Citations en vrac 6/2012

Comment peut-on le comprendre ?

Nelly a écrit:

"Etre veut dire présence." [Mark Twain]

Comment peut-on le comprendre ?

être c'est exister..donc savoir écouter, agir, seconder, conseiller , se rendre disponible,etc....

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Etre veut dire présence." [Mark Twain]

Comment peut-on le comprendre ?

être c'est exister..donc savoir écouter, agir, seconder, conseiller , se rendre disponible,etc....

Je fais une différence entre être et exister. Tout ce que tu énumères me fait penser à "exister". Mais "être" ?

Je le comprends pour soi-même, pas forcément dans l'action. Être, ne serait-ce pas plutôt se sentir bien, à sa place, au bon moment au bon endroit ? Je m'interroge. Certaines personnes peuvent être physiquement quelque part sans pour autant y être présentes dans leur tête.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Etre veut dire présence." [Mark Twain]

Comment peut-on le comprendre ?

être c'est exister..donc savoir écouter, agir, seconder, conseiller , se rendre disponible,etc....

Je fais une différence entre être et exister. Tout ce que tu énumères me fait penser à "exister". Mais "être" ?

Je le comprends pour soi-même, pas forcément dans l'action. Être, ne serait-ce pas plutôt se sentir bien, à sa place, au bon moment au bon endroit ? Je m'interroge. Certaines personnes peuvent être physiquement quelque part sans pour autant y être présentes dans leur tête.

être pour un humain est fait sentiments divers, comment vivre parmi ses semblables en les ignorant ?

Je ne pense pas que ce soit un état permanent. Ca peut être différent suivant l'endroit où l'on se trouve, chez qui on est. Quand nous nous sentons totalement en phase avec ceux et ce qui nous entourent, nous sommes plus facilement "présents", même s'il nous est possible d'avoir également des "absences" momentanées.

anémone a écrit:

Rime a ce " don " bien souvent il est là...et si absent , perdu dans ses pensées...mais c'est un peu le " défaut " des poètes !!!

Tu ne crois pas que ça arrive à tout le monde ? Suivant les activités que nous avons, les uns et les autres, il nous arrive de rester un peu plongés dans notre vécu... Je sais que ça m'arrive également, sans être poète pour autant.

Un nouveau phénomène déconcertant, à ce propos, les mobiles et les écouteurs dans les oreilles surtout chez les plus jeunes.

Colombe a écrit:

Nelly a écrit:

"Etre veut dire présence." [Mark Twain]

Comment peut-on le comprendre ?

Je pense surtout que ça part du «être là», être présent pour ses proches et ses amis. Savoir qu'on peut compter sur eux quoi qu'il arrive. C'est rare d'avoir beaucoup de personnes sur qui on peut toujours compter dans son entourage.

Je fais une différence entre "être" et "être là". "Etre là" convient à la définition que tu donnes. Par contre, être, c'est plutôt "exister intérieurement", vibrer, se sentir bien, à sa place.

stip a écrit:

Un nouveau phénomène déconcertant, à ce propos, les mobiles et les écouteurs dans les oreilles surtout chez les plus jeunes.

Ceux qui vivent ainsi correspondent peut-être à "être", mais pas à "être là". En effet, ils sont partout, sauf là où l'on les voit !

A titre d'exemple, on peut citer le téléphone au volant. Il est totalement exact qu'il est difficile de se concentrer sur la route tout en téléphonant. On ne peut pas être ici et ailleurs.

Peut-on essayer de faire le bonheur de tous les hommes ? Essayer celui de chacun ?

Nelly a écrit:

« Ce qui m'intéresse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun. » [Boris Vian]

Peut-on essayer de faire le bonheur de tous les hommes ? Essayer celui de chacun ?

Je perçois à cette citation que Vian avait compris que l'épanouissement de chacun ne passait pas par les même chemins et que l'idée en était fondamentale.
Tout homme qui tente de faire entrer autrui dans le moule de ce qui est le bonheur à ses yeux, fait fausse route. Nul bonheur sans liberté, ni tolérance. Voici ce que j'y comprends.
Après..... On peut y mettre des bémols.
Les gens,à moins d'aimer être seuls ou de se replier sur un cercle fermé, peuvent-ils collaborer plutôt que de finir par s'affronter, quand ils sont trop différents les uns des autres et qu'ils n'ont aucune valeur commune. C'est la premiēre question qui se pose à toute société ouverte.

stip a écrit:

Nelly a écrit:

« Ce qui m'intéresse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun. » [Boris Vian]

Peut-on essayer de faire le bonheur de tous les hommes ? Essayer celui de chacun ?

Je perçois à cette citation que Vian avait compris que l'épanouissement de chacun ne passait pas par les même chemins et que l'idée en était fondamentale.
Tout homme qui tente de faire entrer autrui dans le moule de ce qui est le bonheur à ses yeux, fait fausse route. Nul bonheur sans liberté, ni tolérance. Voici ce que j'y comprends.
Après..... On peut y mettre des bémols.

Merci. Les commentaires des autres m'ouvrent toujours de nouveaux horizons.

Pour ma part, je me disais que personne ne pouvait toucher tout le monde (trop vaste). Par contre, se préoccuper de ceux que nous côtoyons en s'occupant d'eux est déjà pas mal. Cela demande effectivement beaucoup de tolérance...

stip a écrit:

Les gens,à moins d'aimer être seuls ou de se replier sur un cercle fermé, peuvent-ils collaborer plutôt que de finir par s'affronter, quand ils sont trop différents les uns des autres et qu'ils n'ont aucune valeur commune. C'est la première question qui se pose à toute société ouverte.

Comme ce serait bien si tout un chacun avait une telle ouverture d'esprit.

"L'attente paraît courte une fois qu'elle a pris fin"-

ça, c'est ben vrai

Brumes a écrit:

"L'attente paraît courte une fois qu'elle a pris fin" -

ça, c'est ben vrai

En voilà une lapalissade ! Sauf quand il y a un soufflé dans le four et qu'il s'est cassé la figure en attendant l'arrivée des invités !

Plus sérieusement, quand on est inquiet, le temps est interminable, mais quand arrive la bonne nouvelle, tout est immédiatement oublié !

Ca vous parle ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Être inerte c'est être battu." [Claude Aveline]

Ca vous parle ?

C'est certain qu'on vit dans un monde assez égoïste ou chacun doit se défendre, lutter. Pour arriver, dans beaucoup de domaines, il ne faut pas rester inactif.

Est-ce parce que le monde est égoïste ou tout simplement parce qu'il faut se battre pour vivre et exister ? Je pense que ça a existé de tous temps. On ne peut pas laisser d'autres s'activer pour soi-même : il est nécessaire de travailler pour vivre et même pour donner son opinion, dans certains cas.

Ne pas s'activer et rester inerte entre pour moi dans le cadre de l'assistanat. Or, si on accepte l'assistanat à long terme, il faut en accepter les revers, c'est-à-dire être battu, dans le cadre de la citation.

déjà, l'inertie nous empêche de réagir, donc si une attaque vient ,on est battu d'avance; et c'est ainsi pour toute chose qui se présente, sans réaction de notre part, il est impossible de fonctionner convenablement dans la société et oui alors on est un loser!

marie-josé a écrit:

déjà, l'inertie nous empêche de réagir, donc si une attaque vient ,on est battu d'avance;

C'est vrai, mais certains aiment se laisser vivre et sont surpris quand ça ne se passe pas comme ils l'aimeraient !

marie-josé a écrit:

et c'est ainsi pour toute chose qui se présente, sans réaction de notre part, il est impossible de fonctionner convenablement dans la société et oui alors on est un loser!

En même temps, comment obtenir ce qu'on souhaite sans participer à rien ? Ca me paraît inconcevable !

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

déjà, l'inertie nous empêche de réagir, donc si une attaque vient ,on est battu d'avance;

C'est vrai, mais certains aiment se laisser vivre et sont surpris quand ça ne se passe pas comme ils l'aimeraient !

marie-josé a écrit:

et c'est ainsi pour toute chose qui se présente, sans réaction de notre part, il est impossible de fonctionner convenablement dans la société et oui alors on est un loser!

En même temps, comment obtenir ce qu'on souhaite sans participer à rien ? Ca me paraît inconcevable !

attention!, c'est souvent ceux là qui sont les plus exigeants dans leur attentes

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

déjà, l'inertie nous empêche de réagir, donc si une attaque vient ,on est battu d'avance;

C'est vrai, mais certains aiment se laisser vivre et sont surpris quand ça ne se passe pas comme ils l'aimeraient !

marie-josé a écrit:

et c'est ainsi pour toute chose qui se présente, sans réaction de notre part, il est impossible de fonctionner convenablement dans la société et oui alors on est un loser!

En même temps, comment obtenir ce qu'on souhaite sans participer à rien ? Ca me paraît inconcevable !

attention!, c'est souvent ceux là qui sont les plus exigeants dans leur attentes

C'est exactement ça et j'avoue avoir du mal à accepter de telles personnes.

Ce qui m'étonne dans cette citation, c'est de mettre en parallèle l'idée d'inertie et celle d'un échec .
L'inertie est l'absence de mouvement, je perçois l'idée avant tout comme physique.
Certains brassent de l'air pour n'arriver à rien.
Gandhi utilisait l'inertie pour contester...... Affaire culturelle que le mouvement.
Deux contre exemples me viennent à l'esprit justement.... Le sommeil, la méditation...

stip a écrit:

Ce qui m'étonne dans cette citation, c'est de mettre en parallèle l'idée d'inertie et celle d'un échec .
L'inertie est l'absence de mouvement, je perçois l'idée avant tout comme physique.

Ce peut être physique, mais pas uniquement. Pour moi, demeurer inerte, c'est ne pas réagir, se laisser vivre, se laisser faire... Or, de tous temps, il a fallu se battre pour vivre, pour manger. Attendre que tout arrive est pour moi de l'inertie et je le vois en négatif.

stip a écrit:

Certains brassent de l'air pour n'arriver à rien.

Là, tu vas dans l'excès inverse. Il faut évidemment agir intelligemment. Je ne suis même pas certaine que ceux qui brassent de l'air agissent pour autant : ils sont parfois aussi inertes que ceux qui demeurent apathiques.

stip a écrit:

Gandhi utilisait l'inertie pour contester...... Affaire culturelle que le mouvement.

Mais il s'agissait d'une réaction tout à fait contraire à l'inertie : c'était une stratégie compréhensible !

stip a écrit:

Deux contre exemples me viennent à l'esprit justement.... Le sommeil, la méditation...

Et la méditation engendrerait l'inertie ? Momentanément, peut-être, mais pas sur la durée. Je ne pense pas.

Et vous ?

Nelly a écrit:

"Dans la simple politesse je suis gêné. Je ne suis capable que d'enthousiasme." [Jacques Chardonne]

Et vous ?

ah! tout à fait moi

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Dans la simple politesse je suis gêné. Je ne suis capable que d'enthousiasme." [Jacques Chardonne]

Et vous ?

pas trop compris..

Ma foi, nous nous trouvons parfois dans un milieu que nous sentons plus ou moins bien. Disons, que nous nous sentons parfois déplacés, même si c'est souvent le fruit de notre imagination. Tout ce qui est nouveau est difficile. Il faut donc faire preuve d'un minimum de politesse, mais avec de la gêne, donc sans enthousiasme, les deux étant plus ou moins incompatibles.

anémone a écrit:

mais étant d'un naturel renfermé, je suis mal à l'aise en société, polie certes...mais peu enthousiaste pour me défouler !!!

Tu résumes parfaitement la situation. Pourtant, je suis persuadée que tu te sous-estimes. Confrontée au même public dans d'autres circonstances, tu te sentirais parfaitement à l'aise, notamment quand tu faisais ton job : tu en voyais certainement de toutes les couleurs et de différents milieux sociaux, des gens aimables ou d'autres imbus de leur personne. Ca ne te mettait pas mal à l'aise.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Dans la simple politesse je suis gêné. Je ne suis capable que d'enthousiasme." [Jacques Chardonne]

Et vous ?

ah! tout à fait moi

Toi, par contre, tu es totalement différente : à l'aise partout, c'est bien simple ! Il t'arrive parfois d'être gênée ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Dans la simple politesse je suis gêné. Je ne suis capable que d'enthousiasme." [Jacques Chardonne]

Et vous ?

pas trop compris..mais étant d'un naturel renfermé, je suis mal à l'aise en société, polie certes...mais peu enthousiaste pour me défouler !!!

Tout comme anémone, même si je ne suis pas renfermée, mon enthousiasme ou mes compliments ne peuvent être que sincères.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Dans la simple politesse je suis gêné. Je ne suis capable que d'enthousiasme." [Jacques Chardonne]

Et vous ?

ah! tout à fait moi

Toi, par contre, tu es totalement différente : à l'aise partout, c'est bien simple ! Il t'arrive parfois d'être gênée ?

mais bien entendu!

des situations embarassantes peuvent me mettre très mal àl'aise ne t'en déplaise.
Mais ,il est vrai que je sais vite reprendre pied.

Je me doute bien que ça t'arrive, mais, comme tu dis, tu reprends pied facilement, ce qui fait qu'on ne se doute pas forcément que tu étais mal à l'aise. Je parle évidemment de situations normales, pas de cas extrêmes.

marie-josé a écrit:

Ceci dit, l'impolitesse est quelque chose que je ne supporte pas et là, je peu être assez virulente.
Tu ne me surprendras pas a être mal élevée ou a dire des gros mots, bien que j'aime taquiner et la bonne rigolade, elle ne sera jamais en bas de la ceinture.
Rire oui, mais rester correct c'est mieux!

C'est OK. Moi, il m'arrive de dire un gros mot à... mon ordinateur par exemple, ou autre engin qui n'en fait qu'à sa tête. Ca me défoule sans faire de mal à quiconque. Après tout, il n'y a pas de mal à se faire du bien !

stip a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Dans la simple politesse je suis gêné. Je ne suis capable que d'enthousiasme." [Jacques Chardonne]

Et vous ?

pas trop compris..mais étant d'un naturel renfermé, je suis mal à l'aise en société, polie certes...mais peu enthousiaste pour me défouler !!!

Tout comme anémone, même si je ne suis pas renfermée, mon enthousiasme ou mes compliments ne peuvent être que sincères.

Pour moi, l'auteur ne parle pas de mensonges. Il dit simplement qu'il lui est difficile d'être enthousiate s'il est gêné, ce qui m'apparaît normal, sauf à faire du vent.

Brumes a écrit:

Quand on est obligé de côtoyer du monde
soit par un métier "direct" -comme tous commerçants-
soit par des obligations de réception...

il faut bien faire face et agir un peu en f... c...User de diplomatie par la force des choses.

Ah ces fichues obligations ! Bienheureux qui peut s'en passer, comme Stip, apparemment.

Brumes a écrit:

C'est différent quand il s'agit de réunions amicales (!). Néanmoins, la politesse impose certaines règles.
Si on accepte l' invitation d'une connaissance il faut assumer jusqu'au bout, sans en faire trop, mais il y a un minimum.

Dans le cercle amical, il n'y a effectivement pas de soucis : tout en restant nature autant que faire se peut, il m'arrive quand même de ne pas vouloir ennuyer les autres, lorsque j'ai une migraine, par exemple. Je fais contre mauvaise fortune bon coeur. Combien de fois ai-je pris sur moi pour ne rien gâcher !

Comment l'interpréter ?

Nelly a écrit:

Ah ces fichues obligations ! Bienheureux qui peut s'en passer, comme Stip, apparemment.

Encore heureux! Il est rare que je reste plus d'une semaine sans recevoir du monde, de la famille, des amis, des connaissances (l'homme de ma vie adore recevoir..... Le problème est qu'il n'arrive jamais avant 20h30 et que nous n'avons pas de vrais Week-end ). Donc ça vient s'ajouter au reste. Mais heureusement, ce sont toujours des gens simples et bienveillants qui ne prennent pas ma maison pour un trois étoiles.
je le sais parce que je vais dîner chez eux aussi.
Une seule fois, notre copain le plus âgé a pigné ( 80 ans et toujours en activité à l'époque) parcequ'il a horreur des serviettes en papier sacré Marcel! je n'ai jamais vu mon père faire ça.... Elle n'a pas du rigoler tout les jours Françoise , elle lui dépiaute même les crevettes au restau, ce qui nous a déjà donné l'occasion de le mettre bien en boîte )
Alors en fonction de ma forme et de celle de mes convives, ce sont des moments plus ou moins réussis mais je tiens à ce que tout le monde reste naturel parce que je ne sais ni ne veux faire autrement.... Ça passe et ça ne casse pas.
Sinon autant inviter les gens au restaurant, souvent ça ne coûterait pas plus cher!
Le cauchemar pour moi serait de participer à une émission du genre un "dîner presque parfait" ou de parfaits inconnus viennent pour noter tout ce que tu fais....

stip a écrit:

Nelly a écrit:

Ah ces fichues obligations ! Bienheureux qui peut s'en passer, comme Stip, apparemment.

Encore heureux! Il est rare que je reste plus d'une semaine sans recevoir du monde, de la famille, des amis, des connaissances (l'homme de ma vie adore recevoir..... Le problème est qu'il n'arrive jamais avant 20h30 et que nous n'avons pas de vrais Week-end ). Donc ça vient s'ajouter au reste. Mais heureusement, ce sont toujours des gens simples et bienveillants qui ne prennent pas ma maison pour un trois étoiles.
je le sais parce que je vais dîner chez eux aussi.

Nous parlions d'obligations, à l'origine, pas de réceptions amicales ! J'ai connu quelqu'un dont l'époux était commercial. Une fois par an, il recevait deux, trois fournisseurs à son domicile, de ceux qui se croient au-dessus des autres. Son épouse faisait de l'urticaire avant chaque réception, et uniquement quand ceux-ci étaient invités !

stip a écrit:

Une seule fois, notre copain le plus âgé a pigné ( 80 ans et toujours en activité à l'époque) parcequ'il a horreur des serviettes en papier sacré Marcel! je n'ai jamais vu mon père faire ça.... Elle n'a pas du rigoler tout les jours Françoise , elle lui dépiaute même les crevettes au restau, ce qui nous a déjà donné l'occasion de le mettre bien en boîte )

Françoise a trop gâté son mari : il lui faut assumer, à présent ! Je connais une autre Françoise qui en a fait de même, pour autre chose, et aujourd'hui elle rouspète parce qu'il n'est pas assez autonome dans certaines situations !

stip a écrit:

Alors en fonction de ma forme et de celle de mes convives, ce sont des moments plus ou moins réussis mais je tiens à ce que tout le monde reste naturel parce que je ne sais ni ne veux faire autrement.... Ça passe et ça ne casse pas.

Mais c'est normal et c'est super. Là n'était pas la question ! Si je disais que tu avais de la chance, c'est parce que tu n'as pas connu ce genre d'obligation et tant mieux ! En même temps, je t'envie de réussir à rester aussi zen parce que moi, je n'y arrive pas, même en recevant la famille qui ne demande rien de spécial en dehors de la convivialité...

stip a écrit:

Sinon autant inviter les gens au restaurant, souvent ça ne coûterait pas plus cher!
Le cauchemar pour moi serait de participer à une émission du genre un "dîner presque parfait" ou de parfaits inconnus viennent pour noter tout ce que tu fais....

Là, je n'en parle même pas. Mais tu as raison, il nous est déjà arrivé de recevoir au restaurant parce qu'il fallait bien rendre les invitations... En même temps, je m'énerve après moi-même de ne pas réussir à être plus zen, dans ces situations ! Ceux que je devrais inviter ne demandent pas plus que je ne peux leur donner, mais moi, je me rends malade par avance et ça m'ennuie plus qu'autre chose !

Je crois qu'il y a du vrai là-dedans, du moins pour certains individus !

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« L'homme désire plus vivement le pouvoir sur les autres, à mesure qu'il en a moins sur lui-même. » [Louis de Bonald]

Je crois qu'il y a du vrai là-dedans, du moins pour certains individus !

Peut être une perte de confiance, une instabilité, mais de là à avoir de l'emprise sur quelqu'un, il faut quand même à la base être un meneur...

il me semble que pour avoir du pouvoir sur les autres,il faut une certaine confiance en soi!

N'avez-vous jamais entendu parler du militaire gradé qui houspillait ses troupes, ne leur passait rien, mais laissait son épouse mener la barque à la maison et surtout, le dirigeait ?

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« L'homme désire plus vivement le pouvoir sur les autres, à mesure qu'il en a moins sur lui-même. » [Louis de Bonald]

Je crois qu'il y a du vrai là-dedans, du moins pour certains individus !

Peut être une perte de confiance, une instabilité, mais de là à avoir de l'emprise sur quelqu'un, il faut quand même à la base être un meneur...

il me semble que pour avoir du pouvoir sur les autres,il faut une certaine confiance en soi!

pas toujours, justement, dominer : rassure

peut-être, mais pour savoir dominer,il faut du culot non?OSER quoi!

Oser ? Pas forcément ! Certains ont, par le pouvoir qui leur est attribué, une certaine main-mise sur d'autres, notamment au travail. Ce peuvent être des tyrans. En réalité, ils peuvent manquer de confiance en eux-mêmes et agissent ainsi par besoin personnel, pour se rassurés, valorisés. Et, comme dit plus haut, ils ont peut-être un tyran domestique chez eux ! Facile de dominer des êtres plus faibles, qui ont besoin de leur travail, par exemple...

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« L'homme désire plus vivement le pouvoir sur les autres, à mesure qu'il en a moins sur lui-même. » [Louis de Bonald]

Je crois qu'il y a du vrai là-dedans, du moins pour certains individus !

Peut être une perte de confiance, une instabilité, mais de là à avoir de l'emprise sur quelqu'un, il faut quand même à la base être un meneur...

il me semble que pour avoir du pouvoir sur les autres,il faut une certaine confiance en soi!

pas toujours, justement, dominer : rassure

peut-être, mais pour savoir dominer,il faut du culot non?OSER quoi!

Oser ? Pas forcément ! Certains ont, par le pouvoir qui leur est attribué, une certaine main-mise sur d'autres, notamment au travail. Ce peuvent être des tyrans. En réalité, ils peuvent manquer de confiance en eux-mêmes et agissent ainsi par besoin personnel, pour se rassurés, valorisés. Et, comme dit plus haut, ils ont peut-être un tyran domestique chez eux ! Facile de dominer des êtres plus faibles, qui ont besoin de leur travail, par exemple...

vu ainsi, d'ac

Certaines personnes qui disposent d'un pouvoir énorme sont soumises à des pressions parfois très fortes et mêmes excessives ont du mal à ne pas transmettree la pression aux échelons inférieurs.

Deux exemples :

Un cadre commercial qui anime une équipe de vendeurs se voit fixer des objectifs irréalistes. Son travail et sa carrière sont en jeu. Il lui sera difficile de ne pas transmettre la pression à ses vendeurs.

Un préfet représentant de l' Etat dans le département a des pouvoirs et des responsabilités énormes. Il doit en permanence jongler avec les élus, la presse, les associations et les consignes des ministres. IL est arrivé qu'un préfet soit réveillé à 7 h du matin par le ministre de l'intérieur qui lui annonce qu'il est viré parce que des paysans ayant brulé un camion de moutons britanniques, il faut calmer le gouvernement anglais.

Je précise que je ne suis pas préfet.

Morgan Kane a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

marie-josé a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« L'homme désire plus vivement le pouvoir sur les autres, à mesure qu'il en a moins sur lui-même. » [Louis de Bonald]

Je crois qu'il y a du vrai là-dedans, du moins pour certains individus !

Peut être une perte de confiance, une instabilité, mais de là à avoir de l'emprise sur quelqu'un, il faut quand même à la base être un meneur...

il me semble que pour avoir du pouvoir sur les autres,il faut une certaine confiance en soi!

pas toujours, justement, dominer : rassure

peut-être, mais pour savoir dominer,il faut du culot non?OSER quoi!

Oser ? Pas forcément ! Certains ont, par le pouvoir qui leur est attribué, une certaine main-mise sur d'autres, notamment au travail. Ce peuvent être des tyrans. En réalité, ils peuvent manquer de confiance en eux-mêmes et agissent ainsi par besoin personnel, pour se rassurés, valorisés. Et, comme dit plus haut, ils ont peut-être un tyran domestique chez eux ! Facile de dominer des êtres plus faibles, qui ont besoin de leur travail, par exemple...

vu ainsi, d'ac

Certaines personnes qui disposent d'un pouvoir énorme sont soumises à des pressions parfois très fortes et mêmes excessives ont du mal à ne pas transmettree la pression aux échelons inférieurs.

Deux exemples :

Un cadre commercial qui anime une équipe de vendeurs se voit fixer des objectifs irréalistes. Son travail et sa carrière sont en jeu. Il lui sera difficile de ne pas transmettre la pression à ses vendeurs.

Effectivement et ce, quelles que soient ses idées personnelles.

Morgan Kane a écrit:

Un préfet représentant de l' Etat dans le département a des pouvoirs et des responsabilités énormes. Il doit en permanence jongler avec les élus, la presse, les associations et les consignes des ministres. IL est arrivé qu'un préfet soit réveillé à 7 h du matin par le ministre de l'intérieur qui lui annonce qu'il est viré parce que des paysans ayant brulé un camion de moutons britanniques, il faut calmer le gouvernement anglais.

C'est absolument ridicule, même si je peux imaginer que ce préfet sera rapidement "recasé" ailleurs. Il faut la tête de quelqu'un : absurde ! De plus, personne n'est dupe !

Par contre, ici, nous parlions de désir de pouvoir sur les autres !