Citations en vrac 4/2011

marie-josé a écrit:

un seulement, il y avait un hic,soucieuse de bien le mettre à plat, j'ai du probablement déchirer une des petite dents du timbre,ce qui annulait toute sa valeur

je vous assure que nous avons pesté!

Ca, ce n'était vraiment pas de chance. Mais je sais que les antiquaires dénichent parfois de vraies fortunes à l'insu de certaines propriétaires ignorants, notamment en vidant des greniers !

L'un irait-il sans l'autre ?

Exister c'est oser se jeter dans le monde. »Simone de BEAUVOIR

ça a du vrai .....

étant ces derniers temps peu partie hors de ma maison, le simple fait de me retrouver en centre ville, où beaucoup de monde circule, me donne l'impression de vivre !

alors qu'avant, de part mon métier, je voyageais beaucoup ,Paris,Milan,Dusseldorf,Nice, et même souvent seule pour aller à des bourses , expositions,ou simplement aller chez mes fournisseurs.

Maintenant, retiré des affaires et étant beaucoup seule, le moindre déplacement pose un problème?????

marie-josé a écrit:

Exister c'est oser se jeter dans le monde. »Simone de BEAUVOIR
ça a du vrai .....

étant ces derniers temps peu partie hors de ma maison, le simple fait de me retrouver en centre ville, où beaucoup de monde circule, me donne l'impression de vivre !

C'est parce que tu aimes être entourée et voir du monde. Moi aussi, j'ai besoin de sortir régulièrement pour éviter de me morfondre chez moi. Par contre, j'adore revenir chez moi et rester au calme : les deux sont impératifs !

marie-josé a écrit:

alors qu'avant, de part mon métier, je voyageais beaucoup ,Paris,Milan,Dusseldorf,Nice, et même souvent seule pour aller à des bourses , expositions,ou simplement aller chez mes fournisseurs.

Maintenant, retiré des affaires et étant beaucoup seule, le moindre déplacement pose un problème?????

C'est un peu normal. Ce qu'on faisait facilement à un moment donné devient plus difficile quand on en perd l'habitude. Mais rassure-toi, ça reviendrait facilement si tu le faisais à nouveau régulièrement.

On peut allumer des dizaines de bougies à partir d'une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant.
Bouddha

comme c'est bien dit et combien c'est vrai!

marie-josé a écrit:

On peut allumer des dizaines de bougies à partir d'une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant.
Bouddha

comme c'est bien dit et combien c'est vrai!

J'aime beaucoup également : on multiplie le bonheur en le partageant !

Quelle curieuse philosophie : ce que nous engrangeons dans la mémoire nous sert toujours, un jour ou l'autre !

Nelly a écrit:

"La mémoire, c'est comme une valise. On met toujours dedans des choses qui ne servent à rien." [Walter Prévost]

Quelle curieuse philosophie : ce que nous engrangeons dans la mémoire nous sert toujours, un jour ou l'autre !

cela n'empèche pas ,que bien souvent on engrange des choses qui nous font bisquer quand on y pense, alors ,oui, elles sont inutiles
car dévastatrices

Avons-nous besoin du langage pour penser ? Curieux, non ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« C’est le langage qui génère la pensée. » [Roy Lewis]

Avons-nous besoin du langage pour penser ? Curieux, non ?

Peut être que ce que nous entendons permet à la pensée de vagabonder, d'analyser...

Effectivement, mais il n'y a pas que le langage : ce que nous voyons agit également, ainsi que ce que nous lisons, de même que ce que nous ressentons, voire ce que nous sentons... Et quand l'auteur parle du langage, je suppose qu'il pense également à ce que nous disons !

Or, je lis une affirmation dans cette citation, comme si seul le langage générait la pensée, la réflexion !

marie-josé a écrit:

La conscience est comme le murmure continu de l'essentiel »

Et tu l'écoutes, puisqu'il s'agit de l'essentiel et en continu ?

Peut-être... peut-être pas ! Ben oui, un visage peut être trompeur, et je ne parle pas des langues ! Je crois qu'il faut un minimum d'analyse quand même avant de faire confiance à son coeur ! Par contre, Je trouve important de se faire son opinion personnelle, sans se laisser influencer par les avis des autres, les clichés !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

La conscience est comme le murmure continu de l'essentiel »

Et tu l'écoutes, puisqu'il s'agit de l'essentiel et en continu ?

mais oui, j'y suis très attentive ma Nelly et elle est mon seul guide spirituel!

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

La conscience est comme le murmure continu de l'essentiel »

Et tu l'écoutes, puisqu'il s'agit de l'essentiel et en continu ?

mais oui, j'y suis très attentive ma Nelly et elle est mon seul guide spirituel!

Mais oui, on y croit... surtout quand tu agis sous l'impulsion du moment !

« La souffrance de l'homme c'est être étranger à lui-même. C'est là son mal le plus profond »Graf DURKHEIM

marie-josé a écrit:

« La souffrance de l'homme c'est être étranger à lui-même. C'est là son mal le plus profond »Graf DURKHEIM

Et comment fait-on pour l'éviter ? Si c'était simple, s'il s'agissait d'une question de volonté, ça se saurait !

C'est de plus en plus vrai. Pauvres de nous !

Encore une vérité totalement débile. Bon, dans l'ensemble, il faut se justifier quand on a fait du mal mais, de nos jours, il faut bien réfléchir avant d'intervenir, de témoigner sur ce qu'on a vu, par exemple. Tout le monde est tellement pinailleur qu'il est parfois difficile de justifier pourquoi on à fait quelque chose pour rendre service. Ca devient facilement suspect.

Je crois que lorsqu'on passe une vie à poursuivre quelqu'un par la haine, en obnubilant tout le reste, quand on réussit à se venger de celle-ci, il doit rester un goût amer. On s'aperçoit alors qu'on est passé à côté de l'essentiel : l'amour !

Si nous faisons abstraction des dettes d'argent, je crois que nous pouvons nous sentir redevables pour bien des choses. Or, certains prennent facilement sans rien donner en échange. Attention ! Quand je donne, c'est de bon coeur et sans attendre un retour. Pourtant, il arrive qu'on soit soi-même dans un besoin quelconque. N'est-il par normal, pour quelqu'un d'autre, de proposer un coup de main si c'est dans ses possibilités ?

Un exemple tout simple : mon fils déménage la semaine prochaine. Or, ils ont été prêter main forte à des amis quand ceux-ci ont déménagé. Ils pourront donc leur demander facilement un coup de main pour leur propre déménagement. Certains ne seront pas libres et ça ne pose pas de problème s'ils ne sont pas disponibles. Ce n'est qu'un exemple.

Or, je sais que certains n'ont même pas besoin de remercier quand un service leur est rendu. N'est-ce pas un peu ingrat ? Cela ne retire-t-il pas de la valeur à l'aide apportée ?

C'est un peu ce que je retiens de ce que dit l'auteur dans sa citation. Et vous, qu'en pensez-vous ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Les dettes, c'est un état d'esprit." [Alfred Capus]

Si nous faisons abstraction des dettes d'argent, je crois que nous pouvons nous sentir redevables pour bien des choses. Or, certains prennent facilement sans rien donner en échange. Attention ! Quand je donne, c'est de bon coeur et sans attendre un retour. Pourtant, il arrive qu'on soit soi-même dans un besoin quelconque. N'est-il par normal, pour quelqu'un d'autre, de proposer un coup de main si c'est dans ses possibilités ?

Un exemple tout simple : mon fils déménage la semaine prochaine. Or, ils ont été prêter main forte à des amis quand ceux-ci ont déménagé. Ils pourront donc leur demander facilement un coup de main pour leur propre déménagement. Certains ne seront pas libres et ça ne pose pas de problème s'ils ne sont pas disponibles. Ce n'est qu'un exemple.

Or, je sais que certains n'ont même pas besoin de remercier quand un service leur est rendu. N'est-ce pas un peu ingrat ? Cela ne retire-t-il pas de la valeur à l'aide apportée ?

C'est un peu ce que je retiens de ce que dit l'auteur dans sa citation. Et vous, qu'en pensez-vous ?

tout dépend !
se sentir redevable peut -être parfois gênant,mais sentir de la reconnaissance par contre est plutôt nécessaire pour encore mieux apprécier l'aide qu'on a reçu.

Ne confondons pas. Je ne parle pas d'un élan de solidarité pour quelqu'un qu'on adore ! Rien à voir !
Je parle d'un service qu'on rend gentiment, sans se poser de question, tout simplement parce qu'on retire une épine du pied de quelqu'un. Ce peut être tout à fait banal.
Je pourrais faire une longue liste pour notre voisin qui use et abuse. Le genre : on lui donne la main, alors il prend le bras. Mais lui... on préfère ne rien lui demander, sachant qu'il va se trouver renforcé dans son habitude de prendre encore plus. Or, pour des questions de bon voisinage, on évite de faire des commentaires sur ses agissements. C'est parfois un tort. Quand l'autre abuse, il faut savoir mettre le holà, mais j'avoue que ça me laisse perplexe de voir quelqu'un qui est d'un tel sans-gêne.

marie-josé a écrit:

Les gens qui ne savent pas apprécier, ne le mérité pas!
et s'ils ne sont pas émotionnés de la solidarité dont ils ont put profiter, alors je les plaint; car leur émotions sont mortes

En même temps, il ne faut pas de laisser envahir par ces émotions. L'essentiel est d'être disponible si un jour quelqu'un avait un besoin. Exemple, si tu étais dans les parages, je te demanderais de m'aider à adapter des rideaux dans l'appartement des jeunes et je sais que tu ne saurais pas me dire non. Et tout ça moyennant un gros . Tu vois la nuance ?

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Les dettes, c'est un état d'esprit." [Alfred Capus]

Si nous faisons abstraction des dettes d'argent, je crois que nous pouvons nous sentir redevables pour bien des choses. Or, certains prennent facilement sans rien donner en échange. Attention ! Quand je donne, c'est de bon coeur et sans attendre un retour. Pourtant, il arrive qu'on soit soi-même dans un besoin quelconque. N'est-il par normal, pour quelqu'un d'autre, de proposer un coup de main si c'est dans ses possibilités ?

Un exemple tout simple : mon fils déménage la semaine prochaine. Or, ils ont été prêter main forte à des amis quand ceux-ci ont déménagé. Ils pourront donc leur demander facilement un coup de main pour leur propre déménagement. Certains ne seront pas libres et ça ne pose pas de problème s'ils ne sont pas disponibles. Ce n'est qu'un exemple.

Or, je sais que certains n'ont même pas besoin de remercier quand un service leur est rendu. N'est-ce pas un peu ingrat ? Cela ne retire-t-il pas de la valeur à l'aide apportée ?

C'est un peu ce que je retiens de ce que dit l'auteur dans sa citation. Et vous, qu'en pensez-vous ?

tout dépend !
se sentir redevable peut -être parfois gênant,mais sentir de la reconnaissance par contre est plutôt nécessaire pour encore mieux apprécier l'aide qu'on a reçu.

Ne confondons pas. Je ne parle pas d'un élan de solidarité pour quelqu'un qu'on adore ! Rien à voir !
Je parle d'un service qu'on rend gentiment, sans se poser de question, tout simplement parce qu'on retire une épine du pied de quelqu'un. Ce peut être tout à fait banal.
Je pourrais faire une longue liste pour notre voisin qui use et abuse. Le genre : on lui donne la main, alors il prend le bras. Mais lui... on préfère ne rien lui demander, sachant qu'il va se trouver renforcé dans son habitude de prendre encore plus. Or, pour des questions de bon voisinage, on évite de faire des commentaires sur ses agissements. C'est parfois un tort. Quand l'autre abuse, il faut savoir mettre le holà, mais j'avoue que ça me laisse perplexe de voir quelqu'un qui est d'un tel sans-gêne.

marie-josé a écrit:

Les gens qui ne savent pas apprécier, ne le mérité pas!
et s'ils ne sont pas émotionnés de la solidarité dont ils ont put profiter, alors je les plaint; car leur émotions sont mortes

En même temps, il ne faut pas de laisser envahir par ces émotions. L'essentiel est d'être disponible si un jour quelqu'un avait un besoin. Exemple, si tu étais dans les parages, je te demanderais de m'aider à adapter des rideaux dans l'appartement des jeunes et je sais que tu ne saurais pas me dire non. Et tout ça moyennant un gros . Tu vois la nuance ?

j'arrive et j'emporte ma machine


Aimez le monde comme vous-même. Alors seulement vous pourrez vous occuper de tout le reste. »
Tao Te king

marie-josé a écrit:

Aimez le monde comme vous-même. Alors seulement vous pourrez vous occuper de tout le reste. » Tao Te king

Ca paraît simple. Mais aimer les méchants, ceux qui vandalisent, qui s'attaquent à plus petits et plus frêles qu'eux-mêmes, ceux qui tuent, qui violent, etc. Ce n'est pas demain la veille ! Sacré programme ! Nous ne sommes pas prêts de nous occuper de nous-mêmes, si nous suivons la pensée de Tao.

C'est-y pas joli ? Qui peut dire qu'il est aussi heureux ?

Et vous, qu'êtes-vous ? Pessimiste, optimiste ou réaliste ? Pas facile de répondre, au fond. Peut-être tour à tour l'un ou l'autre ?

Nelly a écrit:

« Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. » [William Arthur Ward]

Et vous, qu'êtes-vous ? Pessimiste, optimiste ou réaliste ? Pas facile de répondre, au fond. Peut-être tour à tour l'un ou l'autre ?

optimiste,mais tout dernièrement réaliste

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. » [William Arthur Ward]

Et vous, qu'êtes-vous ? Pessimiste, optimiste ou réaliste ? Pas facile de répondre, au fond. Peut-être tour à tour l'un ou l'autre ?

optimiste,mais tout dernièrement réaliste

Mais c'est tout bon, ça !
Pour moi, je crois que je mettrais réaliste en premier... et en second, ensuite optimiste. Je suis seulement pessimiste quand je ne maîtrise rien, et ça se traduit par l'angoisse.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. » [William Arthur Ward]

Et vous, qu'êtes-vous ? Pessimiste, optimiste ou réaliste ? Pas facile de répondre, au fond. Peut-être tour à tour l'un ou l'autre ?

optimiste,mais tout dernièrement réaliste

Mais c'est tout bon, ça !
Pour moi, je crois que je mettrais réaliste en premier... et en second, ensuite optimiste. Je suis seulement pessimiste quand je ne maîtrise rien, et ça se traduit par l'angoisse.

pas du tout pessimiste, optimiste surtout pour les autres

Je pense que c'est quand on est optimiste pour soi qu'on peut l'être pour les autres. Et puis, tout dépend s'il s'agit d'un proche ou plus éloigné. Plus on connaître, plus on a envie d'aider pour donner toutes les chances de réaliser les souhaits. Or, il faut parfois laisser les proches se débrouiller et se contenter de répondre "présent" quand ils le souhaitent.

anémone a écrit:

et très réaliste, il vaut mieux, on tombe de moins haut !!

Je crois qu'on ne choisit pas vraiment. Celui qui est pessimiste de nature, tu peux le rassurer comme tu veux, il aura du mal à considérer "le verre à moitié plein". C'est une question de nature.

Qui a conscience de sa folie n'est pas bien fou. »
Tchouang Tseu

marie-josé a écrit:

Qui a conscience de sa folie n'est pas bien fou. »
Tchouang Tseu

S'il persiste OUI

marie-josé a écrit:

Qui a conscience de sa folie n'est pas bien fou. »
Tchouang Tseu

Sans doute, mais qu'il arrête de faire le zouave au détriment des autres !

Referme ton livre. Pense librement et regarde librement le ciel et la terre. »Omar Khayyâm

vous ne la trouvez pas un peu étrange cette citation

cela revient a dire que ce que l'on apprend dans les livres n'est pas important,
que juste la nature est notre meilleur professeur?

marie-josé a écrit:

"Referme ton livre. Pense librement et regarde librement le ciel et la terre. »Omar Khayyâm

vous ne la trouvez pas un peu étrange cette citation

cela revient a dire que ce que l'on apprend dans les livres n'est pas important,
que juste la nature est notre meilleur professeur?

Non, je ne la trouve pas étrange. Se contenter de lire sans vivre par soi-même n'est pas une bonne chose. La lecture peut nous instruire mais, en aucun cas, remplacer les expériences et la vie réelle, riche en affection, amour, sensations, etc. La lecture doit être complémentaire.

Je dirais que les citations sont plus ou moins plagiées, mais les commentaires sont personnels, même si on peut utiliser les citations pour donner une réponse, si elle correspond à notre idée !

Celui qui n'est pas en train de naître est en train de mourir. »
Bob Dylan


à partir du moment où l'on quitte le sein maternel, chaque jours qui passe nous rapproche petit à petit ,vers la mort
certains mettent plus de temps que d'autres pour y arriver, mais en définitif, tous ,nous y passons

marie-josé a écrit:

Celui qui n'est pas en train de naître est en train de mourir. »
Bob Dylan


à partir du moment où l'on quitte le sein maternel, chaque jours qui passe nous rapproche petit à petit ,vers la mort
certains mettent plus de temps que d'autres pour y arriver, mais en définitif, tous ,nous y passons

Citation à double sens...car comment mourir si on n'est pas conçu ?Toute petite graine non germée n'a pas fin de vie puisqu'elle n'a pas vu le jour....

Donnez-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer celles que je peux, et la sagesse de reconnaître la différence. »
Prière des Alcooliques Anonymes

celle-ci est vraiment pour tous ets'adapte a toutes les situations

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

Celui qui n'est pas en train de naître est en train de mourir. » Bob Dylan
à partir du moment où l'on quitte le sein maternel, chaque jours qui passe nous rapproche petit à petit ,vers la mort
certains mettent plus de temps que d'autres pour y arriver, mais en définitif, tous ,nous y passons

Citation à double sens...car comment mourir si on n'est pas conçu ? Toute petite graine non germée n'a pas fin de vie puisqu'elle n'a pas vu le jour....

Tant que le bébé n'est pas né, il croît, il avance dans son parcours. Par contre, dès qu'il a vu le jour, il entame sa décroissance ; il vieillit.

Tellement vrai ! Si encore il s'en servait pour construire, mais très souvent, il s'agit de démolir, de casser, comme ça s'est passé récemment en Grande-Bretagne ! Lamentable !
De plus, Internet est un miroir aux alouettes : certains vivent leur vie à travers leur écran et en oublient le réel. Le virtuel remplace tout.

« On peut sortir un tigre de la jungle, mais la jungle ne quitte jamais le tigre ! » [Bill Watterson]
Et c'est valable pour tellement de choses, en bien comme en mal !

C'est dans les moments de décision que votre esprit se forme. »Anthony Robbins

marie-josé a écrit:

C'est dans les moments de décision que votre esprit se forme. » Anthony Robbins

Pas étonnant que le tien soit aussi bien formé !

Ceci dit, je trouve que c'est exact. Ceux qui ne font que suivre ce qui se fait ne réfléchissent guère et ne peuvent donc avoir des avis précis.

Nul ne peut être à la fois désespéré et responsable. »
Antoine de Saint-Exupéry

qu'en pensez vous?

Brumes a écrit:

marie-josé a écrit:

Nul ne peut être à la fois désespéré et responsable. » Antoine de Saint-Exupéry

qu'en pensez vous?

Un responsable peut avoir des moments de lassitude, mais s'il est "désespéré", c'est qu'il n'a pas ou plus la force de réagir.

Tu sais, un responsable peut être entraîné vers le désespoir devant beaucoup d'animosité et de contre-productivité volontaire. Personne ne peut travailler tout seul. Or, certaines lois donnent des privilèges dont profitent certains salariés à outrance et parfois, contre toute logique. Des manipulateurs savent tirer profit d'une brèche qui s'entrouvre en entraînant d'autres salariés moins avertis. Dans ce cas, le responsable ne peut pas tout. S'il lui était possible de licencier l'intrus, les choses se calmeraient...

Je pense également au suicide de Bérégovoy... Parti d'un CAP, il avait réussi à atteindre le sommet de la pyramide. Mais des soupçons sur son intégrité l'on amené au désespoir.

Citation :

c'est qu'il n'a pas ou plus la force de réagir.

Quand un responsable bascule dans le désespoir, c'est à dire la dépression, il ne peut plus faire face et devient comme tous les dépressifs : sans volonté !

Incapable d'assumer des responsabilité!

Quant à Bérégovoy, il plane toujours un doute sur son suicide.
Néanmoins il avait de quoi à être désespéré. C'est surtout le déroulement de "l'incident" qui pose problème.

Quand on a fini de changer, on a fini de vivre. »
Benjamin Franklin