Citations en vrac

Kitara a écrit:

anémone a écrit:

d

La jeunesse est une courte erreur, et la vieillesse un long regret.
Henri Duvernois

On ne se rend pas compte dans notre jeunesse que le temps semble long et les difficultés pénibles, l'age nous fait comprendre qu'on n'a pas asez eu de temps pour profiter de chaque moment

Ce que je trouve étrange, c'est la façon dont le temps passe de plus en plus vite, c'est très bizarre ! mais ça donne envie d'en profiter, effectivement !

Et curieusement, plus on avance en âge, plus on a l'impression que le temps se dépêche...

A toi, Kitara.

Citation :

''Si tu es vrai avec toi-même,

tu ne peux pas être faux avec tes semblables.''

(William Shakespeare)

Etre vrai avec soi-même est une première étape, mais je ne suis pas sure que ça empêche d'être faux avec les autres.

Kitara a écrit:

Citation :

''Si tu es vrai avec toi-même,

tu ne peux pas être faux avec tes semblables.''

(William Shakespeare)

Etre vrai avec soi-même est une première étape, mais je ne suis pas sure que ça empêche d'être faux avec les autres.

Cela mérite réflexion !

Il me semble que ceux qui dupent les autres ne sont pas réellement honnêtes avec eux mêmes. Peut-être pas tous, mais beaucoup. Certains ne savent pas réellement ce qu'ils sont au fond d'eux-mêmes. S'ils le savaient, je ne sais pas s'ils pourraient encore se regarder dans un miroir. Ils se sentent au-dessus des autres, sans l'être réellement, évidemment.

Je me souviens d'un collègue qui pouvait dire : "Quand je me regarde dans la glace, je me dis : qu'est-ce que je suis beau, comment peut-on être aussi beau !" S'il avait pu savoir à quel point il paraissait stupide, d'une part, et d'autre part que nous le trouvions quelconque, de notre côté, il se serait sans doute abstenu. Nous ne disions rien, mais n'en pensions pas moins. Cherchait-il à se rassurer lui-même ou le croyait-il vraiment ? Je pense qu'il espérait que quelqu'un le confirme, car il ne devait pas être aussi sûr de lui qu'il le disait, en tous cas, à ce moment-là, pas intelligent du tout !

Pour en revenir à la citation, il me semble que le visage qu'on montre à l'extérieur est quand même proche de ce qu'on est à l'intérieur. On ne se refait pas !

Certains savent mentir comme ils respirent ; d'autres ne savent guère mentir, sauf pour une bonne cause.

Morgan ?

Slogan de Mai 68 a écrit:

Soyons réalistes, demandons l’impossible.

Ce slogan me plait bien !

Si nous voulons que les choses changent réellement, il faut demander l'impossible : le possible est possible pour le système et ne le change pas.

Morgan Kane a écrit:

Slogan de Mai 68 a écrit:

Soyons réalistes, demandons l’impossible.

Ce slogan me plait bien !  

Dit ainsi, il me plaît énormément. Ce qui me plaît moins, c'est le résultat de mai 68 : il est interdit d'interdire !

Morgan Kane a écrit:

Si nous voulons que les choses changent réellement, il faut demander l'impossible : le possible est possible pour le système et ne le change pas.

Je crois surtout qu'il ne faut pas hésiter à pousser nos propres limites, aller plus loin qu'on ne le pensait.

Par contre, quand tu parles du système, je pense à nos politiciens. Or, à chaque élection, nous nous lançons dans une nouvelle aventure qui fait rapidement pschitt ! Il serait bon d'en savoir davantage à l'avance avant de donner sa confiance à quelqu'un.

Marie-Jo, tu es à nouveau opérationnelle? A toi.

Nelly a écrit:

Marie-Jo, tu es à nouveau opérationnelle? A toi.

Et Sylvie ? Tu nous lis ? Tu t'y colles ?

Faut que ça bouge !

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

Marie-Jo, tu es à nouveau opérationnelle? A toi.

Et Sylvie ? Tu nous lis ? Tu t'y colles ?

Faut que ça bouge !

ok !! oui, je vous lis mais pas toujours quelque chose à dire !

Alors..... à moi......

"On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui" (écrivain allemand 1763/1825)

moi, j'ai remarqué que lorsque l'on s'accroche avec quelqu'un ou qu'on ne supporte pas son caractère c'est que quelque part on se reconnait en l'autre par certains côtés ! non ?

Sylvie a écrit:

"On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui" (écrivain allemand 1763/1825)

moi, j'ai remarqué que lorsque l'on s'accroche avec quelqu'un ou qu'on ne supporte pas son caractère c'est que quelque part on se reconnait en l'autre par certains côtés ! non ?

Je n'y aurais pas pensé mais en y réfléchissant...

La citation dit : "en parlant de celui d'autrui". En en parlant, est-on forcément objectif ? On est parfois de parti-pris, non ?

Quand tu dis qu'on ne supporte pas son caractère, je penserais davantage au fait qu'on ne se reconnaît pas dans l'autre, dans ce cas. S'il nous correspondait, ne serait-on pas plus tolérant et compréhensif à son égard ? En même temps, j'admets que nos agacements nous permettent de nous rendre compte que nous devons souvent faire un effort sur nous-mêmes pour accepter la différence.

Citation :

"On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui" (écrivain allemand 1763/1825)

Restons simple et donnons un exemple :

Un monsieur bien sous tous rapport quitte un salon bourgeois et devient le sujet de la conversation.

Chacun va lui reprocher ce qui est important pour lui-même, pour l'un sa fausse noblesse, pour l'autre son manque de lucidité politique, pour le troisième son avarice, etc. ... Ainsi, chacun se dévoile.

De même, souvent les gens ont tendance à retrouver chez les autres leurs propres défauts, dont ils n'ont pas forcément conscience.

Morgan Kane a écrit:

Citation :

"On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui" (écrivain allemand 1763/1825)

Restons simple et donnons un exemple :

Un monsieur bien sous tous rapport quitte un salon bourgeois et devient le sujet de la conversation.

Chacun va lui reprocher ce qui est important pour lui-même, pour l'un sa fausse noblesse, pour l'autre son manque de lucidité politique, pour le troisième son avarice, etc. ... Ainsi, chacun se dévoile.

Totalement d'accord avec tout ce que tu dis, mais la citation parlait de découvrir son caractère, alors que le mot dévoilé résonne différemment, me semble-t-il. Quand je dévoile, les autres le découvrent et, en commentant, se dévoilent également.

Morgan Kane a écrit:

De même, souvent les gens ont tendance à retrouver chez les autres leurs propres défauts, dont ils n'ont pas forcément conscience.

Bien sûr, je pense même qu'on peut en avoir conscience en son for intérieur sans avoir envie que cela se sache. Mais, dans certains cas, on n'en a effectivement pas conscience.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

"On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui" (écrivain allemand 1763/1825)

moi, j'ai remarqué que lorsque l'on s'accroche avec quelqu'un ou qu'on ne supporte pas son caractère c'est que quelque part on se reconnait en l'autre par certains côtés ! non ?

Je n'y aurais pas pensé mais en y réfléchissant...

La citation dit : "en parlant de celui d'autrui". En en parlant, est-on forcément objectif ? On est parfois de parti-pris, non ?

Quand tu dis qu'on ne supporte pas son caractère, je penserais davantage au fait qu'on ne se reconnaît pas dans l'autre, dans ce cas. S'il nous correspondait, ne serait-on pas plus tolérant et compréhensif à son égard ? En même temps, j'admets que nos agacements nous permettent de nous rendre compte que nous devons souvent faire un effort sur nous-mêmes pour accepter la différence.

Pas toujours facile de comprendre l'autre et s'il existe des points communs n'a -t- on pas peur d'y retrouver nos défauts ?

Il faut commencer par essayer de le comprendre, ce qui n'est pas évident du tout. Mais aurions-nous des défauts que nous ne souhaitons pas connaître ?

A toi, Anémone.

anémone a écrit:

Le silence est la forme la plus haineuse ou la plus modeste de la critique.
Citation de Pierre Reverdy ; Le livre de mon bord (1948)

Pourquoi insister devant des bornés ? garder le silence est la réponse la plus utile et celle qui....fatigue le moins !

Tu as raison de dire qu'il est préférable de se taire devant la bêtise, la méchanceté ou la critique.
Seulement, quand on magouille silencieusement dans ton dos alors que tu es de bonne foi ? Cela m'est arrivé récemment, alors je me suis retirée silencieusement... alors que tout aurait pu être simple en discutant. Je me suis sentie blessée par ce silence... que je considère comme de la lâcheté. C'est fou comme certaines gens savent être forts... par derrière !

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Le silence est la forme la plus haineuse ou la plus modeste de la critique.
Citation de Pierre Reverdy ; Le livre de mon bord (1948)

Pourquoi insister devant des bornés ? garder le silence est la réponse la plus utile et celle qui....fatigue le moins !

Tu as raison de dire qu'il est préférable de se taire devant la bêtise, la méchanceté ou la critique.
Seulement, quand on magouille silencieusement dans ton dos alors que tu es de bonne foi ? Cela m'est arrivé récemment, alors je me suis retirée silencieusement... alors que tout aurait pu être simple en discutant. Je me suis sentie blessée par ce silence... que je considère comme de la lâcheté. C'est fou comme certaines gens savent être forts... par derrière !

oui Nelly, j'en connais les méfaits. Quand rien n'est expliqué tu te sens bafouée, et quand c'est ta propre famille, on ressent une blessure inguérissable que seule l'indifférence peut atténuer.

Tu vois, nous trouvons souvent différentes formes d'explications, en s'y mettant à plusieurs.

Pour ma part, il ne s'agissait pas de ma famille et je m'en remettrai plus facilement, mais ce silence était assourdissant.

C'est à Kitara.

Citation :

Associe-toi à ceux qui disent : Même si tout va bien, nous devons aller plus loin. Parce qu'ils savent qu'il faut toujours aller au-delà des horizons connus.
Paulo Coelho, le manuscrit retrouvé

Plutôt d'accord, ce n'est pas quand tout va mal qu'on a la ressource pour sortir de sa zone de confort.

Kitara a écrit:

Citation :

Associe-toi à ceux qui disent : Même si tout va bien, nous devons aller plus loin. Parce qu'ils savent qu'il faut toujours aller au-delà des horizons connus.
Paulo Coelho, le manuscrit retrouvé

Plutôt d'accord, ce n'est pas quand tout va mal qu'on a la ressource pour sortir de sa zone de confort.

Tu as bien raison, mais quand tout va bien, qu'on se sent bien, on a tendance au laisser-aller, à profiter de ces moments de bien-être.

A Morgan.

Nelly a écrit:

A Morgan.

Citation :

La marchandise est l'opium du peuple.

Slogan de Mai 68

Morgan Kane a écrit:

Citation :

La marchandise est l'opium du peuple.

Slogan de Mai 68

Et tu nous sert cela sans commentaires !!!

http://shpmm.free.fr/opium.htm

Par marchandise, on entend l'ensemble de ce dont nous avons besoin et que nous payons. Par conséquent, nous ne pouvons pas nous en passer. Faut-il pour autant parler d'opium du peuple ? Les slogans sont destinés à heurter, mais ils sont souvent exagérés. Dans ce cas précis, tout le monde a dit tout et n'importe quoi.

Je n'aime pas être le premier commentateur parce que j'ai toujours peur d'orienter ou limiter le débat.

Je ne suis pas toujours en accord avec les citations que je vous propose, mais elels me paraissent intéressantes.

La marchandise est nécessaire dans une société de marché, oui, mais elle tend à devenir une fin en soi, une drogue.

Je me permets de ne pas être d'accord avec ta définition : Est marchandise ce qui est objet d'échange dans un cadre marchant, nécessaire ou non.

On n'achète pas un bien parce que nous en avons besoin, mais parce que nous le désirons et ce désir a souvent été provoqué artificiellement.

Acheter, consommer des biens devient une manière d'exister, de jouir ...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_de_consommation

Enfin, n'oubliez pas que, d'une certaine manière, la société industrielle transforme les humains en objets et en marchandises.

Morgan Kane a écrit:

Je n'aime pas être le premier commentateur parce que j'ai toujours peur d'orienter ou limiter le débat.

Je comprends, mais tu n'es pas obligé de tout dire.  

Morgan Kane a écrit:

Je ne suis pas toujours en accord avec les citations que je vous propose, mais elels me paraissent intéressantes.

La marchandise est nécessaire dans une société de marché, oui, mais elle tend à devenir une fin en soi, une drogue.

Ma foi, cette "drogue" a ses limites qu'est notamment le portefeuille.

Morgan Kane a écrit:

 Je me permets de ne pas être d'accord avec ta définition : Est marchandise ce qui est objet d'échange dans un cadre marchant, nécessaire ou non.

Certes, il y a le troc, mais il s'agit également d'une forme de paiement, non ?

Morgan Kane a écrit:

On n'achète pas un bien parce que nous en avons besoin, mais parce que nous le désirons et ce désir a souvent été provoqué artificiellement.

Acheter, consommer des biens devient une manière d'exister, de jouir ...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_de_consommation

Beaucoup, beaucoup de personnes se fient à la publicité, c'est vrai, mais au fil du temps, il est quand même nécessaire de faire la part des choses ! On ne peut pas toujours retomber dans le même piège.

Il est vrai également que l'achat peut avoir un côté jouissif. Ce n'est pas le pire quand ce n'est pas régulier, qu'on s'en tient à ses possibilités financières. Certes, il y a également le côté frénétique, inévitable. Mais il faut également savoir rester responsable de ses actes.

Morgan Kane a écrit:

Enfin, n'oubliez pas que, d'une certaine manière, la société industrielle transforme les humains en objets et en marchandises.

D'une certaine manière, c'est exact. Tu penses notamment à l'intérim, je suppose. Pourtant, la société en a besoin au vu des règles draconiennes qui régissent. L'ennui est quand l'intérim s'installe. Ceci dit, il arrive que ce soit un choix : certains intérimaires sont mieux payés que les salariés embauchés, déjà tout simplement parce qu'ils bénéficient d'indemnités de déplacement.

Au tour de Sylvie.

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

Au tour de Sylvie.

Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends.

C'est sûr !!!
moi, je suis comme ça ! quand je ne me sens pas impliquée, je ne me sens pas concernée, je suis distraite et je ne retiens rien, par contre, si l'on m'explique ou que l'on me fait participer, je suis beaucoup plus attentive et... je me souviens !!!...

je pense que c'est le cas de la plupars d'entre nous, à moins d'être totalement indifférent.
on ne retient bien que ce que l'on comprend.

marie-josé a écrit:

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

Au tour de Sylvie.

Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends.

C'est sûr !!!
moi, je suis comme ça ! quand je ne me sens pas impliquée, je ne me sens pas concernée, je suis distraite et je ne retiens rien, par contre, si l'on m'explique ou que l'on me fait participer, je suis beaucoup plus attentive et... je me souviens !!!...

je pense que c'est le cas de la plupars d'entre nous, à moins d'être totalement indifférent.
on ne retient bien que ce que l'on comprend.

On comprend également ce qu'on nous enseigne, du moins la plupart du temps. Par contre, en participant à quelque chose, à une réalisation, on s'investit forcément et on retient, tant le positif que le négatif.

Sylvie a écrit:

Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends.

C'est sûr !!!
moi, je suis comme ça ! quand je ne me sens pas impliquée, je ne me sens pas concernée, je suis distraite et je ne retiens rien, par contre, si l'on m'explique ou que l'on me fait participer, je suis beaucoup plus attentive et... je me souviens !!!...

J'ai déjà remarqué. Il en a fallu du temps pour que tu participes sur ce fil ! Ce n'était pas faute de te l'avoir demandé !

marie-josé a écrit:

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

Au tour de Sylvie.

Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends.

C'est sûr !!!
moi, je suis comme ça ! quand je ne me sens pas impliquée, je ne me sens pas concernée, je suis distraite et je ne retiens rien, par contre, si l'on m'explique ou que l'on me fait participer, je suis beaucoup plus attentive et... je me souviens !!!...

je pense que c'est le cas de la plupars d'entre nous, à moins d'être totalement indifférent.
on ne retient bien que ce que l'on comprend.

Bien sur, c'est tellement plus facile d'apprendre et de retenir quand on est dedans, je pense que personne n'y échappe !

Tu es d'attaque, Marie-Jo ?

Nelly a écrit:

Tu es d'attaque, Marie-Jo ?

« Mille fois l'homme d'honneur en se vengeant n'a gagné à cela que de publier lui-même son outrage ; car sa vengeance révèle ce que l'injure n'avait pas dit. »
Citation de Pedro Calderón de la Barca ; À outrage secret, vengeance secrète (1642)

je trouve cela assez juste ,et vous?

Pas mal, à méditer ...

marie-josé a écrit:

« Mille fois l'homme d'honneur en se vengeant n'a gagné à cela que de publier lui-même son outrage ; car sa vengeance révèle ce que l'injure n'avait pas dit. »
Citation de Pedro Calderón de la Barca ; À outrage secret, vengeance secrète (1642)

je trouve cela assez juste ,et vous?

Tu vas chercher loin !
Cette citation est sans doute juste, en tous les cas à méditer. A un moment ou un autre, nous aurions tous tendance à vouloir rendre la monnaie de sa pièce, à quelqu'un, mais attention à ne pas devenir le méchant.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Mille fois l'homme d'honneur en se vengeant n'a gagné à cela que de publier lui-même son outrage ; car sa vengeance révèle ce que l'injure n'avait pas dit. »
Citation de Pedro Calderón de la Barca ; À outrage secret, vengeance secrète (1642)

je trouve cela assez juste ,et vous?

Tu vas chercher loin !
Cette citation est sans doute juste, en tous les cas à méditer. A un moment ou un autre, nous aurions tous tendance à vouloir rendre la monnaie de sa pièce, à quelqu'un, mais attention à ne pas devenir le méchant.

je suis désolée, je ne trouve rien à dire sur cette citation.

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

« Mille fois l'homme d'honneur en se vengeant n'a gagné à cela que de publier lui-même son outrage ; car sa vengeance révèle ce que l'injure n'avait pas dit. »
Citation de Pedro Calderón de la Barca ; À outrage secret, vengeance secrète (1642)

je trouve cela assez juste ,et vous?

Tu vas chercher loin !
Cette citation est sans doute juste, en tous les cas à méditer. A un moment ou un autre, nous aurions tous tendance à vouloir rendre la monnaie de sa pièce, à quelqu'un, mais attention à ne pas devenir le méchant.

je suis désolée, je ne  trouve rien à dire sur cette citation.

Ne t'en fais pas, nous n'avons pas toujours une idée sur ce que relèvent les autres.

Anémone, c'est quand tu veux.

anémone a écrit:

C'est la bravoure qu'on aime, et non pas le courage.
Citation de Jacques Chardonne ;

je mets ces deux qualités au même niveau, on ne peut pas les séparer

bravoure ,courage,.......je pense que la bravoure est encore plus forte,car en plus de courage,il faut aussi être téméraire

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

C'est la bravoure qu'on aime, et non pas le courage.
Citation de Jacques Chardonne ;

je mets ces deux qualités au même niveau, on ne peut pas les séparer

bravoure ,courage,.......je pense que la bravoure est encore plus forte,car en plus de courage,il faut aussi être téméraire

La bravoure est au-dessus du courage. Cela relève de l'héroïsme et c'est formidable d'en avoir, mais le courage est déjà important. Tout le monde n'a pas l'occasion de montrer sa bravoure, mais nous ne pouvons pas nous passer du courage. Je crois qu'on ne connaît sa bravoure que lorsqu'on y est confronté.

Ce que je n'aime pas, c'est la lâcheté, du moins quand on prétend être fort !

Morgan ?

De Gaulle a écrit:

Le désir de privilège et le goût de l’égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque…

Pas mal et en partie vrai ... au moins !

Morgan Kane a écrit:

De Gaulle a écrit:

Le désir de privilège et le goût de l’égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque…

Pas mal et en partie vrai ... au moins !

Belle citation, qui est tout à fait vrai il me semble. On a souvent envie d'en avoir plus, et en même temps on a envie que tout soit équitable. Et tout s’entremêle : les relations humaines, la culpabilité, la peur d'être lésé, etc... Un beau sac de nœuds !

Kitara a écrit:

Morgan Kane a écrit:

De Gaulle a écrit:

Le désir de privilège et le goût de l’égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque…

Pas mal et en partie vrai ... au moins !

Belle citation, qui est tout à fait vrai il me semble. On a souvent envie d'en avoir plus, et en même temps on a envie que tout soit équitable. Et tout s’entremêle : les relations humaines, la culpabilité, la peur d'être lésé, etc... Un beau sac de nœuds !

Le privilège pour soi, et l'égalité pour les autres ? Oui, nous sommes ainsi faits, mais je ne crois pas que ce soit uniquement français. Après, il y a mesure et démesure.

A toi, Sylvie.