Citations en vrac

Je reprends, sous un angle un peu différent, un fil déjà ouvert et refermé, mais qui m'a fait réfléchir.

Proverbe anglais a écrit:

“La beauté est dans l'œil de celui qui regarde.”

En France, cette phrase est généralement attribuée à Oscar Wilde, mais elle a été exprimée bien avant lui, par différents auteurs, et avec des formulations plus ou moins proches.

Elle a pris rang de proverbe.

L'idée est ancienne, et se rattache à une question philosophique de la Grèce Antique : "La beauté est-elle dans le regard ou dans la chose regardée? "

A mon sens, elle est dans l'œil de celui qui regarde pour une raison essentielle : Chacun voit différemment !

Pour prendre une exemple bateau, les canons de la beauté féminine changent avec le temps, et vue aujourd'hui, la photo ou le portrait de telle beauté fatale du siècle dernier nous laisse froid.

De même, deux hommes regardant la même femme, peuvent avoir des avis divergents.

Ensuite, on peut avoir des raisons subjectives de trouver beau un être humain, un souvenir, un émoi, de la tendresse.

Enfin, l'artiste transcende l'objet par son regard et par son art.

Morgan Kane a écrit:

Je reprends, sous un angle un peu différent, un fil déjà ouvert et refermé, mais qui m'a fait réfléchir.

Proverbe anglais a écrit:

“La beauté est dans l'œil de celui qui regarde.”

En France, cette phrase est généralement attribuée à Oscar Wilde, mais elle a été exprimée bien avant lui, par différents auteurs, et avec des formulations plus ou moins proches.

Elle a pris rang de proverbe.

L'idée est ancienne, et se rattache à une question philosophique de la Grèce Antique : "La beauté est-elle dans le regard ou dans la chose regardée? "

A mon sens, elle est dans l'œil de celui qui regarde pour une raison essentielle : Chacun voit différemment !

Déjà, pour commencer, "les goûts et les couleurs ne se discutent pas", dit-on à juste titre. Et fort heureusement, sinon nous serions tous identiques et ce serait d'une monotone…

Morgan Kane a écrit:

Pour prendre une exemple bateau, les canons de la beauté féminine changent avec le temps, et vue aujourd'hui, la photo ou le portrait de telle beauté fatale du siècle dernier nous laisse froid.

Je crois que c'est surtout l'extérieur qui change, la coiffure, les vêtements… par rapport à la photo. Cela signifierait-il que l'habit fait quand même le moine, parfois ?   Mais il est certain que l'être humain évolue et que nos avis changent. Parfois, nous rejetons des situations à un moment donné pour les trouver normales quelque temps plus tard.

Morgan Kane a écrit:

De même, deux hommes regardant la même femme, peuvent avoir des avis divergents.

"Je ne l'aime pas parce qu'elle est belle, elle est belle parce que je l'aime !" J'aime cette phrase parce qu'elle indique à quel point nous ne regardons pas uniquement l'extérieur de quelqu'un, mais bien davantage.

Morgan Kane a écrit:

Ensuite, on peut avoir des raisons subjectives de trouver beau un être humain, un souvenir, un émoi, de la tendresse.

Enfin, l'artiste transcende l'objet par son regard et par son art.      

Dans ce cas, nous sommes tous des artistes puisque nous voyons chez l'autre des choses qui nous plaisent plus ou moins. Positif ou négatif, c'est forcément l'intérieur qui compte. Quand nous aimons, nous trouvons à l'autre des qualités que d'autres ne verront pas forcément.

Tu veux participer, Ondeline ?

Il s'agit de trouver une citation qui te parle et de la commenter.

Alors c'est à Anémone.

"La nature ne fait pas de cadeau et l'espèce humaine est soumise à ses règles. Si elle ne la respecte pas, elle disparaîtra comme tant d'autres auparavant" (Hubert Reeves)

Hélas, l'homme insensé se croit plus fort que la Nature et se prend pour un dieu. Il malmène la Terre, la souille tout comme il souille l'eau et l'air sans se rendre compte, insensé et vaniteux qu'il est, que ce faisant il mène inexorablement l'humanité à sa perte...

Ondeline a écrit:

"La nature ne fait pas de cadeau et l'espèce humaine est soumise à ses règles. Si elle ne la respecte pas, elle disparaîtra comme tant d'autres auparavant" (Hubert Reeves)

Hélas, l'homme insensé se croit plus fort que la Nature et se prend pour un dieu. Il malmène la Terre, la souille tout comme il souille l'eau et l'air sans se rendre compte, insensé et vaniteux qu'il est, que ce faisant il mène inexorablement l'humanité à sa perte...

et ce depuis des générations… mon fils ( apiculteur ) se bat pour que les dirigeants prennent des dispositions pour sauvegarder les abeilles..Chaque année c'est l'hécatombe dans les rûches..On continue à autoriser des désherbants polluants… Et la liste est longue..

Ondeline a écrit:

"La nature ne fait pas de cadeau et l'espèce humaine est soumise à ses règles. Si elle ne la respecte pas, elle disparaîtra comme tant d'autres auparavant" (Hubert Reeves)

Hélas, l'homme insensé se croit plus fort que la Nature et se prend pour un dieu. Il malmène la Terre, la souille tout comme il souille l'eau et l'air sans se rendre compte, insensé et vaniteux qu'il est, que ce faisant il mène inexorablement l'humanité à sa perte...

N'est-ce pas la solution de facilité ? Pendant des années, tout le monde a ignoré (ou fait semblant) les dégâts causés. Aujourd'hui, l'industrie est toute puissante et mène le monde.

Certes, à notre petit niveau, nous pouvons faire des efforts, mais ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan de la pollution !

anémone a écrit:

Ondeline a écrit:

"La nature ne fait pas de cadeau et l'espèce humaine est soumise à ses règles. Si elle ne la respecte pas, elle disparaîtra comme tant d'autres auparavant" (Hubert Reeves)

Hélas, l'homme insensé se croit plus fort que la Nature et se prend pour un dieu. Il malmène la Terre, la souille tout comme il souille l'eau et l'air sans se rendre compte, insensé et vaniteux qu'il est, que ce faisant il mène inexorablement l'humanité à sa perte...

et ce depuis des générations… mon fils ( apiculteur ) se bat pour que les dirigeants prennent des dispositions pour sauvegarder les abeilles..Chaque année c'est l'hécatombe dans les rûches..On continue à autoriser des désherbants polluants… Et la liste est longue..

Pour ce qui concerne les abeilles, c'est une catastrophe avérée. Pourtant, on en a tellement besoin, abstraction faite du miel qu'elles fabriquent. Quand on sait que le miel des grandes villes polluées est meilleur que celui de nos campagnes, on pourrait pleurer !

Et les légumes que nous achetons, bios ou pas… Bientôt, il nous faudra une liste pour savoir ce qui est encore comestible et acceptable.

On le sait pourtant, que la disparition des abeilles serait une catastrophe planétaire mais que fait-on pour remédier à leur extinction ?? Pas grand chose ou si peu...

Trop d’intérêt financier en jeu, et trop de grosses puissances avides d'en avoir encore plus...
Pour moi, la solution viendra d'une prise de conscience sociale et humaine. Quand on aura compris que l'avenir dépend de notre niveau d'humanité et du fait de construire la société sur cette humanité, on prendra la bonne voie, et la planète aussi. Aujourd'hui ce n'est pas le cas.

Kitara a écrit:

Trop d’intérêt financier en jeu, et trop de grosses puissances avides d'en avoir encore plus...  

Les agriculteurs qui déversent leurs pesticides à tout va ne sont pas de grosses puissances. Pourtant, en se mettant à leur place, on peut comprendre qu'il leur est souvent difficile de revenir en arrière. Au fil du temps, on leur a mis des produits "magiques" à disposition et le rendement s'est amélioré. Or, les nuisibles sont devenus de plus en plus résistants et il a fallu trouver mieux, ou plutôt pire. Ils sont quelques rares à revenir à une agriculture plus propre, et j'espère pour eux qu'ils réussiront à s'en sortir, mais peut-on jeter la pierre aux autres ? Ils travaillent beaucoup, prennent peu de vacances, et on entend beaucoup parler de suicide dans cette filière.

Comment s'en sortir ?

Kitara a écrit:

Pour moi, la solution viendra d'une prise de conscience sociale et humaine. Quand on aura compris que l'avenir dépend de notre niveau d'humanité et du fait de construire la société sur cette humanité, on prendra la bonne voie, et la planète aussi. Aujourd'hui ce n'est pas le cas.

Quand on entend le Président américain demander "Où est le réchauffement de la planète ?" sous prétexte qu'il y a beaucoup de neige, on peut encore se faire du souci, pour la prise de conscience !

A toi, Anémone. Tu es bien silencieuse, en ce moment.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Trop d’intérêt financier en jeu, et trop de grosses puissances avides d'en avoir encore plus...  

Les agriculteurs qui déversent leurs pesticides à tout va ne sont pas de grosses puissances. Pourtant, en se mettant à leur place, on peut comprendre qu'il leur est souvent difficile de revenir en arrière. Au fil du temps, on leur a mis des produits "magiques" à disposition et le rendement s'est amélioré. Or, les nuisibles sont devenus de plus en plus résistants et il a fallu trouver mieux, ou plutôt pire. Ils sont quelques rares à revenir à une agriculture plus propre, et j'espère pour eux qu'ils réussiront à s'en sortir, mais peut-on jeter la pierre aux autres ? Ils travaillent beaucoup, prennent peu de vacances, et on entend beaucoup parler de suicide dans cette filière.

Comment s'en sortir ?

Kitara a écrit:

Pour moi, la solution viendra d'une prise de conscience sociale et humaine. Quand on aura compris que l'avenir dépend de notre niveau d'humanité et du fait de construire la société sur cette humanité, on prendra la bonne voie, et la planète aussi. Aujourd'hui ce n'est pas le cas.

Quand on entend le Président américain demander "Où est le réchauffement de la planète ?" sous prétexte qu'il y a beaucoup de neige, on peut encore se faire du souci, pour la prise de conscience !

Les agriculteurs français sont parmi les plus gros utilisateurs au monde de pesticides et autres produits.

En général, ils dépendent de contrats passés avec des entreprises intégrées qui exigent ces utilisations.

LA FNSEA est depuis longtemps un lobbyiste des industries agro-alimentaires, au détriment des agriculteurs.

Kitara a raison, trop d'intérêts financiers en jeu, Bayern Monsanto, etc. …

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Parfois ne rien dire, écouter les autres, penser sans donner son avis, évite les litiges...

anémone a écrit:

Parfois ne rien dire, écouter les autres, penser sans donner son avis, évite les litiges...

A ce point ? Nous avons des sujets qui fâchent ?

anémone a écrit:

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Euh…, tu as déjà vu un arbre avec des oreilles ?
En même temps, un arbre peut réagir, pleurer… Comment vois-tu les choses ?

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Euh…, tu as déjà vu un arbre avec des oreilles ?
En même temps, un arbre peut réagir, pleurer… Comment vois-tu les choses ?

cela semble idiot, mais j'aime toucher et entourer le tronc d'un arbre, je ne peux pas dire qu'il réagit, mais j'éprouve du bien être. Il ne râle pas, ne contredit pas ..te laisse croire en ses pouvoirs !!

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Euh…, tu as déjà vu un arbre avec des oreilles ?
En même temps, un arbre peut réagir, pleurer… Comment vois-tu les choses ?

cela semble idiot, mais j'aime toucher et entourer le tronc d'un arbre, je ne peux pas dire qu'il réagit, mais j'éprouve du bien être. Il ne râle pas, ne contredit pas ..te laisse croire en ses pouvoirs !!

Et tu as raison, ce n'est pas idiot du tout. Il paraît qu'il faut entourer un arbre de ses bras. Il te transmet son énergie et c'est bénéfique. Pourtant, dans la mesure où il peut être très majestueux, on a parfois l'impression que c'est lui qui a des pouvoirs et que nous sommes minuscules devant tant de force. Mais il faut se souvenir du "Chêne et du roseau" de La Fontaine. Mais tu as raison, rien ne semble le toucher ; il laisse le vent jouer avec ses feuilles et demeure silencieux quand on lui parle, ce qui est loin d'être le cas pour tout le monde.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Euh…, tu as déjà vu un arbre avec des oreilles ?
En même temps, un arbre peut réagir, pleurer… Comment vois-tu les choses ?

cela semble idiot, mais j'aime toucher et entourer le tronc d'un arbre, je ne peux pas dire qu'il réagit, mais j'éprouve du bien être. Il ne râle pas, ne contredit pas ..te laisse croire en ses pouvoirs !!

Ce n'est pas du tout idiot, j'aime aussi beaucoup écouter les arbres, les sentir, lors de grandes ballades en foret, ça me fait un bien fou !

Kitara a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Euh…, tu as déjà vu un arbre avec des oreilles ?
En même temps, un arbre peut réagir, pleurer… Comment vois-tu les choses ?

cela semble idiot, mais j'aime toucher et entourer le tronc d'un arbre, je ne peux pas dire qu'il réagit, mais j'éprouve du bien être. Il ne râle pas, ne contredit pas ..te laisse croire en ses pouvoirs !!

Ce n'est pas du tout idiot, j'aime aussi beaucoup écouter les arbres, les sentir, lors de grandes ballades en foret, ça me fait un bien fou !

Se balader en forêt est super, j'aime aussi. Et ce qu'on écoute, c'est souvent le silence, le bruissement des feuilles dans le vent, mais je n'avais jamais pensé écouter les arbres.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Ecouter comme un arbre vaut mieux que tout.

Jean Chalon

Euh…, tu as déjà vu un arbre avec des oreilles ?
En même temps, un arbre peut réagir, pleurer… Comment vois-tu les choses ?

cela semble idiot, mais j'aime toucher et entourer le tronc d'un arbre, je ne peux pas dire qu'il réagit, mais j'éprouve du bien être. Il ne râle pas, ne contredit pas ..te laisse croire en ses pouvoirs !!

Ce n'est pas du tout idiot, j'aime aussi beaucoup écouter les arbres, les sentir, lors de grandes ballades en foret, ça me fait un bien fou !

Se balader en forêt est super, j'aime aussi. Et ce qu'on écoute, c'est souvent le silence, le bruissement des feuilles dans le vent, mais je n'avais jamais pensé écouter les arbres.

essaie à ta prochaine promenade...Dans un grand silence, entoure l'arbre et écoute en respirant bien à fond.. non tu ne l'entendras pas, c'est ce silence et l'écorce de l'arbre qui te donneront un bien être, pense à du positif..tu ressentiras comme un apaisement ..Chez Mimi ça marche

anémone a écrit:

essaie à ta prochaine promenade...Dans un grand silence, entoure l'arbre et écoute en respirant bien à fond.. non tu ne l'entendras pas, c'est ce silence et l'écorce de l'arbre qui te donneront un bien être, pense à du positif..tu ressentiras comme un apaisement ..Chez Mimi ça marche  

J'y penserai et je penserai à toi, à ce moment-là !

A toi, Kitara.

Citation :

“La douceur est invincible.”
De Marc-Aurèle

Je ne sais pas quoi en penser, c'est surement vrai, mais en tout cas, je trouve que c'est une belle phrase.

Par la douceur, on obtient en principe davantage que par la rudesse, même s'il est vrai que certaines situations imposent qu'il faille faire preuve de fermeté.

Kitara a écrit:

Ondeline a écrit:

Citation :

“La douceur est invincible.”
De Marc-Aurèle

Je ne sais pas quoi en penser, c'est surement vrai, mais en tout cas, je trouve que c'est une belle phrase.

Par la douceur, on obtient en principe davantage que par la rudesse, même s'il est vrai que certaines situations imposent qu'il faille faire preuve de fermeté.

Qui peut lutter contre la douceur ? Que rétorquer quand on s'adresse avec douceur avec toi ?. Certes, on peut la rejeter pour diverses raisons, mais qu'y opposer ? Tout glisse sur elle, même l'agressivité ! Mais il faut que cette douceur soit réelle, pas du faux-semblant, du mielleux.

Peut-on en vouloir à quelqu'un qui n'est que douceur ? Peut-être la mauvaise foi…

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Ondeline a écrit:

Citation :

“La douceur est invincible.”
De Marc-Aurèle

Je ne sais pas quoi en penser, c'est surement vrai, mais en tout cas, je trouve que c'est une belle phrase.

Par la douceur, on obtient en principe davantage que par la rudesse, même s'il est vrai que certaines situations imposent qu'il faille faire preuve de fermeté.

Qui peut lutter contre la douceur ? Que rétorquer quand on s'adresse avec douceur avec toi ?. Certes, on peut la rejeter pour diverses raisons, mais qu'y opposer ? Tout glisse sur elle, même l'agressivité ! Mais il faut que cette douceur soit réelle, pas du faux-semblant, du mielleux.

Peut-on en vouloir à quelqu'un qui n'est que douceur ? Peut-être la mauvaise foi…

il faut croire en la sincérité, mais il y a tant de gens malins pour amadouer. Quand on connait la personne c'est plus facile.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Ondeline a écrit:

Citation :

“La douceur est invincible.”
De Marc-Aurèle

Je ne sais pas quoi en penser, c'est surement vrai, mais en tout cas, je trouve que c'est une belle phrase.

Par la douceur, on obtient en principe davantage que par la rudesse, même s'il est vrai que certaines situations imposent qu'il faille faire preuve de fermeté.

Qui peut lutter contre la douceur ? Que rétorquer quand on s'adresse avec douceur avec toi ?. Certes, on peut la rejeter pour diverses raisons, mais qu'y opposer ? Tout glisse sur elle, même l'agressivité ! Mais il faut que cette douceur soit réelle, pas du faux-semblant, du mielleux.

Peut-on en vouloir à quelqu'un qui n'est que douceur ?  Peut-être la mauvaise foi…

il faut croire en la sincérité, mais il y a tant de gens malins pour amadouer. Quand on connait la personne c'est plus facile.

Effectivement, il faut veiller à ne pas se laisser prendre par de belles paroles… avec des arrière-pensées. Non, je pensais seulement à la douceur réelle. Je crois qu'on la sent, quand elle est authentique.

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Ondeline a écrit:

Citation :

“La douceur est invincible.”
De Marc-Aurèle

Je ne sais pas quoi en penser, c'est surement vrai, mais en tout cas, je trouve que c'est une belle phrase.

Par la douceur, on obtient en principe davantage que par la rudesse, même s'il est vrai que certaines situations imposent qu'il faille faire preuve de fermeté.

Qui peut lutter contre la douceur ? Que rétorquer quand on s'adresse avec douceur avec toi ?. Certes, on peut la rejeter pour diverses raisons, mais qu'y opposer ? Tout glisse sur elle, même l'agressivité ! Mais il faut que cette douceur soit réelle, pas du faux-semblant, du mielleux.

Peut-on en vouloir à quelqu'un qui n'est que douceur ?  Peut-être la mauvaise foi…

il faut croire en la sincérité, mais il y a tant de gens malins pour amadouer. Quand on connait la personne c'est plus facile.

Effectivement, il faut veiller à ne pas se laisser prendre par de belles paroles… avec des arrière-pensées. Non, je pensais seulement à la douceur réelle. Je crois qu'on la sent, quand elle est authentique.

la douceur sincère arrive à mater les plus agressifs,et parfois mème les plus dangereux ,car en chacun de nous ,il y a une part de bon qui remonte par la douceur qu'on lui oppose.

A toi, Marie-Jo.

Morgan ?

"Lorsque je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand.
J'ai répondu : "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie". (John Lennon)

Ondeline a écrit:

"Lorsque je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand.
J'ai répondu : "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie". (John Lennon)

Et qu'en penses-tu, toi ?

ton bonheur ne dépend pas des autres ,mais de toi-même

anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Ondeline a écrit:

"Lorsque je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand.
J'ai répondu : "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie". (John Lennon)

Cette phrase est superbe, elle n'est probablement pas de Lennon, mais peu importe.

Elle met l'accent sur l'importance de l'être, par rapport au faire.

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres ,mais de toi-même

anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Cette seconde phrase renvoie à Sartre. Or, pour Sartre, nous sommes définis par nos actes.

Joli contraste. Je penche du coté de Sartre, mais je pense qu'être heureux est essentiel…

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres ,mais de toi-même

anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Tu ne crois pas que nous y avons souvent une petite part également ?

Morgan Kane a écrit:

Ondeline a écrit:

"Lorsque je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand.
J'ai répondu : "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie". (John Lennon)

Cette phrase est superbe, elle n'est probablement pas de Lennon, mais peu importe.

Elle met l'accent sur l'importance de l'être, par rapport au faire.

Mais pour être, ne faut-il pas faire ? Les deux ne sont-ils pas indissociables ?

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres mais de toi-même
anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Tu ne crois pas que nous y avons souvent une petite part également ?

Une grosse part même, pour ne pas dire la part la plus grosse.

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Ondeline a écrit:

"Lorsque je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand.
J'ai répondu : "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie". (John Lennon)

Cette phrase est superbe (...) Elle met l'accent sur l'importance de l'être, par rapport au faire.

Mais pour être, ne faut-il pas faire ? Les deux ne sont-ils pas indissociables ?

Si l'on est, on fait et selon qui l'on est, on fait ceci ou cela, comme ceci ou comme cela.

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres mais de toi-même
anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Tu ne crois pas que nous y avons souvent une petite part également ?

Une grosse part même, pour ne pas dire la part la plus grosse.

Pas certaine que ce soit toujours le cas. Pense au harcèlement, par exemple. Tellement de gens semblent en souffrir. Il provient nettement des autres. Il faudrait se sentir suffisamment puissant pour ne pas devoir en souffrir.

Nelly a écrit:

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres mais de toi-même
anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Tu ne crois pas que nous y avons souvent une petite part également ?

Une grosse part même, pour ne pas dire la part la plus grosse.

Pas certaine que ce soit toujours le cas. Pense au harcèlement, par exemple. Tellement de gens semblent en souffrir. Il provient nettement des autres. Il faudrait se sentir suffisamment puissant pour ne pas devoir en souffrir.

il n'y a pas que cela! ….simplement quand les gens ne font pas leur boulot correctement cela peut engendrer bien des problèmes,ou qu'ils vous snobent,ou même vous igniorent ,bien que là,c'est moins contraignant, les ignorer est alors facile

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres mais de toi-même
anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Tu ne crois pas que nous y avons souvent une petite part également ?

Une grosse part même, pour ne pas dire la part la plus grosse.

Pas certaine que ce soit toujours le cas. Pense au harcèlement, par exemple. Tellement de gens semblent en souffrir. Il provient nettement des autres. Il faudrait se sentir suffisamment puissant pour ne pas devoir en souffrir.

il n'y a pas que cela! ….simplement quand les gens ne font pas leur boulot correctement cela peut engendrer bien des problèmes,ou qu'ils vous snobent,ou même vous igniorent ,bien que là,c'est moins contraignant, les ignorer est alors facile

Pour moi ce que vous citez n'est pas en lien avec le bonheur. Ne pas avoir de contrariétés, même si elles viennent des autres, cela ne garanti en aucun cas le bonheur. Et on peut très bien être heureux même si on a des soucis. Il y a peut être une limite mais elle est très haute. Par exemple je peux comprendre que quelqu'un à qui on vient d'annoncer une maladie mortelle a du mal à être heureux. Par contre on peut tout à fait être heureux dans un contexte de harcèlement, même si ce n'est pas facile. D'ailleurs en général, les personnes qui savent pratiquer le bonheur intérieur sont bien moins la cible de harceleurs, ça les rend bien moins fragile.

Pour moi le bonheur vient complètement de soi, et c'est parce qu'on imagine qu'il vient des autres qu'on a du mal à y accéder ! La première démarche est de le décider au fond de soi. Une fois que ça c'est fait, le reste vient beaucoup plus facilement. Mais cette première démarche est parfois difficile,même si ça marche vraiment.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

ton bonheur ne dépend pas des autres mais de toi-même
anonyme

oui mais l'enfer lui vient souvent des autres hélas

Tu ne crois pas que nous y avons souvent une petite part également ?

Une grosse part même, pour ne pas dire la part la plus grosse.

Pas certaine que ce soit toujours le cas. Pense au harcèlement, par exemple. Tellement de gens semblent en souffrir. Il provient nettement des autres. Il faudrait se sentir suffisamment puissant pour ne pas devoir en souffrir.

il n'y a pas que cela! ….simplement quand les gens ne font pas leur boulot correctement cela peut engendrer bien des problèmes,

Comme tu es en lien avec des hôpitaux et autres soins, j'imagine qu'il peut t'arriver des problèmes qui y sont liés. J'avoue qu'il peut être exaspérant d'être confronté à des situations difficiles et qu'on ne peut pas maîtriser soi-même. Cela peut empoisonner l'existence.

marie-josé a écrit:

ou qu'ils vous snobent,

Ceux qui nous snobent ne méritent pas qu'on s'intéresse à eux. Cela peut faire mal de se sentir snobé, parce que cela donne une impression désagréable, que l'autre nous considère comme moins que lui, mais il faudrait pouvoir passer au-dessus de tout ça. Je pense d'ailleurs que toi, tu sais bien le faire.

marie-josé a écrit:

ou même vous igniorent ,bien que là,c'est moins contraignant, les ignorer est alors facile

Quand ils nous ignorent, c'est un peu comme quand ils nous snobent. Effectivement, la meilleure solution est d'en faire de même. On ne peut pas plaire à tout le monde.

Kitara a écrit:

Pour moi ce que vous citez n'est pas en lien avec le bonheur. Ne pas avoir de contrariétés, même si elles viennent des autres, cela ne garanti en aucun cas le bonheur. Et on peut très bien être heureux même si on a des soucis. Il y a peut être une limite mais elle est très haute.

Tant qu'on peut gérer soi-même ces contrariétés, les problèmes sont relativement négligeables. Bien sûr qu'on peut vivre avec des soucis, mais à condition qu'ils n'aient pas d'impact sur notre moral. Peut-on être heureux quand on a perdu le moral ?  

Kitara a écrit:

 Par exemple je peux comprendre que quelqu'un à qui on vient d'annoncer une maladie mortelle a du mal à être heureux. Par contre on peut tout à fait être heureux dans un contexte de harcèlement, même si ce n'est pas facile. D'ailleurs en général, les personnes qui savent pratiquer le bonheur intérieur sont bien moins la cible de harceleurs, ça les rend bien moins fragile.

Tout dépend de la personne. As-tu entendu parler du nombre de suicides de jeunes, ou moins jeunes d'ailleurs ? Ils souffrent réellement !

Kitara a écrit:

Pour moi le bonheur vient complètement de soi, et c'est parce qu'on imagine qu'il vient des autres qu'on a du mal à y accéder ! La première démarche est de le décider au fond de soi. Une fois que ça c'est fait, le reste vient beaucoup plus facilement. Mais cette première démarche est parfois difficile, même si ça marche vraiment.

Il semble que tu aies fait un gros travail sur toi et tu sembles avoir réussi à régler tes conflits intérieurs. C'est génial, mais tout un chacun, même en essayant de s'en donner les moyens, n'y arrive pas. Certains font même un déni du besoin de se faire aider. Ils partent du principe qu'ils n'en ont pas besoin. Quand tu parles de psy à certains, ils te répondront qu'ils ne sont pas fous.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Pour moi ce que vous citez n'est pas en lien avec le bonheur. Ne pas avoir de contrariétés, même si elles viennent des autres, cela ne garanti en aucun cas le bonheur. Et on peut très bien être heureux même si on a des soucis. Il y a peut être une limite mais elle est très haute.

Tant qu'on peut gérer soi-même ces contrariétés, les problèmes sont relativement négligeables. Bien sûr qu'on peut vivre avec des soucis, mais à condition qu'ils n'aient pas d'impact sur notre moral. Peut-on être heureux quand on a perdu le moral ?  

Je crois que c'est possible car dans la perte de moral, il est aussi possible de se dire : j'accepte de perdre le moral parce que j'ai de vrais soucis, je fais ce que je peux et je fais au mieux, et le reste n'est pas à ma main. Dans une approche comme celle là, on peut penser être heureux même si on a des soucis.
J'ai traversé une période difficile il y a quelques années, un mari qui avait sombré dans l'alcoolisme, violent, je n'avais pas de boulot et mes 3 enfants étaient petits. Ca a été compliqué et là, j'ai vraiment eu des soucis et j'aurais pu me retrouver à la rue. Avec le recul, j'ai fait un pas après l'autre, et je m'en suis sortie. Mais l'anxiété de ne pas savoir si j'allais m'en sortir était très présente. Mais maintenant, je me rend compte que j'étais quand même heureuse : chaque moment de partage avec mes enfants avait une toute autre saveur, et quand j'ai trouvé un travail, j'y suis vraiment allée avec le plus grand bonheur. Pourtant je ne peux pas vraiment considérer que j'avais le moral, j'avais l'impression d'avoir une montagne infranchissable à gravir.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

 Par exemple je peux comprendre que quelqu'un à qui on vient d'annoncer une maladie mortelle a du mal à être heureux. Par contre on peut tout à fait être heureux dans un contexte de harcèlement, même si ce n'est pas facile. D'ailleurs en général, les personnes qui savent pratiquer le bonheur intérieur sont bien moins la cible de harceleurs, ça les rend bien moins fragile.

Tout dépend de la personne. As-tu entendu parler du nombre de suicides de jeunes, ou moins jeunes d'ailleurs ? Ils souffrent réellement !

Je n'en doute pas mais je crois aussi que la notion de souffrance peut être indépendante  du bonheur. Mais bien sur, dans ces cas extrèmes, ce n'est pas facile du tout, et je comprends parfaitement qu'on n'y arrive pas.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Pour moi le bonheur vient complètement de soi, et c'est parce qu'on imagine qu'il vient des autres qu'on a du mal à y accéder ! La première démarche est de le décider au fond de soi. Une fois que ça c'est fait, le reste vient beaucoup plus facilement. Mais cette première démarche est parfois difficile, même si ça marche vraiment.

Il semble que tu aies fait un gros travail sur toi et tu sembles avoir réussi à régler tes conflits intérieurs. C'est génial, mais tout un chacun, même en essayant de s'en donner les moyens, n'y arrive pas. Certains font même un déni du besoin de se faire aider. Ils partent du principe qu'ils n'en ont pas besoin. Quand tu parles de psy à certains, ils te répondront qu'ils ne sont pas fous.

Je ne sais pas si j'ai fait un gros travail sur moi, en tout cas, cela n'a pas été une volonté spécifique. Ma seule volonté, celle que j'ai depuis toute jeune, c'est de devenir très vieille et très sage. C'est un peu mon fil conducteur. Le reste se fait tout seul.

Je ne doute pas que plein de personnes vont avoir plein de raisons pour ne pas aborder le bonheur par le biais, et chacun en porte la responsabilité. Je n'ai de leçon à donner à personne, bien sur. Mais je crois que c'est plus important de se poser les bonnes questions plutôt que de chercher les situations potentielles où on pourrait considérer comme "normal" le fait de ne pas être heureux. Ca revient un peu à chercher des "excuses" pour ne pas accéder au bonheur. Ce n'est pas la bonne approche à mon sens.

Par contre, dans une situation normale et en dehors des cas extrêmes, je trouve que c'est une bonne chose d'avoir une approche du bonheur qui prend en compte le fait qu'il ne vient pas des autres, mais de soi. Rien que ça, c'est déjà un grand pas en avant, et c'est tout à fait possible dans la majorité des situations. Mais c'est une volonté propre et personnelle qu'on décide ou pas d'activer.

Kitara a écrit:

. Avec le recul, j'ai fait un pas après l'autre, et je m'en suis sortie. Mais l'anxiété de ne pas savoir si j'allais m'en sortir était très présente. Mais maintenant, je me rend compte que j'étais quand même heureuse : chaque moment de partage avec mes enfants avait une toute autre saveur, et quand j'ai trouvé un travail, j'y suis vraiment allée avec le plus grand bonheur. Pourtant je ne peux pas vraiment considérer que j'avais le moral, j'avais l'impression d'avoir une montagne infranchissable à gravir.

Tu me fais penser à un autre de nos membres, très absent en ce moment : Grand Pierre. Il ne s'en cache pas, je peux donc en parler librement. Suite à un accident très grave, il s'est retrouvé à l'hôpital puis en rééducation pendant des mois. Il porte une prothèse et vit très bien avec. Ce qui est surprenant, c'est qu'il a avoué un jour vivre beaucoup mieux aujourd'hui qu'avant cet accident.

Quand on dit que ce qui ne tue pas rend plus fort ? Après, j'ignore si tout le monde peut réagir ainsi.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

. Avec le recul, j'ai fait un pas après l'autre, et je m'en suis sortie. Mais l'anxiété de ne pas savoir si j'allais m'en sortir était très présente. Mais maintenant, je me rend compte que j'étais quand même heureuse : chaque moment de partage avec mes enfants avait une toute autre saveur, et quand j'ai trouvé un travail, j'y suis vraiment allée avec le plus grand bonheur. Pourtant je ne peux pas vraiment considérer que j'avais le moral, j'avais l'impression d'avoir une montagne infranchissable à gravir.

Tu me fais penser à un autre de nos membres, très absent en ce moment : Grand Pierre. Il ne s'en cache pas, je peux donc en parler librement. Suite à un accident très grave, il s'est retrouvé à l'hôpital puis en rééducation pendant des mois. Il porte une prothèse et vit très bien avec. Ce qui est surprenant, c'est qu'il a avoué un jour vivre beaucoup mieux aujourd'hui qu'avant cet accident.

Quand on dit que ce qui ne tue pas rend plus fort ? Après, j'ignore si tout le monde peut réagir ainsi.

On ne sait jamais comment on peut réagir face à des grandes difficultés, et je crois q'on ne peut pas le présumer. La résilience ne s'anticipe pas !

Morgan, je crois que c'est à toi.

Emmanuel Kant a écrit:

Par le mariage la femme devient libre ; par lui, l'homme perd sa liberté.

Comme quoi un philosophe majeur peut être approximatif dans ses propos….

Il n'y a pas si longtemps, les féministes définissaient le mariage comme de la prostitution légale.  

Ce qui est vrai est, qu'à son époque, le mariage était la seule manière honorable pour une femme de s'émanciper du carcan familial. Mais la femme mariée était une mineure légale.

Aujourd'hui, je dirais que, pour l'homme comme pour la femme, le mariage revient à échanger certaines libertés, pour la construction d'une vie et d'un avenir commun.

Morgan Kane a écrit:

Emmanuel Kant a écrit:

Par le mariage la femme devient libre ; par lui, l'homme perd sa liberté.

Comme quoi un philosophe majeur peut être approximatif dans ses propos….

Il n'y a pas si longtemps, les féministes définissaient le mariage comme de la prostitution légale.  

Ce qui est vrai est, qu'à son époque, le mariage était la seule manière honorable pour une femme de s'émanciper du carcan familial. Mais la femme mariée était une mineure légale.

Aujourd'hui, je dirais que, pour l'homme comme pour la femme, le mariage revient à échanger certaines libertés, pour la construction d'une vie et d'un avenir commun.

C'est plus le fait d'être en couple qui fait qu'on échange ces libertés contre un avenir commun. Je ne l'avais jamais vu comme ça, mais la notion de couple et de fidélité, c'est bien une forme d'échange comme celui que tu décris, je trouve cette définition plutôt pas mal.

Le mariage, après tout, ce n'est qu'une signature...