son épouse y a consenti, bien que j'aie eu l'impression qu'elle n'y adhérait pas totalement. Un jour, elle est partie avec un autre homme et je me demande si ce choix imposé n'y est pas pour quelque chose.

Par ailleurs, je connais plusieurs couples qui n'ont pas eu le choix : les femmes ne pouvaient pas enfanter. Deux d'entre eux ont adopté et un autre couple est resté seul, mais toujours entouré d'enfants (neveux, nièces).