Citations en vrac (7/2013)

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

« On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts. »  [Confucius]

Je suis assez d'accord avec lui, mais pas uniquement en ce qui concerne les hommes. Les défauts de quelqu'un révèlent pas mal de choses.

Mais cet exercice a une limite : quelle serait la qualité cachée du menteur ?  

mais tout simplement à enjoliver le quotidien, c'est tout un art!      

Et tu considères qu'il s'agit d'une qualité ?

mais c'est sarcastique bien entendu!....voyons Nelly, tu me connais ,non?

D'accord, mais comme l'art peut être considéré comme une vertu...  

l'art n'est pas une vertu, mais un don , ce n'est pas pareil
d'ailleurs, la plupars des Artistes ne sont pas très vertueux   

marie-josé a écrit:

l'art n'est pas une vertu, mais un don , ce n'est pas pareil
d'ailleurs, la plupars des Artistes ne sont pas très vertueux   

En principe, effectivement, l'art est un don.

Quant à la vertu des artistes... je suppose qu'il y a de tout dans le lot !  

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

l'art n'est pas une vertu, mais un don , ce n'est pas pareil
d'ailleurs, la plupars des Artistes ne sont pas très vertueux   

En principe, effectivement, l'art est un don.

Quant à la vertu des artistes... je suppose qu'il y a de tout dans le lot !  

Le génie ? 90 % de sueur et 10 % d'inspiration ....

Un peu exagéré mais ....

Ceci dit, il ne faut pas avoir une conception trop restrictive de l'art et tout œuvre d'art n'est pas une réussite. tous les artistes ne sont pas doués. Plus largement, par exemple, un meuble, une pissotière peuvent constituer une œuvre d'art mais qui est l'artiste ? ou pour Notre Dame de Paris ?

La discussion mérite elle un fil spécifique ?

Morgan Kane a écrit:

La discussion mérite elle un fil spécifique ?    

Nous avons un fil nommé 'l'Art'. Si tu te sens d'attaque pour l'alimenter, n'hésiter pas à le relancer. Il se compose principalement de photos, mais les unes n'empêchent pas l'autre (la discussion).

Exercice très difficile ! Je ne suis pas certaine que nous entendions toujours tout ce qui n'est pas dit...

Vous avez un avis ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Quant aux deux passions de l'incertitude, ce sont la peur et l'espérance."  [Salvatore Veca]

Vous avez un avis ?

vivre dans l'espérance, c'est vivre dans une angoisse de ce qui ne se réalisera pas selon nos désirs.

Je préfère le mot espoir à espérance, dans ce cas.

Si je considère effectivement qu'espoir et incertitude sont liés, il n'est pas certain que ce soit toujours angoissant. Exemple :

Quand quelqu'un prépare un examen tout en faisant de son mieux pour que son espoir de réussite soit comblé, il reste généralement toujours une incertitude jusqu'au moment où il voit son nom sur la liste des résultats.

marie-josé a écrit:

Mais c'est peur, nous fait aussi avancer car elle nous donne du courage pour affronter le lendemain qui peut-être sera meilleurs.

Tu trouves que la peur nous fait avancer ? Certes, quand on est acculé sans avoir le choix, comme dans la maladie, mais dans l'ensemble, je crois qu'on évite plutôt de se lancer quand on n'est pas sûr de soi, non ?

Après, il y a ceux qui adorent l'adrénaline que comporte le danger et ça, c'est autre chose.

Nelly a écrit:

"La chose la plus importante en communication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit."  [Peter Drucker]

Entendre entre les mots comme on lit entre les lignes ; autrement dit, percevoir ce qui n'est pas clairement exprimé, ce qui est donc sous-entendu, sous-jacent, implicite.

Cela suppose une attention particulière et une grande perspicacité et ce n'est pas donné à tout le monde.

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

"La chose la plus importante en communication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit."  [Peter Drucker]

Entendre entre les mots comme on lit entre les lignes ; autrement dit, percevoir ce qui n'est pas clairement exprimé, ce qui est donc sous-entendu, sous-jacent, implicite.

Cela suppose une attention particulière et une grande perspicacité et ce n'est pas donné à tout le monde.

  

Nelly a écrit:

"Quant aux deux passions de l'incertitude, ce sont la peur et l'espérance."  [Salvatore Veca]

Effectivement lorsqu'on est plongé dans l'incertitude, on est à la fois confiant et inquiet, même s'il est vrai que l'inquiétude l'emporte souvent sur la confiance.

Ne pas savoir, être dans l'ignorance de ce qui se passe ou de ce qu'il en est, ça engendre forcément l'inquiétude, voire l'angoisse et on préfère que cet état ne s'éternise pas, quitte à apprendre une mauvaise nouvelle.

Morgan Kane a écrit:

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

"Quant aux deux passions de l'incertitude, ce sont la peur et l'espérance."  [Salvatore Veca]

Effectivement lorsqu'on est plongé dans l'incertitude, on est à la fois confiant et inquiet, même s'il est vrai que l'inquiétude l'emporte souvent sur la confiance.

Ne pas savoir, être dans l'ignorance de ce qui se passe ou de ce qu'il en est, ça engendre forcément l'inquiétude, voire l'angoisse et on préfère que cet état ne s'éternise pas, quitte à apprendre une mauvaise nouvelle.

Il y a une différence fondamentale dans cette phrase dans la mesure où l'auteur introduit un balancement entre la peur qui est la crainte et l'espérance qui est l'espoir.

Dans le premier cas, j'ai peur du futur et dans le second je l'espère, même si aucun des deux n'est jamais certain.

Dans les deux cas, je ne suis pas sûr.

L'incertitude est une composante indispensable (et inévitable ) à l'aventure, et j'ai tendance à concevoir chaque existence comme une aventure.
Ensuite il est de notre ressort de lui choisir une direction, d'assumer notre part de responsabilité dans celle-ci.
Toujours soumis à l'incertitude de ce qu'on ne peut maîtriser, c'est à dire pas mal de choses évidemment.
Mais sans cette part d'incertitude,de découvertes, de surprises, d'inconnu avec le bon et le mauvais, je pense que la vie serait d'un ennui absolu.

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

"La chose la plus importante en communication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit."  [Peter Drucker]

Entendre entre les mots comme on lit entre les lignes ; autrement dit, percevoir ce qui n'est pas clairement exprimé, ce qui est donc sous-entendu, sous-jacent, implicite.

Cela suppose une attention particulière et une grande perspicacité et ce n'est pas donné à tout le monde.

Il me semble que dans ton métier, cette qualité doit être très importante. On peut faire très bien un travail, mais si on n'écoute pas la souffrance non exprimée ou sous-jacente, on passe à côté de l'essentiel.

stip a écrit:

L'incertitude est une composante indispensable (et inévitable ) à l'aventure, et j'ai tendance à concevoir chaque existence comme une aventure.

Pour chaque enfant, l'aventure démarre à sa naissance, mais il ne s'en rend pas compte, sa témérité et son insouciance lui permettent de s'engager dans la vie sans se poser de questions.

Ensuite, chaque existence peut effectivement être considérée comme une aventure. Rien qu'en comparant les vécus des uns et des autres, nous nous apercevons que les cheminements, tout en se ressemblant sur certains points, certaines valeurs, sont totalement différents.

stip a écrit:

Ensuite il est de notre ressort de lui choisir une direction, d'assumer notre part de responsabilité dans celle-ci.

Nous maîtrisons le choix et encore, pas toujours... Certains se laissent aveugler par des mirages que représentent l'argent, la beauté, le pouvoir, au moment de choisir son partenaire pour la vie. En sont-ils toujours conscients ? Je n'en suis pas certaine.

Il y a également le choix du métier. Certes, aujourd'hui, avec Internet, les connaissances sont plus vastes. Pourtant, quel que soit soit le métier choisi, sauf exceptions car il y en a toujours, on peut se retrouver dans une voie de garage. Combien de personnes pratiquent réellement le métier de leur choix ?

stip a écrit:

Toujours soumis à l'incertitude de ce qu'on ne peut maîtriser, c'est à dire pas mal de choses évidemment.
Mais sans cette part d'incertitude,de découvertes, de surprises, d'inconnu avec le bon et le mauvais, je pense que la vie serait d'un ennui absolu.

Heureusement que nous ne connaissons pas l'avenir : pour certains cas, on ne se donnerait plus de mal pour y arriver, pour d'autres, on se découragerait de savoir où vont les choses... sans compter les nouveautés des découvertes dont tu parles, évidemment.

Comment ferions-nous, ici, si nous n'avions pas les mots ? En même temps, il y a différentes façons de les prononcer et les mots ne sont pas toujours les seuls à avoir une signification.

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce n'est pas avec des mots que l'on communique."  [Georges Simenon]

Comment ferions-nous, ici, si nous n'avions pas les mots ? En même temps, il y a différentes façons de les prononcer et les mots ne sont pas toujours les seuls à avoir une signification.

ici, nous n'avons que les mots et les images, mais souvent,un regard suffit pour se faire comprendre,une attitude,une façon de se poser,des gestes, le langage du corps quoi!

c'est d'ailleurs un exercice assez difficile que celui de la "conversation" par écrit.
Surtout quand on ne connaît pas son interlocuteur, qu'on ignore tout de son humour, du ton à mettre (d'où les émoticones). très difficile d'imaginer alors les différentes perceptions possibles par autrui sans le language du corps.
Parfois j'écris quelque chose puis me ravise faute d'exactitude ou de peur de mal traduire, ou de blesser alors que mon intention est toute autre.
Pour bien faire les choses, s'exprimer vraiment "personnellement" en  tâchant de bien se faire comprendre dans l'échange, ce serait vraiment un travail de titan, chaque mot, chaque tournure ayant potentiellement un impact sur l'autre qu'on ignore.
c'est tellement plus facile et spontané (et plus rapide ) de discuter oralement avec une connaissance.

stip a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce n'est pas avec des mots que l'on communique."  [Georges Simenon]

Comment ferions-nous, ici, si nous n'avions pas les mots ? En même temps, il y a différentes façons de les prononcer et les mots ne sont pas toujours les seuls à avoir une signification.

ici, nous n'avons que les mots et les images, mais souvent,un regard suffit pour se faire comprendre,une attitude,une façon de se poser,des gestes, le langage du corps quoi!

c'est d'ailleurs un exercice assez difficile que celui de la "conversation" par écrit.

C'est vrai, mais en mêment temps, c'est une gymnastique qui demande un minimum de réflexion.

stip a écrit:

Surtout quand on ne connaît pas son interlocuteur, qu'on ignore tout de son humour, du ton à mettre (d'où les émoticones). très difficile d'imaginer alors les différentes perceptions possibles par autrui sans le language du corps.
Parfois j'écris quelque chose puis me ravise faute d'exactitude ou de peur de mal traduire, ou de blesser alors que mon intention est toute autre.

L'avantage est qu'en écrivant, nous avons plus de temps de réfléchir, mais il est certain que l'interprétation des autres n'est pas toujours connue d'avance alors, dans le doute, il faut parfois s'abstenir.

stip a écrit:

Pour bien faire les choses, s'exprimer vraiment "personnellement" en  tâchant de bien se faire comprendre dans l'échange, ce serait vraiment un travail de titan, chaque mot, chaque tournure ayant potentiellement un impact sur l'autre qu'on ignore.
c'est tellement plus facile et spontané (et plus rapide ) de discuter oralement avec une connaissance.

On dit également plus rapidement une bêtise, un mot qui dépasse notre pensée. Il y a tellement de spontanéité, mais également l'interprétation de l'ouïe et de la vue qui révèle parfois ce qu'on ne dit pas !

Nelly a écrit:

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

"La chose la plus importante en communication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit."  [Peter Drucker]

Entendre entre les mots comme on lit entre les lignes ; autrement dit, percevoir ce qui n'est pas clairement exprimé, ce qui est donc sous-entendu, sous-jacent, implicite.

Cela suppose une attention particulière et une grande perspicacité et ce n'est pas donné à tout le monde.

Il me semble que dans ton métier, cette qualité doit être très importante. On peut faire très bien un travail mais si on n'écoute pas la souffrance non exprimée ou sous-jacente, on passe à côté de l'essentiel.

Cela requiert un grand sens de l'écoute et un non moins grand sens de l'observation, pour voir les signes (non-exprimés verbalement) de douleur ou de mal-être oui, tu as tout à fait raison chère Nelly.

Pas forcément d'accord. En étant ami avec quelqu'un, on le connaît avec ses défauts et on l'apprécie tel quel. On ne peut pas changer quelqu'un aussi facilement.

Par contre, à un ami, on peut faire remarquer qu'il fait erreur sans qu'il s'en formalise !

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Si tu supportes les défauts de ton ami, tu les fais tiens."  [Publius Syrus]

Pas forcément d'accord. En étant ami avec quelqu'un, on le connaît avec ses défauts et on l'apprécie tel quel. On ne peut pas changer quelqu'un aussi facilement.

Par contre, à un ami, on peut faire remarquer qu'il fait erreur sans qu'il s'en formalise !

J'ai bien assez de mes propres défauts sans prendre ceux d'un ami !!!

Parce que tu as des défauts   Je ne m'en étais jamais aperçue !   

anémone a écrit:

accepter l'autre ce n'est pas dire amen à tout.

Ne crois-tu pas qu'on ne devient pas ami avec quelqu'un bourré de défauts que l'on déteste. Personnellement, je ne pourrais pas me lier d'amitié avec quelqu'un qui ment constamment.

Je crois simplement que, quand on se choisit comme ami, on intègre les défauts de cet ami. Le courant doit passer. On ne peut pas être à l'aise avec quelqu'un qui nous exaspère constamment !

Etes-vous d'accord avec ça ?

Nelly a écrit:

"Si tu supportes les défauts de ton ami, tu les fais tiens."  [Publius Syrus]

En étant ami avec quelqu'un, on le connaît avec ses défauts et on l'apprécie tel quel.

En effet, on accepte l'autre tel qu'il est, dans sa globalité mais on ne fait pas siens ses défauts pour autant ! Et puis quoi encore !?

On supporte ses défauts parce qu'on l'aime quand même en dépit de ceux-ci, point.

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

"Si tu supportes les défauts de ton ami, tu les fais tiens."  [Publius Syrus]

En étant ami avec quelqu'un, on le connaît avec ses défauts et on l'apprécie tel quel.

En effet, on accepte l'autre tel qu'il est, dans sa globalité mais on ne fait pas siens ses défauts pour autant ! Et puis quoi encore !?

On supporte ses défauts parce qu'on l'aime quand même en dépit de ceux-ci, point.

Je crois que si je fréquentais quelqu'un dont les défauts me paraissent insupportables, je ne pourrais simplement pas être son amie ! Normal, non ? C'est parce qu'on a des atomes crochus qu'on se fréquente, ou encore parce qu'on aime ses différences qui ne sont pas forcément des défauts qu'on s'estime.

Maintenant, pour en revenir à la citation, peut-être sommes-nous plus tolérants avec les défauts de nos amis que s'il s'agissait d'un étranger ou quelqu'un que nous n'apprécions pas. Peut-être comprenons-nous davantage ses raisons pour agir comme il le fait. A voir.  

  Pas sûr. Certes, il ne faut pas rester inerte et agir quand il le faut. Il est même nécessaire de prendre des risques, quitte à se tromper, mais je pense qu'il est bon quand même de ne pas faire n'importe quoi. Certaines conséquenses d'agissement incohérents peuvent s'avérer dramatiques !

Tiens, un sujet d'actualité : un nombre incroyable d'automobilistes roulent sans assurance voiture ! Ils agissent sans réfléchir aux conséquences, tant pour eux-mêmes que pour les autres !

Est-il préférable d'avoir des regrets ou des remords ?

Il n'y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe jamais, dit-on.

Il vaut mieux agir selon ce que l'on pense être juste et bon, quitte à faire des erreurs, plutôt que de rester les deux pieds dans la même godasse et regretter par la suite de n'avoir rien fait, rien tenté !

Nelly a écrit:

Est-il préférable d'avoir des regrets ou des remords ?

Ni l'un ni l'autre mais à tout prendre, je préfère avoir des regrets plutôt que des remords car avoir des remords sous-entend l'idée d'une faute commise envers quelqu'un, avoir mal agi.

Ondeline a écrit:

Il n'y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe jamais, dit-on.

Il vaut mieux agir selon ce que l'on pense être juste et bon, quitte à faire des erreurs, plutôt que de rester les deux pieds dans la même godasse et regretter par la suite de n'avoir rien fait, rien tenté !

Nous sommes tout à fait d'accord. Rester sans rien faire, ne s'occuper de personne ni de rien serait lamentable. Mais il est quand même nécessaire de le faire à bon escient, de réfléchir avant de prendre de gros risques, me semble-t-il.

Ondeline a écrit:

Nelly a écrit:

Est-il préférable d'avoir des regrets ou des remords ?

Ni l'un ni l'autre mais à tout prendre, je préfère avoir des regrets plutôt que des remords car avoir des remords sous-entend l'idée d'une faute commise envers quelqu'un, avoir mal agi.

Je crois qu'on en a forcément. Dans certains cas, il est indispensable de faire un choix. Même si nous le pensons bon au départ, il peut s'avérer erroné par la suite, d'où des regrets.

Par contre, mal agir, et je reprends mon exemple des automobilistes non assurés ou alcoolisés, peut engendrer des catastrophes dont ceux-ci sont pourtant informés au départ. Là, les remords peuvent prendre le dessus et ils n'ont plus que leurs yeux pour pleurer quand le malheur arrive !

Ma foi, il y a du vrai. Qu'en pensez-vous ?

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"Faute de but, l'homme devient une cible."  [Alphonse de Lamartine]

Ma foi, il y a du vrai. Qu'en pensez-vous ?

je pense, que quand on n'a pas de but dans la vie, on va un peu à la derive.
c'est alors que nous sommes le plus fragilisés et que des tentations de toutes part peuvent nous atteindre et nous mener où nous ne devrions pas .
Des personnes dans cette situation sont des proies faciles pour des organisations malafites ou autres, ou tout simplement par des gens profitant de cette faiblesse .

Je crois également qu'il est difficile de vivre sans but, quel qu'il soit. On a besoin d'un objectif, même parfois sans s'en rendre compte, sinon on est mal dans sa peau et on risque de faire sien l'objectif d'un autre et de s'y perdre totalement.

Et même sans se laisser prendre sous l'emprise de quelqu'un, on ne vit pas bien, on ne peut pas s'épanouir.

Parce qu'on naît bon ?   Etes-vous d'accord avec lui ?

Nelly a écrit:

"C'est un bonheur, une grande fortune d'être né bon."  [Joseph Joubert]

Parce qu'on naît bon ?   Etes-vous d'accord avec lui ?

je ne suis pas d'accord, on nait neutre, ensuite on se développe selon les exemples qui nous entourent.
Il est vrai que chacun de nous a un potentiel de bien et de mal en soi, mais ce sera l'éducation qui nous formera et qui sera le déclencheur principal de notre façon d'être.
Maintenant, il y a des exemples de gens qui ont étés élevés dans des familles aimantes et équilibrées et qui malgré cela sont devenu mauvais, mais je crois que ce sont des exceptions!

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"C'est un bonheur, une grande fortune d'être né bon."  [Joseph Joubert]

Parce qu'on naît bon ?   Etes-vous d'accord avec lui ?

je ne suis pas d'accord, on nait neutre, ensuite on se développe selon les exemples qui nous entourent.
Il est vrai que chacun de nous a un potentiel de bien et de mal en soi, mais ce sera l'éducation qui nous formera et qui sera le déclencheur principal de notre façon d'être.
Maintenant, il y a des exemples de gens qui ont étés élevés dans des familles aimantes et équilibrées et qui malgré cela sont devenu mauvais, mais je crois que ce sont des exceptions!

Neutres mais pas identitiques et doués de la même façon pour développer telles ou telles qualités .... Ou défauts.
Comment définiriez-vous un être bon?

stip a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"C'est un bonheur, une grande fortune d'être né bon."  [Joseph Joubert]

Parce qu'on naît bon ?   Etes-vous d'accord avec lui ?

je ne suis pas d'accord, on nait neutre, ensuite on se développe selon les exemples qui nous entourent.
Il est vrai que chacun de nous a un potentiel de bien et de mal en soi, mais ce sera l'éducation qui nous formera et qui sera le déclencheur principal de notre façon d'être.
Maintenant, il y a des exemples de gens qui ont étés élevés dans des familles aimantes et équilibrées et qui malgré cela sont devenu mauvais, mais je crois que ce sont des exceptions!

Neutres mais pas identitiques et doués de la même façon pour développer telles ou telles qualités .... Ou défauts.
Comment définiriez-vous un être bon?

Quelqu'un d'empathique, à l'écoute, ne cherchant pas absolument à être supérieur aux autres, souriant et aimable également.

Il est exact que nous ne sommes pas tous similaires à la naissance et que ce qui écorche l'un laisse l'autre indifférent. Or, en étant indifférent, on est moins agressif. En même temps, l'éducation et l'exemple restent importants.

marie-josé a écrit:

" Le plus grand amour est l'amour d'une mère, vient ensuite l'amour d'un chien, puis l'amour d'un amant. "
Proverbe Polonais

comme c'est vrai!l'amour de notre mère et de notre chien ,c'est pour la vie , tous le reste n'est que passager

Par contre, en ce qui concerne l'amour d'un amant, je reste sceptique !  

Généreuse par braverie... je ne sais pas, mais il en est qui sont généreux pour se rendre importants et pour les remerciements.

Je connais une telle personne : acharnée pour un travail très bien fait, s'en donnant les moyens, s'investissant à fond, mais très exigeante avec ceux qui l'entourent et surtout, surtout, insupportable quand elle a exécuté son travail. C'en est au point qu'elle se fait écarter des projets par d'autres qui n'en peuvent plus de devoir la remercier et la complimenter pour son efficacité !

Je parlais d'une personne et je l'ai mis en féminin, mais il s'agit d'un homme...

.  « Il n'y a pas de dureté plus implacable que celle des regards qui sont revenus de la tendresse.  »
de Etienne Rey                

Quand on évoque ceux qui quittent leur pays.... Je crois que c'est vrai.

Qui peut affirmer ne jamais y avoir été sujet ?

Nelly a écrit:

"L'ennui est la seule chose horrible en ce monde. C'est le seul péché pour lequel il n'existe pas de pardon."  [Louis Scutenaire]

Qui peut affirmer ne jamais y avoir été sujet ?

pas le temps!  

Nelly a écrit:

"L'ennui est la seule chose horrible en ce monde. C'est le seul péché pour lequel il n'existe pas de pardon."  [Louis Scutenaire]

Qui peut affirmer ne jamais y avoir été sujet ?

Posture intellectuelle,    juste faite pour paraître "flamboyante".
Qui ne s'est jamais forcé à des choses ennuyeuses pour aller plus loin, progresser?
Par ailleurs, l'ennui même passager, ne nous pousse-t-il pas à devenir plus créatif? Les enfants d'aujourd'hui grands amateurs de jeux de consoles ne semblent jamais s'en lasser ni s'en ennuyer justement, ne doit-on pas se poser des questions, sur les effets de cette absence d'ennui par exemple?
Bon.... Pour moi, donc, cette citation est plus posture que pensée   .

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

"L'ennui est la seule chose horrible en ce monde. C'est le seul péché pour lequel il n'existe pas de pardon."  [Louis Scutenaire]

Qui peut affirmer ne jamais y avoir été sujet ?

pas le temps!  

Il arrive à tout le monde de s'ennuyer à un moment ou un autre ! Serais-tu l'exception ?

stip a écrit:

Nelly a écrit:

"L'ennui est la seule chose horrible en ce monde. C'est le seul péché pour lequel il n'existe pas de pardon."  [Louis Scutenaire]

Qui peut affirmer ne jamais y avoir été sujet ?

Posture intellectuelle,    juste faite pour paraître "flamboyante".
Qui ne s'est jamais forcé à des choses ennuyeuses pour aller plus loin, progresser?

Là, tu le vois sous l'angle "agacer". Certes, il nous faut parfois faire des choses de ce genre, parce que nous n'avons pas le choix ou pour une raison bien définie.

stip a écrit:

Par ailleurs, l'ennui même passager, ne nous pousse-t-il pas à devenir plus créatif?

Je me rappelle l'avoir lu quelque part : il faudrait que les enfants s'ennuient davantage pour éveiller leur créativité. Que ne feraient-ils pas "s'ils avaient le temps de se poser un peu" !

stip a écrit:

Les enfants d'aujourd'hui grands amateurs de jeux de consoles ne semblent jamais s'en lasser ni s'en ennuyer justement, ne doit-on pas se poser des questions, sur les effets de cette absence d'ennui par exemple?

Pour ce qui les concerne, je crois qu'un peu d'ennui leur ferait le plus grand bien. Beaucoup d'entre eux paraissent toujours excités. Ils ne prennent plus la peine de chercher l'occupation, il faut le faire pour eux.

stip a écrit:

Bon.... Pour moi, donc, cette citation est plus posture que pensée   .

Posture ?   Pour ma part, il m'est déjà arrivé de m'ennuyer avec plein de monde autour de moi, pas vous ?

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Bon.... Pour moi, donc, cette citation est plus posture que pensée   .

Posture ?   Pour ma part, il m'est déjà arrivé de m'ennuyer avec plein de monde autour de moi, pas vous ?

Oh si! S'ennuyer par devoir, obligation, ça commence à l'école.
L'ennui n'est pas une posture, surtout quand on ne choisit pas, la posture est plutôt de dire que c'est le seul péché qui ne connaīt pas de pardon (v. La citation ) le pêché est sans doute de ne pas tout faire pour y échapper.

stip a écrit:

Nelly a écrit:

stip a écrit:

Bon.... Pour moi, donc, cette citation est plus posture que pensée   .

Posture ?   Pour ma part, il m'est déjà arrivé de m'ennuyer avec plein de monde autour de moi, pas vous ?

Oh si! S'ennuyer par devoir, obligation, ça commence à l'école.
L'ennui n'est pas une posture, surtout quand on ne choisit pas, la posture est plutôt de dire que c'est le seul péché qui ne connaīt pas de pardon (v. La citation ) le pêché est sans doute de ne pas tout faire pour y échapper.

C'est également ainsi que je l'avais compris : il faut se bouger, regarder autour de soi, s'investir dans quelque chose. L'ennui n'est pas quelque chose d'agréable, d'où la notion de péché en cas d'ennui !

En effet. Qu'en pensez-vous ?

Ce n'est sans doute pas l'avis de tout le monde !