Citations en vrac 8/2014

les frères Goncourt ont dit :
NE JAMAIS PARLER DE SOI AUX AUTRES ET LEUR PARLER TOUJOURS D'EUX-MÊMES, C'EST TOUT L'ART DE PLAIRE.

pour sur, mais moi j'y arrive pô

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« La semaine du travailleur a sept jours, la semaine du paresseux a sept demains.  »  [Proverbe français]

Et un proverbe français, en plus. Quel hasard !

Alors qu'il faudrait des journées de 48 heures pour les retraités !!!  

Ce n'est pas nouveau. Ne sommes-nous pas tous submergés de boulot ?

Sylvie a écrit:

les frères Goncourt ont dit :
NE JAMAIS PARLER DE SOI AUX AUTRES ET LEUR PARLER TOUJOURS D'EUX-MÊMES, C'EST TOUT L'ART DE PLAIRE.

pour sur, mais moi j'y arrive pô

Quand on ne parle jamais de soi aux autres, c'est qu'on se trouve dans un cercle de connaissances, pas d'amis. Je vois ça dans une assemblée où l'on se rend plus ou moins par obligation.

Il s'agit donc de "représentation". Certains sont très à l'aise dans ce genre de mondanités et peuvent s'exprimer facilement. Il suffit parfois de les écouter parler d'eux-mêmes car la vie de l'autre ne les intéresse généralement pas. Dans ce cas, quand on se trouve à table, qu'on est censé leur parler, il est plus facile de leur parler d'eux plutôt que de soi-même : ils partent sur leur discours et ça occupe. De plus, ils ont l'impression qu'on s'intéresse à eux. Ce qui peut être le cas, d'ailleurs, mais pas toujours.

Il n'y a que quand on est totalement à l'aise avec quelqu'un qu'il est plus facile de "partager".

N'est-ce pas ce que nous vivons en ce moment ? On nous fait avaler des couleuvres pour justifier les augmentations d'impôts, de taxes, de droits. Or, nous n'avons guère le choix de refuser, vu la conjoncture actuelle.

Avec de vrais amis.... On n'est pas sur ses gardes.
On est comme on est, doués de différentes manières.

Il y a ceux qui aiment parler, qui savent faire rire, parfois avec leurs propres aventures, à l'opposé, Il peut y avoir des "taiseux" avec un coeur gros comme ça.
Puis entre les deux toute une déclinaison possible de degré d'expression.

stip a écrit:

Avec de vrais amis.... On n'est pas sur ses gardes.
On est comme on est, doués de différentes manières.

Il y a ceux qui aiment parler, qui savent faire rire,  parfois avec leurs propres aventures, à l'opposé,  Il peut y avoir des "taiseux" avec un coeur gros comme ça.
Puis entre les deux toute une déclinaison possible de degré d'expression.

Mais avec les vrais amis, on s'est choisi, donc effectivement, il n'y a plus lieu d'être sur ses gardes. Mais le lien avec la citation ?

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Avec de vrais amis.... On n'est pas sur ses gardes.
On est comme on est, doués de différentes manières.

Il y a ceux qui aiment parler, qui savent faire rire,  parfois avec leurs propres aventures, à l'opposé,  Il peut y avoir des "taiseux" avec un coeur gros comme ça.
Puis entre les deux toute une déclinaison possible de degré d'expression.

Mais avec les vrais amis, on s'est choisi, donc effectivement, il n'y a plus lieu d'être sur ses gardes. Mais le lien avec la citation ?

Je citais ces deux profils parce que j'ai des amis comme ça.
Il y a le yin et le yang, le jour et la nuit, il faut de tout pour l'équilibre.

Sylvie a écrit:

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Avec de vrais amis.... On n'est pas sur ses gardes.
On est comme on est, doués de différentes manières.

Il y a ceux qui aiment parler, qui savent faire rire,  parfois avec leurs propres aventures, à l'opposé,  Il peut y avoir des "taiseux" avec un coeur gros comme ça.
Puis entre les deux toute une déclinaison possible de degré d'expression.

Mais avec les vrais amis, on s'est choisi, donc effectivement, il n'y a plus lieu d'être sur ses gardes. Mais le lien avec la citation ?

Je citais ces deux profils parce que j'ai des amis comme ça.
Il y a le yin et le yang, le jour et la nuit, il faut de tout pour l'équilibre.

Oui, mais parler de soi, faire rire de soi et exagérer ses propres aventures, c'est aussi se mettre en danger et on s'expose aux critiques et aux quolibets, mais, c'est tellement bon de rire et de se lâcher !
De plus, en parlant de soi, on n'égratigne pas les autres tout en faisant naître des sourires ou, mieux, des rires autour de soi et puis, tant-pis pour ceux qui s'en servent pour griffer ils n'ont rien compris et le tri se fait tout seul !!

Mais que veux-tu?
Chacun fait comme il le sent. ã s'exposer on peut prendre des coups, c'est évident.

Sylvie a écrit:

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Avec de vrais amis.... On n'est pas sur ses gardes.
On est comme on est, doués de différentes manières.

Il y a ceux qui aiment parler, qui savent faire rire,  parfois avec leurs propres aventures, à l'opposé,  Il peut y avoir des "taiseux" avec un coeur gros comme ça.
Puis entre les deux toute une déclinaison possible de degré d'expression.

Mais avec les vrais amis, on s'est choisi, donc effectivement, il n'y a plus lieu d'être sur ses gardes. Mais le lien avec la citation ?

Je citais ces deux profils parce que j'ai des amis comme ça.
Il y a le yin et le yang, le jour et la nuit, il faut de tout pour l'équilibre.

Oui, mais parler de soi, faire rire de soi et exagérer ses propres aventures, c'est aussi se mettre en danger et on s'expose aux critiques et aux quolibets, mais, c'est tellement bon de rire et de se lâcher !

L'autodérision...    super, quand on sait faire et assumer. C'est loin d'être donné à tout le monde mais j'adore celles ou ceux qui savent faire !

Sylvie a écrit:

De plus, en parlant de soi, on n'égratigne pas les autres tout en faisant naître des sourires ou, mieux, des rires autour de soi et puis, tant-pis pour ceux qui s'en servent pour griffer ils n'ont rien compris et le tri se fait tout seul !!

Tu as bien raison de réagir ainsi. J'avoue avoir passé une soirée magnifique, il y a quelque temps : nous pleurions de rire alors qu'une amie de ma cousine racontait ses mésaventures au ski. Ca faisait un bien fou sans que personne ne se moque, mais tout le monde ne sait pas le faire. De plus, il y a la façon de raconter pour que ce soit aussi drôle !

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

« Les hommes n'acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise.  »  [Jean Monnet]

N'est-ce pas ce que nous vivons en ce moment ? On nous fait avaler des couleuvres pour justifier les augmentations d'impôts, de taxes, de droits. Or, nous n'avons guère le choix de refuser, vu la conjoncture actuelle.

La phrase me paraît exacte.....

Oui, acculé, on est parfois obligé d'accepter ce qu'on refusait auparavant.

Morgan Kane a écrit:

Je ne dirais pas que des augmentations d'impôts constituent un changement, la loi Macron si ...    

Non, bien sûr, les augmentations d'impôts ne constituent pas un changement en soi, simplement, je crois que nous sommes arrivés à saturation et, avec les histoires qu'on entend, l'argent blanchi, les niches fiscales et... les indemnités non justifiées des nos élus... Ce qui passait plus ou moins jusqu'ici devient de plus en plus difficile à accepter. Que ceux qui ont de grandes théories commencent par se les appliquer, alors les plus petits accepteront peut-être de suivre...

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Avec de vrais amis.... On n'est pas sur ses gardes.
On est comme on est, doués de différentes manières.

Il y a ceux qui aiment parler, qui savent faire rire,  parfois avec leurs propres aventures, à l'opposé,  Il peut y avoir des "taiseux" avec un coeur gros comme ça.
Puis entre les deux toute une déclinaison possible de degré d'expression.

Mais avec les vrais amis, on s'est choisi, donc effectivement, il n'y a plus lieu d'être sur ses gardes. Mais le lien avec la citation ?

Je citais ces deux profils parce que j'ai des amis comme ça.
Il y a le yin et le yang, le jour et la nuit, il faut de tout pour l'équilibre.

Oui, mais parler de soi, faire rire de soi et exagérer ses propres aventures, c'est aussi se mettre en danger et on s'expose aux critiques et aux quolibets, mais, c'est tellement bon de rire et de se lâcher !

L'autodérision...    super, quand on sait faire et assumer. C'est loin d'être donné à tout le monde mais j'adore celles ou ceux qui savent faire !

Sylvie a écrit:

De plus, en parlant de soi, on n'égratigne pas les autres tout en faisant naître des sourires ou, mieux, des rires autour de soi et puis, tant-pis pour ceux qui s'en servent pour griffer ils n'ont rien compris et le tri se fait tout seul !!

Tu as bien raison de réagir ainsi. J'avoue avoir passé une soirée magnifique, il y a quelque temps : nous pleurions de rire alors qu'une amie de ma cousine racontait ses mésaventures au ski. Ca faisait un bien fou sans que personne ne se moque, mais tout le monde ne sait pas le faire. De plus, il y a la façon de raconter pour que ce soit aussi drôle !

alors je suis ton homme !!!!

Sylvie ou Marie Jo en forme à un dîner, personne ne s'ennuie!
Ce n'est pas super ça? Un talent que je n'ai pas... Encore un

stip a écrit:

Sylvie ou Marie Jo en forme à un dîner, personne ne s'ennuie!
Ce n'est pas super ça? Un talent que je n'ai pas... Encore un

Tu ne peux pas tout avoir !

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Sylvie ou Marie Jo en forme à un dîner, personne ne s'ennuie!
Ce n'est pas super ça? Un talent que je n'ai pas... Encore un

Tu ne peux pas tout avoir !

Oh trop gentil. .. Un compliment! Merci Nelly mais je ne le mérite vraiment pas.

Comment fait-on pour réaliser son choix ?

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Sylvie ou Marie Jo en forme à un dîner, personne ne s'ennuie!
Ce n'est pas super ça? Un talent que je n'ai pas... Encore un

Tu ne peux pas tout avoir !

Oh trop gentil. .. Un compliment! Merci Nelly mais je ne le mérite vraiment pas.

Ne fais pas ta timide. Tu es bourrée de qualités, même si tu essaies de beaucoup cacher !

Nelly a écrit:

"L'homme a ce choix : laisser entrer la lumière ou garder les volets fermés."  [Henry Miller]

Comment fait-on pour réaliser son choix ?

tout depend de notre courage à affronter la lumière, certains trouvent l'ombre plus rassurante, pourtant, ils ne savent ce qu'ils ratent car meme si c'est dur ,ça Vaux toujours la peine d'essayer

l'intencité de la lumière peut être différente,mais à chaque fois ,elle éclaire

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'homme a ce choix : laisser entrer la lumière ou garder les volets fermés."  [Henry Miller]

Comment fait-on pour réaliser son choix ?

tout depend de notre courage à affronter la lumière, certains trouvent l'ombre plus rassurante, pourtant, ils ne savent ce qu'ils ratent car meme si c'est dur ,ça Vaux toujours la peine d'essayer

l'intencité de la lumière peut être différente,mais à chaque fois ,elle éclaire

Le mythe de la caverne de Platon constitue une bonne illustration .....

http://fr.wikipedia.org/wiki/All%C3%A9gorie_de_la_caverne

Morgan Kane a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'homme a ce choix : laisser entrer la lumière ou garder les volets fermés."  [Henry Miller]

Comment fait-on pour réaliser son choix ?

tout depend de notre courage à affronter la lumière, certains trouvent l'ombre plus rassurante, pourtant, ils ne savent ce qu'ils ratent car meme si c'est dur ,ça Vaux toujours la peine d'essayer

l'intencité de la lumière peut être différente,mais à chaque fois ,elle éclaire

Le mythe de la caverne de Platon constitue une bonne illustration .....

http://fr.wikipedia.org/wiki/All%C3%A9gorie_de_la_caverne

Effectivement. D'ailleurs, Marie-Jo l'a bien interprété également, à sa manière.

Sylvie a écrit:

 

Morgan Kane a écrit:

Je résume :

Aimer son pays, c'est ferrailler pour qu'il se réforme, pester contre son obésité réglementaire et sa créativité fiscale, contre son inertie et sa difficulté à plonger dans la modernité, mais refuser de le déprécier.

je ne comprend absolument pas cette phrase !!!.... mais qu'est-ce que ça veut dire "ferrailler son pays" "obésité réglementaire" "créativité fiscale" ??? pourquoi tordre une phrase à ce point ? ne peut-on pas rester simple ?

Je n'ai pas forcément la réponse, mais je vais essayer d'expliquer comment je le ressens :

Ferrailler pour que le pays se réforme et non ferrailler son pays    : se battre de toutes ses forces pour que ça change.

Obésité réglementaire : le pays est embourbé dans ses acquis et personne ne lâche le moindre avantage acquis. La réglementation est lourde et il est difficile de changer les choses.

Créativité fiscale : ma foi, quand plus rien ne va, quand nous sommes bien embourbés dans nos avantages, comme personne n'est en mesure de réformer fondamentalement les choses en les mettant à plat, la seule possibilité que trouvent les gouvernements en place, c'est de créer de nouveaux impôts ou d'augmenter ce qui existe.

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

 

Morgan Kane a écrit:

Je résume :

Aimer son pays, c'est ferrailler pour qu'il se réforme, pester contre son obésité réglementaire et sa créativité fiscale, contre son inertie et sa difficulté à plonger dans la modernité, mais refuser de le déprécier.

je ne comprend absolument pas cette phrase !!!.... mais qu'est-ce que ça veut dire "ferrailler son pays" "obésité réglementaire" "créativité fiscale" ??? pourquoi tordre une phrase à ce point ? ne peut-on pas rester simple ?

Je n'ai pas forcément la réponse, mais je vais essayer d'expliquer comment je le ressens :

Ferrailler pour que le pays se réforme et non ferrailler son pays    : se battre de toutes ses forces pour que ça change.

Obésité réglementaire : le pays est embourbé dans ses acquis et personne ne lâche le moindre avantage acquis. La réglementation est lourde et il est difficile de changer les choses.

Créativité fiscale : ma foi, quand plus rien ne va, quand nous sommes bien embourbés dans nos avantages, comme personne n'est en mesure de réformer fondamentalement les choses en les mettant à plat, la seule possibilité que trouvent les gouvernements en place, c'est de créer de nouveaux impôts ou d'augmenter ce qui existe.

j'aurais pas dis mieux

marie-josé a écrit:

j'aurais pas dis mieux

Ouf ! Merci.

Qu'en pensent nos grands voyageurs ?

Et là, je trouve que le point-virgule trouve bien sa place.

Nelly a écrit:

« "Lire, c'est voyager ; voyager, c'est lire." »  [Victor Hugo]

Qu'en pensent nos grands voyageurs ?

Et là, je trouve que le point-virgule trouve bien sa place.

La différence est sans doute que lire est voyager avec le regard de quelqu'un d'autre.... Il est préférable que les lunettes (style- sujet ) te conviennent pour que le plaisir soit au rendez-vous, alors ta vue sera doublement riche.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Sylvie a écrit:

 

Morgan Kane a écrit:

Je résume :

Aimer son pays, c'est ferrailler pour qu'il se réforme, pester contre son obésité réglementaire et sa créativité fiscale, contre son inertie et sa difficulté à plonger dans la modernité, mais refuser de le déprécier.

je ne comprend absolument pas cette phrase !!!.... mais qu'est-ce que ça veut dire "ferrailler son pays" "obésité réglementaire" "créativité fiscale" ??? pourquoi tordre une phrase à ce point ? ne peut-on pas rester simple ?

Je n'ai pas forcément la réponse, mais je vais essayer d'expliquer comment je le ressens :

Ferrailler pour que le pays se réforme et non ferrailler son pays    : se battre de toutes ses forces pour que ça change.

Obésité réglementaire : le pays est embourbé dans ses acquis et personne ne lâche le moindre avantage acquis. La réglementation est lourde et il est difficile de changer les choses.

Créativité fiscale : ma foi, quand plus rien ne va, quand nous sommes bien embourbés dans nos avantages, comme personne n'est en mesure de réformer fondamentalement les choses en les mettant à plat, la seule possibilité que trouvent les gouvernements en place, c'est de créer de nouveaux impôts ou d'augmenter ce qui existe.

j'aurais pas dis mieux

Bah... Sylvie, je trouve Morgan toujours absolument clair et, en l'occurrence, je partage son analyse sur les maux qui frappent notre pays en particulier.
Tous les pays ont les leurs, à nous,citoyens, de les cerner et d'encourager les remèdes.... Si on croit encore à l'action politique telle qu'elle nous est proposée, car il y a ça aussi qui s'y ajoute.
Perso, De plus en plus envie de voter blanc....

stip a écrit:

Bah... Sylvie, je trouve Morgan toujours absolument clair et, en l'occurrence, je partage son analyse sur les maux qui frappent notre pays en particulier.
Tous les pays ont les leurs, à nous,citoyens, de les cerner et d'encourager les remèdes.

Non, ce n'est pas Morgan qui a écrit cela. Il s'agit d'une phrase qui a été trouvée dans le cadre de "Jouons à trouver citations et proverbes". Si Morgan est cité, c'est parce que c'est lui qui a trouvé les derniers mots ! Je l'ai simplement déplacée ici pour que la question de Sylvie ne soit pas noyée dans la suite du jeu.

Je sais que c'est compliqué, mais il faut suivre partout...

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Bah... Sylvie, je trouve Morgan toujours absolument clair et, en l'occurrence, je partage son analyse sur les maux qui frappent notre pays en particulier.
Tous les pays ont les leurs, à nous,citoyens, de les cerner et d'encourager les remèdes.

Non, ce n'est pas Morgan qui a écrit cela. Il s'agit d'une phrase qui a été trouvée dans le cadre de "Jouons à trouver citations et proverbes". Si Morgan est cité, c'est parce que c'est lui qui a trouvé les derniers mots ! Je l'ai simplement déplacée ici pour que la question de Sylvie ne soit pas noyée dans la suite du jeu.

Je sais que c'est compliqué, mais il faut suivre partout...

Mouais Madame, vu comme c'est prėsenté, j'ai des circonstances atténuantes non'?

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Bah... Sylvie, je trouve Morgan toujours absolument clair et, en l'occurrence, je partage son analyse sur les maux qui frappent notre pays en particulier.
Tous les pays ont les leurs, à nous,citoyens, de les cerner et d'encourager les remèdes.

Non, ce n'est pas Morgan qui a écrit cela. Il s'agit d'une phrase qui a été trouvée dans le cadre de "Jouons à trouver citations et proverbes". Si Morgan est cité, c'est parce que c'est lui qui a trouvé les derniers mots ! Je l'ai simplement déplacée ici pour que la question de Sylvie ne soit pas noyée dans la suite du jeu.

Je sais que c'est compliqué, mais il faut suivre partout...

Mouais Madame, vu comme c'est prėsenté, j'ai des circonstances atténuantes non'?

Mais voui, voyons ! Je n'ai fait qu'éclairer ta lanterne. J'avoue que ce n'était pas évident.

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Bah... Sylvie, je trouve Morgan toujours absolument clair et, en l'occurrence, je partage son analyse sur les maux qui frappent notre pays en particulier.
Tous les pays ont les leurs, à nous,citoyens, de les cerner et d'encourager les remèdes.

Non, ce n'est pas Morgan qui a écrit cela. Il s'agit d'une phrase qui a été trouvée dans le cadre de "Jouons à trouver citations et proverbes". Si Morgan est cité, c'est parce que c'est lui qui a trouvé les derniers mots ! Je l'ai simplement déplacée ici pour que la question de Sylvie ne soit pas noyée dans la suite du jeu.

Je sais que c'est compliqué, mais il faut suivre partout...

Mouais Madame, vu comme c'est prėsenté, j'ai des circonstances atténuantes non'?

Mais voui, voyons ! Je n'ai fait qu'éclairer ta lanterne. J'avoue que ce n'était pas évident.

ET BIEN MERCI POUR VOS EXPLICATIONS !!! MAIS MOI J'AIME BIEN QUAND C'EST SIMPLE !!! MAIS ....C'EST MOI !!!

Citation :

Aimer son pays, c'est ferrailler pour qu'il se réforme, pester contre son obésité réglementaire et sa créativité fiscale, contre son inertie et sa difficulté à plonger dans la modernité, mais refuser de le déprécier.

Effectivement, je ne suis pas l'auteur de cette phrase.

- ferrailler pour qu'il se réforme : cela semble clair, toute réforme, même de bon sens, nécessite un sévère combat.

A titre d'exemple, il a fallu des décennies pour imposer aux propriétaires des immeubles parisiens qu'ils raccordent leurs biens aux égouts construits au cour du XIXème siècle.

Incidemment, ce raccordement a réglé le problème du choléra......

-obésité règlementaire: à titre d'exemple, depuis que je suis sorti de l'université, le code du travail a été multiplié par ?

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/07/01/le-code-du-travail-nourrit-il-le-chomage_4448169_4355770.html

Et l'Europe n'a pas peu contribué à cet accroissement !

Mais pourquoi penser uniquement en termes d'avantages acquis ?

Par exemple, les normes de construction des immeubles se sont accrues en nombre et en complexité, notamment pour favoriser la construction de maisons économes en énergie et permettre que toute construction nouvelle soit aux nomes d'accessibilité pour personnes handicapées. Cela a entraîné un accroissement du coût assez important des constructions.

Ensuite, la lutte contre l'obésité réglementaire ne doit pas signifier affaiblissement des protections de ceux qui en ont besoin.

Souvenez de l'adage selon lequel la liberté opprime et la loi protège .... sous entendu le plus faible, face au plus fort.

- Pour ce qui est de la créativité fiscale, je renvoie au père Ubu et à sa pompe à fynances ...

Mais cette créativité joue dans les deux sens, certains contribuables étant très créatifs pour échapper à l'impôt.

Vous est-il déjà arrivé de vous retrouver dans une telle situation ?  

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Combien il est difficile de faire comprendre aux êtres qu'ils ne sont rien pour vous !"  [Henry de Montherlant]

Vous est-il déjà arrivé de vous retrouver dans une telle situation ?  

une foi, dans ma jeunesse, un garcon qui se mourait d'amour pour moi et qui me laissait indifférente,quand on a 18 ans on ne comprend pas ce que l'autre peut souffrir et on est dur et fier

Ah, les amours de jeunesse !!! Je crois qu'on a tous vécu ça un jour.

N'a-t-il pas raison ? Avons-nous le choix d'une autre liberté ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'homme est une marionnette consciente qui a l'illusion de la liberté."  [Félix Le Dantec]

N'a-t-il pas raison ? Avons-nous le choix d'une autre liberté ?

liberté liberté! oui mais pas au detriment de l'autre, alors, il faut faire la part des choses et surtout s'adapter

Oui, mais une marionnette n'est pas bien libre ! Elle se meut grâce à des ficelles !

Notre spécialiste de l'espoir saura-t-elle répondre ?

Pour ma part, je ne le conçois pas.

Nelly a écrit:

"Est-ce que ça existe, une attente sans espoir?"  [Jean-Bertrand Pontalis]

Notre spécialiste de l'espoir saura-t-elle répondre ?

Pour ma part, je ne le conçois pas.

Par exemple:
Quand tu passes des examens bien entendu tu attends un résultat favorable, surtout si tu as pu mettre toutes les chances de ton côté.
C'est juste logique.
Et non je n'ai pas dit le mot .

Etes-vous d'accord avec ceci ? Pour ma part, je pense que oui. Et vous ?

Une petite pour la route ?

" Le plus lent à promettre est toujours le plus fidèle à tenir."

Sylvie a écrit:

Nelly a écrit:

« Tous les gestes engagent ; surtout les gestes généreux.  »  [Roger Martin du Gard]

Etes-vous d'accord avec ceci ? Pour ma part, je pense que oui. Et vous ?

un geste affectueux, réconforte celui qui le reçoit, on aura une image douce de cette personne et on saura vers qui aller quand on cherchera du soutien.

Un geste agressif, engage celui qui le fait à garder ses distances et celui qui reçoit ce geste saura qu'il ne faut pas chercher des noises à cette personne.

un geste généreux, engage celui qui propose son aide à tenir ses promesses, et on saura que cette personne est capable de donner.

sinon, tous ces engagements restés sans suite laisseront un sentiment de trahison, fausseté, lâcheté, fourberie contre ces gens incapables de respect et de dignité.

Un engagement est un pacte signé avec soi-même et le sacré !!!!

Je rajouterai un autre ressenti : quand on aide quelqu'un, d'une manière ou d'une autre, cela peut être une forme d'engagement envers lui. Une relation (différente) peut se créer et nous ressentirons l'obligation de continuer à apporter un soutien, dans la mesure où il est le bienvenu pour le receveur. Ce dernier sera peut-être également en attente de ce soutien.

Ca me ramène à une autre phrase : "quand tu sauves la vie à quelqu'un, tu es responsable de lui". Sans aller jusque là, à plus petite échelle, cela peut s'avérer exact également, dans une certaine mesure.

Sylvie a écrit:

Une petite pour la route ?

" Le plus lent à promettre est toujours le plus fidèle à tenir."

J'avais déjà proposé cette citation qui n'avait pas forcément trouvé écho.

Pour ma part, il me semble que c'est exact. Certains promettent n'importe quoi à n'importe qui, sans réflexion et sans forcément tenir parole. D'autres disent carrément non pour ne pas être ennuyés : leur tranquillité prime avant l'aide à d'autres.

Puis viennent ceux qui ont envie d'apporter leur aide, mais qui savent qu'ils ont déjà beaucoup d'engagements. Ils y réfléchissent avant de se lancer, mais leur oui sera définitif (sauf cas de force majeure) et on pourra compter sur eux.

Quand on regarde bien, ce sont toujours les mêmes qui sont sollicités et qui s'investissent... Beaucoup d'autres laissent faire. Ils n'ont pas le temps parce qu'ils ne prennent pas le temps.

j'aime bien celle-ci :

La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit.
(Oscar Wilde)