Citations en vrac (7/2013)

Je suis plutôt d'accord avec l'auteur. Qu'en pensez-vous ?

Nelly a écrit:

« Il y a plus de courage que de talent dans la plupart des réussites. »  [Félix Leclerc]

Je suis plutôt d'accord avec l'auteur. Qu'en pensez-vous ?

pas vraiment d'accord, si vous avez du courage,mais n'y connaisez rien ,je ne pense pas que la réussite sera d'actualité

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Il y a plus de courage que de talent dans la plupart des réussites. »  [Félix Leclerc]

Je suis plutôt d'accord avec l'auteur. Qu'en pensez-vous ?

pas vraiment d'accord, si vous avez du courage,mais n'y connaisez rien ,je ne pense pas que la réussite sera d'actualité

«Le génie, c'est 1 % d'inspiration et 99 % de transpiration» (Thomas Edison)

C'est la même idée.

Pour apprendre à pendre, Vinci a souffert ....

Morgan Kane a écrit:

Pour apprendre à pendre, Vinci a souffert ....

Coucou, Morgan ! Heureusement qu'il ne s'est pas pendu !

Morgan Kane a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Il y a plus de courage que de talent dans la plupart des réussites. »  [Félix Leclerc]

Je suis plutôt d'accord avec l'auteur. Qu'en pensez-vous ?

pas vraiment d'accord, si vous avez du courage,mais n'y connaisez rien ,je ne pense pas que la réussite sera d'actualité

«Le génie, c'est 1 % d'inspiration et 99 % de transpiration» (Thomas Edison)

Cette citation complète effectivement la précédente : il faut évidemment un minimum de talent, mais l'auteur ne généralise pas, il parle de la "plupart". De plus, il faut parfois se donner le mal de rechercher le talent dont on dispose.

Je la trouve plutôt exacte. Nous sommes souvent une petite source et il nous arrive plus d'une fois de ne pas approuver ce que devient notre initiative, notre participation, quand elle grossit. Certes, il peut arriver que ce soit positif, mais il arrive également que nous soyons déçus de la suite.

Comment le voyez-vous, de votre côté ?

Totalement d'accord, sauf, peut-être, pour de gros ennuis.

Je le vois chez une de nos bénévoles, extrêmement susceptible. Elle est très agréable et gentille par ailleurs, mais prend la mouche pour trois fois rien. Quand elle connaît bien la personne d'où ça vient, elle en rit, mais dès qu'il s'agit de quelqu'un d'autre, elle se sent agressée. Combien de fois l'ai-je déjà calmée ! C'est dommage et difficile à vivre, surtout pour elle, d'ailleurs.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce qui est important, ce n'est pas ce qui nous arrive, c'est la manière dont on le prend."  [Kid Confucius]

Totalement d'accord, sauf, peut-être, pour de gros ennuis.

Je le vois chez une de nos bénévoles, extrêmement susceptible. Elle est très agréable et gentille par ailleurs, mais prend la mouche pour trois fois rien. Quand elle connaît bien la personne d'où ça vient, elle en rit, mais dès qu'il s'agit de quelqu'un d'autre, elle se sent agressée. Combien de fois l'ai-je déjà calmée ! C'est dommage et difficile à vivre, surtout pour elle, d'ailleurs.

Le plus décevant c'est d'avoir essayé de bien faire, d'avoir un résultat médiocre ( tiens c'est peut être le mot recherché pour les mots croisés ! ) là on éprouve une déception, on a du mal à ne pas pester !

Il ne faut jamais oublier que d'autres n'ont pas forcément idée du travail qu'a représenté une action quelconque. Alors, une remarque déplacée devrait passer par-dessus notre sensibilité personnelle. Il faudrait pouvoir relativiser davantage, ne pas se soucier à ce point de l'opinion des autres. C'est d'ailleurs le début de la sagesse, d'y arriver !

Maintenant, si un travail ne convient pas pour une bonne raison à laquelle on n'avait pas pensé, ce n'est pas la fin du monde, il suffit parfois de recommencer sans se décourager.

Tout un programme car si la courtoisie s'impose, il n'est pas toujours facile de le dire avec aisance. On a parfois l'impression de devoir acquiescer, même sans en avoir réellement envie. Dans ces moments-là, difficile de dire non.

Nelly a écrit:

"Apprends à dire non avec courtoisie et aisance."

Tout un programme car si la courtoisie s'impose, il n'est pas toujours facile de le dire avec aisance. On a parfois l'impression de devoir acquiescer, même sans en avoir réellement envie. Dans ces moments-là, difficile de dire non.

Ca ne vous inspire pas ? Savez-vous que le SC propose des formations aux bénévoles à ce sujet ?

Ce qui m'interpelle, c'est surtout le côté "avec aisance". Pourtant, il n'est pas facile de dire non, sauf quand il s'agit de quelque chose d'évident, d'absurde. Je crois que nous en avons déjà parlé il y a peu, mais ce n'était pas la même citation.

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

"Apprends à dire non avec courtoisie et aisance."

Tout un programme car si la courtoisie s'impose, il n'est pas toujours facile de le dire avec aisance. On a parfois l'impression de devoir acquiescer, même sans en avoir réellement envie. Dans ces moments-là, difficile de dire non.

Ca ne vous inspire pas ? Savez-vous que le SC propose des formations aux bénévoles à ce sujet ?

Ce qui m'interpelle, c'est surtout le côté "avec aisance". Pourtant, il n'est pas facile de dire non, sauf quand il s'agit de quelque chose d'évident, d'absurde. Je crois que nous en avons déjà parlé il y a peu, mais ce n'était pas la même citation.

pas facile c'est vrai! mais en viellissant on l'apprend petit à petit.
Car ne dit-on pas que charité bien ordonnée commence par soi même!
alors oui, il faut savoir dire non dans certain cas!

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

"Apprends à dire non avec courtoisie et aisance."

Tout un programme car si la courtoisie s'impose, il n'est pas toujours facile de le dire avec aisance. On a parfois l'impression de devoir acquiescer, même sans en avoir réellement envie. Dans ces moments-là, difficile de dire non.

Ca ne vous inspire pas ? Savez-vous que le SC propose des formations aux bénévoles à ce sujet ?

Ce qui m'interpelle, c'est surtout le côté "avec aisance". Pourtant, il n'est pas facile de dire non, sauf quand il s'agit de quelque chose d'évident, d'absurde. Je crois que nous en avons déjà parlé il y a peu, mais ce n'était pas la même citation.

pas facile c'est vrai! mais en viellissant on l'apprend petit à petit.
Car ne dit-on pas que charité bien ordonnée commence par soi même!
alors oui, il faut savoir dire non dans certain cas!

J'ai horreur de dire non et ma fille en profite.

En tant que cadre j'ai dû apprendre à le faire et cela me met mal à l'aise chaque fois.

Morgan Kane a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

Nelly a écrit:

"Apprends à dire non avec courtoisie et aisance."

Tout un programme car si la courtoisie s'impose, il n'est pas toujours facile de le dire avec aisance. On a parfois l'impression de devoir acquiescer, même sans en avoir réellement envie. Dans ces moments-là, difficile de dire non.

Ca ne vous inspire pas ? Savez-vous que le SC propose des formations aux bénévoles à ce sujet ?

Ce qui m'interpelle, c'est surtout le côté "avec aisance". Pourtant, il n'est pas facile de dire non, sauf quand il s'agit de quelque chose d'évident, d'absurde. Je crois que nous en avons déjà parlé il y a peu, mais ce n'était pas la même citation.

pas facile c'est vrai! mais en viellissant on l'apprend petit à petit.
Car ne dit-on pas que charité bien ordonnée commence par soi même!
alors oui, il faut savoir dire non dans certain cas!

J'ai horreur de dire non et ma fille en profite.

Papa gâteau, va ! Mais tu adores ça, qu'elle te mène par le bout du nez, pas vrai ?  

Morgan Kane a écrit:

En tant que cadre j'ai dû apprendre à le faire et cela me met mal à l'aise chaque fois.  

Et c'est loin d'être facile. C'est pourquoi j'y reviens. Il y a le fait de dire non parce qu'on n'en a pas envie, mais c'est autre chose de dire  non en pensant que l'autre n'a pas tout à fait tort, mais que ça ne fait pas partie du programme.

. "Le jour viendra où des gens comme moi regarderont le meurtre des animaux comme il regardent aujourd'hui le meurtre des êtres humains" Léonard de Vinci


Léonard, je vous aime.
L'homme est une plaie pour notre planète, quand va-t-il cesser de l'être?
J'aimerais proposer aux humaines mes sœurs, de décider de ne plus faire trop d'enfants. 3 maximum et on ferme la nurserie. Nous finirions peut-être par juguler les catastrophes écologiques et humanitaires qui s'annoncent.
Oui, ce serait la raison.

Je ne sais pas. Pas certaine qu'il soit possible de pardonner facilement les fautes quand l'amour est grand. N'est-il pas d'autant plus exigeant ? Il y a peut-être plusieurs façons de voir les choses ?

Nelly a écrit:

« Les fautes sont grandes quand l'amour est petit. »  [Proverbe italien]

Je ne sais pas. Pas certaine qu'il soit possible de pardonner facilement les fautes quand l'amour est grand. N'est-il pas d'autant plus exigeant ? Il y a peut-être plusieurs façons de voir les choses ?

Ce proverbe Italien m'évoquerait plutôt le proverbe Français
.  Quand on veut se débarasser de son chien, on dit qu'il a des puces.          

Bref, en cas de gêne et de désamour, certains auraient tendance à en rajouter pour discréditer plus aisément.
Quand l'amour est grand, on a horreur d'être déçu, c'est différent. En fait, je crois qu'on déteste surtout s'être trompé soi-même.

stip a écrit:

Nelly a écrit:

« Les fautes sont grandes quand l'amour est petit. »  [Proverbe italien]

Je ne sais pas. Pas certaine qu'il soit possible de pardonner facilement les fautes quand l'amour est grand. N'est-il pas d'autant plus exigeant ? Il y a peut-être plusieurs façons de voir les choses ?

Ce proverbe Italien m'évoquerait plutôt le proverbe Français
.  Quand on veut se débarasser de son chien, on dit qu'il a des puces.          

Bref, en cas de gêne et de désamour, certains auraient tendance à en rajouter pour discréditer plus aisément.
Quand l'amour est grand, on a horreur d'être déçu, c'est différent. En fait, je crois qu'on déteste surtout s'être trompé soi-même.

Je crois qu'on investit beaucoup et qu'on fait confiance. La déception est d'autant plus grande car il est difficile de se remettre d'un coup de poignard dans le dos.

En même temps, en revenant à la citation, je crois que l'amour fait occulter les gros défauts. On a tendance à ne pas les voir, à les pardonner facilement, plus qu'à un inconnu.

N'en faire qu'à sa tête sans se soucier des autres... Ce serait vite la débâcle !

Sais pas. Avez-vous un avis à ce sujet ?

Nelly a écrit:

« On ne guérit d’une souffrance qu’à condition de l’éprouver pleinement. »  [Marcel Proust]

Sais pas. Avez-vous un avis à ce sujet ?

guerrir le mal par le mal par exemple  

peut être ici l'auteur veut simplement dire que de petit tracas ne sont pas assez profonds pour devoir en guerrir, mais que les grandes douleurs elles nous ont tellement marquées qu'il est besoin de s'en guerrir!

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« On ne guérit d’une souffrance qu’à condition de l’éprouver pleinement. »  [Marcel Proust]

Sais pas. Avez-vous un avis à ce sujet ?

guerrir le mal par le mal par exemple  

peut être ici l'auteur veut simplement dire que de petit tracas ne sont pas assez profonds pour devoir en guerrir, mais que les grandes douleurs elles nous ont tellement marquées qu'il est besoin de s'en guerrir!

Ca ne me parle pas vraiment, ainsi.

Je crois qu'il faut accepter la douleur, aller au fond d'elle pour pouvoir remonter à la surface. Pas la renier (d'après son texte). Sauf que je crois que certaines douleurs laissent des stigmates à vie.

Plutôt d'accord avec lui. A les entendre, certains savent tout faire, mais ce n'est plus pareil au moment de passer à l'acte ! De plus, la manière de travailler de certains nous en apprend beaucoup sur eux.

Nelly a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« On ne guérit d’une souffrance qu’à condition de l’éprouver pleinement. »  [Marcel Proust]

Sais pas. Avez-vous un avis à ce sujet ?

guerrir le mal par le mal par exemple  

peut être ici l'auteur veut simplement dire que de petit tracas ne sont pas assez profonds pour devoir en guerrir, mais que les grandes douleurs elles nous ont tellement marquées qu'il est besoin de s'en guerrir!

Ca ne me parle pas vraiment, ainsi.

Je crois qu'il faut accepter la douleur, aller au fond d'elle pour pouvoir remonter à la surface. Pas la renier (d'après son texte). Sauf que je crois que certaines douleurs laissent des stigmates à vie.

Pour Proust, j'imagine qu'il n'avait pas une sensibilité (ni même une sexualité ) très ã l'aise dans son époque psychorigide.
Bien que contemporains, n'oublions pas que Freud et autres travaux sur la psychologie n'avaient pas encore d'impact sur la société de l'époque.

Je suppose qu'ici Marcel (merveilleux écrivain intimiste ) évoque le "refoulement " qui a dû marquer son existence....  
Je perçois d'abord cette citation en ce sens.

Du coup,de ce que j'en sais, il me semble évident que certaines études aient été consacrées ã la mise en parallèle de ces deux intelligences.
http://www.amazon.fr/Le-lac-inconnu-Entre-Proust/dp/2070136094

Et comme le disait Boris Cyrulnik, lors de la polémique provoquée par le très utile livre d'Onfray sur Freud (car je suis d'accord sur le fait qu'on a accordé, dans l'excès, un statut quasi religieux à des travaux et concepts absolument discutables ), l'engouement pour la psychanalyse a eu au moins l'énorme vertu de redonner de l'importance à la parole, à l'expression personnelle,à une époque et dans un monde de convenances sociales qui en étaient particulièrement dépourvus. Au 19ème siècle, on fabriquait des citoyens à l'emporte-pièce. Les enfants destinés à prendre la place des parents....

N'y a-t-il pas du vrai ? D'un pays à l'autre, il arrive qu'on puisse constater des différences : les uns sont plus laxistes ou au contraire plus sérieux, d'autres parlent beaucoup sans agir pour autant, etc. Alors oui, l'éducation est importante.

Nelly a écrit:

"De l'éducation de son peuple dépend le destin d'un pays."  [Benjamin Disraeli]

N'y a-t-il pas du vrai ? D'un pays à l'autre, il arrive qu'on puisse constater des différences : les uns sont plus laxistes ou au contraire plus sérieux, d'autres parlent beaucoup sans agir pour autant, etc. Alors oui, l'éducation est importante.

Je ne sais pas.... L'éducation commence par la cohésion entre les principes familiaux et ceux que les enfants trouveront dans le système éducatif. Cohérence préalable nécessaire à la réussite.
Je ne pense pas que ce soit une question de laxisme mais plutôt une question d'adéquation. L'éducation d'un enfant est un projet auquel il est nécessaire que tout le monde adhère et il semblerait que ce soit une première difficulté....rien de pire qu'un déficit de confiance entre parents et enseignants.

stip a écrit:

Nelly a écrit:

"De l'éducation de son peuple dépend le destin d'un pays."  [Benjamin Disraeli]

N'y a-t-il pas du vrai ? D'un pays à l'autre, il arrive qu'on puisse constater des différences : les uns sont plus laxistes ou au contraire plus sérieux, d'autres parlent beaucoup sans agir pour autant, etc. Alors oui, l'éducation est importante.

Je ne sais pas.... L'éducation commence par la cohésion entre les principes familiaux et ceux que les enfants trouveront dans le système éducatif. Cohérence préalable nécessaire à la réussite.
Je ne pense pas que ce soit une question de laxisme mais plutôt une question d'adéquation. L'éducation d'un enfant est un projet auquel il est nécessaire que tout le monde adhère et il semblerait que ce soit une première difficulté....rien de pire qu'un déficit de confiance entre parents et enseignants.

Je ne pensais pas forcément à ce genre d'éducation, davantage aux pays :

- Les Français sont qualifiés de ronchons et plus ou moins propres,
- Les Allemands seraient rigoureux, parfois intraitables,
- Les Italiens seraient bavards,
- Etc.

D'où ma remarque à propos de l'éducation de tout un pays en fonction de ce qu'il connaît ou vit. Et là, je reste dans des pays européens qui sont comparables. D'autres cultures sont totalement différentes. Or le destin d'un pays, me semble-t-il peut être différent en fonction de la manière dont on appréhende certains problèmes où qu'on réagit de manière générale.

Rien à rajouter, ça me paraît évident. Et vous ?

Nelly a écrit:

« L'hésitation est le propre de l'intelligence. »  [Henry de Montherlant]

Rien à rajouter, ça me paraît évident. Et vous ?

Modérément ..... Gramsci disait qu'il faut être pessimiste dans l'analyse et optimiste dans l'action.

En fait, il faut être capable d'hésiter avant de décider, mais ne plus hésiter une fois la décision prise, ce qui suppose de savoir décider !

Une trop grande hésitation est surtout une marque d'indécision, ce qui n'est pas une marque d'intelligence.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

« L'hésitation est le propre de l'intelligence. »  [Henry de Montherlant]

Rien à rajouter, ça me paraît évident. Et vous ?

Modérément ..... Gramsci disait qu'il faut être pessimiste dans l'analyse et optimiste dans l'action.

En fait, il faut être capable d'hésiter avant de décider, mais ne plus hésiter une fois la décision prise, ce qui suppose de savoir décider !

Logiquement, en effet, c'est ainsi qu'il faudrait agir. Simplement, des faits nouveaux peuvent inciter à un changement de cap.

Morgan Kane a écrit:

Une trop grande hésitation est surtout une marque d'indécision, ce qui n'est pas une marque d'intelligence.

Une trop grand hésitation ne permet pas d'avancer, je suis d'accord. A trop réfléchir, on ne fait plus rien. En même temps, agir sans réflexion se termine souvent plutôt mal.

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

« L'hésitation est le propre de l'intelligence. »  [Henry de Montherlant]

Rien à rajouter, ça me paraît évident. Et vous ?

Modérément ..... Gramsci disait qu'il faut être pessimiste dans l'analyse et optimiste dans l'action.

En fait, il faut être capable d'hésiter avant de décider, mais ne plus hésiter une fois la décision prise, ce qui suppose de savoir décider !

Une trop grande hésitation est surtout une marque d'indécision, ce qui n'est pas une marque d'intelligence.

Je compléterais en disant que des personnes stupides ou n'ayant pas l'intelligence de la situation, peuvent hésiter ....

Définition de l'aventure par opposition à l'hésitation dont nous parlions ci-dessus.

Nelly a écrit:

« L'aventure ce n'est pas de dire "toujours" mais de dire "tout de suite". »  [Maurice Leblanc]

Définition de l'aventure par opposition à l'hésitation dont nous parlions ci-dessus.

Dans le terme "hésitation" il y a une forme de stress que je retrouve dans "tout de suite", comme la nécessité d'une imminence.
Ce n'est pas dans ma nature, j'aime prendre du recul par goût d'indépendance d'abord tant je sais que nous sommes tous influençables et prompts au contresens voire au non-sens.
J'ai horreur qu'on me presse, je me ferme alors.

stip a écrit:

Nelly a écrit:

« L'aventure ce n'est pas de dire "toujours" mais de dire "tout de suite". »  [Maurice Leblanc]

Définition de l'aventure par opposition à l'hésitation dont nous parlions ci-dessus.

Dans le terme "hésitation" il y a une forme de stress que je retrouve dans "tout de suite", comme la nécessité d'une imminence.

Je comprends ce que tu veux dire et ce n'est pas faux, mais seulement dans une certaine mesure. Il n'y a presque que dans l'urgence que ces mots vont de pair. A d'autres moments, on peut prendre le temps de peser le pour ou le contre, dans la mesure où l'on dispose de tous les éléments, évidemment.

stip a écrit:

Ce n'est pas dans ma nature, j'aime prendre du recul par goût d'indépendance d'abord tant je sais que nous sommes tous influençables et prompts au contresens voire au non-sens.

Ne t'arrive-t-il jamais de prendre une décision hâtive que tu regrettes ensuite, justement pour ne pas avoir pris le temps du recul ?

stip a écrit:

J'ai horreur qu'on me presse, je me ferme alors.

J'ai tendance à me laisser presser, de temps à autre, et ce n'est pas l'idéal.

Il y a du vrai ; envore faut-il avoir quelqu'un à qui les confier car on ne peut pas raconter n'importe quoi à n'importe qui, bien au contraire.

Nelly a écrit:

« Parler de ses peines, c’est déjà se consoler. »  [Albert Camus]

Il y a du vrai ; envore faut-il avoir quelqu'un à qui les confier car on ne peut pas raconter n'importe quoi à n'importe qui, bien au contraire.

il vaut parfois mieux raconter ses peines à un parfait étranger, que peut-être on ne revera pas!
plutôt que de souler ses amis avec ses problèmes, et prendre le risque de les perdre pour une mal -compréhention

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Parler de ses peines, c’est déjà se consoler. »  [Albert Camus]

Il y a du vrai ; envore faut-il avoir quelqu'un à qui les confier car on ne peut pas raconter n'importe quoi à n'importe qui, bien au contraire.

il vaut parfois mieux raconter ses peines à un parfait étranger, que peut-être on ne revera pas!
plutôt que de souler ses amis avec ses problèmes, et prendre le risque de les perdre pour une mal -compréhention

D'accord avec Marie Jo.

stip a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Parler de ses peines, c’est déjà se consoler. »  [Albert Camus]

Il y a du vrai ; envore faut-il avoir quelqu'un à qui les confier car on ne peut pas raconter n'importe quoi à n'importe qui, bien au contraire.

il vaut parfois mieux raconter ses peines à un parfait étranger, que peut-être on ne revera pas!
plutôt que de souler ses amis avec ses problèmes, et prendre le risque de les perdre pour une mal -compréhention

D'accord avec Marie Jo.

Parce que vous trouvez de parfaits étrangers prêts à écouter vos ennuis ? Pourquoi ne pas parler à un mur, alors ? Moi, je trouve qu'il est bon, parfois, d'avoir une oreille attentive comprenant son problème, même si cette confidente ne peut rien faire de plus. Certes, je ne parle pas de ceux qui gémissent à tour de bras et qu'on ne peut/veut plus entendre !

Nelly a écrit:

stip a écrit:

marie-josé a écrit:

Nelly a écrit:

« Parler de ses peines, c’est déjà se consoler. »  [Albert Camus]

Il y a du vrai ; envore faut-il avoir quelqu'un à qui les confier car on ne peut pas raconter n'importe quoi à n'importe qui, bien au contraire.

il vaut parfois mieux raconter ses peines à un parfait étranger, que peut-être on ne revera pas!
plutôt que de souler ses amis avec ses problèmes, et prendre le risque de les perdre pour une mal -compréhention

D'accord avec Marie Jo.

Parce que vous trouvez de parfaits étrangers prêts à écouter vos ennuis ? Pourquoi ne pas parler à un mur, alors ? Moi, je trouve qu'il est bon, parfois, d'avoir une oreille attentive comprenant son problème, même si cette confidente ne peut rien faire de plus. Certes, je ne parle pas de ceux qui gémissent à tour de bras et qu'on ne peut/veut plus entendre !

souvent ça nous retombe sur le nez quand on se confie à un proche!  

marie-josé a écrit:

souvent ça nous retombe sur le nez quand on se confie à un proche!  

Tout dépend à qui. Il faut, évidemment, quelqu'un en qui on a toute confiance.

Surprenant !

Nelly a écrit:

"Toutes les passions aiment ce qui les nourrit : la peur aime l'idée du danger."  [Joseph Joubert]

Surprenant !

 la peur est elle une passion? À moins d'en faire commerce ėvidemment  

stip a écrit:

Nelly a écrit:

"Toutes les passions aiment ce qui les nourrit : la peur aime l'idée du danger."  [Joseph Joubert]

Surprenant !

 la peur est elle une passion? À moins d'en faire commerce ėvidemment  

Ce n'est pas ainsi que je la qualifierais !

Ceci dit, certains ont des passions dont la réalisation engendre la peur et ils adorent la montée d'adrénaline. Comme exemple, je prendrai le saut à l'élastique. D'autres peuvent se faire peur en regardant un film de science-fiction. Il me semble qu'il existent différentes peurs.

Je n'y avais jamais pensé sous cet angle, mais c'est exact : impossible de copier un bonheur car chacun est unique, adapté à soi. Celui de l'autre ne nous conviendrait certainement pas.

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

« Envier le bonheur d'autrui, c'est folie. On ne saurait pas s'en servir. Le bonheur ne se veut pas tout fait, mais sur mesure. »  [André Gide]

Je n'y avais jamais pensé sous cet angle, mais c'est exact : impossible de copier un bonheur car chacun est unique, adapté à soi. Celui de l'autre ne nous conviendrait certainement pas.

Chacun a une vision différente du bonheur, les goûts sont personnels et tout le monde n'a pas les mêmes choix

Tout le monde n'a pas les mêmes besoins, non plus. Celui qui envie le bonheur de l'autre ne peut pas être certain d'être bien à la place de celui qu'il envie ! Certainement pas, d'ailleurs. Les uns aiment le rouge, d'autre le vert, etc. Il est de même dans la vie de chaque jour. S'il suffisait d'un moule pour que chacun soit heureux, ça se saurait ! Nous avons chacun des valeurs différentes et c'est très bien ainsi.

 Catégorique, le bonhomme !