Les chemins de la sagesse - aout 2024

Cette phrase me fait penser aux enfants actuels à qui tellement de choses sont permises et qui ont des tas de jouets. Sont-ils ravis ? Oui, au moment d'ouvrir le cadeau, mais dès qu'il est vu et essayé, il faut passer à autre chose et c'est oublié.

Quelques privations seraient les bienvenues et avoir envie de quelque chose est déjà du bonheur en soi ; l'acquérir par ses propres moyens valorise la chose, y compris pour les jeunes. Il suffirait souvent de les solliciter pour de petits travaux quotidiens : mettre la table, aider à débarrasser, faire leur lit, ranger leur chambre, etc.

Quand mon petit-fils vient chez moi, je le sollicite pour quelques petits travaux extérieurs et il en est ravi. Il le fait volontiers. En fonction de ce qu'il a fait, je lui file une pièce qu'il range soigneusement dans sa tirelire.

Nilxt a écrit:

Nelly a écrit:

"Après tout, pour être critique, ne suffit-il pas de publier des articles de critique ?"  [Boris Vian]

N'est-ce pas ce qui se passe de plus en plus ? Tout le monde écrit tout sur n'importe quoi... et ça prend !

Oui tout le monde écrit sur tout et n'importe quoi, mais dans ce cas peut-on vraiment appeler cela des "critiques" au sens constructif du terme ?

Une publication qui repose sur des arguments ou informations inexacts, des préjugés, des sentiments ou des sophismes ne pourra pas être considérée comme une véritable critique au sens constructif du terme. Parce que la critique, dans son essence, est une évaluation réfléchie et juste d'un sujet.

J'appellerais plutôt cela un 'pamphlet' ou une 'désinformation' plutôt qu'une 'critique'.

Mais bien évidemment, mais comment savoir ? Comment faire la différence ? Tout un chacun n'est pas à même de contrôler les informations fournies !

Nilxt a écrit:

C'est pour cela qu'à mon sens, et au contraire de ce qu'affirme la citation, être critique ne se limite pas seulement à la publication d'articles ou à l'expression d'opinions.

La critique implique également une analyse et une réflexion approfondies, une capacité à contextualiser. Être critique c'est être capable d'évaluer et de questionner les œuvres/les idées, en apportant des arguments solides et en confrontant avec d'autres perspectives

Pour cela il faut une connaissance approfondie du sujet, et parfois, une volonté de remettre en question des normes établies.

C'est un vrai exercice intellectuel qui dépasse complètement le cadre de la simple publication.

La citation était une question avec un point d'interrogation. Au fond, l'auteur doit être d'accord avec toi et nous le sommes tous ici, à mon avis, mais que fais-tu des rumeurs qui deviennent des affirmations et qui font tellement mal, parfois ?

Nelly a écrit:

La citation était une question avec un point d'interrogation. Au fond, l'auteur doit être d'accord avec toi et nous le sommes tous ici, à mon avis, mais que fais-tu des rumeurs qui deviennent des affirmations et qui font tellement mal, parfois ?

Les rumeurs, ça a toujours fait beaucoup de mal. Et c'est vrai que parfois, certaines sont si bien martelées qu'elles deviennent réalité dans l'esprit de beaucoup de gens. C'est un peu ce qu'on appelle les légendes urbaines.

Ce qu'il faut faire ? resté éveillé, se renseigner, ne rien prendre pour argent comptant... Cultiver son propre esprit critique, quoi...

Nelly a écrit:

"La permissivité ne fait pas le bonheur."  [Jean-Paul II]

Cette phrase me fait penser aux enfants actuels à qui tellement de choses sont permises et qui ont des tas de jouets. Sont-ils ravis ? Oui, au moment d'ouvrir le cadeau, mais dès qu'il est vu et essayé, il faut passer à autre chose et c'est oublié.

Quelques privations seraient les bienvenues et avoir envie de quelque chose est déjà du bonheur en soi ; l'acquérir par ses propres moyens valorise la chose, y compris pour les jeunes. Il suffirait souvent de les solliciter pour de petits travaux quotidiens : mettre la table, aider à débarrasser, faire leur lit, ranger leur chambre, etc.

Quand mon petit-fils vient chez moi, je le sollicite pour quelques petits travaux extérieurs et il en est ravi. Il le fait volontiers. En fonction de ce qu'il a fait, je lui file une pièce qu'il range soigneusement dans sa tirelire.

L'enfant-roi existe, et c'est vrai que dans certaines familles, les enfants sont gâtés-pourris, on leur achète tout sans leur laisser le temps d'en avoir envie, et on ne leur demande rien. Je connais des familles comme ça, plutôt aisées. A l'adolescence, on a des jeunes blasés et les parents se demandent pourquoi est-ce qu'ils n'arrivent pas à communiquer.
Mais bien souvent, l'argent a remplacé la communication dans la famille, donc il ne faut pas s'étonner.


Par contre, je trouve qu'on parle beaucoup de l'enfant-roi comme quelque chose de généralisé. ce n'est pas le cas, et beaucoup de familles ne sur-gâtent pas leurs enfants tout simplement parce qu'ils ne peuvent pas.
Sans compter les familles qui ont conscience que ce n'est pas bon pour le développement de l'enfant, et qui font en sorte de leur faire plaisir sans les blaser (sans me vanter, je pense que j'ai été une mère dans cette catégorie).

Et surtout, je crois qu'il ne faut pas en faire une généralité. Tous les jeunes n'ont pas été des enfants à qui ont a tout acheté et tout passé, loin de là...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"La permissivité ne fait pas le bonheur."  [Jean-Paul II]

Cette phrase me fait penser aux enfants actuels à qui tellement de choses sont permises et qui ont des tas de jouets. Sont-ils ravis ? Oui, au moment d'ouvrir le cadeau, mais dès qu'il est vu et essayé, il faut passer à autre chose et c'est oublié.

Quelques privations seraient les bienvenues et avoir envie de quelque chose est déjà du bonheur en soi ; l'acquérir par ses propres moyens valorise la chose, y compris pour les jeunes. Il suffirait souvent de les solliciter pour de petits travaux quotidiens : mettre la table, aider à débarrasser, faire leur lit, ranger leur chambre, etc.

Quand mon petit-fils vient chez moi, je le sollicite pour quelques petits travaux extérieurs et il en est ravi. Il le fait volontiers. En fonction de ce qu'il a fait, je lui file une pièce qu'il range soigneusement dans sa tirelire.

L'enfant-roi existe, et c'est vrai que dans certaines familles, les enfants sont gâtés-pourris, on leur achète tout sans leur laisser le temps d'en avoir envie, et on ne leur demande rien. Je connais des familles comme ça, plutôt aisées. A l'adolescence, on a des jeunes blasés et les parents se demandent pourquoi est-ce qu'ils n'arrivent pas à communiquer.
Mais bien souvent, l'argent a remplacé la communication dans la famille, donc il ne faut pas s'étonner.  

Il ne s'agit pas seulement des familles aisées, même si, au niveau achats, elles ont davantage de moyens, mais également de familles à revenus moyens. Déjà, on trouve des jouets et des vêtements d'occasion, pour ce côté-là, mais il y a également le fait, peut-être de l'individualisme, mais également la difficulté de se retrouver entre enfants.

Dans ma jeunesse (nous habitions une impasse où passaient peu de voitures), nous jouions à cache-cache, à courir ; des garçons avaient construit une cabane, etc. J'avais une vieille bicyclette et je roulais sur la route. Nous étions inventifs, mais n'avions pas une tonne de jouets. Ce n'est plus possible aujourd'hui.

De plus le progrès n'a rien arrangé de ce côté-là et je pense surtout aux écrans !

De plus, j'ai envie de souligner le fait des familles séparées où les cadeaux viennent de part et d'autre, parfois pour compenser les absences, voire se faire concurrence...  

Kitara a écrit:

Par contre, je trouve qu'on parle beaucoup de l'enfant-roi comme quelque chose de généralisé. ce n'est pas le cas, et beaucoup de familles ne sur-gâtent pas leurs enfants tout simplement parce qu'ils ne peuvent pas.
Sans compter les familles qui ont conscience que ce n'est pas bon pour le développement de l'enfant, et qui font en sorte de leur faire plaisir sans les blaser (sans me vanter, je pense que j'ai été une mère dans cette catégorie).

Dans la mesure où tu disais par ailleurs ton étonnement positif par rapport à tes enfants, tu peux effectivement te réjouir d'avoir su leur apporter l'essentiel : des valeurs familiales, l'entraide et autres. Je pense que notre fils possède également ce genre de valeurs mais, très souvent, les enfants demeurent loin de leurs parents et ne se rendent pas compte que ceux-ci prennent de l'âge. Je ne suis pas la seule à le penser.

Kitara a écrit:

Et surtout, je crois qu'il ne faut pas en faire une généralité. Tous les jeunes n'ont pas été des enfants à qui ont a tout acheté et tout passé, loin de là...

Même sans tout leur acheter, nous sommes passés à un stade où l'enfant a énormément de droits. Il peut arriver qu'il braille (de vive voix ou en boudant...).

Peut-être qu'à un moment, l'enfant n'avait aussi pas assez de place, et que les choses finiront par s'équilibrer ?

La société passe souvent par des extrêmes opposés avant de se stabiliser...

Kitara a écrit:

Peut-être qu'à un moment, l'enfant n'avait aussi pas assez de place, et que les choses finiront par s'équilibrer ?  

La société passe souvent par des extrêmes opposés avant de se stabiliser...

Il fut un temps où le petit enfant était considéré comme un... objet, en quelque sorte. Même à la maternité, il était censé ne rien ressentir. Une cousine, infirmière, nous a raconté qu'à une certaine époque, quand il y avait une petite bricole à faire sur un nouveau-né, le chirurgien faisait une incision sans aucune mini-anesthésie. Le bébé été ramené à sa mère en pleurs et on lui disait qu'il pleurait parce que sa maman lui avait manqué.

Aujourd'hui, des précautions sont prises.

N'est-ce pas incroyable ?

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Peut-être qu'à un moment, l'enfant n'avait aussi pas assez de place, et que les choses finiront par s'équilibrer ?  

La société passe souvent par des extrêmes opposés avant de se stabiliser...

Il fut un temps où le petit enfant était considéré comme un... objet, en quelque sorte. Même à la maternité, il était censé ne rien ressentir. Une cousine, infirmière, nous a raconté qu'à une certaine époque, quand il y avait une petite bricole à faire sur un nouveau-né, le chirurgien faisait une incision sans aucune mini-anesthésie. Le bébé été ramené à sa mère en pleurs et on lui disait qu'il pleurait parce que sa maman lui avait manqué.

Aujourd'hui, des précautions sont prises.

N'est-ce pas incroyable ?

Effectivement, le temps où on opérait les bébés sans anesthésie n'est pas si vieux. ce n'est pas non plus un temps à regretter !

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Peut-être qu'à un moment, l'enfant n'avait aussi pas assez de place, et que les choses finiront par s'équilibrer ?  

La société passe souvent par des extrêmes opposés avant de se stabiliser...

Il fut un temps où le petit enfant était considéré comme un... objet, en quelque sorte. Même à la maternité, il était censé ne rien ressentir. Une cousine, infirmière, nous a raconté qu'à une certaine époque, quand il y avait une petite bricole à faire sur un nouveau-né, le chirurgien faisait une incision sans aucune mini-anesthésie. Le bébé été ramené à sa mère en pleurs et on lui disait qu'il pleurait parce que sa maman lui avait manqué.

Aujourd'hui, des précautions sont prises.

N'est-ce pas incroyable ?

Effectivement, le temps où on opérait les bébés sans anesthésie n'est pas si vieux. ce n'est pas non plus un temps à regretter !

Heureusement que cela ne se fait plus. Je voulais simplement souligner l'évolution, dans l'exemple dans le bon sens, mais le monde ne sait pas garder le juste milieu dans beaucoup de cap. Il en faut toujours plus.

Par ailleurs, il arrive qu'il faille revenir en arrière en raison des abus : lors de mes opérations de la cataracte, à Metz, j'ai eu droit au VSL pour le jour des opérations. Par contre, il fallait revenir le lendemain pour que le chirurgien vérifie si tout allait bien. Je n'avais évidemment pas le droit de conduire, mais pas de VSL !

C'est dans le juste milieu que se trouve la meilleure solution bien souvent. Mais si la société dans son ensemble a du mal à rester sur ce juste milieu, nous en tant qu'individu, on peut le faire.

Kitara a écrit:

C'est dans le juste milieu que se trouve la meilleure solution bien souvent. Mais si la société dans son ensemble a du mal à rester sur ce juste milieu, nous en tant qu'individu, on peut le faire.

Mouais

Je dirais tout dépend des sujets.

Le juste milieu entre la justice et l'injustice, entre la collaboration et la résistance, etc ?

Cela me fait penser à la chanson de Brassens, mourir pour des idées, que je n'aime pas en fait.

Certains sont morts pour des idées, heureusement pour nous.

Maintenant, il est vrai que dans la vie quotidienne, c'est plus adéquat, se nourrir, flirter, s'amuser, en évitant certains excès, mais sans se priver de tout, etc ...

Morgan Kane a écrit:

Kitara a écrit:

C'est dans le juste milieu que se trouve la meilleure solution bien souvent. Mais si la société dans son ensemble a du mal à rester sur ce juste milieu, nous en tant qu'individu, on peut le faire.

Mouais

Je dirais tout dépend des sujets.

Le juste milieu entre la justice et l'injustice, entre la collaboration et la résistance, etc ?

Cela me fait penser à la chanson de Brassens, mourir pour des idées, que je n'aime pas en fait.

Certains sont morts pour des idées, heureusement pour nous.

Maintenant, il est vrai que dans la vie quotidienne, c'est plus adéquat, se nourrir, flirter, s'amuser, en évitant certains excès, mais sans se priver de tout, etc ...

Tu n'as pas l'air convaincu. Pour moi, entre la justice et l'injustice, il peut parfois y avoir un juste milieu, tant qu'on ne va pas dans les extrêmes, évidemment. Parfois, selon le cas, il faudrait modérer les punitions tandis que, dans d'autres, peut-être même moins graves, il serait bon de sévir plus sérieusement, histoire d'ouvrir les yeux de ceux qui se moquent des institutions tant qu'il n'y a pas punition.

Par contre, collaboration et résistance sont parfaitement opposées et il n'est pas possible d'y trouver un juste milieu.

Est-il plus agréable d'avoir affaire à quelqu'un qui se plaint constamment ou à quelqu'un qui positive avant tout ? Je pense au verre à moitié plein ou à moitié vide !

Nelly a écrit:

"En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d'en faire autant."  [Nelson Mandela]

Est-il plus agréable d'avoir affaire à quelqu'un qui se plaint constamment ou à quelqu'un qui positive avant tout ? Je pense au verre à moitié plein ou à moitié vide !

C'est vrai, la lumière intérieure se voit à l'extérieur. Il y a des gens qui sont solaires et cela est communicatif.

N'est-ce pas une belle théorie de vie ?
Même si elle est exacte, il peut être difficile de s'en accommoder. Certes, certains échecs nous font rebondir, mais parfois, la force manque...

Nelly a écrit:

"Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends."  [Nelson Mandela]

N'est-ce pas une belle théorie de vie ?
Même si elle est exacte, il peut être difficile de s'en accommoder. Certes, certains échecs nous font rebondir, mais parfois, la force manque...

Je connaissais cette phrase et je l'aime beaucoup.

Il n'y a pas forcément besoin de "rebondir", quand on a échoué, on a forcément une expérience en plus, mais on n'est pas forcément obligés de s'y recoller tout de suite.
Il faut laisser les choses se décanter.

mais l'expérience en plus, on l'a quoi qu'on fasse !

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends."  [Nelson Mandela]

N'est-ce pas une belle théorie de vie ?
Même si elle est exacte, il peut être difficile de s'en accommoder. Certes, certains échecs nous font rebondir, mais parfois, la force manque...

Je connaissais cette phrase et je l'aime beaucoup.

Il n'y a pas forcément besoin de "rebondir", quand on a échoué, on a forcément une expérience en plus, mais on n'est pas forcément obligés de s'y recoller tout de suite.
Il faut laisser les choses se décanter.

mais l'expérience en plus, on l'a quoi qu'on fasse !

De toute manière, quelle que soit notre façon de l'appréhender, nous avons tous des échecs, dans notre vie : on l'appelle également l'expérience qui peut être favorable... ou pas. N'importe comment, nous en tirons des leçons et elles ne sont pas négligeables.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends."  [Nelson Mandela]

N'est-ce pas une belle théorie de vie ?
Même si elle est exacte, il peut être difficile de s'en accommoder. Certes, certains échecs nous font rebondir, mais parfois, la force manque...

Je connaissais cette phrase et je l'aime beaucoup.

Il n'y a pas forcément besoin de "rebondir", quand on a échoué, on a forcément une expérience en plus, mais on n'est pas forcément obligés de s'y recoller tout de suite.
Il faut laisser les choses se décanter.

mais l'expérience en plus, on l'a quoi qu'on fasse !

De toute manière, quelle que soit notre façon de l'appréhender, nous avons tous des échecs, dans notre vie : on l'appelle également l'expérience qui peut être favorable... ou pas. N'importe comment, nous en tirons des leçons et elles ne sont pas négligeables.

Cela nous apprend également a être humble et nous permet de réfléchir sur nos actes.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends."  [Nelson Mandela]

N'est-ce pas une belle théorie de vie ?
Même si elle est exacte, il peut être difficile de s'en accommoder. Certes, certains échecs nous font rebondir, mais parfois, la force manque...

Je connaissais cette phrase et je l'aime beaucoup.

Il n'y a pas forcément besoin de "rebondir", quand on a échoué, on a forcément une expérience en plus, mais on n'est pas forcément obligés de s'y recoller tout de suite.
Il faut laisser les choses se décanter.

mais l'expérience en plus, on l'a quoi qu'on fasse !

De toute manière, quelle que soit notre façon de l'appréhender, nous avons tous des échecs, dans notre vie : on l'appelle également l'expérience qui peut être favorable... ou pas. N'importe comment, nous en tirons des leçons et elles ne sont pas négligeables.

Cela nous apprend également a être humble et nous permet de réfléchir sur nos actes.

BRAVO MARIE-JO, c'est exactement ce que tu as toujours fait !

Qui l'est ? Le menteur ou celui à qui on ment ? On dit que les menteurs doivent avoir une bonne mémoire. Ce peut être fatigant !

Nelly a écrit:

"On finit par être las, désespérément las du mensonge."  [Graham Greene]

Qui l'est ? Le menteur ou celui à qui on ment ? On dit que les menteurs doivent avoir une bonne mémoire. Ce peut être fatigant !

Des 2, sans doute : entendre des mensonges ou mentir, au bout d'un moment, ça saoule...

Nelly a écrit:

certains échecs nous font rebondir

Dixit le grand philosophe Rocky Balboa

Est-ce exact à vos yeux ?

Nelly a écrit:

"Remarquez bien que la plupart des choses qui nous font plaisir sont déraisonnables."  [Charles de Montesquieu]

Est-ce exact à vos yeux ?

pas toujours ,on peut être heureux avec peut de chose,ex:le sourrire d un enfant,une musique qui nous plait, un bon petit plat, un mot gentil ou un doux baiser!
par exemple ,mon Giust m a demandé en mariage,un genou a terre avec une belle bague,meme a nos âge je vous assure que cela fait plaisir et ce n est pas déraisonnable

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Remarquez bien que la plupart des choses qui nous font plaisir sont déraisonnables."  [Charles de Montesquieu]

Est-ce exact à vos yeux ?

pas toujours ,on peut être heureux avec peut de chose,ex:le sourrire d un enfant,une musique qui nous plait, un bon petit plat, un mot gentil ou un doux baiser!
par exemple ,mon Giust m a demandé en mariage,un genou a terre avec une belle bague,meme a nos âge je vous assure que cela fait plaisir et ce n est pas déraisonnable    

Mais c'est magique !!!!

Et tu as dit oui ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Remarquez bien que la plupart des choses qui nous font plaisir sont déraisonnables."  [Charles de Montesquieu]

Est-ce exact à vos yeux ?

pas toujours ,on peut être heureux avec peut de chose,ex:le sourrire d un enfant,une musique qui nous plait, un bon petit plat, un mot gentil ou un doux baiser!
par exemple ,mon Giust m a demandé en mariage,un genou a terre avec une belle bague,meme a nos âge je vous assure que cela fait plaisir et ce n est pas déraisonnable    

Mais c'est incroyable ! Il serait juste déraisonnable de faire encore des enfants !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Remarquez bien que la plupart des choses qui nous font plaisir sont déraisonnables."  [Charles de Montesquieu]

Est-ce exact à vos yeux ?

pas toujours ,on peut être heureux avec peut de chose,ex:le sourrire d un enfant,une musique qui nous plait, un bon petit plat, un mot gentil ou un doux baiser!
par exemple ,mon Giust m a demandé en mariage,un genou a terre avec une belle bague,meme a nos âge je vous assure que cela fait plaisir et ce n est pas déraisonnable    

Mais c'est incroyable ! Il serait juste déraisonnable de faire encore des enfants !

alors là.......je rentrerais dans le guiness boek, a 4 mois de mes 80 ans

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Il serait juste déraisonnable de faire encore des enfants !

alors là.......je rentrerais dans le guiness boek, a  4 mois de mes 80 ans

Venant de ta part, plus rien ne me surprend.

Peut-on considérer la vie sous cet angle ?

Nelly a écrit:

"L'erreur est la règle ; la vérité est l'accident de l'erreur."  [Georges Duhamel]

Peut-on considérer la vie sous cet angle ?

J'ai du mal à comprendre. C'est vrai qu'on découvre des choses en faisant parfois des erreurs, en tâtonnant, en expérimentant, mais de là à dire que c'est une règle et que c'est la vérité... bof...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"L'erreur est la règle ; la vérité est l'accident de l'erreur."  [Georges Duhamel]

Peut-on considérer la vie sous cet angle ?

J'ai du mal à comprendre. C'est vrai qu'on découvre des choses en faisant parfois des erreurs, en tâtonnant, en expérimentant, mais de là à dire que c'est une règle et que c'est la vérité... bof...

En le prenant au premier degré, tu as tout à fait raison, mais en grattant un peu...
Depuis notre naissance, nous apprenons. Combien de fois faut-il tomber pour apprendre à avancer ? Par conséquent, on peut peut-être accepter que l'erreur, même anodine, est le début de tout et nous permet de trouver la vérité. Non pas seulement celle qu'on nous explique, mais surtout celle que nous trouvons de notre propre chef.

On peut donner des exemples

Collomb découvrant l'Amérique en croyant arriver en Chine.

Pasteur découvrant la vaccination suite à un oubli.

En Sciences, souvent en s'approche de la vérité en réfutant une théorie en cours.

Est-ce ainsi que vous voyez l'amitié ?

Nelly a écrit:

"Un ami ce n'est pas encombrant. On le laisse quand on trouve mieux."  [Hubert Aquin]

Est-ce ainsi que vous voyez l'amitié ?

Certainement pas !!! Je trouve la réponse évidente.

Manifestement, il s'agit d'une provocation .

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Un ami ce n'est pas encombrant. On le laisse quand on trouve mieux."  [Hubert Aquin]

Est-ce ainsi que vous voyez l'amitié ?

Certainement pas !!! Je trouve la réponse évidente.

Manifestement, il s'agit d'une provocation .

Tu as raison, mais tu ne crois pas que certains prennent quand il en ont besoin et jettent quand ils n'y trouvent plus d'intérêt ? En amitié, on ne compte pas, on donne et on reçoit ; on s'apprécie et on aime qu l'autre soit bien également.

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Un ami ce n'est pas encombrant. On le laisse quand on trouve mieux."  [Hubert Aquin]

Est-ce ainsi que vous voyez l'amitié ?

Certainement pas !!! Je trouve la réponse évidente.

Manifestement, il s'agit d'une provocation .

Tu as raison, mais tu ne crois pas que certains prennent quand il en ont besoin et jettent quand ils n'y trouvent plus d'intérêt ? En amitié, on ne compte pas, on donne et on reçoit ; on s'apprécie et on aime qu l'autre soit bien également.

Ceux qui font ça ne sont pas vraiment des amis...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Un ami ce n'est pas encombrant. On le laisse quand on trouve mieux."  [Hubert Aquin]

Est-ce ainsi que vous voyez l'amitié ?

Certainement pas !!! Je trouve la réponse évidente.

Manifestement, il s'agit d'une provocation .

Tu as raison, mais tu ne crois pas que certains prennent quand il en ont besoin et jettent quand ils n'y trouvent plus d'intérêt ? En amitié, on ne compte pas, on donne et on reçoit ; on s'apprécie et on aime que l'autre soit bien également.

Ceux qui font ça ne sont pas vraiment des amis...

Nous sommes d'accord, mais celui qui l'a écrit semble le voir ainsi et c'est frappant. Je crois qu'il se retrouvera bien seul le jour où il aura besoin d'un vrai ami. Il s'agit surtout d'un bel égoïste puisqu'il jette... celui qui ne lui sert plus.

Je pense vraiment que son point de vue est ironique et critique.

Morgan Kane a écrit:

Je pense vraiment que son point de vue est ironique et critique.

Possible, peut-être s'agit-il d'une conclusion suite à une désillusion par rapport à un non-ami qui lui a joué un sale tour ?

Ce n'est pas faux, à mon avis. Tout dépend du tempérament de chacun. Celui qui se contente de profiter de l'argent dont il dispose ne trouvera jamais la voie qui lui permettrait de découvrir son talent. Je crois que chacun dispose de certains talents ; encore faut-il les découvrir !

Nelly a écrit:

"L'argent ne peut donner le talent, et parfois il peut empêcher d'y atteindre."  [François Coppée]

Ce n'est pas faux, à mon avis. Tout dépend du tempérament de chacun. Celui qui se contente de profiter de l'argent dont il dispose ne trouvera jamais la voie qui lui permettrait de découvrir son talent. Je crois que chacun dispose de certains talents ; encore faut-il les découvrir !

C'est sans doute vrai que quand on n'a pas besoin d'argent, on n'est pas incité à faire des efforts, même si on a du talent. Mais on peut avoir une passion quand même !

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"L'argent ne peut donner le talent, et parfois il peut empêcher d'y atteindre."  [François Coppée]

Ce n'est pas faux, à mon avis. Tout dépend du tempérament de chacun. Celui qui se contente de profiter de l'argent dont il dispose ne trouvera jamais la voie qui lui permettrait de découvrir son talent. Je crois que chacun dispose de certains talents ; encore faut-il les découvrir !

C'est sans doute vrai que quand on n'a pas besoin d'argent, on n'est pas incité à faire des efforts, même si on a du talent. Mais on peut avoir une passion quand même !

ok,mais parfois il faut de l argent pour pouvoir développer son talent,sans argent on ne sait rien commencer!quand a 5 ans ,j ai commencer a dessiner,cela ne coutait que quelques crayons de couleurs mais quand a 12 ans ,j ai commencer l academie
de dessin a Bruxelles, si mes parents n avaitent pas eut les moyens de payer ces cours....,

marie-josé a écrit:

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"L'argent ne peut donner le talent, et parfois il peut empêcher d'y atteindre."  [François Coppée]

Ce n'est pas faux, à mon avis. Tout dépend du tempérament de chacun. Celui qui se contente de profiter de l'argent dont il dispose ne trouvera jamais la voie qui lui permettrait de découvrir son talent. Je crois que chacun dispose de certains talents ; encore faut-il les découvrir !

C'est sans doute vrai que quand on n'a pas besoin d'argent, on n'est pas incité à faire des efforts, même si on a du talent. Mais on peut avoir une passion quand même !

ok,mais parfois il faut de l argent pour pouvoir développer son talent,sans argent on ne sait rien commencer!quand a 5 ans ,j ai commencer a dessiner,cela ne coutait que quelques crayons de couleurs mais quand a 12 ans ,j ai commencer  l academie
de dessin a Bruxelles, si mes parents n avaitent pas eut les moyens de payer ces cours....,

J'ignorais que tu avais pris des cours de dessin, et à l'Académie ! Tu as eu de la chance que tes parents te les aient payés, parce ce que ce ne devait pas être courant, à nos âges. Pour moi, il n'en aurait pas été question. D'ailleurs, on ne m'a jamais demandé dans quelle voie je souhaitais me diriger ; j'ai suivi la voie de ma sœur.

Par contre, quand on a une vraie passion, qu'on n'a pas trop les moyens, je crois qu'on se débrouille à un moment ou un autre pour y accéder, même si ce n'est pas à 12 ans.

Plutôt d'accord ! Celui qui ne donne rien ne recevra rien, même quand il en aura besoin. Notre propre attitude peut se concevoir comme un miroir qui nous renvoie à notre image quand la situation change.

Nelly a écrit:

"L'avare est lui-même la cause de sa misère."  [Publius Syrus]

Plutôt d'accord ! Celui qui ne donne rien ne recevra rien, même quand il en aura besoin. Notre propre attitude peut se concevoir comme un miroir qui nous renvoie à notre image quand la situation change.

Cela vient aussi de ce qu'il se croit pauvre et en souffre, alors qu'il ne l'est pas

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"L'avare est lui-même la cause de sa misère."  [Publius Syrus]

Plutôt d'accord ! Celui qui ne donne rien ne recevra rien, même quand il en aura besoin. Notre propre attitude peut se concevoir comme un miroir qui nous renvoie à notre image quand la situation change.

Cela vient aussi de ce qu'il se croit pauvre et en souffre, alors qu'il ne l'est pas

Penses-tu réellement qu'un radin se croit pauvre ?

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"L'avare est lui-même la cause de sa misère."  [Publius Syrus]

Plutôt d'accord ! Celui qui ne donne rien ne recevra rien, même quand il en aura besoin. Notre propre attitude peut se concevoir comme un miroir qui nous renvoie à notre image quand la situation change.

Cela vient aussi de ce qu'il se croit pauvre et en souffre, alors qu'il ne l'est pas

Penses-tu réellement qu'un radin se croit pauvre ?

un radin amasse des richesse ,et je pense qu'il en est conscient

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"L'avare est lui-même la cause de sa misère."  [Publius Syrus]

Plutôt d'accord ! Celui qui ne donne rien ne recevra rien, même quand il en aura besoin. Notre propre attitude peut se concevoir comme un miroir qui nous renvoie à notre image quand la situation change.

Cela vient aussi de ce qu'il se croit pauvre et en souffre, alors qu'il ne l'est pas

Penses-tu réellement qu'un radin se croit pauvre ?

un radin amasse des richesse ,et je pense qu'il en est conscient

Certains ont peut-être des circonstances atténuantes en fonction de leur passé, mais pas tout un chacun.
Je dirais également qu'un radin peut également être un égoïste.

Pour moi, un radin, un avare se croît pauvre, et c'est pour cela qu'il veut toujours devenir plus riche, qu'il éprouve une peur maladive de dépenser.

Et, bien sûr, le plus souvent, il sera égoïste.

Harpagon est tellement soucieux de donner qu'il prête le bonjour à ceux qu'il rencontre, au lieu de le leur donner, comme cela se faisait à l'époque.

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"L'avare est lui-même la cause de sa misère."  [Publius Syrus]

Plutôt d'accord ! Celui qui ne donne rien ne recevra rien, même quand il en aura besoin. Notre propre attitude peut se concevoir comme un miroir qui nous renvoie à notre image quand la situation change.

Cela vient aussi de ce qu'il se croit pauvre et en souffre, alors qu'il ne l'est pas

Penses-tu réellement qu'un radin se croit pauvre ?

Moi j'en connais, et je peux t'assurer que oui, c'est le cas.

Un radin, c'est avant tout quelqu'un qui a une forme d'anxiété autour de l'argent. Qui a toujours peur de manquer, qui se dit toujours que "on sait jamais". Donc le fait d'accumuler de l'argent, c'est pour lui un soulagement, ça soigne son anxiété.

Mais en fait, plus il a de l'argent, plus il développe une autre anxiété : celle de le perdre. Donc il se crée un gros souci autour de la façon dont il doit placer son argent. Et c'est un vrai souci, c'est pas une blague...

Ceci n'est pas pour excuser la radinerie, mais c'est ce que j'ai eu plusieurs fois l'occasion de constater...