Citations en vrac

Morgan Kane a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Très bonne idée Nelly!


Léo Ferré

Les chiens

Des armes et des mots c´est pareil
Ça tue pareil

Je pense que, dans certains cas elle peut être vrai, y compris au sens propre.

Elle peut être vrai directement, quand les mots provoquent un suicide ou une folie grave, cf. Salengro.

Elle peut être vrai indirectement, quand les mots incitent à tuer. On le voit assez actuellement.

Au sens figuré, c'est plus compliqué. On peut, par exemple, provoquer la mort politique d'un responsable avec des mots.  

Je pense également aux mots qui tuent... un rêve, un objectif, qui retirent toute confiance en soi... Quand on dit à quelqu'un qu'il est nul (tout dépend de qui ça vient), on lui fait du mal et beaucoup de choses peuvent se détruire intérieurement.

marie-josé a écrit:

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées.”


Victor Hugo

De Victor Hugo / Fragments

Vos avis

D'abord le tien !

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées.”
Victor Hugo

De Victor Hugo / Fragments

Vos avis

D'abord le tien !

la guerre est en effet la responsabilité de l'homme mais la paix l'est selon moi aussi!

Tu parles de la guerre sur les territoires. Mais regardons autour de nous, les guerres en famille, et pas seulement pour de gros sous. Parfois un mot dit de travers et un frère/sœur devient un ennemi alors que les deux ont été éduqués dans la même famille, avec les mêmes parents !

Comment l'Homme pourrait-il laisser tourner la terre en paix alors qu'il n'y arrive pas à petite échelle ?

marie-josé a écrit:

Il est certain que les grdes inégalités dans le monde incitent les peuples à se révolter,ce qui menace la tranquilité,mais cela ne fait pas la guerre,la guerre elle est déclanchée par nos dirigeants, imbuts d'eux même ,qui jouent notre sécurité aux dés,sans s'occuper des risques qu'ils nous font encourir!.....c'est une question d'égo et de gros sous !

Je ne pense pas que ce soit aussi simple, du moins dans nos pays développés !

Alors Sylvie, tu te lances ?

Comme Sylvie ne semble pas se manifester, je fais appel à GP.

Les relations sont sûrement le miroir dans lequel on se découvre soi-même.

(Jiddu Krishnamurti)

J'avoue avoir été pris un peu de court alors je suis parti à la pêche sur le net et celle-ci m'a semblé intéressante à développer.

Dans notre vie (au moins au cours de la mienne) on rencontre un grand nombre de personnes avec lesquelles on se découvre des affinités mais celles-ci (aussi bien les personnes que les affinités) résistent mal à l'épreuve du temps ...
Cependant c'est souvent grâce à ces relations que j'ai pu me découvrir et évoluer en bien comme en mal. Alors oui, je peux considérer que les relations passées, présentes (et à venir) sont en quelque sorte le miroir qui me renvoie l'image de ce que je suis et non de ce que je crois être.

grand pierre a écrit:

Les relations sont sûrement le miroir dans lequel on se découvre soi-même.

(Jiddu Krishnamurti)

J'avoue avoir été pris un peu de court alors je suis parti à la pêche sur le net et celle-ci m'a semblé intéressante à développer.

Bonne pioche !   En même temps, tu peux déjà chercher à présent pour la prochaine fois.  

grand pierre a écrit:

Dans notre vie (au moins au cours de la mienne) on rencontre un grand nombre de personnes avec lesquelles on se découvre des affinités mais celles-ci (aussi bien les personnes que les affinités) résistent mal à l'épreuve du temps ...

Dans ton exemple, tu parles d'affinités, pas d'amitié. On peut donc se retrouver dans ce qu'on fait et je trouve que c'est assez juste. En même temps, dans ce cas, on peut facilement se perdre de vue. Certaines affinités ne cadrent pas forcément dans tous les cas de figure. Ce n'est pas parce que plusieurs aiment la bicyclette, par exemple, que leur caractère converge !

grand pierre a écrit:

Cependant c'est souvent grâce à ces relations que j'ai pu me découvrir et évoluer en bien comme en mal. Alors oui, je peux considérer que les relations passées, présentes (et à venir) sont en quelque sorte le miroir qui me renvoie l'image de ce que je suis et non de ce que je crois être.

Je suis plutôt d'accord, mais il faut voir le tout : à la fois ses affinités, mais également ses amitiés. Je trouve que ce sont deux éléments complémentaires.

Nelly a écrit:

grand pierre a écrit:

Les relations sont sûrement le miroir dans lequel on se découvre soi-même.

(Jiddu Krishnamurti)

J'avoue avoir été pris un peu de court alors je suis parti à la pêche sur le net et celle-ci m'a semblé intéressante à développer.

Bonne pioche !   En même temps, tu peux déjà chercher à présent pour la prochaine fois.  

grand pierre a écrit:

Dans notre vie (au moins au cours de la mienne) on rencontre un grand nombre de personnes avec lesquelles on se découvre des affinités mais celles-ci (aussi bien les personnes que les affinités) résistent mal à l'épreuve du temps ...

Dans ton exemple, tu parles d'affinités, pas d'amitié. On peut donc se retrouver dans ce qu'on fait et je trouve que c'est assez juste. En même temps, dans ce cas, on peut facilement se perdre de vue. Certaines affinités ne cadrent pas forcément dans tous les cas de figure. Ce n'est pas parce que plusieurs aiment la bicyclette, par exemple, que leur caractère converge !

grand pierre a écrit:

Cependant c'est souvent grâce à ces relations que j'ai pu me découvrir et évoluer en bien comme en mal. Alors oui, je peux considérer que les relations passées, présentes (et à venir) sont en quelque sorte le miroir qui me renvoie l'image de ce que je suis et non de ce que je crois être.

Je suis plutôt d'accord, mais il faut voir le tout : à la fois ses affinités, mais également ses amitiés. Je trouve que ce sont deux éléments complémentaires.

La citation parle bien de relations, pas spécialement d'amitié ! Bien sur l'un et l'autre sont complémentaires et assez fréquemment les deux connaissent une issue identique hélas ...

Pourtant à chaque fois on en ressors plus fort de l'expérience vécue. Si je vous disais que mes amis (enfin ceux que je considère comme tels) je peux les compter sur les doigts d'une seule main vous me croiriez ? C'est néanmoins la stricte vérité ... Des relations j'en ai des dizaines, avec plus ou moins d'affinités, c'est ainsi.

Je n'ai aucune amertume à cet état de faits, dire que je me trouve mieux seul serait un demi mensonge (ou une demi vérité ) j'apprécie les nouvelles rencontres, me retrouver dans un groupe mais très vite les mêmes dérives que j'ai toujours rencontré se font jour. A croire qu'en chacun de nous cohabitent un Dr Jekyll et un Mister Hyde ...

Au tour de Marie-Jo.

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Au tour de Marie-Jo.

Tout homme laisse un jour derrière lui son enfance. Il ne la retrouvera pas. Seuls quelques très vieux ou très fous bénéficient parfois de cette seconde chance. Les autres quand ils quittent ce monde qu'ont-ils de si précieux à emporter.

Le garçon de Marcus Malte
[ Marcus Malte ]

je suis pas tout à fait d'accord, certains "les heureux" gardent cet esprit de l'enfance toute leur vie,j'espère en faire partie,car la vie ,avec ses hauts et ses bas est plus agréable quand on a gardé son esprit d'enfance.
les vieux ou les fous ,l'on bien compris eux aussi!

Oui Rosinette, on ne peut rien contre les ravages du temps pour le physique, mais on peut nous envier notre caractère resté jeune ! Je crois que les épreuves de la vie , chez certains, sont catastrophiques, mais pour d'autres, la force de caractère est un remède contre l'abandon.

Pas le temps de répondre à tout : j'ai mes "petits" à la maison et, de plus, une importante réunion cet après-midi. Je me rattraperai, c'est promis.

anémone a écrit:

On retiendra surement tous mes défauts quand j'emmènerai mon âme au feu, mais je resterai fière de ma force à surmonter les pires choses.

Je voulais juste répondre à cette dernière phrase. Nous ne retiendrons pas que des défauts, mais plein de qualités, et pas des moindres !

Si notre Anémone voulait bien se donner la peine de poursuivre...

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Celle ci je la trouve dure et pourtant dans un certain sens vraie ....

La première moitié de notre vie est gâchée par nos parents et la seconde par nos enfants. ( Clarence DARROW )

à mon sens: enfant et adolescent on tolère difficilement l'autorité parentale, on voudrait une certaine liberté et devenu adulte et parent, les soucis continuent, on voudrait leur bonheur, leur réussite, on ne peut malheureusement pas trop changer la destinée , après grands parents, on est peut être encore plus inquiet pour l'avenir...

bon, mais de là a dire qu'ils nous gâchent la vie????

Il faut relativiser et ne pas le prendre au sens strict du terme. Quand on est enfant, on a souvent l'impression de n'avoir rien à dire (c'est faux, mais l'enfant le ressent souvent ainsi). On veut absolument grandir pour devenir le maître absolu de ses faits et gestes. On a envie d'être débarrassé de l'emprise des parents, je dirais presque de parents normaux qui mettent des interdits et des limites indispensables à la construction de l'enfant. Mais l'enfant ne sait pas qu'il en a besoin.

marie-josé a écrit:

je pense que nous devons relativiser, nos parents ont fait de leur mieux comme nous l'avons fait pour  nos enfants, la vie n'est pas toujours facile ,mais c'est tout de même un vrai bonheur d'être parents et ensuite grds parents.
Je ne voudrais surtout rien changer  

Mais bien évidemment, il n'en reste pas moins que le fait d'être parents engendre bon nombre de soucis, fort heureusement compensés par bien d'autres bonheurs, mais qui ne sont pas à négliger. Certains parents se sacrifient pour leurs enfants, même et surtout dans la nécessité. Tous les parents (normaux, pardon pour le terme) ont envie que leurs enfants réussissent et le parcours représente parfois un casse-tête.

Vient ensuite le temps où ils quittent le nid familial et c'est souvent une déchirure, même s'il faut faire bonne figure et qu'il s'agit de la normalité de la vie.

Il arrive que des difficultés apparaissent ensuite, mais nous aimons nos enfants et sommes là pour eux. Cela ne rend pas les choses plus faciles, je dirais même que c'est le contraire. Si nous étions indifférents, cela serait moins douloureux.

Au tour de Morgan.

Morgan Kane a écrit:

La liberté est indivisible : on ne peut en retrancher une partie sans la tuer toute entière

Michel Bakounine

Je ne suis pas sûr d'être 100 % d'accord, mais il y a quelque chose de vrai !

Bonne question. Tout dépend de ce qu'on attend de la liberté. Parfois, on se met soi-même ses chaînes, non ?

Qu'en pensent les autres ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

La liberté est indivisible : on ne peut en retrancher une partie sans la tuer toute entière

Michel Bakounine

Je ne suis pas sûr d'être 100 % d'accord, mais il y a quelque chose de vrai !

Bonne question. Tout dépend de ce qu'on attend de la liberté. Parfois, on se met soi-même ses chaînes, non ?

Qu'en pensent les autres ?

Quel mot magique : liberté !
On peut dans certains cas donner de son temps, donc de sa liberté, pour aider les autres. Dire qu'on la tue est exagérée, et même à la limite, elle apporte un plus à sa conscience . Maintenant il faut garder ses limites afin de ne pas être esclave.

Pourtant, il existe des freins dans notre vie qui sont des enclaves à notre liberté. Parfois, nous nous mettons nous-mêmes ces freins. Tout le monde ne sait pas s'accepter aussi bien que tu le fais, Anémone ; certains n'ont pas la même confiance en eux et ne peuvent pas s'exprimer aussi simplement et facilement que toi. On peut être sensible à la critique, ce qui constitue un manque de liberté.

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

La liberté est indivisible : on ne peut en retrancher une partie sans la tuer toute entière

Michel Bakounine

Je ne suis pas sûr d'être 100 % d'accord, mais il y a quelque chose de vrai !

Bonne question. Tout dépend de ce qu'on attend de la liberté. Parfois, on se met soi-même ses chaînes, non ?

Qu'en pensent les autres ?

Quel mot magique : liberté !
On peut dans certains cas donner de son temps, donc de sa liberté, pour aider les autres. Dire qu'on la tue est exagérée, et même à la limite, elle apporte un plus à sa conscience . Maintenant il faut garder ses limites afin de ne pas être esclave.

Pourtant, il existe des freins dans notre vie qui sont des enclaves à notre liberté. Parfois, nous nous mettons nous-mêmes ces freins. Tout le monde ne sait pas s'accepter aussi bien que tu le fais, Anémone ; certains n'ont pas la même confiance en eux et ne peuvent pas s'exprimer aussi simplement et facilement que toi. On peut être sensible à la critique, ce qui constitue un manque de liberté.

Je pense que la vie m'a tant appris, et a modulé mon caractère. Je me suis endurcie au fil des années, ce que j'acceptais il y a encore 30 ans, m'a permis de savoir trier, refuser et renoncer. J'ai décidé d'arrêter de ruminer, et plutôt que de souffrir j'ai fermé des portes...( on me dit dure...peut être ! )

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

La liberté est indivisible : on ne peut en retrancher une partie sans la tuer toute entière

Michel Bakounine

Je ne suis pas sûr d'être 100 % d'accord, mais il y a quelque chose de vrai !

Bonne question. Tout dépend de ce qu'on attend de la liberté. Parfois, on se met soi-même ses chaînes, non ?

Qu'en pensent les autres ?

Quel mot magique : liberté !
On peut dans certains cas donner de son temps, donc de sa liberté, pour aider les autres. Dire qu'on la tue est exagérée, et même à la limite, elle apporte un plus à sa conscience . Maintenant il faut garder ses limites afin de ne pas être esclave.

Pourtant, il existe des freins dans notre vie qui sont des enclaves à notre liberté. Parfois, nous nous mettons nous-mêmes ces freins. Tout le monde ne sait pas s'accepter aussi bien que tu le fais, Anémone ; certains n'ont pas la même confiance en eux et ne peuvent pas s'exprimer aussi simplement et facilement que toi. On peut être sensible à la critique, ce qui constitue un manque de liberté.

Je pense que la vie m'a tant appris, et a modulé mon caractère. Je me suis endurcie au fil des années, ce que j'acceptais il y a encore 30 ans, m'a permis de savoir trier, refuser et renoncer. J'ai décidé d'arrêter de ruminer, et plutôt que de souffrir j'ai fermé des portes...( on me dit dure...peut être ! )

Il serait intéressant de savoir ce que Bakounine entend par "liberté" . La liberté idéale qui fait fantasmer tant de personnes n'est qu'illusoire. Comment imaginer une liberté totale sans la moindre contrainte ???

Il y aura toujours des limites sinon cette notion se transformera en chaos.

A mes yeux la liberté est TOUJOURS relative, jamais totale

grand pierre a écrit:

Morgan Kane a écrit:

La liberté est indivisible : on ne peut en retrancher une partie sans la tuer toute entière

Michel Bakounine

Je ne suis pas sûr d'être 100 % d'accord, mais il y a quelque chose de vrai !

Il serait intéressant de savoir ce que Bakounine entend par "liberté" . La liberté idéale qui fait fantasmer tant de personnes n'est qu'illusoire. Comment imaginer une liberté totale sans la moindre contrainte ???

Il y aura toujours des limites sinon cette notion se transformera en chaos.

A mes yeux la liberté est TOUJOURS relative, jamais totale

Une liberté totale sans contrainte ne peut pas exister. Même en allant vivre sur une île déserte, il faudrait se donner le mal de se nourrir. Et même si quelqu'un ramenait de quoi se nourrir, se vêtir, etc., nous souffririons de quelque chose, nous provoquerions des contraintes. Nous ne sommes pas maîtres du temps qu'il fait, ni de notre santé. Vivre en ermite est utopique et je ne vois pas d'autres solutions pour avoir le moins de contraintes possibles.

C'est à GP d'en trouver une.

Le succès est une échelle, vous ne pouvez pas monter avec vos mains dans vos poches. (Kevin Ngo)

Cette image me plait énormément. On peut aisément remplacer "le succès" par "la vie". On ne peut s'accomplir que si on se bouge, celui qui reste à attendre que les choses arrivent toutes seules risque d'attendre bien longtemps ....

grand pierre a écrit:

Le succès est une échelle, vous ne pouvez pas monter avec vos mains dans vos poches. (Kevin Ngo)

Cette image me plait énormément. On peut aisément remplacer "le succès" par "la vie". On ne peut s'accomplir que si on se bouge, celui qui reste à attendre que les choses arrivent toutes seules risque d'attendre bien longtemps ....

Cette citation te correspond bien. Tu as monté de sacrées marches !

Mais elle est effectivement applicables à tous. On n'a rien sans rien, mais c'est souvent difficile. Je pense à nos jeunes, actuellement. C'est loin d'être facile pour eux ! Je pense également à ceux qui n'ont pas de qualification : galère !

A toi, Marie-Jo.

Nelly a écrit:

A toi, Marie-Jo.

La justice, la raison, la bonne administration du travail demandent que les intellectuels ne soient ni gouvernants ni gouvernés.

Pensées
[ Charles Péguy ]
qui m'explique?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

A toi, Marie-Jo.

La justice, la raison, la bonne administration du travail demandent que les intellectuels ne soient ni gouvernants ni gouvernés.

Pensées
[ Charles Péguy ]
qui m'explique?

C'est une colle !

Pour la Justice, il est bon qu'elle soit libre d'entraves, qu'elle ne soit ni gouvernante, ni gouvernée. Cela fausserait ses jugements.

C'est à Anémone.

Nelly a écrit:

C'est à Anémone.

Coucou, on se réveille !

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

C'est à Anémone.

Coucou, on se réveille !

Tu sèches ?

anémone a écrit:

Mes yeux parleraient même si mes lèvres restaient sans voix... ( Blas de OTERO )

C'est vrai qu'un regard parle beaucoup ! A mon sens c'est la première chose qu'on regarde, qui attire , il exprime à qui sait décrypter pas mal d'émotions, de traits de caractère.

C'est le regard de ceux qui sont sincères. Effectivement, leurs émotions passent par les yeux. D'autres savent cacher leurs sentiments : ils sont plus durs, plus rôdés, sans doute.

Quand j'étais gamine, j'avais un album de poésies (comme la plupart des filles, je présume). A l'école, chacune avait une page pour exprimer son amitié par le biais de vers, souvent identiques, d'un album à l'autre.

Souvent, les parents en complétaient une également. Ma mère y avait mis un poème très parlant qui disait à peu près ceci :

"Si, un jour tu tombes sur un homme
...
Ses paroles peuvent tromper, mais pas ses yeux, car ils sont le miroir de l'âme."

A toi, Morgan.

Morgan Kane a écrit:

“L'inverse de l'humour, ce n'est pas le sérieux, c'est la soumission.”

Guy Bedos

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