Citations en vrac

Kitara a écrit:

Citation :

“Parfois, le plus gros problème dans une question, c'est la réponse.”
Jean Dion / Le Devoir - 4 Mai 2000

Et si on n'est pas sur d'avoir envie de connaitre la réponse, il vaux mieux ne pas poser la question !

"Celui qui pose une question est bête cinq minutes, celui qui n'en pose pas l'est toute sa vie." [Proverbe chinois]

Alors, qu'est-ce qui est préférable ?

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

“Parfois, le plus gros problème dans une question, c'est la réponse.”
Jean Dion / Le Devoir - 4 Mai 2000

Et si on n'est pas sur d'avoir envie de connaitre la réponse, il vaux mieux ne pas poser la question !

"Celui qui pose une question est bête cinq minutes, celui qui n'en pose pas l'est toute sa vie." [Proverbe chinois]

Alors, qu'est-ce qui est préférable ?

Pas facile, il y a un difficile choix à faire entre prendre le risque de rester idiot, ou celui d'être contrarié...

Je crois que je préfère rester idiote, c'est moins fatiguant !

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

“Parfois, le plus gros problème dans une question, c'est la réponse.”
Jean Dion / Le Devoir - 4 Mai 2000

Et si on n'est pas sur d'avoir envie de connaitre la réponse, il vaux mieux ne pas poser la question !

"Celui qui pose une question est bête cinq minutes, celui qui n'en pose pas l'est toute sa vie." [Proverbe chinois]

Alors, qu'est-ce qui est préférable ?

Pas facile, il y a un difficile choix à faire entre prendre le risque de rester idiot, ou celui d'être contrarié...

Je crois que je préfère rester idiote, c'est moins fatiguant !  

Marie-Jo, c'est quand tu veux.

Nelly a écrit:

Marie-Jo, c'est quand tu veux.

« Leur propre chance n'étonne jamais les gens. Il semble que cela leur était dû. Mais la chance d'autrui les surprend et les irrite toujours un peu. »
Citation de Charles Régismanset ; Les nouvelles contradictions (1939)

sommes nous toujours conscients de la chance que nous avons?

Par contre, quand un coup de chance tombe sur les autres, malgré toute bonne volonté ,ne nous demandons nous pas ce qu'il a de plus que nous pour mérité cela?

marie-josé a écrit:

« Leur propre chance n'étonne jamais les gens. Il semble que cela leur était dû. Mais la chance d'autrui les surprend et les irrite toujours un peu. »
Citation de Charles Régismanset ; Les nouvelles contradictions (1939)

sommes nous toujours conscients de la chance que nous avons?

Pas toujours, c'est vrai. Pourtant, quand nous avons un petit problème momentané, nous rouspétons parce que ça nous manque. Mais même là, nous ne savons pas forcément apprécier ce dont nous disposons. Nous sommes trop gâtés !

marie-josé a écrit:

Par contre, quand un coup de chance tombe sur les autres, malgré toute bonne volonté ,ne nous demandons nous pas ce qu'il a de plus que nous pour mérité cela?

Tout dépend de notre situation personnelle, j'imagine. Quand nous sommes bien dans nos baskets, le bonheur des autres devrait nous réjouir.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Leur propre chance n'étonne jamais les gens. Il semble que cela leur était dû. Mais la chance d'autrui les surprend et les irrite toujours un peu. »
Citation de Charles Régismanset ; Les nouvelles contradictions (1939)

sommes nous toujours conscients de la chance que nous avons?

Pas toujours, c'est vrai. Pourtant, quand nous avons un petit problème momentané, nous rouspétons parce que ça nous manque. Mais même là, nous ne savons pas forcément apprécier ce dont nous disposons. Nous sommes trop gâtés !

marie-josé a écrit:

Par contre, quand un coup de chance tombe sur les autres, malgré toute bonne volonté ,ne nous demandons nous pas ce qu'il a de plus que nous pour mérité cela?

Tout dépend de notre situation personnelle, j'imagine. Quand nous sommes bien dans nos baskets, le bonheur des autres devrait nous réjouir.

Pour moi, c'est une question de caractère.
si on est envieux,mêmes en étant aisé ,certains seront jaloux et cela les dérangera.
Alors que si on a l'esprit ouvert,même dans la dêche,on se réjouira pour ceux qui on un coup de chance.

Anémone !

anémone a écrit:

Les querelles ne sont que des petits nuages qui ne font que passer.
Citation de Paul de Kock ;

Ne pas attacher trop d'importance à certaines querelles, car la hargne, la grande colère peut amener une guerre

J'aime t'entendre dire cela. Les querelles font partie de la vie qui serait plutôt fade si tout le monde était toujours d'accord sur tout. Mais il faut absolument éviter de les laisser s'installer et envenimer les bonnes relations. Elles n'en valent pas la peine, généralement.

anémone a écrit:

Les querelles ne sont que des petits nuages qui ne font que passer.
Citation de Paul de Kock ;

Ne pas attacher trop d'importance à certaines querelles, car la hargne, la grande colère peut amener une guerre

Mais à coté de ça, le fait de ne pas être d'accord peut permettre de progresser, d'inventer, de créer. Si tout le monde était d'accord tout le temps, est-ce que nous ne serions pas en train de stagner ?

Au tour de Kitara.

Citation :

“On ne doit mettre son espoir qu'en soi-même.”
Virgile

C'est quand même un très bon moyen de ne pas être déçu, sauf si on ne prend pas en compte ses propres forces et faiblesses.

Kitara a écrit:

Citation :

“On ne doit mettre son espoir qu'en soi-même.”
Virgile

C'est quand même un très bon moyen de ne pas être déçu, sauf si on ne prend pas en compte ses propres forces et faiblesses.

Est-ce vraiment possible ? Certes, quand on n'espère qu'en soi-même, on connaît ses limites, mais est-ce suffisant ? N'avons-nous pas toujours besoin des autres pour avancer ?

De plus, nous ne sommes pas toujours seuls concernés. Je pense à nos enfants qui réagissent évidemment selon leurs propres critères, mais dans lesquels nous fondons des espoirs quand même. Nous n'avons aucune incidence sur leur parcours de vie. Cela nous empêche-t-il d'espérer qu'elle leur soit favorable ?

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

“On ne doit mettre son espoir qu'en soi-même.”
Virgile

C'est quand même un très bon moyen de ne pas être déçu, sauf si on ne prend pas en compte ses propres forces et faiblesses.

Est-ce vraiment possible ? Certes, quand on n'espère qu'en soi-même, on connaît ses limites, mais est-ce suffisant ? N'avons-nous pas toujours besoin des autres pour avancer ?

De plus, nous ne sommes pas toujours seuls concernés. Je pense à nos enfants qui réagissent évidemment selon leurs propres critères, mais dans lesquels nous fondons des espoirs quand même. Nous n'avons aucune incidence sur leur parcours de vie. Cela nous empêche-t-il d'espérer qu'elle leur soit favorable ?

Je commence par la fin : On espère pour ses enfants, pas par eux.

J'espère que ma fille sera heureuse, pour elle, mais je ne compte pas sur elle pour m'assumer. Si elle m'apporte son aide en cas de nécessité, tant mieux.

Et ce qui est vrai pour nos enfants est encore plus vrai pour les autres.

On a effectivement besoin des autres, mais lesquels ? Ne comptons que sur nous mêmes et nous ne serons pas déçus.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Citation :

“On ne doit mettre son espoir qu'en soi-même.”
Virgile

C'est quand même un très bon moyen de ne pas être déçu, sauf si on ne prend pas en compte ses propres forces et faiblesses.

Est-ce vraiment possible ? Certes, quand on n'espère qu'en soi-même, on connaît ses limites, mais est-ce suffisant ? N'avons-nous pas toujours besoin des autres pour avancer ?

De plus, nous ne sommes pas toujours seuls concernés. Je pense à nos enfants qui réagissent évidemment selon leurs propres critères, mais dans lesquels nous fondons des espoirs quand même. Nous n'avons aucune incidence sur leur parcours de vie. Cela nous empêche-t-il d'espérer qu'elle leur soit favorable ?

Je commence par la fin : On espère pour ses enfants, pas par eux.

C'est bien ainsi que je l'entendais, effectivement. Je voulais simplement souligner que nous tenons beaucoup à ce qu'ils aillent bien, mais que nous n'avions aucun impact réel sur leur avenir. Nous ne pouvons qu'espérer qu'ils fassent au mieux.

Morgan Kane a écrit:

J'espère que ma fille sera heureuse, pour elle, mais je ne compte pas sur elle pour m'assumer. Si elle m'apporte son aide en cas de nécessité, tant mieux.

Je crois que nous en sommes tous là. J'espère simplement que mon fils sera là, moralement...

Morgan Kane a écrit:

Et ce qui est vrai pour nos enfants est encore plus vrai pour les autres.

Pour les autres, c'est un peu moins lourd, non ?

Morgan Kane a écrit:

On a effectivement besoin des autres, mais lesquels ? Ne comptons que sur nous mêmes et nous ne serons pas déçus.    

La solitude existe...

Morgan ?

Kitara a écrit:

Citation :

“Parfois, le plus gros problème dans une question, c'est la réponse.”
Jean Dion / Le Devoir - 4 Mai 2000

Et si on n'est pas sur d'avoir envie de connaitre la réponse, il vaux mieux ne pas poser la question !

Pas mal, cela me rappelle une malédiction anglaise : " Puissent vos vœux se réaliser "

Le problème est que celui qui pose la question ne s'imagine pas que la réponse pourrait constituer un désastre ....

Il ne faut aps négliger les réponses ambigües et trompeuses, comme celle que l'oracle de Delphes fit au roi Crésus :

Crésus, roi de Lydie, demande à l'oracle s'il doit partir en guerre contre Cyrus le roi des Perses. L'oracle lui répond : « Si tu fais la guerre aux Perses, tu détruiras un grand empire."

Il fit la guerre et ce fut son empire qui fut détruit.

Tu continues, Morgan ?

Citation :

"La nature ne fait pas d'erreurs. Le bien et le mal sont des catégories humaines. "
- Frank Herbert

"La nature ne fait pas d'erreurs. Avoir raison ou tort sont des catégories humaines. "
- Frank Herbert

Deux traductions possibles d'une même phrase anglaise :

“Nature does not make mistakes. Right and wrong are human categories.”
― Frank Herbert

Les deux traductions sont possibles et contiennent une part de vérité. La seconde paraît plus proche des intentions de l'auteur.

Elles sont toutes les deux terrifiantes et mettent en évidence l'indifférence de la nature vis à vis des hommes et de ses catégories. L'anthropomorphiser est une erreur.

Morgan Kane a écrit:

Citation :

"La nature ne fait pas d'erreurs. Le bien et le mal sont des catégories humaines. "
- Frank Herbert

"La nature ne fait pas d'erreurs. Avoir raison ou tort sont des catégories humaines. "
- Frank Herbert

Deux traductions possibles d'une même phrase anglaise :

“Nature does not make mistakes. Right and wrong are human categories.”
― Frank Herbert

Les deux traductions sont possibles et contiennent une part de vérité. La seconde paraît plus proche des intentions de l'auteur.

Elles sont toutes les deux terrifiantes et mettent en évidence l'indifférence de la nature vis à vis des hommes et de ses catégories. L'anthropomorphiser est une erreur.      

Nous savons, depuis très longtemps, que la nature ne fait pas de cadeaux, qu'elle se venge de l'attitude inconséquente des hommes. Jusqu'ici, nous pensions que tout était encore possible, d'une certaine manière, que nous pouvions continuer sans efforts conséquents, mais quand on entend la sècheresse à venir, des pays, jusqu'ici assez gâté, si je puis dire, par la quantité d'eau nécessaire, déjà rationnés et qui ne savent pas pour combien de temps ils pourront tenir, on peut se rendre compte à quel point la situation est catastrophique. Je pense notamment à l'Afrique du Sud et d'autres naturellement.

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Citation :

"La nature ne fait pas d'erreurs. Le bien et le mal sont des catégories humaines. "
- Frank Herbert

"La nature ne fait pas d'erreurs. Avoir raison ou tort sont des catégories humaines. "
- Frank Herbert

Deux traductions possibles d'une même phrase anglaise :

“Nature does not make mistakes. Right and wrong are human categories.”
― Frank Herbert

Les deux traductions sont possibles et contiennent une part de vérité. La seconde paraît plus proche des intentions de l'auteur.

Elles sont toutes les deux terrifiantes et mettent en évidence l'indifférence de la nature vis à vis des hommes et de ses catégories. L'anthropomorphiser est une erreur.      

Nous savons, depuis très longtemps, que la nature ne fait pas de cadeaux, qu'elle se venge de l'attitude inconséquente des hommes. Jusqu'ici, nous pensions que tout était encore possible, d'une certaine manière, que nous pouvions continuer sans efforts conséquents, mais quand on entend la sècheresse à venir, des pays, jusqu'ici assez gâté, si je puis dire, par la quantité d'eau nécessaire, déjà rationnés et qui ne savent pas pour combien de temps ils pourront tenir, on peut se rendre compte à quel point la situation est catastrophique. Je pense notamment à l'Afrique du Sud et d'autres naturellement.

la nature ne fait pas d'erreur ? ça dépend ! moi, je pense aux malformations d'un fœtus par exemple. Je viens de regarder "body bizarre" il y a des gens qui naissent avec des membres atrophiés, le nanisme, le gigantisme, et j'en passe des vertes et des pas mûres !!! On pourrait croire que c'est dû à une mauvaise hygiène ou à la pollution ou à l'alcool, mais, pas toujours. Donc, la nature n'est pas parfaite et fait des erreurs.

C'est à Marie-Jo.

Nelly a écrit:

C'est à Marie-Jo.

Sylvie serait-elle disponible ?

La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l'essentiel.


Sagesse Tibétaine


c'est plus que vrai,souvent on se prend la tête pour des bétises ,alors que la vie est si courte

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

C'est à Marie-Jo.

Sylvie serait-elle disponible ?

j'arrive !!!

Sylvie a écrit:

marie-josé a écrit:

La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l'essentiel.

Sagesse Tibétaine


c'est plus que vrai,souvent on se prend la tête pour des bétises ,alors que la vie est si courte

surement, car, on oublie trop souvent que nous sommes fragiles et qu'il est bon d'écouter son corps de temps en temps et ne pas faire n'importe quoi sous peine de le payer cher un jour.

Vous avez raison toutes les deux, mais il est des  moments où on a l'impression d'être entourés de personnes malades, des maladies graves. Ca donne le blues.

j'aime beaucoup : comme on fait son lit, on se couche.


pour moi ça veut dire : on récolte ce que l'on sème, on meurt comme on a vécu, on va là où l'on doit, si je n'ai semé que le désordre et la discorde, je passerai mon éternité dans le désordre et la discorde.

Sylvie a écrit:

j'aime beaucoup : comme on fait son lit, on se couche.


pour moi ça veut dire : on récolte ce que l'on sème, on meurt comme on a vécu, on va là où l'on doit, si je n'ai semé que le désordre et la discorde, je passerai mon éternité dans le désordre et la discorde.

Je suis d'accord avec ta définition, sauf pour l'éternité...

Tout commence déjà au moment de l'éducation et de la permissivité des parents par rapport à leurs rejetons. Comment des parents pourraient-ils obtenir un minimum de discipline et de savoir-vivre de leurs enfants quand ils critiquent constamment leurs enseignants qui ont toujours tout faux ?

Comment celui qui se vautre dans son chômage pourra-t-il être dans une meilleure situation au moment de sa retraite ?

Comment celui qui est constamment agressif pourra-t-il avoir des amis solides ?

Comment celui qui n'est jamais présent pour les autres pourrait-il être soutenu quand il aura des problèmes ?

Etc.

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

j'aime beaucoup : comme on fait son lit, on se couche.


pour moi ça veut dire : on récolte ce que l'on sème, on meurt comme on a vécu, on va là où l'on doit, si je n'ai semé que le désordre et la discorde, je passerai mon éternité dans le désordre et la discorde.

Je suis d'accord avec ta définition, sauf pour l'éternité...

Tout commence déjà au moment de l'éducation et de la permissivité des parents par rapport à leurs rejetons. Comment des parents pourraient-ils obtenir un minimum de discipline et de savoir-vivre de leurs enfants quand ils critiquent constamment leurs enseignants qui ont toujours tout faux ?

Comment celui qui se vautre dans son chômage pourra-t-il être dans une meilleure situation au moment de sa retraite ?

Comment celui qui est constamment agressif pourra-t-il avoir des amis solides ?

Comment celui qui n'est jamais présent pour les autres pourrait-il être soutenu quand il aura des problèmes ?

Etc.

tout à fait d'accord ! c'est le fond de ma pensée ! Je parlais de l'éternité en pensant à ces religieux purs et durs d'hier et d'aujourd'hui qui dictent des lois inhumaines et impossibles sous le couvert de DIEU en menaçant leurs pauvres ouailles de représailles éternelles si elles ne font pas comme ces "curés, imams, rabbins ou autres" leur ont enseigné ! en faisant miroiter l'enfer et le paradis, mais quelle connerie !!!
de là mon idée "d'éternité", si la vie continue, on se couche comme on a fait son lit !!

A toi, Anémone.

anémone a écrit:

Sylvie a écrit:

anémone a écrit:

Une passion vraie et malheureuse est un levain empoisonné qui reste au fond de l'âme et qui gâterait le pain des anges.
Citation de François-René de Chateaubriand ; Mémoires d'outre-tombe (1848)

Peut on oublier une vraie et douloureuse passion ? il en reste toujours une blessure qui remonte à la surface par moment, même des années après.

on garde les stigmates d'une passion malheureuse, d'un Amour déçu toute sa vie et comment se laisser aller complètement dans les bras d'un nouvel amour sans avoir peur d'être de nouveau malheureux(se), comment refaire confiance tout à fait, on est sur ses gardes sans même le vouloir

Les sentiments ne peuvent pas être tout à fait les mêmes . Chaque histoire , même si on retrouve le bonheur, ne peut être semblable. Certains lieux, musiques, paroles ramènent en arrière ...

En même temps, n'a-t-on pas tendance à enjoliver ce qui aurait pu être et n'a pas été, vu des années plus tard ?

A toi, Morgan.

Citation :

“La grandeur de l’homme, c’est qu’il est un pont et non une fin”
Nietzsche

Complexe .....

D'une part, l' homme ne devrait certainement pas constituer un moyen. En effet, quand l'homme devient un instrument, il est déshumanisé, chosifié, réifié ..... Or, le capitalisme transforme l'homme et son travail en marchandises.

Citation :

Ce qui, dans son destin, est typique pour la structure de toute la société, c'est qu'en s'objectivant et en devenant marchandise, une fonction de l'homme manifeste avec une vigueur extrême le caractère déshumanisé et déshumanisant de la relation marchande.
Georg Lukacs

Or, les tentatives de construire des hommes nouveaux, des surhommes, ont abouti historiquement au fascisme, au génocide.

Je dirais que l'homme doit constituer une fin, dans la mesure où son humanité, sa liberté, sa dignité doivent être préservés.

Mais, au niveau individuel, l'homme ne doit pas constituer sa propre fin. Il doit avoir conscience qu'il n'est que de passage, et qu'il fait partie d'un tout.

Au niveau collectif, chacun de nous est un pont entre les générations, nous recevons et nous transmettons, et cela nous donne des responsabilités. Pour reprendre une phrase célèbre de Marx, nous sommes les usufruitiers et non les propriétaires de la planète.

Enfin, la race humaine est loin d'être parfaite, un jour ou l'autre elle disparaîtra, sera remplacée .... en ce sens, elle constitue un pont.

Enfin,

Morgan Kane a écrit:

Citation :

“La grandeur de l’homme, c’est qu’il est un pont et non une fin”
Nietzsche

Complexe .....

D'une part, l' homme ne devrait certainement pas constituer un moyen. En effet, quand l'homme devient un instrument, il est déshumanisé, chosifié, réifié ..... Or, le capitalisme transforme l'homme et son travail en marchandises.  

Non, l'homme ne doit pas devenir un instrument. En même temps, peut-on considérer que l'homme est une marchandise dans la mesure où son travail profite au commerce ? Certes, il enrichit son employeur, mais lui-même en vit également ! Le seul problème, à mon avis, réside dans les proportions du partage.

Morgan Kane a écrit:

Citation :

Ce qui, dans son destin, est typique pour la structure de toute la société, c'est qu'en s'objectivant et en devenant marchandise, une fonction de l'homme manifeste avec une vigueur extrême le caractère déshumanisé et déshumanisant de la relation marchande.
Georg Lukacs

Or, les tentatives de construire des hommes nouveaux, des surhommes, ont abouti historiquement au fascisme, au génocide.

Je dirais que l'homme doit constituer une fin, dans la mesure où son humanité, sa liberté, sa dignité doivent être préservés.

Mais, au niveau individuel, l'homme ne doit pas constituer sa propre fin. Il doit avoir conscience qu'il n'est que de passage, et qu'il fait partie d'un tout.    

Au niveau collectif, chacun de nous est un pont entre les générations, nous recevons et nous transmettons, et cela nous donne des responsabilités. Pour reprendre une phrase célèbre de Marx, nous sommes les usufruitiers et non les propriétaires de la planète.

Enfin, la race humaine est loin d'être parfaite, un jour ou l'autre elle disparaîtra, sera remplacée .... en ce sens, elle constitue un pont.  

Enfin,  

C'est le souhait d'éradication de certaines personnes qui est horrible. Je crains également les essais de la génétique qui mèneront tôt ou tard à des situations inhumaines.

Par contre, le travail permet également un épanouissement personnel. Il peut être un plaisir, même si ce n'est pas le cas chaque jour, il permet une vie sociale et l'intégration dans la vie tout court. Il peut valoriser. Le tout est de ne pas se faire exploiter.

Par les temps qui courent, beaucoup de chômeurs courent après le travail qui se fait de plus en plus rare, de moins en moins payé et de moins en moins solide. En même temps, nous manquons de travailleurs qualifiés. Il y a bien un problème quelque part !

Je crois que le pire, dans le travail, est la crainte de le perdre, ce qui ouvre le champ à toutes les difficultés et le stress !

Rime, si tu continuais ?

La moquerie est méchante et il est vrai que persister dans la moquerie démonter surtout que la personne qui se moque n'est pas intelligente du tout.

Votre ressenti ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Rien ne révèle la débilité et ne l'entretient comme la moquerie."  [Emile Faguet]  

La moquerie est méchante et il est vrai que persister dans la moquerie démonter surtout que la personne qui se moque n'est pas intelligente du tout.

Votre ressenti ?

Malheureusement j'ai souffert étant jeune de la méchanceté des autres enfants....et parfois des adultes et puis  à 15 ans je me suis réveillée, et j'ai osé aller dire à ces idiots ce que je pensais de leurs moqueries.

Les enfants sont méchants, entre eux. En même temps, j'imagine qu'ils ne se rendent pas bien compte du mal qu'ils font. Quand on pense aux harcèlements dans les écoles, les collèges et les lycées, c'est effrayant ! Cela laisse souvent des traces indélébiles.

anémone a écrit:

Finalement j'avais gagné la bataille et en affirmant mon caractère j'ai su que je pouvais être aussi cinglante que les attaquants !!!  

La bataille, c'est contre toi-même que tu l'as gagnée, pas forcément contre eux. Elle a renforcé ton caractère et t'a certainement souvent permis de t'affirmer, même par la suite. Tout le monde n'a pas cette chance de sortir grandi de ce genre de situations.

A toi, Anémone.

Nelly a écrit:

A toi, Anémone.

On se réveille !!!

anémone a écrit:

désolée, ordi en panne depuis 2 jours...

Et tout de suite, deux personnes manquantes !  

anémone a écrit:

La jeunesse est une courte erreur, et la vieillesse un long regret.
Henri Duvernois[/size]

On ne se rend pas compte dans notre jeunesse que le temps semble long et les difficultés pénibles, l'age nous fait comprendre qu'on n'a pas asez eu de temps pour profiter de chaque moment

Pendant sa jeunesse, on est pressé de vieillir. On a l'impression qu'on n'est jamais assez libre, on veut travailler et vite atteindre la retraite, et puis, et puis... la retraite arrive et il faut en profiter un max, tant que la santé le permet.

Dans notre vie de fous, aura-t-on jamais le temps d'apprécier tous les moments positifs de la vie ? Ils sont souvent furtifs !

Mais je ne comprends pas bien que la jeunesse soit une erreur...

anémone a écrit:

d

La jeunesse est une courte erreur, et la vieillesse un long regret.
Henri Duvernois

On ne se rend pas compte dans notre jeunesse que le temps semble long et les difficultés pénibles, l'age nous fait comprendre qu'on n'a pas asez eu de temps pour profiter de chaque moment

Ce que je trouve étrange, c'est la façon dont le temps passe de plus en plus vite, c'est très bizarre ! mais ça donne envie d'en profiter, effectivement !