Citations en vrac 4/2011

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Nelly a écrit:

« Vanité que vouloir changer le monde. Le monde change à son heure, malgré ceux qui veulent le changer. » [Robert Marteau]

Peut-être. Pas entièrement, je crois. Si tout le monde partait de ce principe, plus personne ne ferait d'efforts et la vie serait intolérable ! De plus, l'homme a sans doute beaucoup fait changer le monde à différents niveaux, et souvent dans le mauvais sens !

Je suis quand même d'accord avec lui, c'est une question d'échelle, la vanité consiste à oublier ce qui est notre capacité individuelle et nos espoirs légitimes.
Toute dictature est vanité.

Si tu te places dans le cadre de la dictature, tu ne peux avoir que raison, effectivement. Qu'en est-il si tu te places dans celui de l'environnement, de la science, de la technique, de la gentillesse, de l'amour ?

Les chercheurs, de même ceux qui oeuvrent pour la fraternité savent ce que patience et humilité signifient.
Ceux qui annoncent de but en blanc qu'ils veulent "changer le MONDE" m'inquiètent toujours un peu .

Personnellement, je ne pensais pas à ceux qui veulent agir ainsi. C'est un point de vue auquel je ne pensais pas, mais il est toujours intéressant de confronter les répercussions qu'ont les citations sur les uns ou les autres.

En fait, on pense "changer le monde" quand on est jeune et amoureux et qu'on idéalise encore la vie. On croit encore à l'impossible. Et quand on parle de "changer le monde", ce monde peut parfois s'arrêter à la famille, les amis, le milieu professionnel...

stip a écrit:

D'où mon évocation des dictatures et de ceux en permettent l'instauration, qui, au passage, prétendent toujours agir pour le bien (enfin....une vision du bien qui leur est propre ) .

Tu as parfaitement raison de le souligner parce qu'il s'agit d'une vision terrifiante de vouloir faire adhérer l'humanité à ses idées !

stip a écrit:

En revanche, à défaut de prétendre à "changer le monde" on peut toujours prétendre à l'améliorer en actes ou paroles, avec cohérence, sans jamais oublier que le plus dur est éventuellement se changer soi-même dès lors qu'on nourrit cette ambition légitime. Car combien de donneurs de leçons pour combien de Justes?

Ah, si nous savions tous nous corriger de nos défauts, ça changerait le monde... !

Nos savons généralement quand nous faisons ce que nous ne devons pas faire. Par contre, avons-nous conscience de ne pas faire ce que nous devons ? Et qui peut décider de ça ?

Le sens de tout changement est d'être plus proche de la vie. »
Jacques SALOME

marie-josé a écrit:

Le sens de tout changement est d'être plus proche de la vie. »
Jacques SALOME

Et si tu y mettais ton commentaire ?

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Le sens de tout changement est d'être plus proche de la vie. »
Jacques SALOME

Et si tu y mettais ton commentaire ?

mais j'attendais le tiens chère amie!affin de pouvoir y répondre

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Le sens de tout changement est d'être plus proche de la vie. » Jacques SALOME

Et si tu y mettais ton commentaire ?

mais j'attendais le tiens chère amie!affin de pouvoir y répondre

Je mets mes commentaires avec les citations que je poste. Les autres ne m'inspirent pas forcément.

Tout dépend à quelle échelle on se place : quand on est vraiment dans la dèche, il faudrait pouvoir mettre son orgueil dans sa poche et accepter l'aide d'autrui. Cette aide sera souvent donnée avec bonheur et celui qui donne peut se sentir... meilleur. Par contre, il arrive que nous nous trouvions dans une recrudescence de demandes, faites par des personnes trouvant absolument normal qu'il en soit ainsi. Du coup, demande et don perdent leur valeur et risquent de se détourner de l'objectif souhaité.

Nos péchés ou actes pas très sympas, nous les accomplissons avec beaucoup de naturel et de sincérité. En va-t-il de même avec toutes nos bonnes actions ? N'attendons-nous pas un retour, d'une certaine manière ? Je pense que c'est ce que voulait souligner l'auteur.

Et qu'en pensent nos athées préférés ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« Une société d'athées inventerait aussitôt une religion. » [Honoré de Balzac]

Et qu'en pensent nos athées préférés ?

si on pense société..un syndicat peut être une religion ! beaucoup d'employés ont grande croyance en leur syndicat ....

Je ne sais pas, pour un syndicat... Ceux-ci sont, la plupart du temps, contre ce qui existe. Or, je crois qu'en parlant de religion, on cherche un croyance...

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« Une société d'athées inventerait aussitôt une religion. » [Honoré de Balzac]

Et qu'en pensent nos athées préférés ?

si on pense société..un syndicat peut être une religion ! beaucoup d'employés ont grande croyance en leur syndicat ....

Je ne sais pas, pour un syndicat... Ceux-ci sont, la plupart du temps, contre ce qui existe. Or, je crois qu'en parlant de religion, on cherche un croyance...

Je suis certainement athée...sans avoir envie de me regrouper en société. Car qui dit masse, dit main mise sur les autres, et je respecte ceux qui croient. je ne suis pas non plus gourou ! pour inventer un nouveau dieu !!

Actuellement, le nombre de religions abondent, ce qui fait que chacun peut trouver son "bonheur" (si je puis m'exprimer ainsi). Par contre, si rien n'existait, il manquerait probablement quelque chose dans notre paysage, un vide. Peut-être faudrait-il le combler ? On ne peut pas savoir sans y être confronté. Il me semble que, quelles que soient les croyances de quelqu'un, religieuses ou athées, il reste toujours un doute... Sans rien à se mettre sous la dent, même un groupe d'athées serait perdu. Ce n'est qu'un avis, bien sûr.

Quant à la main-mise sur quelqu'un, nous n'y coupons pas, de toute manière : nous devons forcément faire des concessions, dans la vie, sinon ce ne serait pas possible. Alors, à des degrés moindres, certes, d'autres ont la main-mise sur nous.

Aimer c'est délivrer l'autre de mes bonnes intentions - et de moi-même. »Christiane SINGER

ça,il faut savoir le faire....pas évident!

marie-josé a écrit:

Aimer c'est délivrer l'autre de mes bonnes intentions - et de moi-même. »Christiane SINGER

ça,il faut savoir le faire....pas évident!

Ca va chercher loin, ça. Effectivement, ce n'est pas simple, déjà avec le conjoint, mais alors les enfants... Il faut parfois se mordre sur la langue pour éviter d'intervenir. Ca vous arrive également ?

N'est-ce pas une belle illustration ?

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Aimer c'est délivrer l'autre de mes bonnes intentions - et de moi-même. »Christiane SINGER

ça,il faut savoir le faire....pas évident!

Ca va chercher loin, ça. Effectivement, ce n'est pas simple, déjà avec le conjoint, mais alors les enfants... Il faut parfois se mordre sur la langue pour éviter d'intervenir. Ca vous arrive également ?

Hummm, la méthode du mouton, je n'accepte pas, je n'ai jamais pu me résoudre à dire amen pour obtenir des solutions...Mais avant le refus catégorique, le mieux est la discussion, l'explication des différents points de vue. Si rien n'aboutit, si aucune compréhension n'en ressort, alors...moi je me délivre de certaines responsabilités.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Aimer c'est délivrer l'autre de mes bonnes intentions - et de moi-même. »Christiane SINGER

ça,il faut savoir le faire....pas évident!

Ca va chercher loin, ça. Effectivement, ce n'est pas simple, déjà avec le conjoint, mais alors les enfants... Il faut parfois se mordre sur la langue pour éviter d'intervenir. Ca vous arrive également ?

Hummm, la méthode du mouton, je n'accepte pas, je n'ai jamais pu me résoudre à dire amen pour obtenir des solutions...Mais avant le refus catégorique, le mieux est la discussion, l'explication des différents points de vue. Si rien n'aboutit, si aucune compréhension n'en ressort, alors...moi je me délivre de certaines responsabilités.

Mais il m'arrive de ne rien proposer du tout pour éviter de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Quand on voit que les jeunes ne font pas leur lit, j'ai envie de leur dire de le faire. Quand ils dorment jusqu'à pas d'heure alors qu'il ne vont pas se coucher le soir, c'est pareil... C'est leur vie, mais ça me démange. Ce ne sont que des exemples parmi d'autres !

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Aimer c'est délivrer l'autre de mes bonnes intentions - et de moi-même. »Christiane SINGER

ça,il faut savoir le faire....pas évident!

Ca va chercher loin, ça. Effectivement, ce n'est pas simple, déjà avec le conjoint, mais alors les enfants... Il faut parfois se mordre sur la langue pour éviter d'intervenir. Ca vous arrive également ?

Hummm, la méthode du mouton, je n'accepte pas, je n'ai jamais pu me résoudre à dire amen pour obtenir des solutions...Mais avant le refus catégorique, le mieux est la discussion, l'explication des différents points de vue. Si rien n'aboutit, si aucune compréhension n'en ressort, alors...moi je me délivre de certaines responsabilités.

Mais il m'arrive de ne rien proposer du tout pour éviter de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Quand on voit que les jeunes ne font pas leur lit, j'ai envie de leur dire de le faire. Quand ils dorment jusqu'à pas d'heure alors qu'il ne vont pas se coucher le soir, c'est pareil... C'est leur vie, mais ça me démange. Ce ne sont que des exemples parmi d'autres !

J'accepterai plus facilement " du laisser aller ", des choses dérangeantes que des difficultés d'ordre morale, des réflexions, des reproches continuels. Là je tranche très rapidement.

La citation parlait de ses propres "bonnes intentions", pas toujours bien ressenties comme telles par celle ou celui qui les reçoit.

Oui, certainement. Et vous ?

Nelly a écrit:

« Il est plus facile de pardonner à un ennemi qu’à un ami. » [William Blake]

Oui, certainement. Et vous ?

bien sur, ...l'ennemi nous laisse plus ou moins indiférent , tandis qu'un "ami" nous blesse profondément dans ce cas





Le tourment des hommes ne vient pas des choses mais des idées qu'ils ont des choses. »
Epictète


tout est dans la tête
et souvent le coeur!

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Il est plus facile de pardonner à un ennemi qu’à un ami. » [William Blake]

Oui, certainement. Et vous ?

bien sur, ...l'ennemi nous laisse plus ou moins indiférent , tandis qu'un "ami" nous blesse profondément dans ce cas

Je rajouterai qu'il nous blesse moins parce que nous n'attendons rien, de sa part, alors qu'une blessure assénée par un ami équivaudrait à une trahison !

Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction.
Rostand (Jean)

n'est-il pas vrai que la trop grande prudence paralyse?

marie-josé a écrit:

Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction.
Rostand (Jean)

n'est-il pas vrai que la trop grande prudence paralyse?

La prudence, certes, mais également la paresse. Remettre au lendemain ce qu'on pourrait faire le jour même y ressemble... et il arrive qu'on ne le fasse jamais !

Mais il est exact qu'à trop réfléchir, à trop peser le pour et le contre, on risque souvent de ne rien faire. Il y a également le fait de croire en ses capacités. Il faut parfois se lancer en prenant des risques.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction.
Rostand (Jean)

n'est-il pas vrai que la trop grande prudence paralyse?

La prudence, certes, mais également la paresse. Remettre au lendemain ce qu'on pourrait faire le jour même y ressemble... et il arrive qu'on ne le fasse jamais !

Mais il est exact qu'à trop réfléchir, à trop peser le pour et le contre, on risque souvent de ne rien faire. Il y a également le fait de croire en ses capacités. Il faut parfois se lancer en prenant des risques.

donc, partir sur les chapeaux de roues , n'est pas si mal en définitif

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction.
Rostand (Jean)

n'est-il pas vrai que la trop grande prudence paralyse?

La prudence, certes, mais également la paresse. Remettre au lendemain ce qu'on pourrait faire le jour même y ressemble... et il arrive qu'on ne le fasse jamais !

Mais il est exact qu'à trop réfléchir, à trop peser le pour et le contre, on risque souvent de ne rien faire. Il y a également le fait de croire en ses capacités. Il faut parfois se lancer en prenant des risques.

donc, partir sur les chapeaux de roues , n'est pas si mal en définitif

Question difficile. Je ne pense pas que ce soit aussi simple. Il faut quand même un minimum de réflexion ; on ne peut pas faire tout et n'importe quoi sans y réfléchir au préalale !

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Question difficile. Je ne pense pas que ce soit aussi simple. Il faut quand même un minimum de réflexion ; on ne peut pas faire tout et n'importe quoi sans y réfléchir au préalale !

c'est souvent le reproche que l'on me fait!....mais moi, je réfléchi en chemin, et m'empresse de m'exécuter!
ça va plus vite

Pas toujours ! Parfois, on risque de se retrouver au point de départ, s'il n'y a pas d'accident en cours de route. L'équivalent de "tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler".

Je pense plutôt qu'il faut oser, dans certains cas. On a tort de se dire trop souvent : "Je n'y arriverai pas" sans avoir essayé au préalable. Il s'agit d'un manque de confiance en soi ou de défaitisme. On réussit parfois à s'étonner soi-même en osant !

Jolie définition ! Ca me fait penser à dimanche dernier : nous avions organisé un pique-nique autour d'un étang avec les différents équipes du SC locales. Nous ne nous connaissions que par le biais de réunions ou de formations, sans voir régulièrement les mêmes personnes. Autrement dit, nous ne nous connaissions pas.

Pour ce pique-nique, il était prévu que chaque participant apporte une salade ou un dessert. Tous les raviers ont été posés sur une table qui faisait fonction de buffet et chacun se servait de ce qu'il souhaitait. Le courant a passé comme jamais et nous avons vécu une journée magnifique de partage et d'amitié. Beaucoup de participants ont manifesté leur plaisir d'avoir vécu cela. Simple mais agréable.

« Avez-vous de la poussière dans l'oeil ? il vaut mieux ne pas le frotter. Des paroles vous blessent-elles ? mieux vaut ne pas y répondre. »
Rabindranath Tagore

marie-josé a écrit:

« Avez-vous de la poussière dans l'oeil ? il vaut mieux ne pas le frotter. Des paroles vous blessent-elles ? mieux vaut ne pas y répondre. »
Rabindranath Tagore

OUPS ! Et c'est toi qui dis ça ?

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Avez-vous de la poussière dans l'oeil ? il vaut mieux ne pas le frotter. Des paroles vous blessent-elles ? mieux vaut ne pas y répondre. »
Rabindranath Tagore

OUPS ! Et c'est toi qui dis ça ?

et pourquoi pas?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Avez-vous de la poussière dans l'oeil ? il vaut mieux ne pas le frotter. Des paroles vous blessent-elles ? mieux vaut ne pas y répondre. »
Rabindranath Tagore

OUPS ! Et c'est toi qui dis ça ?

et pourquoi pas?

Parce que je soupçonne ta langue de fourcher plus vite que tes réflexions !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Avez-vous de la poussière dans l'oeil ? il vaut mieux ne pas le frotter. Des paroles vous blessent-elles ? mieux vaut ne pas y répondre. »
Rabindranath Tagore

OUPS ! Et c'est toi qui dis ça ?

et pourquoi pas?

Parce que je soupçonne ta langue de fourcher plus vite que tes réflexions !

tu as surement raison, mais a la longue,je me suis rendue compte que de répondre faisait plus le jeu des détracteurs,plutôt les TOISER DE MON INDIFFERENCE,les touche bien plus

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Avez-vous de la poussière dans l'oeil ? il vaut mieux ne pas le frotter. Des paroles vous blessent-elles ? mieux vaut ne pas y répondre. »
Rabindranath Tagore

OUPS ! Et c'est toi qui dis ça ?

et pourquoi pas?

Parce que je soupçonne ta langue de fourcher plus vite que tes réflexions !

tu as surement raison, mais a la longue,je me suis rendue compte que de répondre faisait plus le jeu des détracteurs,plutôt les TOISER DE MON INDIFFERENCE,les touche bien plus

C'est une méthode que j'applique également, dans certains cas : "ça vient de trop bas, pas la peine d'y répondre". C'est une forme de mépris et l'autre n'a plus de prise.

J'aime beaucoup cette manière de rendre les autres heureux. Pas vous ?

Exact ! Etes-vous de mon avis ? On pourrait rajouter : et stupide !

Nelly a écrit:

« La passion est sourde et muette de naissance. » [Honoré de Balzac]

Exact ! Etes-vous de mon avis ? On pourrait rajouter : et stupide !

pas toujours, il y a des passions saines....comme être passionné de peinture, de littérature,de sport etc.......


Les paroles les plus claires ne sont pas celles qui nous aveuglent en nous éblouissant, mais celles qui nous éclairent entre ombres et lumières... »
Jacques SALOME

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« La passion est sourde et muette de naissance. » [Honoré de Balzac]

Exact ! Etes-vous de mon avis ? On pourrait rajouter : et stupide !

pas toujours, il y a des passions saines....comme être passionné de peinture, de littérature,de sport etc.......

OK, mais en parlant de passion amoureuse ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« La passion est sourde et muette de naissance. » [Honoré de Balzac]

Exact ! Etes-vous de mon avis ? On pourrait rajouter : et stupide !

pas toujours, il y a des passions saines....comme être passionné de peinture, de littérature,de sport etc.......

OK, mais en parlant de passion amoureuse ?

là,...plutôt passagère,sans plus!

Et la stupidité n'en fait pas partie, à ton avis, même passagèrement ?

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« La passion est sourde et muette de naissance. » [Honoré de Balzac]

Exact ! Etes-vous de mon avis ? On pourrait rajouter : et stupide !

pas toujours, il y a des passions saines....comme être passionné de peinture, de littérature,de sport etc.......

OK, mais en parlant de passion amoureuse ?

là,...plutôt passagère,sans plus!

Et la stupidité n'en fait pas partie, à ton avis, même passagèrement ?

pour moi, pas vraiment!

je peux comprendre une passion amoureuse,sans pour cela qu'elle soit envahissante.

Aimer a toujours quelque chose de passionnel pendant un certain temps! ...ce qu'il faut éviter,c'est que cette passion paralyse l'autre

Je suis quelqu'un pleine de passions divers...alors je peux le comprendre, ...même en amour

Un grain de poussière ne souille pas une fleur. »Khalil Gibran

marie-josé a écrit:

Un grain de poussière ne souille pas une fleur. »Khalil Gibran

Explique-moi ça !

Êtes-vous prêts à cela ? En rapport avec le mensonges dont on nous rebat les oreilles...

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Le meilleur moyen d'éviter la propagande, les mensonges, les faussetés, c'est de cesser de lire. » [Alice Parizeau]

Êtes-vous prêts à cela ? En rapport avec le mensonges dont on nous rebat les oreilles...

surement pas,....la lecture est a l'homme, aussi nécessaire que de respirer.

Et si les écrits recelent parfois des mensonges, Beaucoup sont plein de vérité.

Tu as certes raison, pourtant, bon nombre de journalistes recherchent le scoop et sont prêts à vendre père et mère pour en avoir un. De plus, ils déforment souvent la vérité afin de la rendre plus attractive.

marie-josé a écrit:

et ne jamais se laisser imposer des idées toutes faites

Mais il est difficile de faire la part des choses. Quand on nous livre une information, nous pouvons supposer, à juste titre, qu'elle a été vérifiée avant d'être propagée et pourtant... Danger ! Que devient la vie privée d'autrui ? Comment réagirions-nous si nous étions dans le collimateur ?

anémone a écrit:

La lecture c'est : s'informer, s'instruire, découvrir et rêver !

Quand nous savons qu'il s'agit de fiction, la question ne se pose pas, du moins pour un adulte. Quand il s'agit de faits avérés, tout va bien également, c'est du concret. Mais c'est loin d'être toujours le cas.

anémone a écrit:

Un information journalistique est faite de vérités, de suppositions et parfois d'erreurs...à nous de faire le tri et de ne pas sombrer dans une critique implacable. Notre jeunesse est peuplée de récits fantastiques, de contes, d'un merveilleux qui mettent des étoiles dans les yeux. C'est une façon d'apprendre la vie avec son bien et son mal.

Quand nous parlons de la jeunesse et de sa fiction, je suis dubitative : point trop n'en faut ! Quand on les voit se vautrer dans des jeux de guerre et qu'on s'aperçoit ensuite qu'ils ont "dégommé" un pote, voire un indésirable, s'imaginant sans doute qu'il se relèverait ensuite, on peut se poser des questions : tout cela ne va-t-il pas trop loin ? Les enfants savent-ils faire le tri encore la réalité et la fiction ? Je pense que non.

anémone a écrit:

Accuser la lecture de tous les maux, est une aberration...

Bien sûr que non ; il y a d'ailleurs d'autres moyens d'information tout aussi marquants, notamment la télévision et internet.

Nelly a écrit:

« Le meilleur moyen d'éviter la propagande, les mensonges, les faussetés, c'est de cesser de lire. » [Alice Parizeau]

Êtes-vous prêts à cela ? En rapport avec le mensonges dont on nous rebat les oreilles...

D'ailleurs, "Quand il lut quelque part que fumer pouvait provoquer le cancer, il arrêta de lire." (A. KIRWAN)