Les chemins de la sagesse 2019 (7)

On se sent beaucoup mieux quand les autres se sentent bien également. En même temps, il est toujours des jaloux pour envier cette joie des autres.

Nelly a écrit:

"La joie des autres est une grande part de la nôtre."  [Alexandre Soljenitsyne]

On se sent beaucoup mieux quand les autres se sentent bien également. En même temps, il est toujours des jaloux pour envier cette joie des autres.

Ah oui, la joie est communicative, et ça fait du bien !

Et tant pis pour les jaloux, c'est eux qui vont avoir le foie rongé par leur rancoeur...

Dans lequel des deux vous situez-vous ? Il est certain que les deux sont complémentaires, mais nos décisions personnelles (l'avenir qu'on fait), ont forcément un impact sur l'avenir qui se fait.

Nelly a écrit:

"Il y a l'avenir qui se fait et l'avenir qu'on fait. L'avenir réel se compose des deux."  [Alain-Fournier]

Dans lequel des deux vous situez-vous ? Il est certain que les deux sont complémentaires, mais nos décisions personnelles (l'avenir qu'on fait), ont forcément un impact sur l'avenir qui se fait.

Je me situe sur les deux, je ne vois pas comment faire autrement : faire au mieux avec ce qui arrive...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"Il y a l'avenir qui se fait et l'avenir qu'on fait. L'avenir réel se compose des deux."  [Alain-Fournier]

Dans lequel des deux vous situez-vous ? Il est certain que les deux sont complémentaires, mais nos décisions personnelles (l'avenir qu'on fait), ont forcément un impact sur l'avenir qui se fait.

Je me situe sur les deux, je ne vois pas comment faire autrement : faire au mieux avec ce qui arrive...

Je crois que certains se contentent d'attendre que leur avenir se fasse, sans se poser trop de questions. C'est un tort car nous avons notre rôle à jouer dans notre avenir.

L'idéal est effectivement d'accepter ce que nous ne pouvons pas changer et de nous battre pour rester actif pour un avenir qui nous ressemble.

Dans l'absolu, cela paraît évident, mais il faut également parfois avoir de la force physique.

Nelly a écrit:

"C'est par l'adresse que vaut le bûcheron, bien plus que par la force."  [Homère]

Dans l'absolu, cela paraît évident, mais il faut également parfois avoir de la force physique.

Disons que, pour ce qu'on appelle les travaux de force, il faut les deux .... .

Borée et le Soleil virent un Voyageur
Qui s'était muni par bonheur
Contre le mauvais temps (on entrait dans l'automne,
Quand la précaution aux voyageurs est bonne :
Il pleut ; le soleil luit ; et l'écharpe d'Iris
Rend ceux qui sortent avertis
Qu'en ces mois le manteau leur est fort nécessaire.
Les Latins les nommaient douteux pour cette affaire.)
Notre homme s'était donc à la pluie attendu :
Bon manteau bien doublé, bonne étoffe bien forte.
Celui-ci, dit le Vent, prétend avoir pourvu
À tous les accidents ; mais il n'a pas prévu
Que je saurai souffler de sorte
Qu'il n'est bouton qui tienne ; il faudra, si je veux,
Que le manteau s'en aille au Diable.
L'ébattement pourrait nous en être agréable :
Vous plaît-il de l'avoir ? Eh bien, gageons-nous deux,
(Dit Phébus), sans tant de paroles,
A qui plus tôt aura dégarni les épaules
Du Cavalier que nous voyons.
Commencez : je vous laisse obscurcir mes rayons.
Il n'en fallut pas plus. Notre Souffleur à gage
Se gorge de vapeurs, s'enfle comme un ballon ;
Fait un vacarme de démon,
Siffle, souffle, tempête, et brise en son passage
Maint toit qui n'en peut mais, fait périr maint bateau :
Le tout au sujet du manteau.
Le Cavalier eut soin d'empêcher que l'orage
Ne se pût engouffrer dedans ;
Cela le préserva : le Vent perdit son temps :
Plus il se tourmentait, plus l'autre tenait ferme ;
Il eut beau faire agir le collet et les plis.
Sitôt qu'il fut au bout du terme
Qu'à la gageure on avait mis,
Le Soleil dissipe la nue,
Recrée, et puis pénètre enfin le Cavalier,
Sous son balandras fait qu'il sue,
Le contraint de s'en dépouiller.
Encor n'usa-t-il pas de toute sa puissance.
Plus fait douceur que violence.

Joli. Belle leçon !

Comprenez-vous cette phrase ?

Nelly a écrit:

"On sacrifie souvent les plus grands plaisirs de la vie à l'orgueil de les sacrifier."  [Claude Adrien Helvétius]

Comprenez-vous cette phrase ?

L'orgueil est un défaut qui peut pourrir la vie...pourquoi sacrifier un plaisir ?

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"On sacrifie souvent les plus grands plaisirs de la vie à l'orgueil de les sacrifier."  [Claude Adrien Helvétius]

Comprenez-vous cette phrase ?

L'orgueil est un défaut qui peut pourrir la vie...pourquoi sacrifier un plaisir ?

Je n'en saisis pas non plus la raison. C'est surprenant.

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"On sacrifie souvent les plus grands plaisirs de la vie à l'orgueil de les sacrifier."  [Claude Adrien Helvétius]

Comprenez-vous cette phrase ?

L'orgueil est un défaut qui peut pourrir la vie...pourquoi sacrifier un plaisir ?

Je n'en saisis pas non plus la raison. C'est surprenant.

Très compliquée cette phrase. Ca voudrait dire que c'est par orgueil qu'on sacrifie des plaisirs de la vie, simplement parce qu'on se la pète parce qu'on a la possibilité de les sacrifier ?

Je suis pas bien sure de comprendre le sens...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"On sacrifie souvent les plus grands plaisirs de la vie à l'orgueil de les sacrifier."  [Claude Adrien Helvétius]

Comprenez-vous cette phrase ?

L'orgueil est un défaut qui peut pourrir la vie...pourquoi sacrifier un plaisir ?

Je n'en saisis pas non plus la raison. C'est surprenant.

Très compliquée cette phrase. Ca voudrait dire que c'est par orgueil qu'on sacrifie des plaisirs de la vie, simplement parce qu'on se la pète parce qu'on a la possibilité de les sacrifier ?

Je suis pas bien sure de comprendre le sens...

Je ne comprends pas non plus. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je l'ai relevée.

Je relève que tu dis "parce qu'on a la possibilité de sacrifier des plaisirs". Qui, sauf cas de force majeure, sacrifierait des plaisirs ? Logiquement, cela relève d'un choix. Il est possible que, pour certains, orgueil et plaisir ne sont peut-être pas compatibles, mais je ne trouve pas d'exemple logique.

Un alcoolique qui, par fierté, sacrifie l'alcool. Il veut arrêter de donner une image négative de lui-même, montrer qu'il est capable d'assumer sa famille.

Morgan Kane a écrit:

Un alcoolique qui, par fierté, sacrifie l'alcool. Il veut arrêter de donner une image négative de lui-même, montrer qu'il est capable d'assumer sa famille.

Alors là, ce serait super. Par contre, je ne vois guère un alcoolique réussir cet exploit par fierté. La plupart des alcooliques sont des faibles et ne savent pas prendre une décision aussi radicale tout seuls. En même temps, qui sait ?

Cela paraît tellement évident et pourtant... Pourquoi certains sont-ils tellement certains que ce qu'ils affirment sans preuve est exact ? Pourquoi ne se posent-ils aucune question, ou pas les bonnes ? Ceux-là se sentent au-dessus des autres et feraient bien de redescendre sur terre pour regarder la réalité en face !

Nelly a écrit:

"Affirmer cela n'est pas le prouver."  [William Shakespeare]

Cela paraît tellement évident et pourtant... Pourquoi certains sont-ils tellement certains que ce qu'ils affirment sans preuve est exact ? Pourquoi ne se posent-ils aucune question, ou pas les bonnes ? Ceux-là se sentent au-dessus des autres et feraient bien de redescendre sur terre pour regarder la réalité en face !

J'ai discuté hier avec un témoin de Jehovah. Il me disait que pour lui l'existence de dieu relevait de l'évidence quand il regardait le monde, sa complexité. Je lui ai répondu qu'il voyait dieu là où d'autres mettaient d'autres explications, sans négliger la part de l'inconnu.

Aujourd'hui même le Monde a publié un interview d'un prêtre, Jacques Arnould.


Il vient de publier Dieu n’a pas besoin de « preuves » (Albin Michel, 200 pages), un « manifeste » faisant l’éloge du doute et du mystère, tant en matière de science que de religion.

Quelques citations:

« S’il existait une preuve de l’existence de Dieu, tous les scientifiques seraient croyants »

" La science reste incapable de démontrer l’existence de Dieu, comme de la nier. Les scientifiques appartiennent au monde, ils ne pourront jamais en sortir et prendre suffisamment de recul pour l’observer tout entier. Il restera toujours du mystère."

" L’absence de doute signifierait s’inscrire dans un ordre parfait, immobile."

"Que l’idée du Big Bang nourrisse la foi d’un croyant qui, par un acte de foi, y confesse une action divine, est une chose. Mais vouloir l’imposer aux autres comme une preuve de l’existence de Dieu en est un autre."

https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2023/03/05/s-il-existait-une-preuve-de-l-existence-de-dieu-tous-les-scientifiques-seraient-croyants_6164199_6038514.html

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Affirmer cela n'est pas le prouver."  [William Shakespeare]

Cela paraît tellement évident et pourtant... Pourquoi certains sont-ils tellement certains que ce qu'ils affirment sans preuve est exact ? Pourquoi ne se posent-ils aucune question, ou pas les bonnes ? Ceux-là se sentent au-dessus des autres et feraient bien de redescendre sur terre pour regarder la réalité en face !

J'ai discuté hier avec un témoin de Jehovah. Il me disait que pour lui l'existence de dieu relevait de l'évidence quand il regardait le monde, sa complexité. Je lui ai répondu qu'il voyait dieu là où d'autres mettaient d'autres explications, sans négliger la part de l'inconnu.

Tu as pris de temps de discuter avec l'un d'eux ? Personnellement, j'évite car ils sont trop catégoriques et ne laissent aucune place à d'autres explications. Ils ont des oeillères, pour la plupart.

Morgan Kane a écrit:

Aujourd'hui même le Monde a publié un interview d'un prêtre, Jacques Arnould.


Il vient de publier Dieu n’a pas besoin de « preuves » (Albin Michel, 200 pages), un « manifeste » faisant l’éloge du doute et du mystère, tant en matière de science que de religion.

Quelques citations:

« S’il existait une preuve de l’existence de Dieu, tous les scientifiques seraient croyants »

Comme il a raison.

Morgan Kane a écrit:

" La science reste incapable de démontrer l’existence de Dieu, comme de la nier. Les scientifiques appartiennent au monde, ils ne pourront jamais en sortir et prendre suffisamment de recul pour l’observer tout entier. Il restera toujours du mystère."

" L’absence de doute signifierait s’inscrire dans un ordre parfait, immobile."

Mais évidemment que le doute subsiste toujours, y compris pour les prêtres et autres religieux, alors le simple croyant, à moins d'être fanatique, doute également à certains moments.

Morgan Kane a écrit:

"Que l’idée du Big Bang nourrisse la foi d’un croyant qui, par un acte de foi, y confesse une action divine, est une chose. Mais vouloir l’imposer aux autres comme une preuve de l’existence de Dieu en est un autre."

https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2023/03/05/s-il-existait-une-preuve-de-l-existence-de-dieu-tous-les-scientifiques-seraient-croyants_6164199_6038514.html  

Non, rien n'est à imposer, sinon on parlerait de secte et ce serait grave. Par le passé, les gens étaient moins cultivés et suivaient à la lettre les prescriptions des prêtres.

Une anecdote : mon père travaillait de nuit pendant des années. Il était porion à la mine de charbon. Quand il rentrait, il était très fatigué. Or, sa mère, ma grand-mère, vivait chez nous et elle ne concevait pas qu'il n'aille pas à la messe, le dimanche. Il rentrait donc du travail vers 7 h du matin et la première messe se tenait à 8 h. Comme sa mère insistait, il y allait. Il s'asseyait au fond de l'église et... s'endormait. Un jour, comme il ne rentrait pas, ma mère a envoyé ma soeur le chercher : il dormait toujours. Je crois qu'il n'y est plus retourné, par la suite, sauf aux grands occasions.

Que peut-on retenir de cette citation ? Qu'on peut plonger sans savoir nager ? Ou qu'il est préférable de réfléchir avant d'agir ?

Nelly a écrit:

"Ce qui noie quelqu'un, ce n'est pas le plongeon, mais le fait de rester sous l'eau."  [Paulo Coelho]

Que peut-on retenir de cette citation ? Qu'on peut plonger sans savoir nager ? Ou qu'il est préférable de réfléchir avant d'agir ?

Que quand on accomplit une action, il faut penser aux conséquences?

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce qui noie quelqu'un, ce n'est pas le plongeon, mais le fait de rester sous l'eau."  [Paulo Coelho]

Que peut-on retenir de cette citation ? Qu'on peut plonger sans savoir nager ? Ou qu'il est préférable de réfléchir avant d'agir ?

Que quand on accomplit une action, il faut penser aux conséquences?

tenter le diable sans en mesurer les conséquences c'est chercher le risque

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce qui noie quelqu'un, ce n'est pas le plongeon, mais le fait de rester sous l'eau."  [Paulo Coelho]

Que peut-on retenir de cette citation ? Qu'on peut plonger sans savoir nager ? Ou qu'il est préférable de réfléchir avant d'agir ?

Que quand on accomplit une action, il faut penser aux conséquences?

Réfléchir avant de se lancer est ce que nous devrions faire, mais il me semble qu'il faut également savoir prendre des risques, sinon nous n'avancerions pas. Il y a toujours des inconnues, dans la vie. Pour moi, Paulo pensait davantage au fait de prendre des risques calculés, sans pour autant inciter à l'excès.

anémone a écrit:

Morgan Kane a écrit:

Nelly a écrit:

"Ce qui noie quelqu'un, ce n'est pas le plongeon, mais le fait de rester sous l'eau."  [Paulo Coelho]

Que peut-on retenir de cette citation ? Qu'on peut plonger sans savoir nager ? Ou qu'il est préférable de réfléchir avant d'agir ?

Que quand on accomplit une action, il faut penser aux conséquences?

tenter le diable sans en mesurer les conséquences c'est chercher le risque

Mais où irions-nous si nous ne prenions aucun risque ? Certes, il ne faut pas jouer avec le feu quand on sait que c'est très dangereux, mais il faut parfois avancer sans savoir où on va réellement. Le choix peut être difficile.

Nous ignorons souvent quelles seraient nos réactions dans certaines circonstances. J'espère que mes ressources intérieures émettront le bon cri quand ce sera nécessaire.

Nelly a écrit:

"A chaque heure de ta vie, une ressource intérieure doit émettre son cri."  [Daniel Desbiens]

Nous ignorons souvent quelles seraient nos réactions dans certaines circonstances. J'espère que mes ressources intérieures émettront le bon cri quand ce sera nécessaire.

Oh elle est très belle cette phrase, et très vraie !

On en a d'autant plus besoin quand on traverse des périodes difficiles. Mais on a tous une "réserve"...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"A chaque heure de ta vie, une ressource intérieure doit émettre son cri."  [Daniel Desbiens]

Nous ignorons souvent quelles seraient nos réactions dans certaines circonstances. J'espère que mes ressources intérieures émettront le bon cri quand ce sera nécessaire.

Oh elle est très belle cette phrase, et très vraie !

On en a d'autant plus besoin quand on traverse des périodes difficiles. Mais on a tous une "réserve"...

Réserve insoupçonnée, c'est vrai. Je tiens relativement bien le coup, en ce moment ; je suis très occupée et ça doit aider, mais je crains l'été. Il y a tellement de choses que nous faisions à deux.

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"A chaque heure de ta vie, une ressource intérieure doit émettre son cri."  [Daniel Desbiens]

Nous ignorons souvent quelles seraient nos réactions dans certaines circonstances. J'espère que mes ressources intérieures émettront le bon cri quand ce sera nécessaire.

Oh elle est très belle cette phrase, et très vraie !

On en a d'autant plus besoin quand on traverse des périodes difficiles. Mais on a tous une "réserve"...

Réserve insoupçonnée, c'est vrai. Je tiens relativement bien le coup, en ce moment ; je suis très occupée et ça doit aider, mais je crains l'été. Il y a tellement de choses que nous faisions à deux.

Oui, c'est certain, il va y avoir des moments où tu vas forcément te rappeler "là on faisait..." et ça peut être difficile. C'est ce que j'ai constaté auprès de ma fille...

Il faut que tu commences tout de suite par prévoir des choses à faire : visite dans la famille, aller voir des amis... Il ne faut pas attendre le dernier moment...

Kitara a écrit:

Il faut que tu commences tout de suite par prévoir des choses à faire : visite dans la famille, aller voir des amis... Il ne faut pas attendre le dernier moment...

Pas mal de monde m'a demandé de passer, se dit à ma disposition, ma cousine vient me voir plusieurs fois dans la semaine et aujourd'hui, j'étais absente toute la journée. Mais c'est le retour qui a été difficile : le vide.
Le week-end prochain, les enfants vont passer. J'espère que je réussirai à mettre un peu d'ordre, car il y a des papiers dans trois pièces, et si le petit y touche...

Courage !!!!

Nelly a écrit:

Pas mal de monde m'a demandé de passer, se dit à ma disposition,

Tu aurais quand même intérêt à le prévoir, pour que les gens soient disponibles, en fonction du temps que tu as envie de passer en dehors de chez toi (parfois il n'en faut pas trop)... 3 jours par ci, 5 jours par là...

Si tu planifies à l'avance, que tu demandes aux gens s'ils sont disponibles, que tout est calé, cela t'évitera de devoir trouver l'énergie et l'impulsion au moment venu... énergie qu'on n'a pas toujours.
Si c'est prévu la question ne se pose pas, et c'est bien mieux...

Il vaut mieux mettre les papiers en lieu sur, c'est certain !

Bon courage !!!

Nelly a écrit:

Kitara a écrit:

Il faut que tu commences tout de suite par prévoir des choses à faire : visite dans la famille, aller voir des amis... Il ne faut pas attendre le dernier moment...

Pas mal de monde m'a demandé de passer, se dit à ma disposition, ma cousine vient me voir plusieurs fois dans la semaine et aujourd'hui, j'étais absente toute la journée. Mais c'est le retour qui a été difficile : le vide.
Le week-end prochain, les enfants vont passer. J'espère que je réussirai à mettre un peu d'ordre, car il y a des papiers dans trois pièces, et si le petit y touche...

Bien sur que l'entourage nous fait du bien, mais ne peut enlever la solitude et ravive les moments que nous partagions à deux.
Il faut du temps pour que s'installe de nouvelles habitudes...
Tu sais que la Bretagne sera ravie de ton passage, nous avons tant de bons souvenirs, gros bisous

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

Pas mal de monde m'a demandé de passer, se dit à ma disposition,

Tu aurais quand même intérêt à le prévoir, pour que les gens soient disponibles, en fonction du temps que tu as envie de passer en dehors de chez toi (parfois il n'en faut pas trop)... 3 jours par ci, 5 jours par là...

Si tu planifies à l'avance, que tu demandes aux gens s'ils sont disponibles, que tout est calé, cela t'évitera de devoir trouver l'énergie et l'impulsion au moment venu... énergie qu'on n'a pas toujours.
Si c'est prévu la question ne se pose pas, et c'est bien mieux...

En dehors de mon fils et sa famille, une belle-soeur, toute ma famille vit dans les parages. Il ne s'agit donc pas d'aller passer plusieurs jours chez eux, mais ils sont disponibles quand je veux. D'ailleurs, je ne suis pas une grande voyageuse, je ne l'ai jamais été, donc je ne vais pas beaucoup me déplacer loin.

anémone a écrit:

Bien sur que l'entourage nous fait du bien, mais ne peut enlever la solitude et ravive les moments que nous partagions à deux.
Il faut du temps pour que s'installe de nouvelles habitudes...
Tu sais que la Bretagne sera ravie de ton passage, nous avons tant de bons souvenirs, gros bisous

Nous avons beaucoup apprécié notre virée en Bretagne, mais je ne me vois plus partir ainsi. Merci beaucoup pour ta proposition.

Parfois nous aimerions savoir, mais heureusement que nous ne connaissons pas l'avenir. Comment ferions-nous si nous connaissions tout à l'avance ? Bon, il y a bien évidemment le mauvais côté des choses qu'il est préférable de ne pas connaître, mais même les petits tracas quotidiens, les petits bonheurs, nous sont nécessaires. Ne serait-ce pas trop monotone s'ils n'y avait pas des inconnues dans nos vies ?

Nelly a écrit:

"Comment vivre sans inconnu devant soi ?"  [René Char]

Parfois nous aimerions savoir, mais heureusement que nous ne connaissons pas l'avenir. Comment ferions-nous si nous connaissions tout à l'avance ? Bon, il y a bien évidemment le mauvais côté des choses qu'il est préférable de ne pas connaître, mais même les petits tracas quotidiens, les petits bonheurs, nous sont nécessaires. Ne serait-ce pas trop monotone s'ils n'y avait pas des inconnues dans nos vies ?

certains ont recour a la voyance ,je ne pense pas que ce soit une bonne idée, même si ont y croit ,"savoir " peut etre dangereux car automatiquement on ira dans le sens de ce que l'on a appris.

Nelly a écrit:

"Comment vivre sans inconnu devant soi ?"  [René Char]

Parfois nous aimerions savoir, mais heureusement que nous ne connaissons pas l'avenir. Comment ferions-nous si nous connaissions tout à l'avance ? Bon, il y a bien évidemment le mauvais côté des choses qu'il est préférable de ne pas connaître, mais même les petits tracas quotidiens, les petits bonheurs, nous sont nécessaires. Ne serait-ce pas trop monotone s'ils n'y avait pas des inconnues dans nos vies ?

En fait, vivre sans inconnu devant soi, c'est juste pas possible, il me semble...

Nelly a écrit:

"Comment vivre sans inconnu devant soi ?"  [René Char]

Nous avons des certitudes, par exemple nous savons que nous vieillissons et que nous mourrons, ou que le soleil se lèvera demain.

Mais nous ne savons quand et comment nous mourrons.

En fait, nous aimerions limiter cet inconnu, mais ce n'est pas possible.

Vrai et faux ! On ne peut pas rester au même stade toute sa vie. Le monde évolue et il nous faut suivre... D'ailleurs, quand ça va dans le bon sens, vers l'évolution positive, personne ne se plaint.

Nelly a écrit:

"On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes."  [Louis XVI]

Vrai et faux ! On ne peut pas rester au même stade toute sa vie. Le monde évolue et il nous faut suivre... D'ailleurs, quand ça va dans le bon sens, vers l'évolution positive, personne ne se plaint.

Et ne pas l'avoir compris lui a coûté son trône et sa vie, et nous a valu une révolution, sans compter 25 ans de guerres et de difficultés diverses. Les habitudes avaient changé, pas lui.

Nelly a écrit:

"On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes."  [Louis XVI]

Vrai et faux ! On ne peut pas rester au même stade toute sa vie. Le monde évolue et il nous faut suivre... D'ailleurs, quand ça va dans le bon sens, vers l'évolution positive, personne ne se plaint.

J'ai pourtant un peu l'impression que c'est ce qu'on est en train de vivre...

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes."  [Louis XVI]

Vrai et faux ! On ne peut pas rester au même stade toute sa vie. Le monde évolue et il nous faut suivre... D'ailleurs, quand ça va dans le bon sens, vers l'évolution positive, personne ne se plaint.

J'ai pourtant un peu l'impression que c'est ce qu'on est en train de vivre...

Les enjeux idéologiques, financiers et politiques sont tels que Macron est prêt à tout.

Notre tempérament... Et que vient faire notre intelligence là-dedans ? Et qu'en est-il de nos défauts ? Et notre éducation ?

Nelly a écrit:

"On sait assez que notre tempérament fait toutes les qualités de notre âme."  [Voltaire]

Notre tempérament... Et que vient faire notre intelligence là-dedans ? Et qu'en est-il de nos défauts ? Et notre éducation ?

si on se fie qu'au tempérament...on sera vite jugé ! surtout si on ne connait la personne que très peu...

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"On sait assez que notre tempérament fait toutes les qualités de notre âme."  [Voltaire]

Notre tempérament... Et que vient faire notre intelligence là-dedans ? Et qu'en est-il de nos défauts ? Et notre éducation ?

si on se fie qu'au tempérament...on sera vite jugé ! surtout si on ne connait la personne que  très peu...

Si on remplace tempérament par le mot moderne de charactère, tout dépend de la manière dont il se forme.

Certains diront que tout est gène, d'autres que tout vient du milieu, de l'environnement.

Enfin, d'autres diront que les gènes donnent une base et que le reste dépend du milieu, de l'éducation, et du hasard.

Je mesure 1, 86 m, et mes frères 1, 76 et 1, 72 m. Nous avons les mêmes gènes, nous avons la même origine sociale, et nous avons été nourris de la même manière. Nous avons un air de famille, mais pas la même taille.

Ce qui est vrai pour le physique est vrai pour le mental.

Morgan Kane a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"On sait assez que notre tempérament fait toutes les qualités de notre âme."  [Voltaire]

Notre tempérament... Et que vient faire notre intelligence là-dedans ? Et qu'en est-il de nos défauts ? Et notre éducation ?

si on se fie qu'au tempérament...on sera vite jugé ! surtout si on ne connait la personne que  très peu...

Si on remplace tempérament par le mot moderne de charactère, tout dépend de la manière dont il se forme.

Certains diront que tout est gène, d'autres que tout vient du milieu, de l'environnement.

Enfin, d'autres diront que les gènes donnent une base et que le reste dépend du milieu, de l'éducation, et du hasard.

Je mesure 1, 86 m, et mes frères 1, 76 et 1, 72 m. Nous avons les mêmes gènes, nous avons la même origine sociale, et nous avons été nourris de la même manière. Nous avons un air de famille, mais pas la même taille.

Ce qui est vrai pour le physique est vrai pour le mental.

Les gènes ne sont pas "distribués" de la même manière chez chacun. Comme tu l'indiques au niveau taille, le caractère peut changer. Il est d'ailleurs rare qu'il soit identique, dans une fratrie. On dit que chacun a eu la même éducation et c'est généralement vrai. Pourtant, les parents évoluent également et peuvent éduquer différemment leurs enfants, parfois en fonction de leur caractère, de leurs besoins et de leur propre expérience passée.

Pourtant, l'exemple des parents, leur éducation ont quand même une influence sur les qualités de leurs enfants, en les développant et en les encourageant. Bien sûr que leur tempérament personnel interagit également.

Nelly a écrit:

Morgan Kane a écrit:

anémone a écrit:

Nelly a écrit:

"On sait assez que notre tempérament fait toutes les qualités de notre âme."  [Voltaire]

Notre tempérament... Et que vient faire notre intelligence là-dedans ? Et qu'en est-il de nos défauts ? Et notre éducation ?

si on se fie qu'au tempérament...on sera vite jugé ! surtout si on ne connait la personne que  très peu...

Si on remplace tempérament par le mot moderne de charactère, tout dépend de la manière dont il se forme.

Certains diront que tout est gène, d'autres que tout vient du milieu, de l'environnement.

Enfin, d'autres diront que les gènes donnent une base et que le reste dépend du milieu, de l'éducation, et du hasard.

Je mesure 1, 86 m, et mes frères 1, 76 et 1, 72 m. Nous avons les mêmes gènes, nous avons la même origine sociale, et nous avons été nourris de la même manière. Nous avons un air de famille, mais pas la même taille.

Ce qui est vrai pour le physique est vrai pour le mental.

Les gènes ne sont pas "distribués" de la même manière chez chacun. Comme tu l'indiques au niveau taille, le caractère peut changer. Il est d'ailleurs rare qu'il soit identique, dans une fratrie. On dit que chacun a eu la même éducation et c'est généralement vrai. Pourtant, les parents évoluent également et peuvent éduquer différemment leurs enfants, parfois en fonction de leur caractère, de leurs besoins et de leur propre expérience passée.

Pourtant, l'exemple des parents, leur éducation ont quand même une influence sur les qualités de leurs enfants, en les développant et en les encourageant. Bien sûr que leur tempérament personnel interagit également.

Je ne crois pas qu'il n'y ait que le tempérament qui constitue notre âme, nous formons un tout : il y a aussi nos choix, nos ressentis, nos émotions, nos sentiments, etc...

Il est certain que lorsqu'on n'a pas le choix, on fait face et on essaie généralement de faire au mieux. D'autres critères peuvent nous pousser : pour faire plaisir à quelqu'un, par exemple.

En même temps, ne fait-on pas des choses pour soi-même ? Certes, il faut en avoir envie, donc un bon moral. Ensuite, tout dépend de ce à quoi nous attachons de l'importance.

Nelly a écrit:

"Il y a une infinité de choses qu'on ne fait bien que lorsqu'on les fait par nécessité."  [Joseph Joubert]

Il est certain que lorsqu'on n'a pas le choix, on fait face et on essaie généralement de faire au mieux. D'autres critères peuvent nous pousser : pour faire plaisir à quelqu'un, par exemple.

En même temps, ne fait-on pas des choses pour soi-même ? Certes, il faut en avoir envie, donc un bon moral. Ensuite, tout dépend de ce à quoi nous attachons de l'importance.

Ca dépend de quelles choses... mais j'ai tendance à penser que les choses que l'on fait le mieux ne sont pas celles qui sont faites par nécessité, mais plutôt par envie !

Nelly a écrit:

"Il y a une infinité de choses qu'on ne fait bien que lorsqu'on les fait par nécessité."  [Joseph Joubert]

Kitara a écrit:

Ca dépend de quelles choses... mais j'ai tendance à penser que les choses que l'on fait le mieux ne sont pas celles qui sont faites par nécessité, mais plutôt par envie !

100 % d'accord. Même si on travaille par nécessité, on peut avoir l'amour et la fierté du travail bien fait !!!

Morgan Kane a écrit:

Kitara a écrit:

Nelly a écrit:

"Il y a une infinité de choses qu'on ne fait bien que lorsqu'on les fait par nécessité."  [Joseph Joubert]

Ca dépend de quelles choses... mais j'ai tendance à penser que les choses que l'on fait le mieux ne sont pas celles qui sont faites par nécessité, mais plutôt par envie !

100 % d'accord. Même si on travaille par nécessité, on peut avoir l'amour et la fierté du travail bien fait !!!

En ce moment, je fais nombre de choses par nécessité et j'ai plutôt intérêt à bien les faire. C'est un exemple. Il est certain, par ailleurs, que l'envie de faire quelque chose qui plaît est un gros moteur également.

Pour en revenir à la citation, il est probablement des personnes qui se laissent aller... à ne faire que ce qui leur plaît et sans souci du résultat. Il faut déjà une mentalité un peu perfectionniste pour s'investir dans des choses anodines.